INDEX

                               Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.  

                                     

PAGE D'ACCUEIL








NOUVEAUTÉS

Sept derniers textes publiés


Lionel Ep02 Un verre à la maison
Lionel Ep03 Ce soir c'est chez moi
Lionel Ep04 Mais ça fait mal
Presque frères Ep20
Presque frères Ep21
Presque frères Ep22


Presque frères Ep23



TEXTE A VENIR

Presque frères Ep24

   

    L'histoire à commencé il y a déjà un moment et une suite arrive enfin ( ouf ) mais c'est toujours pas fini ... 

Prévu pour le 02 05 2024



BRICOLAGE
  

Do it "yourcherlfe" , comme ils disent les américains ...












IL ETAIT UNE
FOIS
Pour une fois c'est pas une fiction, c'est du vécu raconté
avec passion, émotion, rythme ... 
Et en plus il y a des images ... 



Les pages sont reliées ( à la main )
par groupe de 5


Toute la famille Brosso
Djé  -  Antoine  -  Philippe  -  David

-------------------------------






Bonne lecture et surtout n'hésitez pas à me retrouver sur

TWEETER

@CharlyChast







-------------------

Presque frères 23

 

Presque frères 23



Bon il a fallu reprendre toutes les explications à zéro, sauf que le contrat était signé et parti pour le service Key-Holder de la PK. Au mieux on pouvait faire annuler le contrat mais il fallait au moins une semaine. Ça on a préféré ne pas lui dire


Et Willy s'est mis à brailler …


Mais pourquoi vous m'avez laissé faire ?

Il me fatigue me disait Tommy. Je renonce ! Je te laisse te débrouiller avec lui.

Et ça va être de ma faute maintenant.


Comme je vous le disais plus tôt, Willy ne se prend pas la tête. Et moins d'une demie heure plus tard on le voyait s'enfiler deux hamburger frite et les caca-cola qui vont avec. Ça ne lui avait pas coupé l’appétit !


Remarquez les cousin, je vais en profite pour faire une expérience dans ma vie … Comme ce sera la seule fois que je porterait ce genre de truc … Mais ça fait pas mal au moins, parce que là … Tout le monde m'en parle … En plus je pourrai en parler … etc ... Et puis c'est quoi ça six jours dans une vie …

Willy !

Oui mon cousin Paco …

On n'a pas dit six jours mais SIX SEMAINES !

Ah oui, merde ! …


Il semblait réfléchir un moment, le regard dans le vide puis reprenait.


Je prendrais bien une glace maintenant ! Comme celle qu'il y a dans la vitrine là bas. En fait il ne regardait pas dans le vide ...


Je vous jure, depuis ce jour ou je l'ai revu, mon cousin est resté un mystère pour moi …


On a discuté longuement toute la soirée. Si, si je dis bien ' on ' par moment Tommy et moi arrivions à glisser une phrase, bein oui, c'était surtout le cousin qui parlait …


Puis à un moment je me réveillait, le son de sa voix me berçait et je ne l'entendais plus. J'ai senti Tommy bouger à côté de moi, lui aussi était réveillé par le silence. Willy s'était endormi.


Je vous jure il est mignon quand il dort et en plus ça repose. On s'est glissé dans le lit, le grand, et rapidement on s'endormait également.


Au réveil il y avait un bug dans le lit. Le bug c'était Willy, il s'était glissé entre nous. C'est vrai qu'il est vraiment mignon quand il dort. Tommy et moi glissions du lit le plus doucement possible, Willy est vraiment trop mignon quand il dort, on ne voulait pas le réveiller puis on glissait silencieusement dans la salle de bain. On allait passer sous la douche quand il arrivait comme une furie.


Salut les cousin ... vous avez bien dormi, moi dormi comme un loir … Il fait vraiment beau on se croirait en été mais c'est peut être parce qu'on est en été. Tu avais raison cousin, ton truc ça fait pas mal et c'est même confortable, c'est bizarre mais … et puis à la plage tu es sûr qu'on vas se faire remarquer … Ne me dites pas qu'on va pas se faire remarquer avec ce truc sur la bite …


On ressortait de la salle de bain, il continuait à parler.


On passait sur la terrasse et on préparait le petit déjeuner, jusque là, nous on n'avait pas prononcé un mot et …


Vous étiez passé ou, je vous voyais plus ? Alors c'est ou la plage ou on va aller ? C'est pas trop loin au moins ? Enfin c'est pas grave, on est jeune et c'est pas un petit moment de vélo qui … C'est comment, il y a des dunes, des rocher et puis … Il y a des gonzesses ?

Et tu ferais quoi avec une gonzesse ?

Oui c'est vrai que là, je ne pourrais pas faire grand chose mais de toutes façons, ça ne changerais pas grand chose. Je suis pas déluré moi comme vous moi, je suis puceau.


On le regardait, il nous regardait sans rien dire .


Mais vous le répétez pas hein ?


Là Tommy et moi on ne savait plus quoi dire …


Tu veux dire que … Avant hier, cousin Willy, tu n'avais jamais …

Tout à fait cousin Paco, jamais touché un mec et encore maintenant jamais touché une fille. Enfin j'ai bien un peu flirté, normal … et puis c'est de mon âge … Mais vous êtes bien plus vieux … Et moi je suis encore pur.


Je n'avais pas attendu qu'il ait fini de parler pour servir le café, il aurait été froid.


Un peu moins pur depuis hier tout de même. Rajoutais-je.

Oui mais je …

Et puis attend un peu de t'être pris la queue de Tommy dans le cul avant de dire que tu n'est plus puceau …


Je lui avait cloué le bec. Là Willy ne répondait plus rien et on pris notre petit déjeuner en silence. Mais le silence n'a pas duré bien longtemps. Puis le temps de tout ranger et on était parti.


