C'était un premier essais 01

 

C'était un premier essais 01



Quelques semaines plut tôt je ne savais même pas que ça existait, puis un soir lors d'une soirée dans un club privé , soirée spécial gadget je tombait sur un spectacle streap tease .


sur la piste les hommes se suivaient et faisaient leur spectacle, ils dansaient en retirant leurs vêtements et terminaient en nu intégral.


Le premier était métis, un garçon magnifique , grand, mince, avec une musculature fine, discrète mais qui semblait très efficace. Ses vêtements légers s'envolaient, il découvrait un torse coloré, maron clair. Il bougeait avec souplesse et s'amusait à baisser son pantalon et à montrer ses fesses.


Il y en avait un qui se donnait un mauvais genre une allure de voyou. Lui aussi était très beau. Il portait un pantalon moulant qui ne cachait rien. On distinguait parfaitement une forme allongée le long de sa cuisse et comme il bandait on pouvait voir la forme de son gland et ses deux couilles. Lui aussi dansait et faisait son spectacle. Il se retrouvait rapidement torse nue. Puis face au public il ouvrait sa braguette et sortait sa queue et ses couilles puis faisait le tour de la scène. Il exhibait sa grosse queue pour que tout monde puisse l'admirer. C'est vrai qu'il était beau à voir


un autre homme suivait, il portait lui aussi un pantalon moulant. Mais là on devinait que quelque chose de particulier se préparait. Il arrivait torse nue sur la scène. Il en faisait le tour montrant tous ses muscles à son tour, un peu de frime finalement. De dos on voyait parfaitement se dessiner ses fesses, le pantalon les mettait très en valeur et la raie de son cul était très visible.


Il était de dos quand il ouvrait son pantalon, il le faisait glisser tout en se dandinant puis se retournait. De face son pantalon remontait jusqu'à la base de son sexe. On devinait qu'il était bien monté. Enfin pour faire ce métier il faut être bien monté, tout le monde sait cela.


Il se tortillait et tournait sur lui même tout en faisant glisser son pantalon un peu plus, très lentement, il prenait bien son temps. Les fesses était maintenant à l'air et son sexe toujours caché. Il se montrait tantôt de dos, tantôt de face mais c'est de dos qu'il décidait de baisser totalement son pantalon. Le pantalon s'ouvrait en deux. Il devait y avoir un système d'ouverture rapide.. il se caressait les fesses tout en se relevant, tout en se cambrant. Il tournait la tête,lançait un regard coquin à la salle puis se retournait.


C'est à ce moment que j'ai vu son dispositif de chasteté. Le garçon était totalement imberbe, totalement épilé,il était magnifique. Et entre ses cuisses il y avait ce petit dispositif étrange. Une sorte de cage qui enveloppait sa queue. Ses couilles pendaient librement mas sa queue, elle, était enfermée, elle semblait très confinée et il regardait la salle incrédule avec un large sourire satisfait.


À cet instant j'ai bandé. J'ai eu une grosse érection totalement incontrôlable. Je trouvais le spectacle de cette bite en cage totalement incroyable, terriblement excitant, sexy et … bandant quoi ! Je ne pouvais pas le quitter des yeux, j'étais comme hypnotisé par lui.


Autour de lui ses camarades dansaient, se rapprochaient, et se frottaient contre lui. Il répondait à leurs appel par des caresses. Le spectacle devenait plus porno que simplement érotique. Tous bandaient, sauf bien sûr le pauvre qui avait une cage sur sa queue. Les autres le prenaient dans leurs bras, le caressaient et l'embrassaient.


Ils n'hésitaient pas à lui tripoter les couilles, nous montrant bien son dispositif.


    Il le porte en permanence depuis plus de six mois ! Me disait mon voisin de table.


Je remarquais au passage que lui aussi bandait. La danse érotique continuait pendant encore un petit moment ils terminaient à cinq entièrement nus sur la scène ? Entièrement nus, sauf un bien sûr. Lui était presque entièrement nu.


