Branlette au sport Ep01

 Branlette au sport Ep01




Les vestiaires étaient vides, Djimmy se retrouvait tout seul, il avait un peu traîné, l'entraînement était sérieux ce jours là et il était en sueur.


Bon je ne sais pas pourquoi je lui cherche des excuses, en fait Djimmy n'est pas le plus rapide, le plus fort ou le plus assidu dans l'équipe. Pourtant il a toutes les capacités qu'il faut pour être un champion mais voilà … Il n'est pas motivé.


Il arrive toujours dans les vestiaires en dernier, c'est vrai que ça lui évite les commentaires désobligeants de la part de ses camarades. Bein oui quoi, il ne se foule pas trop alors que les autres, eux, ils se défoncent.


C'est simple il n'a jamais vu ses camarades sous la douche et pour lui c'est pareil, personne ne l'a jamais vu à poil. Il se change toujours en dernier, toujours après les autres. Pourtant il n'a pas de raison de se sentir ridicule, il a un corps de rêve, bien musclé, un torse bien large, des cuisses bien solides, une gueule bien virile, il plaît aux filles même s'il n'est pas très dégourdi sur ce point.


Il a aussi une belle queue bien longue, bien large bien ferme, en un mot … Bien ! C'est peut être un détail mais c'est un détail qui compte, surtout pour les mecs.


Il arrive toujours en dernier dans les vestiaires, il jette un petit coup d’œil pour être bien sûr d'être tranquille, en plus il sait qu'il a tout son temps, il a l'habitude, personne ne vient jamais le déranger.


Il se déshabille tranquillement, il bande !


Si, si, quand il se met à poil il bande. Ça le lui fait à chaque fois, c'est peut être pour ça qu'il préfère prendre sa douche après les autres … ? … Pas sûr.


Il passe ensuite sous la douche, il y reste longtemps. Djimmy n'aime pas être bousculé. Il aime prendre son temps et il ne s'en prive pas. Il se lave bien partout comme il faut, les cheveux, tout le corps, sans oublier derrière les oreilles. Comme il convient.


Il se lave bien la queue, les fesses, sans oublier le cul. Il aime bien glisser un ou deux doigts dans son cul, il les agite longuement et ne se gêne pas de gémir de plaisir. Il se dit que de toutes façons personne ne vient jamais ici à cette heure ci. Et que de toutes façons si quelqu'un ouvre la porte ça produit comme une onde de choc et que même sous la douche il l'entendra.


Il profite longuement de ce moment, il finit par s'asseoir et longuement, en prenant bien son temps il se masse la prostate. Le plaisir monte dans son corps, il vibre, il tremble, il gémit et laisse l'eau couler sur son corps. Il bande, enfin il continue à bander. N'oublions pas qu'il a commencé à bander au moment ou il s'est retrouvé à poil, c'est suffisant pour lui ça.


Il finit toujours par sa bite. Il l'a bien sûr laver sous la douche mais maintenant, l'eau ne coule plus. Il est impossible que quelqu'un entre sans qu'il l'entende, même avec la douche il l'entendrait alors sans, à plus forte raison.


Il se retrouve dans les vestiaires, sa serviette sur l'épaule et la bite dans la main. Et là il se masturbe. Oh il n'est pas du genre pressé, mais vous deviez vous en douter, il prend bien son temps. Il malaxe sa grosse queue, qui n'en devient que plus dure, que plus ferme. Il se caresse la queue lentement puis plus rapidement. Puis il fait une pause avant de reprendre, il crache dans sa main, et continue avec plus de conviction à se masturber.


Il se tripote les couilles aussi, le plaisir doit être total.


Ah je comprends mieux pourquoi tu traînes toujours après les autres !


Cette voix raisonnait dans la salle vide, c'était le coach. Il est sympa le coach mais Djimmy ne s'était jamais retrouvé dans cette situation avec lui. Il sursautait, mais il ne débandait pas pour autant, il était toujours à poil.