Il faisait beau, pas encore trop chaud on avançait vite, quelques kilomètre en vélo ne nous faisait pas peur. On l'emmenait dans un coin très ouvert, pas de rocher, une plage plate, sans la moindre dune et surtout une plage naturiste. Il y avait des hommes qui portaient un dispositif PK mais pas beaucoup, par contre les femmes, les gonzesses comme il dit, étaient toutes à poil.


On avait tout ce qu'il fallait, un parasol, tapis de plage, quelques jeux de baballes, des revues, ces trucs qu'on lance et qui planent … mais surtout aucun d'entre nous n'avais de sous vêtements. Remarquez sur la plage on n'avait pas non plus de vêtements.


Willy semblait totalement à son aise. Là je pouvais le voir bouger, courir, sauter, il était vraiment beau et il semblait s'habituer à sa cage de chasteté. C'est vrai qu'il ne la portait que depuis la veille.


C'est délire ton truc, je peux me laisser aller sans risquer de le faire remarquer. Là par exemple on peut pas voir que je bande …

Bein non.

Et Tommy, il fait comment Tommy pour rester calme.

Il se contrôle !

Là ça m'épate. Il m'épate lui. Bon toi c'est comme moi, tu ne peux pas te contrôler, un peu comme moi, c'est courageux de renoncer à ta virilité juste pour être présentable … Je t'admire tu sais … Moi si j'ai accepté c'était juste pour vous faire plaisir et par curiosité un peu aussi. J'en ai pas besoin.


Il me faisait tout un discours puis allait faire du charme à un petit groupe de filles qui nous regardaient. On les avait remarquées, avec Tommy on surveillait l'affaire de loin. Elles s'amusaient, elles riaient et ne semblaient pas farouche, c'est vrai qu'elles avait tout de suite vu qu'il était inoffensif avec sa cage à bite.


Quelques instants plus tard on jouait à tous les six avec cette soucoupe qu'on lance et qui plane. Les filles s'amusaient de nous, s'amusaient avec nous, elles lançaient des regards ver mon ami Tommy.


Il était aussi beau que nous autres mais lui il avait une belle longue queue qui se balançait à chacun de ses mouvement. Elle pendait lourdement et c'est ça qui me provoquait une érection, c'est mon pote Tommy qui me faisait réagir. J'avais envie de lui.


Mon cousin lui était plus attiré par les poitrines fermes de nos trois nouvelles amies. Et sa cage à bite débordait, bon, c'est vrai je me moque là, la mienne aussi débordait.


Les filles nous ont rejoint, on a parlé, mais pas de cage. On s'est laissé aller mais sans câlin. On s'est détendu mais on est resté sérieux. Willy n'en pouvait plus. Il m'a dit un moment …


Je crois que je vais craquer !


Mais l'avantage avec ce dispositif c'est que justement on ne laisse rien voire, on a aucune difficulté à dissimuler la moindre réaction physique. Willy le savait et par moment j'avais même l'impression qu'il s'exhibait. Il montrait son corps dans l'effort, il bandait ses muscles. Je devinais qu'il devait bien avoir envie de bander autre chose mais là, il y avait obstruction.


On est remonté de la plage en même temps en se promettant de se retrouver le lendemain. Nous avons alors traîné un long moment. On s'est promené en ville et avons terminé par un restau.


Le soir à la maison, Willy était énervé. Dès qu'il est entré il a retiré ses vêtements. Il était magnifique. Ça ne lui pas pris beaucoup de temps pour retrouvé à poil, il ne portait qu'un pantalon en toile légère et une chemise, légère aussi.


On faisait comme lui. Il se tripotait les couilles, il était tendu.


Vous faites quoi dans ce cas ? Nous demandait-il.

Suce lui la queue ! Lui conseillais-je en indiquant Tommy avec la tête.

Tu es sûr cousin Paco.


Je faisais oui avec la tête, Tommy était plié de rire.


Et ça va faire quoi ? Continuait Willy.

Suce le ! Répétais-je.


Il hésitait comme s'il supposait un piège puis prenait position entre les jambes de Tommy qui s'installait bien confortablement.


Tu te branles tous les jours ? Demandais-je à Willy.

Pourquoi, pas toi ? Me répondait-il. Oui bon forcément pas toi, t'as pas le choix …


Puis il s'exécutait, il prenait délicatement la queue de Tommy dans la bouche. Ma queue protestait et hurlait silencieusement dans sa cage. Willy avait l'air un peu embarrassé, il n'avait pas l'habitude, sans doute encore une première fois.


Mais rapidement il se concentrait sur sa technique et Tommy me faisait signe qu'il faisait ça très bien. Il posait sa main sur la tête du cousin et le guidait, appuyait doucement puis un peu plus fort.


Il lui laissait juste la liberté de relever la tête pour respirer, Willy n'avait pas vraiment l'air convaincu mais il mettait du cœur à son ouvrage. Je me tripotais les couilles, c'est tout ce que je pouvais faire pour me faire plaisir.


Je faisais quelques commentaires pour l'encourager. Il était finalement docile mon jeune cousin, il faisait tout ce qu'on lui disait. Mais je savais bien qu'il finirait par comprendre que je m'étais un peu moqué de lui. En fait ça ne lui apporterait aucun plaisir, aucun orgasme en tout cas.


Mais il insistait, il ne lâchait. Tommy l'encourageait à sons tour. Je lui avais fait connaître le même plaisir, et pas plus tard que la veille. Je me disais que ce serait une marche en plus, après ça il serait encore un peu moins puceau qu'à son arrivée, il serait content finalement.


Il apprenait vite mon jeune cousin, rapidement il avalait la queue de Tommy sur toute sa longueur, mais il ne la gardait pas bien longtemps dans la gorge, il ne tenait pas la position.


C'est vrai que Tommy avait une grosse bite, et je sais qu'il fallait de l'entraînement pour y parvenir.