Ce qu'il portait était tout petit et rigide. C'était un sous vêtement qui m'allumait complètement la cervelle. Je le suivais des yeux tant qu'il restait sur la scène, je le suivait des yeux quand il descendait dans la salle et qu'il passait entre les tables. Il s'arrêtait par moment et laissait les spectateurs lui tripoter son dispositif.


Il s'arrêtait devant moi.


    Tu peux toucher si tu veux ! Me dit-il.

    Un peu bouleversé je tendais la main et lui caressais les couilles. Je lui tripotais ensuite la cage et regardait très attentivement comment le dispositif était fait et comment il fonctionnait.

Ça ne fait pas mal ? Lui demandais-je

Oh non, ça ne fait pas mal et c'est terriblement excitant et même jouissif. Répondait-il.

Ensuite il continuait à déambuler dans la salle, il s'éloignait sans oublier au passage de me caresser le cuisse et de remonter sa main jusque sur mes couilles . Il remarquais que je bandais et me lançait un large sourire.


Ses regards étaient comme des invitations, il faisait le tour de la salle puis revenait vers moi.


    C'est la première fois que je te vois ici ! Me faisait-il remarquer.

    C'est la première fois que je viens ! Lui répondais-je.

    Ah la première fois … s'exclamait-il.


Je lui souriais bêtement. Je n'osais plus lui tripoter les couilles aussi se frottait-il contre ma jambe. Finalement je recommençais à le tripoter.


    Il faut que la première fois fois soit un événement exceptionnel. Reprenait-il.

    C'est la cas répondais-je en continuant à lui caresser les couilles.

    Je me souvient moi, de ma première fois. Je crois même que je n'en suis pas vraiment revenu


là c'est lui qui me tripotait les couilles et la bite à travers mon pantalon. Je le laissais faire. Il glissait sa main par dessus la ceinture et me masturbait avec douceur.


    Tu me suis ? Me proposait-il


Je ne réfléchissait pas et le suivais. Il m'entraînait derrière un rideau.


À peine avions nous disparu des regards de la salle qu'il se mettait à genoux face à moi, m'ouvrait mon pantalon et me prenait la queue dans la bouche.


Je bandais ferme et il savait y faire. Il avalait ma queue, pourtant de belle taille sur toute sa longueur.je la sentais qui s'écrasait sur quelque chose de mou et de doux. C'était humide et chaud.


Quand il reculait sa tête, il me masturbait doucement , il savait prendre son temps. Il faisait une pause puis recommençait. Encore une pause et quelques caresses de la langue. Puis des caresses de la main. Et ce qui devait arriver …


j'ai joui comme un fou. Je me retrouvais noyé dans le plaisir d'une éjaculation que je ne contrôlais plus. Il a tout avalé, n'a pas perdu la moindre goutte.


    Tu veux monter sur scène ? Me demandait-il.

    Beuh,pas particulièrement ! Pourquoi ?

    Parfait , viens avec moi alors !


Il me prenait par la main et me faisait monter quelques marches. Je me retrouvais sur la scène. Heureusement que j'avais pas particulièrement, me disais.


Et maintenant mesdames et messieurs, même s'il n'y a pas de dames … choisi parmi vous … ce charmant jeune homme …


d'un geste vif de la main, il me faisait tomber mon pantalon que je tentais maladroitement de refermer. Il me saisissait le sexe, sans me faire mal. Là je vous jure que je ne bandais plus du tout !


Il m'entraînait au milieu de la scène bien à la vue de tous. Il me tenait toujours par le sexe.


    Tu sais que tu me plais toi ! Me disait-il à l'oreille.


il me tenait fermement par le sexe. Il ne me faisait pas mal et je trouvais la situation terriblement excitante et je ne tentais pas de me dégager. Je le laissais faire.


    Ce jeune homme, rajoutais-il, s'est porté volontaire pour partager avec moi une petite expérience. Il accepte de porter un dispositif de chasteté !