Alors c'est donc ça que tu fais après l'entraînement Djimmy !

Non coach, enfin oui coach, enfin un peu !


Djimmy ne se masturbait plus mais il ne débandait toujours pas.


C'est que tu es bien monté toi en plus. Je crois que c'est toi qui a la plus grosse de toute l'équipe.


Les autres prenaient bien sûr leur douche ensemble et ne se gênaient pas de comparer, même le coach avait du participer, c'est tout dire de la décontraction qui régnait dans cette équipe.


Par contre il ne faut pas exagérer, personne ne se masturbait. Enfin pas à ce moment là … On peut supposer sans risquer de se tromper que tous se masturbent, ils sont jeunes, presque adultes pour les plus jeunes ou jeune adultes pour les plus vieux.


Bein quoi, vous ne vous branlez jamais vous, j'ai cru entendre à l'instant un lecteur qui disait … '' Bein c'est du propre ! '' . C'est la vie, c'est comme ça. Biens sur moi je ne me masturbe jamais mais moi, je suis un cas. ( note de l'auteur )


Notre ami Djimmy lui se masturbait tous les jours, et même plusieurs fois par jours. C'est un branleur et c'est ce que constatait le coach.


Lève toi que je vois comment tu es bâti. Lui ordonnait le coach.


Djimmy s'exécutait, il se relevait, il était à poil, les bras ballants, très beau, il était très beau et son corps était magnifique et sa bite aussi. Elle ferait tourner bien des têtes se disait le coach.


Et tu bandes toujours comme ça ?

En fait je ne peux pas me contrôler quand je suis à poil ! Répondait Djimmy avec une toute petite voix.

Dans ce cas tu as raison, ils se moqueraient de toi. Lui répondait le coach.


S'ils voyaient la taille de l'engin, ils ne se moqueraient certainement pas, pensait le coach en disant cela.


Je ne me moquerai pas de toi, rajoutait le coach, je suis dans la même situation.


C'était faux mais nous ferons semblant de croire. En disant cela il se déshabillait.


Tu sais j'ai une solution, si tu veux je peux t'aider.

Oui j'aimerais bien ! Lui répondait naïvement Djimy.


Il n'était pas dégourdi pour ses dix huit ans passés. Il bandait toujours. Le coach jetais ses vêtements dans un endroit sec, un peu plus loin et se retrouvait nu, entièrement nu devant le jeune homme.


Il était bien foutu le coach, il avait des muscles un peu partout. C'était une fine musculature, fine mais solide, il avait aussi une grosse bite, pas aussi grosse que celle de Djimmy mais pas loin. Et surtout lui aussi il bandait. C'est plus la situation et l'érection Djimmy qui faisait réagir le coach.


Je vois coach, tu as le même problème que moi. Continuait Djimmy en bandant encore plus. Mais je crois que maintenant c'est toi qui me fait bander coach.

Tu crois ? Demandait le coach.

J'en suis sûr, si je me met à poil devant mes camarades à poils aussi, là je suis sûr que je ne contrôlerai plus rien.

Et là tu contrôle ?

Heu …

Laisse toi aller, laisse tomber ton contrôle.


Pendant plusieurs secondes Djimmy ne bougeait pas et quand il bougeait il rapprochait son visage du sexe du coach et sans prévenir lui caressait le gland avec la langue.


Je me doutais bien que le problème venait de là. Commentait le coach.


Par réaction, pour répondre peut être Djimmy allait reculer son visage mais le coach posait sa main sur la tête de Djimmy pour le retenir. Il n'avait pas vraiment besoin de forcer, Djimmy ne retirait plus sa tête mais au contraire l'approchait encore un peu plus et prenait rapidement la queue de son coach bien à fond dans la gorge.