Mais à part ce détail, Willy était parfait. Tommy me le confirmait. Je voyais qu'il allait jouir.


Quand il éjacule, tu avales ! Ordonnais-je.


Quelques instants plus tard Tommy éjaculait, pour Willy c'était la surprise, c'est toujours une surprise la première fois. Mais il était docile et avait beaucoup de bonne volonté, il avalait.


Puis il me regardait de travers !



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

Presque frères 22

 

Presque frères 22



L'heure tournait. Il faisait encore très chaud, mais tout le monde semblait enfin prêt pour partir à la plage. On était là tous les trois détendus sur la terrasse du jardin.


Bon on y va ? Demandait Tommy.

On y va répondait Willy.


Il était là à poil parfaitement détendu, sa queue se répandait sur son transat. Il se levait d'un mouvement rapide, c'était très beau à voir . Il courait dans la chambre, sa queue se balançait vigoureusement, ses couilles aussi remarquez, mais c'est surtout la queue qu'on voyait. Il avait encore une grosse molle.


Il revenait quelques instant plus tard, il avait enfilé un pantalon en toile très légère et une chemise ouverte. Tommy et moi suivions le mouvement et c'est tous les trois que nous enfourchions nos vélos et partions joyeusement v ers la plage. L'après midi était déjà avancé.


En passant près de l'épicerie je pensais à acheter quelques boissons fraîches. On s'y arrêtait. Je me rendais directement à la vitrine réfrigérée. Tommy essayait des lunette et Willy achetait une casquette.


On payait et c'est à ce moment que Willy venait me voir.


Eh, cousin, on ne peut pas aller à la plage !

Et pourquoi ?

J'ai un problème, je ne contrôle plus rien …


Je jetais un œil vers lui et, en effet, il bandait.


Mais tu n'arrêtes jamais toi !

Pô ma faute, c'est la puberté ! Me répondait-il avec un regard tout triste.


C'est vrai qu'il est craquant quand il fait cette tête. Mais la situation s’aggravait, il payait et se sauvait vers son vélo, il repartait vers la maison. Je me retournais vers Tommy qui me répondait, avant même que je ne puisse parler.


Oui j'ai vu !

Il faut faire quelque chose.

J'ai une petite idée de ce qu'il faut faire …


Finalement on renonçait à la plage, je rangeait les courses dans mon sac à dos et on revenait à la maison.


Tranquille, sur la terrasse du jardin il y avait Willy. Il faut bien se dire que si lui nous prenait la tête, lui il ne se prenait jamais la tête. Il était tranquillement installé sur un transat, a poil avec une très belle érection. Il se caressait la queue comme ça. Juste pour le plaisir de bander, il ne tentait pas à aller plus loin.


Vous avez compris ce qui m'arrive les cousins. C'est pas ma faute, j'ai rien fait, c'est venu comme ça … Bon c'est vrai que j'avais un peu oublié de mettre un sous vêtement … Finalement on a eu de la chance, si ça m'avait pris sur la plage … Vous imaginez ? …

Il faut faire quelque chose ! Lui disait Tommy sur un ton ferme.

Oui mais quoi ? Demandait Willy avec ce visage tout triste …

Il était tellement beau, c'est vrai qu'il me ressemble, il avait cette énorme queue qui se redressait entre ses cuisses. J'avais une violente envie de me la prendre dans le cul. Un peu peur aussi mais tellement envie.


Tommy disparaissait quelques instants dans la maison.


Je l'ai retrouvée, il me semblait bien que je l'avais laissé ici. Disait-il en revenant.


Puis il posait un dispositif de chasteté en résine sur le ventre de Willy qui regardait ça.


Et on fait comment pour la mettre, tu as vu ma queue est bien trop grosse, ou alors c'est la cage qui est trop petite.

C'est la mienne, celle de mon essais … Et nous avons la même taille !


Il faut bien savoir que les modèle en titane, comme celui que je porte sont des objets précieux et coûteux. Donc pour tester la taille, et voir si le futur étudiant peut supporter la chose on lui donne d'abord une cage en résine. Elles sont très bien, on les trouve dans le commerce. Certains porteur ne passent jamais à la cage métal. Vous savez il y a des millions de personnes qui porte une cage de chasteté …


C'était donc la cage que Tommy avait portée pendant plusieurs semaines. J'en avais une aussi mais elle était à la maison.


Et si tu commençais par lui sucer la queue ? Me demandait-il.


Surpris au départ, je m'exécutais. C'est vrai qu'il avait une très belle bite, il fallait la purger pour qu'il puisse enfiler la cage … C'était le principe, mais j'avais pas tout compris.


Il bandait mais j'ai senti sa queue se contracter, comme se relever. Il avait un gros gland bien large et épais, et surtout lisse, comme je les aime. J'ai dit une connerie, en érection ils sont toujours lisses.


Avec la langue je tentais le passage dans le petit trou au bout, il râlait de plaisir et gigotait. Le petit trou était bien trop mince pour que je puisse y glisser ma langue mais il aimait, je le ressentais bien, il aimait.


Je faisais aussi tourner ma langue tout autour de son gland lui arrachant de longs gémissements de plaisir. Il me caressait les cheveux, osait appuyer sur ma tête, sa queue entrait jusqu'au fond de ma gorge. Il criait de plaisir.


On l'avait déjà vu jouir deux fois depuis son arrivée, en général c'est suffisant pour calmer les ardeurs. Mais avec lui ça ne marchait pas, la cage était la seule solution mais pour combien de temps, pour la journée ?


Quand je retirais la tête, je le masturbais et lui tripotais les couilles, j'en gobais une, puis la deuxième. Il ne donnait pas vraiment l'impression d'aimer et je n'insistais pas.


On se caressait, ma peau contre sa peau était chaude, brûlante mais ne laissait pas de cloques, juste quelques gouttes de sueur, juste une peau moite, juste une envie d'un peu plus.