' Mais qu'est-ce qu'il raconte, me disais-je, je n'ai jamais dit un truc pareil'


toutefois je laissais faire. Je me disais que c'était un spectacle, que tout ça c'était du cinéma, qu'il n'y avait rien de sérieux. Je le laissais continuer.


Il présentait ensuite son dispositif en écartant les jambes, il se tenait bien droit face au public au milieu de la scène.


vous avez tous pu voir ma cage à bite. Vous avez constaté comment elle était conçu, comment elle confinait parfaitement mon organe sexuel (vous avez vu je dis ça … organe sexuel!) . Avec il n'y a aucun moyen de bander, aucun moyen de se masturber, et , bien sûr, aucun moyen d'en sortir. C'est sans pitié, on l'applaudit bien fort.


Tout cela faisait parti du spectacle, je je me redressais fièrement. Là je me prenais au jeu. Je retirais ma chemise et me retrouvais nu depuis la tête jusqu'au chevilles. J'avais mon pantalon qui traînait sur mes chevilles.


Un des danseurs s'approchait de moi et me dégageait les pieds. Il ne me restait que les chaussures.


On lui passait alors un autre dispositif de chasteté.


    Le dispositif peut paraître un peu petit mais c'est normal. Ne vous inquiétez pas. Et toi mon bonhomme tu ne t'inquiètes pas ?

    Beuh non ! Répondais-je avec le sourire.

    C'est bien, ça vaut mieux.


Il ne m'avait toujours pas lâché, je sentais sa main, fermement refermée sur ma bite et mes couilles. Il me serrait avec force mais toujours sans me faire mal. Il levait l'autre main en montrant bien le dispositif. Je le regardais faire avec le sourire.


Il s'accroupissait alors devant moi et d'un geste adroit et rapide il passait mes couilles dans l'anneau de maintient du dispositif. Ça passait juste mais ça passait. Je ne m'inquiétais pas, j'étais totalement serein. Ça faisait partie du spectacle. De plus j'étais le centre d'attention et ce n'était pas pour me déplaire.


J'étais plutôt mignon à cette époque. Il venait de me faire jouir et je ne bandais pas. Il glissait alors ma queue toute molle dans la partie cage du dispositif, le fixait sur l'anneau et tendait la main vers son camarade qui attendait juste à côté de lui.


Celui-ci était entièrement nu et bandait. Il lui tendait la clé et le cadenas.


Sans attendre plus mon lascar me verrouillait le dispositif.


    Maintenant mon bonhomme je te laisse profiter de cette expérience pour le reste de la soirée.


En fait j'étais content, je commençais à danser en suivant les danseurs professionnels qui étaient autour de moi. L'expérience était intéressante et excitante.


Rapidement je commençais à bander dans ma cage, je sentais la cage se resserrer autour de ma queue. Ce n'était pas douloureux, c'était une sensation incroyable. C'était une pression douce et ferme, une pression qui ne laissait aucune chance d'en sortir sans la clé. Et la clé, je ne l'avais pas.


On m'applaudissait.


Je suis resté un long moment sur la scène puis on m'a rendu mon pantalon et ma chemise.


Je me suis rhabillé en prenant soin de laisser ma cage dépasser par ma braguette. C'était à la fois amusant et excitant. Je sentais fermement la cage qui confinait mon organe sexuel.


Je terminais la soirée comme si tout cela était normal, on me tripotait les couilles. Le garçon qui m'avait enfermé continuait à faire la fête, à danser. Toujours totalement nu.


Je le regardais et je le trouvais tellement beau. C'est vrai qu'il était beau, c'est vrai qu'il était sexy. Il me plaisait comme il était et j'étais impatient du moment ou je pourrais l'enculer. Car c'était sûr, j'allais l'enculer, un peu plus tard dans la soirée.


La soirée se terminait, un à un les clients disparaissaient. Les danseurs, eux, avaient disparu depuis un moment. J'en voyais un, il s'était rhabillé. Moi j'étais resté les couilles à l'air.


    Recouvre toi avant de sortir. Me lançait un barman.

    Et pour le truc là. Lui répondais-je en montrant mon dispositif de chasteté qui ressortait toujours par ma braguette.