Le visage de Djimmy s'écrasait contre le ventre de son coach. Il la retirait un peu et revenait. Rapidement il caressait doucement le gland de son coach avec la langue. Il avait vu un Tuto et …


C'est pas l'histoire du Tuto qui vous fait rire j'espère. Sinon moi j'arrête de raconter ! On se renseigne comme on peut et il faut bien vivre avec son temps.( commentaire interrogatif de l'auteur ! ).


Bref, passons.


Djimmy savait qu'il ne fallait pas y mettre les dents, qu'il fallait y aller tout en douceur et il mettait de la douceur. Il se concentrait le jeune Djimmy, il y mettait tout son cœur, c'était évident, il se régalait et il s'en sortait bien en plus.


Le coach se demandait si c'était bien la première fois pour Djimmy.


Il glissait avec science sa langue contre ce gland qu'on lui proposait, il avalait bien, il n'y avait pas de réaction de rejet. C'est vrai que le coach n'était pas non plus un violent qui obligeait son partenaire à avaler de force.


Le coach était toute douceur, il avançait son bassin et Djimmy encaissait. Si jamais il y avait une résistance, même très légère Le coach ne forçait pas et son jeune partenaire appréciait. Il appréciait cette bite longue et ferme.


Tu as déjà fait ça Djimmy ?


Djimmy relevait son visage et faisait non de la tête. Avant d'y retourner.


Alors là tu es un surdoué toi ! Ou alors tu me racontes des conneries.


Puis le coach se taisait, Djimmy le suçait avec tellement de douceur, il lui procurait un tel plaisir qu'il n'avait plus envie de parler, crier de plaisir, je ne dis pas mais parler pour faire un discours.


Le coach ne parvenait pas à retenir quelques mouvements de bassin, il enfonçait par à-coup bien à fond dans la gorge de Djimmy qui se cramponnait à lui en passant ses bras derrière ses cuisse et le tirait vers lui.


Djimmy découvrait ce qu'il aimait, ce qui lui manquait . Il découvrait beaucoup de chose sur lui, il comprenait mieux les réactions de son corps devant celui de ses camarades. C'était une première mais il était doué.


Le coach gémissait de plaisir, il donnait des coups de bassin par intermittence dans la gorge de Djimmy. Djimmy faisait des bruits bizarres avec la bouche et le coach ne se privait pas de bien lui remplis la bouche, de bien lui remplir la gorge.


Les mouvements était plus rapides, plus violents même si le coach se retenait, il était surpris par l'endurance de son partenaire et savait s'en réjouir.


Sa respiration accélérait, son cœur battait à tout rompre. Il retenait le visage de Djimmy avec force d'un coup. Il le lâchait et il lâchait une grosse giclée de sperme dans la bouche de Djimmy, une seconde suivait et Djimmy écartait son visage. Il y recevait plusieurs autres giclées bien crémeuses et bien épaisses.


Ils retrouvaient leur calme et décidait de passer sous la douche.


Djimmy bandait toujours et c'est avec le grand naturel qu'il recommençait à se masturber. Le coach lui tapait sur la main.


Ça c'est fini !

Bein pourquoi, je fais ça tous les jours et maintenant je ne vois pas ou ça peut être gênant que je me branle devant toi coach !

Au moins il était logique et rationnel le petit Djimmy. Si je dis ' petit ' c'est juste parce que c'est affectueux.


Pourquoi, c'est parce que tout vient de là.

Oui et bien moi j'ai bien aimé. On pourra même recommencer.


Il recommençait à se masturber et de nouveau le coach lui tapait sur la main.


Non ! C'EST FINI !


Djimmy fronçais les sourcilles de mécontentement mais finissait par obtempérer. Quelques instants plus tard ils étaient sous la douche, ils se caressaient, se frottaient l'un contre l'autre. Le coach bandait de nouveau et Djimmy lui, ne débandait toujours pas. C'est vrai qu'il était toujours nu !




A suivre



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