Ses baisers aussi étaient chauds, à côté de nous Tommy bandait aussi maintenant. Il se masturbait, doucement juste pour garder son érection, mais je pense qu'il n'en avait pas vraiment besoin, il ne tentait pas de jouir.


Maintenant Willy, tu vas enculer ton cousin. Suggérait Tommy.

Je peux ? Me demandait Willy …


je faisais oui avec les yeux, il me retournait sur le ventre, les jambes bien écartées. Tommy lui donnait du gel, Willy m'en enduisait le cul. Il ne maîtrisait pas vraiment le dosage mais il vaut mieux trop que trop peux.


Ensuite avec sa maladresse, il s'allongeait sur mon dos et glissait sa bite dans mon cul. Il poussait, elle était bien large. Il forçait, elle entrait. Je me sentais envahi de plaisir.


Ça faisait un moment que je ne m'étais pas fait enculé, pas loin de trois heures pour être précis et j'étais encore très stimulé. Pour moi, c'était du plaisir, du plaisir et encore du plaisir. Je soupirais fort, je respirais fort, je gémissais fort.


Willy poussait bien à fond, un peu comme une brute. Son ventre à claqué contre mes fesses, j'ai crié.


Puis Willy s'est retiré, est revenu toujours avec une certaine violence, il s'énervait, il recommençait plus vite et plus fort. Un instant j'ai paniqué, j'ai même failli me dégager. Mais Willy s'énervait et me retenait fermement.


Il faisait de petites pauses, quelques instants puis reprenait avec violence. Il bougeait vite, c'est vrai que d'habitude il bouge tout le temps, là c'était pareil, il bougeait, il bougeait vite. Mais dans mon cul ça déménageait.


Tommy regardait ça, il n'y restait pas indifférent, il se masturbait doucement, il se caressait lentement. Sans doute pensait-il déjà au moment ou il prendrait la suite, ou il me défoncerait le cul à son tour.


Willy se retirait, puis ne bougeait plus pendant quelques secondes, il me donnait alors un baiser dans le dos puis sans prévenir revenait avec violence bien à fond. Il faisait une autre pause puis recommençait.


C'était violent, je commençais à gémir et pas que de plaisir, c'était déjà un peu plus que simplement du plaisir.


Puis suivant les indications de Tommy il me limait le cul longuement, lentement, la seule violence qui restait était la taille de sa queue. Le milieu de sa queue était un peu plus épais et ce massage me dilatait un peu plus quand il passait et me massait. Le plaisir revenait, c'était une violence douce et le plaisir montait dans mon cul, montait dans mon ventre montait dans tout mon corps.


Je me suis à trembler de tous mes membres.


Je ne pouvais pas voir le visage de Willy, j'avais l'impression que son expression de petit ange s'était transformé en celle d'un démon. Un démon du sexe, il était jeune mais il devait avoir déjà beaucoup d'expérience, il s'amusait et ce n'était pas la première fois.


Je me disais que j'avais de la chance de ne pas me faire dépucelé par lui. Celui ou ceux à qui c'est arrivé ont certainement eu des problèmes pour marcher ou s'asseoir pendant plusieurs jours.


Moi j'avais de la chance, j'étais déjà suffisamment entraîné et je savais que je m'en remettrais rapidement.


Il s'énervait de nouveau, ses mouvements devenaient encore plus rapide, mais n'avaient plus rien de régulier. Il éjaculait, je l'entendais gémir puis hurler dans mon oreille.


J'ai hurlé moi aussi. C'est qu'il a de la voix le petit.


Il est resté là, allongé sur mon dos pendant un long moment, sa queue restait là au fond de mon cul, mais je la sentais elle reprenait une taille plus raisonnable, elle redevenait toute molle et je la sentais ressortir. C'était un instant de plaisir supplémentaire.


Tout mon corps était plongé dans le plaisir, et je n'avais plus envie de bouger.


Tu as joui ? Mais c'est vrai ça, tu me dis que je t'ai fait jouir mon cousin. Wouah c'est cool ça. Moi je ne pensait pas que je pourrais faire jouir un mec avec une bite comme la mienne, elle est tellement grosse. Vous savez les cousin, à l'école pendant le sport, sous la douche, je suis un des mieux monté et …


Et c'était reparti, il se laissait retomber sur le dos, moi je ne bougeais plus.


Bon maintenant tu vas prendre une douche, tu es en sueur ! Ordonnait Tommy.

OK mon cousin chef ! Répondait Willy en se dirigeant vers la salle de bains.


Il en revenait un peu plus tard, tout propre et la queue reposée. Il avait tout de même éjaculé trois fois depuis son arrivée le matin, la fin de l'après midi n'en finissait pas d'arriver.


Bon maintenant tu mets ce truc. Tu pourras te promener sur la plage sans risquer de te faire remarquer. Mais il faut faire les choses sérieusement. On va passer un contrat avec la PK.

Oui ! Répondait Willy.

Tu le garderas jusqu'à la fin de l'été, soit six semaines.

Oui !

On ne gardera pas la clé .

Oui !

Elle te sera restituée le jour prévu, à l'heure prévue.

Oui !

Et comme ça au moins tu sera sage !

Bein oui !


Willy avait un peu l'air idiot. Pour une fois il ne disait pas grand chose. Sous nos regards de Tommy et de moi, il s'exécutait il glissait une couilles puis l'autre, enfin il glissait sa queue dans l'anneau. On a eu un peu peur qu'il ne bande à ce moment et ça aurait tout arrêté.


Mais non ! Tout s'est bien passé, Willy glissait sa queue dans la cage, ça passait, juste mais ça passait puis il enclenchait la cage sur l'anneau et enfin la serrure que Tommy lui tendait.


Il restait là pendant un moment à regarder le résultat, il ne disait rien. Oui je sais ça change.


Tommy remplissait les cases du contrat, le faisait signer par Willy puis glissait le contrat et la clé dans une enveloppe.