    Alors là il faut voir ça avec Lionel. C'est le gars qui te l'a mis.

    Et il est ou Lionel.

    Bein je croyais qu'il était déjà parti.

    C'est une blague ?

    Non, il est parti depuis un moment ! Me répondait un des danseur qui lui, était encore là.

    Et je le retire comment le truc. Un petit coup de scie à métaux ?

    Ne rêve pas, c'est du titane, c'est pas comme ça que tu va le retirer.


Là je restais sans voix. Je supposais une plaisanterie. Ce n'étais pas le cas. Lionel était bien parti. J'ai appris alors qu'il ne faisait pas parti de l'équipe de la boite de nuit. Lui c'était un indépendant qui louait son corps pour des spectacles.


Personne ne savait ou le trouver.


J'ai bien sûr insisté un moment mais j'avais toujours la même réponse. Personne n'avait la clé. On finissait par me donner un numéro de téléphone qui devait sonner dans le vide pendant des heures.


C'est donc avec ce dispositif que je rentrais chez moi. J'avais cru à une blague, c'en était bien une mais de mauvais goût.


Quelques mois plus tard je portais toujours ce dispositif diabolique.


C'était un premier essais mais pour un premier essais je ne risquais pas de l'oublier.



A suivre




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Rencontre à la piscine Ep02 Sa femme

 

Rencontre à la piscine Ep02

Sa femme



Je gardais son gode dans le cul jusqu'au moment ou il décidait de se relever. Je sentais alors sa queue en plastique qui se retirait et aspirait à elle toutes mes entrailles. J'avais l'impression qu'on me vidait. Là encore c'était intensément agréable.


Suivait un sensation de grand vide. Il me donnait un baiser sur l'épaule et disparaissait dans la salle de bain. C'était terrifiant à voir, il avait une érection énorme et c'est ce truc que j'avais dans le cul quelques secondes plus tôt.


Quand il revenait, son érection artificielle avait disparue, et c'était sa cage de chasteté qui l'avait remplacée. On aurait cru une amputation instantanée. Je le trouvais encore plus sexy comme ça, et j'étais impressionné qu'on puisse autant s'amuser sans utiliser nos bites.


Je restais là immobile à réfléchir à tout ça avant de me décider à passer à la salle de bain pour me laver le cul. Je passais la encore un moment de plaisir, je me faisais un lavement qui me donnait beaucoup de plaisir.


Je revenais dans la chambre, David était allongé sur le dos, il avait l'air tellement détendu qu'on aurai pu penser qu'il avait joui. Mais enfin on ne joui pas avec un gode, sauf bien sûr si on se le prend dans le cul. Et justement je me disais que si j'avais joui, je n'avais pas éjaculé.


On se remettait lentement de notre effort en faisant un câlin.


Il finissait par se relever et me tendait un gode, un peu plus gros que celui qu'il avait utilisé, un peu plus long et légèrement plus large. J'étais horrifié par les dimensions du monstre et ne le cachait pas.

Je me prends pas ça dans le cul ! M'exclamais-je.

– Mais c'est pas pour toi ! Me répondait-il.


Il me sautait alors dessus et me fixait le gode. Je commençais à comprendre, il voulait échanger les rôles. On continuait alors les câlins.


Rapidement ma queue, ma vraie queue protestait comme une folle. Je choisissais de l'ignorer. Je me masturbais alors tranquillement la queue en plastique qu'il venait de me greffer.


C'était impressionnant, je n'avais jamais essayé de me branler de cette manière. J'avais déjà vu des mecs qui arrivaient à éjaculer de cette manière, tout se passe alors dans le tête je suppose. Et finalement certains arrivent à éjaculer et à jouir. Mai là pour moi, ça semblait mal parti, je ne ressentais rien.


C'était une grande frustration. C'était nouveau, plus un manque qu'autre chose. Pourtant le manque je le ressentais toujours, ça fait partie du plaisir.


David prenait position à quatre pattes, il m'offrait son cul.


