Branlette au sport Ep02

 Branlette au sport 02




Nus tous les deux, chacun profitait de la peau, de la douceur de l'autre. Les caresses qu'ils s'échangeaient redevenaient plus calmes. Djimmy se tenait debout devant son coach qui lui caressait les couilles et la bite.


Toi tu ne te branles plus ! Tu as bien compris ?


Djimmy ne comprenait pas vraiment ou voulait en venir son coach mais faisait oui de la tête. Son coach le regardait droit dans les yeux.


C'est à cause de ça si tu es nul, regarde toi, tu as tous pour devenir un champion mais voilà, tu es un branleur. Tu sais ça fait un moment que je te surveille, et j'avais compris.

Oui coach mais tu sais coach en fait …

Arrête de te chercher des excuses ou des justifications, au mieux tu arriveras à t'enliser. Tu es un branleur et il faut que ça cesse.

Ok coach, je me branlerai plus !

Mais c'est que j'espère bien. Pour le moment retourne toi !


C'est totalement innocent que Djimmy se retournait, il sentait les caresses que son coach lui prodiguait. Il le tirait vers lui et lui caressait le corps, la poitrine, les muscles sur la tablette de chocolat ( d'accord c'était du chocolat blanc mais il y avait tout de même la tablette ). Puis les mains du coach descendaient sur le sexe de Djimmy et lui tripotaient joyeusement la queue, il bandait toujours. Elle n'oubliaient pas les couilles. Le coach s'attardait longuement sur les couilles de Djimmy.


Djimmy se redressait et se cambrait contre le corps de son coach. Il sentait la queue de son coach qui glissait entre ses cuisses et ressortait en soulevant légèrement ses couilles. Il s'appuyait contre le mur de la douche.


Le coach caressait les fesses de son jeune camarade, il glissait sa mains puis trois doigts, puis deux seulement, puis un et la devenait un peu plus intrusif, il lubrifiait la raie des fesses de Djimmy, il lui lubrifiait généreusement le cul.


Djimmy sursautait quand le coach lui glissait un doigt dans le cul, sa queue manifestait également et se contractait. Un doigt glissait avec douceur, et s'agitait rapidement, il s'agitait contre la prostate de Djimmy. Djimmy ne connaissait pas cette sensation, et restait comme tétanisé. Quand on se donne du plaisir, la sensation est totalement différente de celle qu'on éprouve quand on nous le donne. C'était agréable et il ne cherchait pas à se défendre.


Dis moi, coach, tu es sûr que … Ohooooooooo !


Djimmy gémissait de plaisir, il ne comprenait pas ce qui lui arrivait mais il aimait. Il ne savait pas, il n'avait jamais imaginé le plaisir que cela pouvait donner. Il s'était déjà glissé un doigt dans le cul. Il se branlait, ça oui, mais il n'aurait jamais pensé aller plus loin.


C'était son coach qui lui faisait découvrir ce plaisir et il aimait.


Il gémissait Djimmy, il gémissait de plaisir. Il gémissait des '' Ooooooh oui ! '', il gémissait des '' C'est bon, oui c'est bon !''. le coach connaissait son affaire il savait faire monter le plaisir et Djimmy se retrouvait plié en deux, accroché à un porte serviette en gémissant de plaisir.


Le coach prenait bien son temps et il ne se contentait pas masser la prostate à son camarade, il lui lubrifiait généreusement le cul, deux doigts glissaient maintenant et Djimmy continuait à gémir de plaisir des '' encore ! '' et des '' Oui c'est bon ! ''.


Le coach tentait de glisser un troisième doigts. Là ça résistait, il faisait couiner son jeune ami un peu plus fort, beaucoup plus fort même. Il en profitait pour rajouter une grosse dose de gel en plus et sans prévenir retirait ses doigts et y glissait sa queue.


Djimmy s'est alors redressé, il a hurlé mais il ne s'est pas dégagé, il n'a même pas essayé. Il donnait l'impression de pleurer, il était tendu. La queue de son coach glissait bien à fond, pourtant il était étroit le pauvre Djimmy, pour une première fois, il s'en souviendrait, ça c'était sûr.