Bon on a encore le temps pour porter l'enveloppe à la poste, il y a un service spécial PK !

Ça marche ! Répondait Willy.


Je faisais un rapide passage dans la salle de bain. Je vous jure il m'avait déboîté le cul mais je me sentais bien, je le sentais encore en moi et je sentais encore ce plaisir. Je m'habillait rapidement.


On se retrouvait à la poste, Willy ne parlait toujours pas …


L'enveloppe était glissée dans la boite spécial PK. Et là Willy se retournait vers nous.


Et maintenant je vais la garder jusqu'à quand ?


Tommy s'approchait de Willy lui passait un bras sur ses épaules !


Dis moi Willy …

Oui mon cousin.

A quel moment as tu arrêter d'écouter ce que je t'expliquais ?

Quand tu as dit '' Bon maintenant tu mets ce truc. ''


Là j'ai pouffé de rire.



A suivre




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

Presque frères 21

 

Presque frères 21



Mon cousin avait un visage tout triste et je vous jure que s'il avait été moins bien foutu, moins bien monté et moins en forme, il m'aurait fait pitié … Là il me faisait envie.


Il était bien formé, enfin il faut dire aussi qu'il était presque adulte, jeune un peu plus jeune que nous mais adulte. Il avait passé l'âge qui autorisait à porter une cage de chasteté. Comme tout le monde le sait, en dessous de seize ans, c'est strictement interdit, et la loi prévoit même des sanctions.


Bien tu proposes quoi pour sortir de cette situation ? Demandait Tommy.

Bein … je sais pas … rajoutait Willy.


Il commençait timidement à se caresser la bite. Il ne disait plus rien, c'est sans doute ça qui m'a inquiété et je glissait la tête pour voir ce qu'il se passait. Je découvrais sur un lit Tommy et Willy en train de se masturber. J'étais un peu surpris mais très content du spectacle.


Attention cousin, il y a mon cousin qui arrive. S'exclamait Willy.

Pourquoi attention ? Demandait Tommy en pouffant de rire.

Bein c'est que lui il ne peut pas, aussi c'est peut être pas la peine de le provoquer, il se mettre à bander lui aussi et avec le truc qu'il porte … etc …


On avait réussi à le garder silencieux pendant quelques minutes mais, c'était trop beau.


Paco tu peux venir par ici ? Me demandait Tommy.


Je m'approchait, mon cousin me dévorait des yeux, il devait chercher les signes qui lui indiqueraient que je bandais. Mais rien ne transparaissait. Je m'approchais de Tommy.


Suce moi ! Me demandait-il.


Je jetais un œil en direction de mon cousin puis je me penchais sur Tommy, je prenais sa queue dans la bouche. C'est que je le connais bien mon Tommy, je sais ce qu'il aime et croyez moi, je le lui donnais.


Ma langue lui caressait le dessus de son gland, c'est ce que préférais caresser avec ma langue. Une zone large et lisse, une zone très sensible et je le sentais déjà frémir. La dernière fois qu'il avait pris du plaisir ce devait être la veille au soir, il m'avait sans doute enculé.


Puis ma langue glissait sous sa queue au niveau de son frein, elle tentait par moment une entrée dans son petit trou, celui qu'il a au bout de sa queue. C'est là qu'il a poussé me premier cri, le premier gémissement.


Par moment je regardais mon cousin, il faisait une tête incroyable, il semblait ne pas y croire, mais il continuait à se masturber. Avec vigueur, ou plus lentement. La queue de Tommy disparaissait totalement dans ma bouche, là Willy s'arrêtait, mes lèvres arrivaient à la base de cette superbe queue.


Quand je relevais la tête je voyais mon cousin qui me regardait, il n'avait pas vraiment l'air malin, il avait la bouche ouverte, disons le clairement, il avait l'air idiot. Il ne bougeait plus mais quand il m'a vu le regarder, il s'est de nouveau énervé et s'est mis à se masturber avec vigueur.


Il respirait fort et vite, je le regardait faire pendant un moment et je replongeais. De nouveau je replongeais et de nouveau j'avalais la queue de mon pote, et il aimait ça. Il s'était accordé le droit de se faire plaisir alors qu'il m'avait un peu bloqué dans ma cage, enfin c'était aussi de ma faute.


Il me caressait les cheveux et appuyait sur ma tête avec douceur mais avec fermeté. Il me guidait, il en profitait. A sa place j'aurais fait pareil. Et Willy continuait à se masturber de plus en plus vite. Il gémissait. Je veux dire Willy gémissait aussi, pour Tommy ce n'était plus que gémissements et plaisir, oui un plaisir qu'il ne dissimulait pas.


Par moment il soulevait son bassin et me donnait de violents coups de bite dans la bouche, j'encaissais, j'aimais de plus en plus. Plus je m'entraînais plus j'aimais, plus j'aimais plus je m'entraînais. C'était une belle bite que me présentait mon pote Tommy.


Je la connaissais bien cette queue magnifique, elle me faisait penser à la mienne, à l'époque ou j'en avais encore une. Je l'avais toujours, je vous rassure, personne ne l'avait coupé, ( ça c'est strictement interdit ), mais c'était plus pareil, elle n'était plus accessible.


J'entendais mon cousin pousser un gémissement de plaisir il éjaculait, et comme sa queue ne voulait pas se décoller de son ventre il s'arrosait généreusement. Quelques secondes plus tard c'est Tommy qui éjaculait, mais lui il jutait dans ma bouche. Il me retenait mais n'avais pas besoin de forcer pour cela, je me faisais un plaisir de ne rien perdre.


Lui aussi respirait fort à ce moment et je sentais son cœur qui battait fort, vraiment fort.