Je prenais mon temps, je laissais le désir monter lentement. Je lui lubrifiais longuement le cul, c'est que le gode était gros. J'avais presque peur de m'en servir au moment ou je le lubrifiais.


Puis je prenais position. Dans ma situation on n'a pas besoin de réfléchir, pas besoin de se demander si on va bien garder son érection jusqu'à la fin. Un gode, même de grosse taille, ne débande jamais. Je le plaçais juste contre son cul. Il commençait à respirer fort.


Je prenais bien mon temps, mais là c'était pour ne pas être violent. Je poussais, je poussais doucement mais avec force. Très lentement je voyais son anus se dilater et le gode glisser tout doucement dans son cul.


Il respirait fort, il gémissait et poussait râle de plaisir. Je supposais que c'était du plaisir même si ça me semblait difficile à croire.


Je faisais des pauses, il râlait à chaque fois que le gode s'introduisait un peu plus. Chaque centimètres ressemblait à une victoire. J'étais impressionné, je ne me serais pas pris ce truc dans le cul moi … Enfin je ne pense pas.


Il râlait mais gémissait ' Oui, vas y …. aaah '


Et je m'enfonçais. Cette énorme bite en plastique disparaissait lentement entre ses fesses. Ma queue protestait et par moment j'avais l'impression de confondre la pression de son anus et la pression des barreaux de ma cage. Je ne savais plus ce que je ressentais.


J'ai bien cru par moment que j'allais jouir. Avec la queue je veux dire, j'avais déjà joui mais avec le cul, sans éjaculer. Je savais qu'on pouvait éjaculer avec une stimulation exclusivement anale, ça m'était déjà arrivé. Mais avec un gode accroché à la place de ma queue, ce n'était pas sérieux.


Ça résistait, je forçais, il gueulait. Je le sentait trembler là, entre mes mains. Il respirait fort et sanglotait. Comme il ne disait plus rien, j'ai forcé encore un peu et le gode s'est enfoncé jusqu'à la garde. Mon ventre touchait ses fesses, il poussait un dernier cri.


Je me penchais alors sur lui et le prenais dans mes bras. Je le couvrais de baisers, enfin toute la partie de son corps que je pouvais atteindre avec ma bouche. Il tournait la tête vers moi, j'en profitais pour l'embrasser sur la bouche avec passion.


Puis on reprenait. Je me redressais, ma queue en caoutchouc était bien en place, bien au fond de ses entrailles. Lentement je me retirais, il gémissait. Lentement je me retirais totalement. Il se laissait tomber sur les coudes, le visage dans les coussins.


Je reprenais position, et de nouveau je m'enfonçais dans ses entrailles, un peu plus vite, un peu plus décidé. Il relevait la tête, la bouche grande ouverte comme s'il manquait d'air.


Mon gode s'enfonçait plus vite, plus fort. Mon ventre s'écrasait sur ses fesses, il ne criait plus, il hurlait et en redemandait plus. J'accélérais le mouvement. Je rentrais bien à fond puis marquais à peine une très courte pause avant de revenir, toujours bien à fond.


Chaque aller-retour était plus rapide que le précédent. Il encaissait, et plus j'y allais fort plus il encaissait, plus ça semblait facile pour lui. J'en revenais pas, c'était terrible.


C'est du sport, vous savez. Je me retirais et décidait de respirer un peu. David s'écroulait sur le ventre. Un peu plus tard il se retournait. J'étais assis juste à côté de lui. Son corps était beau, très beau, il avait des muscles juste là ou il fallait, sa silhouette était mince et agréable et sa cage à bite de bande marque le rendait encore plus sexy à mes yeux.


Je me relevais. Il écartait les jambes, je me plaçais entre ses genoux. Il me faisait un sourire entendu. Je bandais encore, oui je sais c'est une précision inutile.


Je lui soulevais les pieds, les pausais sur mes épaule, il se repliait et soulevait son cul, c'est alors que je me redressais et lui enfonçait le gode jusqu'à la garde. Il hurlait mais ne tentait pas de dégager, il ne me repoussait pas.