Il semblait suffoquer le pauvre Djimmy, il était là, la bouche grande ouverte comme s'il manquait d'air, il n'arrivait même pas à crier, il ne pouvait plus parler, il restait mué.


Le coach continuait à s'enfoncer et écrasait son ventre contre les fesses de son champion. Oui je sais Djimmy était nul mais il avait tout ce qu'il fallait pour être un champion, aussi je me permet de faire preuve d'optimisme. ( note du narrateur )


Le fameux champion finissait pas crier, par hurler même au moment ou le coach ressortait. Il ne ressortait pas bien loin. Il reculait juste un peu et sa queue glissait dans le cul du petit jeune.


Djimmy ne criait plus il sanglotait, il ne cherchait même pas à se dégager, il ne tentait même pas de repousser son coach en glissant ses mains contre le ventre de son coach. Il pleurait, mais pleurait-il de plaisir, il grimaçait, mais ça pouvait aussi être des grimaces de plaisir.


Vous avez vu la tête d'un mec qui joui, pas un mec qui simule mais qui joui vraiment ? Il ne rigole pas le mec. On m'a dit que c'était valable aussi pour les filles mais là, j'ai moins d'expérience. ( Note de l'auteur )


Une chose est sûre, le petit Djimmy dégustait du haut de son mètre quatre vingt cinq. Il en bavait mais ne tentait pas vraiment de se défendre, il ne tentait pas de se dégager.


Le coach était toujours là un long moment plus tard, bien planté dans le cul de Djimmy. Il ne bougeait pas trop, il laissait Djimmy se détendre il lui laissait le temps qu'il fallait.


Djimmy était appuyé contre le mur, il avait la tête penché en avant et il semblait se détendre quand le coach décidait d'agir. Lentement il se retirait, brusquement Djimmy hurlait. Le coach ne s'en préoccupait pas et continuait. Il se retirait complètement, balançait une grosse dose de gel et sans attendre revenait bien à fond.


De nouveau Djimmy hurlait, le coach le tirait vers lui, il se relevait et se retrouvait dans les bras de son coach, sa queue bien plantée dans son cul. Il sanglotait, il pleurait mais il ne demandait pas grâce. Aimait-il déjà ? Le coach devait se le demander !


La première fois, ça peut faire mal, très mal … Je me souviens bien moi la première fois et en plus le mec n'était pas monté comme un âne … Oh pardon c'est pas de moi qu'il s'agit là. Désolé ! ( Commentaire déplacé de l'auteur ).


Bref il avait du courage le petit Djimmy.


Le coach entrait et ressortait de son cul avec douceur certes, mais il entrait et ressortait ! Djimmy tremblait, il ne disait plus rien, il poussait un gémissement, une plainte longue et triste. Quand le coach revenait, Djimmy poussait un autre petit cri et continuait cette plaint, longue et lancinante.


Les plaintes devenaient plus discrètes, Djimmy devait s'y faire. Il respirait fort, son cœur battait fort également. Le coach sentait son corps trembler sous ces caresses et sous les assauts contre son cul. Par moment un tremblement traversait tout le corps de Djimmy et un nouveau gémissement rappelait qu'il dégustait le pauvre.


Le coach n'en revenait pas, il encaissait, il encaissait et c'était la première fois pour lui. C'est pas commun, en général on arrive à une telle endurance uniquement après un certain entraînement, un long entraînement même. C'est qu'il est bien monté le coach, et il le savait.


Il n'avait jamais tenu dans ses bras un garçon aussi prometteur, lui aussi il appréciait. Il appréciait de ne pas être interrompu, il appréciait de pouvoir faire ce qu'il avait envie, il appréciait le corps parfait de son partenaire et il pouvait le caresser, l'embrasser et aussi l'enculer.


Ses mouvements devenaient plus rapide, il s'amusait par moment à donner un coup plus violent, comme ça, juste pour voir. Et un cri se faisait entendre, comme ça, juste pour se faire entendre.


Le plaisir montait dans le corps du coach, le plaisir montait et maintenant il ne le retenait plus. Il laissait faire. Puis c'est une explosion dans son corps qui se manifestait. Une explosion de sperme dans le cul de Djimmy, quelques coups de bite qui ne se contrôlaient plus.