Un peu plus tard, je me relevais, Willy avait des éjaculations généreuses, il était couvert de son sperme sur son ventre et en avait aussi reçu sur la figure et sur ses cheveux. Moi je n'avais rien laissé se perdre. Tommy était tout propre et j'avalais avec gourmandise …


Willy repassait dans la salle de bain.


Il en ressortait et venait nous rejoindre dans le coin cuisine. Il restait à poil, il avait toujours une belle grosse molle qui pendait et se balançait lourdement. Tommy et moi terminions de préparer la salade, on mangeait souvent froid, dehors il faisait chaud.


Alors là …


Nous regardions avec insistance mon cousins mais c'est tout ce qu'il arrivait à dire. On se regardait et je déclarait à l'intention de Tommy.


C'est donc ça la solution pour le faire taire ?


Tommy éclatait de rire.


Oué heu mes cousins, c'est pas sympa, vous vous moquez. Moi qui pensais que … et puis, entre vous … ça fait longtemps que ça dure … Oh elle est bonne cette salade … C'est bien les salades pour le midi … Et quand tu ne portes pas la cage cousin Paco … Vous inversez les rôles …


Bon on l'avait fait taire mais ça n'avait pas duré bien longtemps.


Et puis après on va à la plage ? … Vous allez ou d'habitude ? Il y a des gonzesses ?


On terminait la salade, une glace, et on se détendait dans le jardin, il est très privatif et on peut se faire bronzer à poil. On en profitait pour ne pas nous rhabiller.


Un bon moment plus tard, je proposais qu'on se prépare. Pour moi c'était rapide, j'enfilais un pantalon très léger et ample, un T-shirt mini et …


Eh, cousin Paco, j'ai un problème …


je vous laisse deviner qui avait un problème … Tommy arrivait il s'était habillé lui aussi mais voilà … Willy bandait à mort, encore, il avait de nouveau cet air tout triste et cette allure terriblement sexy, virile et sexy.


Laisse moi deviner Willy, tu n'arrives pas à te contrôler ? Demandais-je.

T'as tout compris cousin !

Essaye de penser à autre chose. Suggérait Tommy.


Willy le regardait d'un air patibulaire, c'est dingue comme il n'a pas l'air futé par moment mon cousin. La j'ai eu un coup de sang.


Je saisissais mon cousin par le bras et le repoussais sur le lit. Il était toujours à poil, pardi il ne pouvait pas s'habiller, ça n'aurait servi à rien il bandait. C'est vrai qu'il était jeune, presque quatre ans de moins que moi, et j'avais bien l'impression que quand il bandait, ça pouvait durer. Et en plus ça risquait de recommencer.


Il me semblait bien que j'étais comme lui quand j'avais son âge. Maintenant tout était différent, il y avait la cage. C'était pour moi une sorte de mutation, je me transformais, ma sexualité se transformait.


Et lui il était là avec une bite magnifique, en érection, avec un visage de petit garçon tout triste. J'ai craqué, je me suis jeté sur lui. Il m'a laissé faire, j'ai pris sa queue dans ma bouche.


Là j'avais encore réussi à le faire taire. Je caressais sa queue, je la découvrais. Il était circoncis, tout comme Tommy ou moi. Elle était grosse, de très belle taille, tout comme Tommy. Et elle bandait ferme.


Il me tenait la tête et me guidait, il appuyait lui aussi mais peut être avec un peu moins de douceur que mon pote Tommy. Il m'arrachait mon T-shirt, je me retrouvais torse nue, je caressait son torse ferme et doux.


On devinait la jeunesse de sa peau, elle était totalement dépourvue de poil, moi et Tommy n'en avions pas beaucoup mais lui, c'était encore mieux. Ou alors cette impression venait de moi, c'était un nouveau corps, une merveille. Il était magnifique et j'avais oublié qu'on était parent, cousins germains. Presque frère.


Tommy arrivait derrière moi et tirait avec force sur mon pantalon. En quelques seconde je me retrouvais entièrement nu. Je m'accrochais à mon cousin, glissait sur lui et le couvrais de baisers. Sa peau était tellement douce contre la mienne. Il me caressait les épaules, ses mains descendaient plus bas sur mon dos. Puis je replongeais et de nouveau reprenais sa queue dans ma bouche.


Elle se relevait avec force et se plaquait contre son ventre, son érection était particulièrement forte. Il était jeune mais viril. Je me régalais, c'était un nouveau corps, c'était aussi un nouveau plaisir.


Je sentais un main glisser entre mes fesses. Ce n'était pas Willy ses bras n'étaient pas assez longs. C'était mon pote Tommy. Il me lubrifiait le cul. Ses doigts glissaient entre mes fesses et entraient doucement mais avec force.


Je les sentais glisser dans mon cul. La bite de Willy glissait dans ma bouche et par moment s'écrasait dans ma gorge. C'était terrible, c'était bon, c'était nouveau même si ce n'était pas vraiment nouveau, avec lui c'était nouveau.


Sans me demander mon avis Tommy glissait sa queue en moi, il y allait sans retenue et il m'aurait fait crier si je n'avais pas déjà eu quelque chose dans la bouche. Mais là je ne pouvais rien dire. C'est tout juste si je parvenais à faire des bruits bizarres qui faisaient rigoler Tommy.


Mon cousin ne disait plus rien depuis un moment, je sentais le poids de son regard sur mes épaules. Je sentais ses mains sur l'arrière de ma tête ou celle de mon pote Tommy qui me saisissait par les hanches et me tirait vers lui.


Il me balançait avec force des coups de bassin, je me cramponnais aux cuisses de Willy et je continuais à le sucer comme je pouvais, et je pouvais. Il soulevait son bassin lui aussi par intermittence.


Je me retrouvais remué dans tous les sens, je ne pouvais plus me maintenir en position, mais il y avait quatre bras bien forts qui s'en chargeaient. Ils me retenaient, ils me repoussaient, il me remuaient.