Je le limais, je le limais rapidement de toutes mes forces. Mon cœur battait fort. Je me lâchais sur lui. J'étais étonné de voir avec quelle facilité il encaissait tous mes coups.


Par moment je le sentais se contracter, j'avais l'impression qu'il convulsait. Je sentais le plaisir monter jusqu'au bout de ma queue. Je n'y faisait pas attention, je savait qu'il n'y avait aucun risque d'éjaculation. Le plaisir, je le savais, ne pourrait venir que de mon cul. De la bite, je ne risquais rien.


Je portais la cage à bite depuis assez longtemps pour savoir qu'il en fallait plus pour me faire jouir.


Je limais et à un moment, je ne sais pas trop ce qui s'est passé, le plaisir est monté puis à passé ce dernier cran, vous connaissez, cette étape au delà de laquelle on ne contrôle plus rien. Le plaisir monte alors et on éjacule.


Je n'ai pas compris tout de suite mais, je limais puis j'éjaculais, je continuais à limer et à juter.


David gémissait lui aussi, je le regardais, sa queue bien confinée était magnifique et … lui aussi il jutais.


Je ne bougeais plus, il convulsait, le gode continuait à entrer et à sortir de son cul, mais là c'est lui qui faisait le travail et lui aussi il jutais. Je le prenais dans mes bras et le serrais très fort. On jouissait ensemble, en même temps, on roulait l'un sur l'autre.


On tombait du lit et on atterrissait sur le tapis, c'était un tapis très épais on ne s'est pas fait mal, le gode était ressorti, c'est tout !


On est resté là sans bouger, étonné de ce qui venait de nous arriver. Je passais ma main sur sa cage, il n'y avait aucun doute, il avait éjaculé. Il en faisait de même.

Tu arrives à jouir avec un gode ceinture ?

Je ne savais pas que c'était possible ! Et toi, un gode dans le cul et …–Ça par contre oui, si on me stimule trop le cul, je joui, j'éjacule.

C'est sans doute plus naturel ! Répondais-je.


On passait sous la douche. Chacun câlinait et caressait le corps de l'autre. Chacun caressait et savonnait généreusement les couilles de l'autre, sans oublier de bien lui nettoyer le cul aussi. Il me glissait deux doigts dans le cul, les agitait et me donnait de nouveau un immense plaisir. Je réagissais vite et lui rendais la politesse.


On était bien dilaté du cul, tous les deux. Les doigts entraient rapidement et facilement, on se tambourinaient sur la prostate et rapidement, de nouveau, le plaisir montait.


On s'est pris dans les bras sans arrêter pour autant de masser la prostate de l'autre, on s'est serré l'un contre l'autre, on s'est embrassé avec passion et on a fini par jouir et par éjaculer l'autre.


Même sous la douche on avait l'impression d'être en sueur !


Je vous jure c'était chaud !


Puis on est passé sous la douche. Remarquez on y était déjà sous la douche, on n'est donc pas allé loin. On s'est frictionné avec douceur pour changer et pour retrouver notre souffle. Tout en douceur avec l'un comme l'autre un large sourire satisfait, on s'est séché.


On est revenu dans la chambre, nous avions retrouvé notre calme, nos deux cœurs battaient à une vitesse normale, notre respiration aussi. On retrouvait enfin un peu de calme, on en profitait pour faire connaissance.


Je lui expliquait que je portais le dispositif en permanence.


Moi aussi ! Répondait-il.


Que personne n'avait ma clé.


Moi non plus ! Rajoutait-il.


Que je vivais seul.


Moi pareil !


Que je portais le truc pour découvrir de nouvelles sensation.


Moi de même !


Là je commençais à me dire que décidément il n'était pas contrariant.


C'est à ce moment qu'une voix féminine m'a fait sursauté …


Alors les garçons, on s'amuse sagement ?


Lui, il n'a pas bronché, il a juste dit …


Et merde, c'est ma femme !


J'ai compris qu'il m'avait raconté des salades …



Fin de l'épisode




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INDEX

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