De nouveau Djimmy criait, il gémissait mais là maintenant il implorait.


Le coach lâchait la dernière décharge de plaisir et se retirait. Djimmy tombait à genoux. Il pleurait, il ne disait rien et posait sa main sur son cul.


Ça va ? Demandait le coach.


Djimmy ne répondait pas, il se relevait et se retournait vers le coach. Il avait une tête de zombie. Sans ménagement le coach le replaçait sous la douche et peu à peu il retrouvait un visage humain.


Ça fait mal coach.

Et en plus tu as supporté !

Oui mais ça fait mal !

Tu sais avec un peu d'entraînement, ça ne fait plus mal du tout.

Oui mais là ça fait vraiment mal !

Tu veux te venger. Si tu veux tu peux m'enculer comme tu veux.


Le coach tripotait la bite du jeune homme mais celui-ci ne bandait plus. Une grosse queue se balançait entre ses jambes. Djimmy ne disait plus rien, il se laissait faire.


C'est vrai qu'il est docile ! Se disait le coach. Je vais en faire un champion.


Les deux hommes se séchaient.


Tu crois que ça va vraiment m'aider ? Demandait Djimmy.

Ce n'est que le début ! Répondait le coach.


Djimmy le regardait avec un regard plein de peur.


Tout se passera bien, mais comme je te disais, tu te branles trop, c'est ça ton problème.

La ça va j'ai plus envie !

Pour l'instant, mais tu te masturbes combien de fois par jour.

Comment tu sais coach que c'est plusieurs fois ?

Tu es un branleur ! Je ne me trompe pas ?

Non, je suis un branleur mais ça ne fait pas de mal à personne.

C'est sûr ça ne dérange pas les voisins, mais toi, ça te détourne de la bonne voie.

Je n'arriverai pas à me retenir, je me branle jusqu'à cinq fois par jour, quelquefois six même.

C'est pire que je ne le pensais !


Le coach attrapait sa veste et fouillait dans sa poche.


Tu sais Djimmy, ça fait un moment que je te surveille. Et je pense que j'ai ce qu'il faut. Si tu est d'accort bien sûr ...

Tout ce que tu veux coach !

Tu mets ça, on le referme et tu vas voir tout va changer.


Il lui tendait un dispositif de chasteté, un dispositif qui semblait à la bonne taille. C'est vrai que le coach le surveillait depuis un moment. Djimmy ne comprenait pas tout de suite. Puis il finissait par se décider. Il passait une couille dans l'anneau puis la seconde, à ce moment il ne bandait pas encore. Il glissait facilement sa queue dans l'anneau. Le coach lui tendait alors la cage, elle était plus large que la plupart des cages. Elle était adapté à la taille du membre viril de Djimmy.


C'est sans difficulté que la queue de Djimmy glissait dans la cage à bite, il ne bandait toujours pas. Ça ne durerait pas, ils le savaient tous les deux mais Djimmy obéissait.


On recommencera ? Dis moi coach.

On recommencera mais pas tout de suite. Tu as du le sentir passer, il faut que tu récupères. Il ne faut pas te blesser.


Le coach tentait alors la clé avec le cadenas à Djimmy qui d'un geste hésitant verrouillait le dispositif. Il avait compris qu'il ne garderait pas la clé et la rendait à son coach. Celui-ci était habillé et la glissait dans une petite poche qu'il refermait avec une fermeture à glissière.


Bon maintenant, fini la branlette, et tu prendras ta douche avec tes camarades !


Le sang de Djimmy se glaçait dans ses veines, non seulement il prendrait sa douche avec tout le monde mais en plus il porterait ce truc, il devrait alors l'exposer à tous les autres.


Mais coach …

Pas de mais, tu te rhabilles et tu quittes les lieux, ça fait un moment que tes camarades sont repartis. Allez hop, fermeture des portes.


Le coach était déjà habillé et attendait que Djimmy termine de s'habiller.


Par la suite Djimmy a perdu cette détestable habitude de se branler et ses performances ont augmentées, un an plus tard, il était le champion de l'équipe …



A suivre




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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