J'en prenais plein la gueule, plein le cul et si un peu plus tôt le plaisir n'était pas pour moi, là, il montait en mois, il m'envahissait. Je jouissais, là je jouissais comme jamais, mais je ne jutais pas. Je ne lâchais pas une goûte de sperme. Mon cœur s'emballait, mon souffle paniquait, et mon cerveau prenait feu au moment ou je sentais mon cousin éjaculer dans ma bouche. Il avait des éjaculation généreuse, il m'a rempli la bouche mais je n'ai rien laisser se perdre.


Je devinais à ses gémissements que Tommy jouissait également. Les coups qu'il me donnait devenaient violents, vraiment violents mais j'ai aimé.


J'ai avalé, mon cousin s'est retiré. Puis c'est Tommy qui s'est retiré. Au moment ou il est sorti de mon cul j'ai ressenti un plaisir intense. Je me laissais retomber, amorphe mais comblé !




A suivre




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

Presque frères 20

 

Presque frères 20



Tommy bandait toujours !


Quand je dis toujours, je ne veux pas dire en permanence, non, mais il bandait le matin, il bandait quelquefois dans la journée, pendant un moment ou un autre dans la journée, il bandait aussi le soir. Et moi, j'avais la haine, par moment j'avais vraiment la haine.


Les deux filles que nous avions rencontrée étaient reparties, Tommy paraissait soulagé de leur départ. Elles savaient nous allumer, autant lui que moi. Elles savaient nous torturer …


On pouvait toucher, on devait toucher même, elles aimaient bien qu'on leur fasse plaisir. Mais Tommy qui pouvait servir, je veux dire par là qu'il avait sa queue libre et pouvait bander, avait envie de servir justement. Il avait envie de se faire une fille. Mais ces deux là disaient ' NON !'.


Moi aussi, elle savait me rendre à moitié fou. Je devais leur donner du plaisir avec ma langue, les caresser quand elle se glissaient contre moi et ma queue à moi était et restait bien confinées au fond d'une cage à bite ultra mini !


Les semaines qui suivaient passaient très vite, nous profitions du soleil de la plage et des filles, enfin un peu moins des filles, elles étaient attirées vers moi, surtout vers moi. Elles avaient bien compri qu'elles ne risquaient rien avec moi et si au départ Tommy trouvait la situation amusante, ça ne durait pas.


En effet au départ il pouvait bander, il aurait pu s'amuser avec les filles, mais voilà. Les filles que nous rencontrions avaient surtout envie de s'amuser gentiment, c'est à dire pas avec sa quéquette. La mienne était bien rangée, et les amusait beaucoup. Moi je m'y habituais.


La cage était tellement bien étudiée qu'elle ne provoquait aucune douleur, c'était déjà bien. Avec le temps et là ça commençait à en faire beaucoup, c'était même confortable.


Je pense que c'est à ce moment que je décidais de la garder jusqu'à la fin de mes études, jusqu'à mon diplôme. Mais ça je ne l'ai pas dit à Tommy. Je savais que ce farceur tenterait de me piéger en me donnant à signer des documents déjà remplis par ses soins. Il savait que je ne les lirais pas, je trouverais là une bonne raison de râler.


Presque tous les jours nous nous rendions à la plage. Si au début on était un peu timide et qu'on n'osait pas se balader à poil sur la plage, à cause de la cage. On a fini par ne plus faire attention à ce petit détail.


En théorie les porteurs de cage sont considérés comme parfaitement présentable, ils sont dispensés de porter un maillot de bain mais cette coutume n'est pas encore arrivé jusqu'ici. Sur les plages textiles les hommes portaient tous un maillot de bain.


On avait fini par trouver une plage naturiste, là c'était un peu différent. Personne ne portait de maillot de bain et en effet certains portaient une cage à bite, tout comme moi.


C'était désormais cette plage que nous fréquentions. J'aimais bien pouvoir me montrer dans toute ma splendeur et je faisais mon fier devant mon camarade qui lui exhibait juste sa nudité la plus totale.


Il était beau, très beau et je connaissais ses difficultés pour rester présentable, une érection aurait été totalement déplacée …


Les vacances avançaient lentement. Nous arrivions à la fin de la deuxième semaine. C'est ce matin là que je recevais un message, mon cousin Willy passerait le reste des vacances avec nous.


Je ne vous cacherais pas qu'on était un peu embêté. Mais comme j'expliquais à Tommy, tout le monde savait pour ma cage et tout le monde savais que lui n'en portait pas. Mais il me rétorquait.


Tout le monde ne sait pas qu'on dort ensemble !


Sur ce dernier point il avait raison. Ça présence deviendrait rapidement embarrassant pour nous. On devait aller le chercher à la gare. Je vous jure que c'est sans aucun enthousiasme qu'on s'y rendait.


C'était mon cousin mais il avait vécu pendant quelques années sur un autre continent, ça faisait donc longtemps que je ne l'avais pas vu. Il était un peu plus jeune que nous, mais assez âgé pour que sexuellement il puisse porter une cage PK. Donc actif sexuellement.


Il y avait un monde fou qui descendait du train, c'est Tommy qui l'a vu en premier, oui je sais il ne le connaissait pas mais il me ressemblait tellement qu'il ne pouvait pas y avoir d'erreur.


Il me sautait au cou !


Salut cousin, tu me reconnais au moins ? Ne me dis pas que tu ne m'as pas reconnu. Moi je t'ai reconnu tout de suite. C'est ton pote Tommy, c'est avec lui que tu vas à la PK School  ? ça a l'air sympa ce coin, il paraît qu'il y a des plages, et des plages naturistes en plus. Il y a des gonzesses dis. Sinon la maison est pas trop loin j'espère …


Ça faisait quelques années que je n'avais pas vu mon cousin Willy et je me souvenais que … Il parlait, il parlait, il parlait toujours … Et quelquefois pour dire des conneries ! Pardon je voulais dire … Quelquefois pour dire autre chose que des conneries !


On prenait la route vers la maison, à pied ça ne représentait que trois quart d'heure, pas plus … Mais …


C'est pas trop loin au moins, et il n'y a pas de bus pour aller plus vite …



Mais on est à la campagne, moi je croyais qu'on serait au bord de la mer, mais en fait on est à la campagne.



Il y a internet au moins, papa m'a dit qu'il n'y avait pas le téléphone. La maison n'est occupée que deux mois par an.



Dis moi cousin, on peut avoir l'internet sans avoir le téléphone …


Et ça a duré comme ça jusqu'à la maison. Puis …


HIIIIIIII ! J'adore ! C'est terriblement pittoresque. ( S'écriait-il en voyant la maison )

Tommy et moi avons sursauté, c'est qu'il a de la voix le petit cousin. Il entrait comme une furie, faisait le tour de la propriété en quelques secondes, s'attardait longuement sur le jardin privatif derrière la maison ( pas loin de cinq secondes ) et revenait à son point de départ.


Je sens qu'il va être fatiguant ! Me faisait remarquer Tommy.

En tout cas il ne manque pas d'énergie.


Le temps de lui montrer notre piaule, on avait prévu de le loger avec nous, et on avait pris soin de rajouter un troisième lit.


Bon je vais prendre une douche, la salle de bain, c'est par là … Oui c'est vrai que j'aime bien quand il y a une baignoire, ha, c'est une douche mais bon on va faire avec. C'est pas comme si on avait le choix, et puis la douche c'est plus rapide et …


On tentait de l'oublier dans la salle de bain mais là encore, il parlait, il parlait …


Tommy passait dans la salle de bain pour voir si tout se passait bien et aussitôt j'entendais la voix de Willy.


Tommy ressortait rapidement, comme saouler par mon cousin.


Tu ne l'as pas vu sous la douche. Mais ton cousin Paco et aussi bien foutu que toi. Vous vous ressemblez vraiment.

Il en a une grosse aussi.

Tout comme toi. Je dirais, même taille.


Willy sortait enfin de la salle de bain.


Vous savez les cousins, ça ne te dérange pas si je t'appelle cousin toi aussi Tommy, non tant mieux c'est plus simple pour tout le monde ...


Tommy répondait par un grand soupir.


Willy avait sa serviette autour de lui, et il se déplaçait ( il ne faisait pas que parler, il bougeait tout le temps aussi )


Alors comme ça vous portez une cage à bite ? Dites c'est pas trop dur à supporter, ça fait pas mal, et comment vous faites alors ? …

– … Et c'est vous qui l'avez payée, c'est cher ce genre de truc ? …

Mais vous la portez toujours, pendant les cours je veux bien mais là on est en vacances … Pendant les vacances aussi, ça c'est pas cool …


Tommy et moi nous regardions, il poussait là encore un long soupir. Il faisait le geste d'ouvrir sa ceinture en me regardant avec un œil interrogatif, je faisais oui et c'est ensemble qu'on a ouvert et baissé notre pantalon.


Je ne portais pas de sous vêtements, Tommy si mais vous savez qu'on peut le retirer rapidement. Nous laissions nos pantalons glisser sur nos chevilles et on le regardait d'un air qui se voulait détendu.


Ah …


On avait réussi à le faire taire, il ne disait plus rien. Je me souviens m'être dit … ' Pourvu que ça dure '. Sa serviette se relevait, il bandait et en effet il en avait une belle, ça devait être de famille.


De plus à son âge, je ne vous dis pas mais ça marche bien. J'étais comme lui quelques années plus tôt, oh, pas beaucoup nous n'avions pas pas beaucoup d'écart d'âge, trois ans tout au plus.


Sa serviette tombait sur le sol.


Sa queue se relevait avec force et se collait à son ventre. Il bandait ferme, c'était Tommy qui restait totalement présentable avec une grosse queue qui pendouillait lourdement qui le faisait bander ou c'était moi avec ma cage qui dissimulait parfaitement ma bite, tout en laissait apparaître deux belles couilles.


Celle de mon cousin aussi étaient très belles, il était super bien foutu, pas uniquement bien monté. Rien ne se voyais mais moi je bandais au moins autant que lui mais là rien ne se voyait.


Bon, maintenant qu'on a fait les présentations. Reprenait Tommy. Si on mangeait, après on pourrait allez directement à la plage.

Et tu veux venir à la plage dans cet état ? Demandais-je à Willy.

Heu … C'est pas ça mais c'est que … Oui mais enfin non … Mais voilà . Les mecs … Je ne contrôle plus rien en fait.

Ça va se compliquer cette affaire … Faisait remarquer Tommy.

Et il y aura des gonzesses à poil ? Demandait Willy. Oui parce que non, enfin si jamais il y a des gonzesses à poil ça va pas simplifier les choses … Et puis … Enfin bref …


J'avais arrêté de suivre et je fouillait déjà dans le réfrigérateur pour voir ce qu'on allait manger. Je préparais tout sur la table quand mon cousin me tombait sur les épaules .


Cousin on ne peut pas aller à la plage, enfin moi je ne peux pas aller à la plage dans cet état, et c'est de ta faute en plus …

Oui je savais bien que j'étais trop sexy ! Répondais-je après avoir sursauté.


Tommy rigolait dans son coin. Il commençait à bander lui aussi.


Non mais tu te rends pas compte cousin, dans mon état. Comment tu veux que je fasse. Là je ne contrôle plus rien … Et si en plus il y a des gonzesses a poil …


Je me retournais alors vers lui.


Oui enfin c'est vrai, vous êtes maintenant deux à ne plus être présentable. Il va falloir faire quelque chose …

Oui mais quoi ? Me demandait mon cousin sur un ton très triste et des yeux qui faisaient pitié.



A suivre




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

INDEX

                                Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.                                         PAGE ...