Presque
frères 22
L'heure
tournait. Il faisait encore très chaud, mais tout le monde semblait
enfin prêt pour partir à la plage. On était là tous les trois
détendus sur la terrasse du jardin.
– Bon
on y va ? Demandait Tommy.
– On
y va répondait Willy.
Il
était là à poil parfaitement détendu, sa queue se répandait sur
son transat. Il se levait d'un mouvement rapide, c'était très beau
à voir . Il courait dans la chambre, sa queue se balançait
vigoureusement, ses couilles aussi remarquez, mais c'est surtout la
queue qu'on voyait. Il avait encore une grosse molle.
Il
revenait quelques instant plus tard, il avait enfilé un pantalon en
toile très légère et une chemise ouverte. Tommy et moi suivions le
mouvement et c'est tous les trois que nous enfourchions nos vélos
et partions joyeusement v ers la plage. L'après midi était déjà
avancé.
En
passant près de l'épicerie je pensais à acheter quelques boissons
fraîches. On s'y arrêtait. Je me rendais directement à la vitrine
réfrigérée. Tommy essayait des lunette et Willy achetait une
casquette.
On
payait et c'est à ce moment que Willy venait me voir.
– Eh,
cousin, on ne peut pas aller à la plage !
– Et
pourquoi ?
– J'ai
un problème, je ne contrôle plus rien …
Je
jetais un œil vers lui et, en effet, il bandait.
– Mais
tu n'arrêtes jamais toi !
– Pô
ma faute, c'est la puberté ! Me répondait-il avec un regard
tout triste.
C'est
vrai qu'il est craquant quand il fait cette tête. Mais la situation
s’aggravait, il payait et se sauvait vers son vélo, il repartait
vers la maison. Je me retournais vers Tommy qui me répondait, avant
même que je ne puisse parler.
– Oui
j'ai vu !
– Il
faut faire quelque chose.
– J'ai
une petite idée de ce qu'il faut faire …
Finalement
on renonçait à la plage, je rangeait les courses dans mon sac à
dos et on revenait à la maison.
Tranquille,
sur la terrasse du jardin il y avait Willy. Il faut bien se dire que
si lui nous prenait la tête, lui il ne se prenait jamais la tête.
Il était tranquillement installé sur un transat, a poil avec une
très belle érection. Il se caressait la queue comme ça. Juste pour
le plaisir de bander, il ne tentait pas à aller plus loin.
– Vous
avez compris ce qui m'arrive les cousins. C'est pas ma faute, j'ai
rien fait, c'est venu comme ça … Bon c'est vrai que j'avais un peu
oublié de mettre un sous vêtement … Finalement on a eu de la
chance, si ça m'avait pris sur la plage … Vous imaginez ? …
– Il
faut faire quelque chose ! Lui disait Tommy sur un ton ferme.
– Oui
mais quoi ? Demandait Willy avec ce visage tout triste …
Il
était tellement beau, c'est vrai qu'il me ressemble, il avait cette
énorme queue qui se redressait entre ses cuisses. J'avais une
violente envie de me la prendre dans le cul. Un peu peur aussi mais
tellement envie.
Tommy
disparaissait quelques instants dans la maison.
– Je
l'ai retrouvée, il me semblait bien que je l'avais laissé ici.
Disait-il en revenant.
Puis
il posait un dispositif de chasteté en résine sur le ventre de
Willy qui regardait ça.
– Et
on fait comment pour la mettre, tu as vu ma queue est bien trop
grosse, ou alors c'est la cage qui est trop petite.
– C'est
la mienne, celle de mon essais … Et nous avons la même taille !
Il
faut bien savoir que les modèle en titane, comme celui que je porte
sont des objets précieux et coûteux. Donc pour tester la taille, et
voir si le futur étudiant peut supporter la chose on lui donne
d'abord une cage en résine. Elles sont très bien, on les trouve
dans le commerce. Certains porteur ne passent jamais à la cage
métal. Vous savez il y a des millions de personnes qui porte une
cage de chasteté …
C'était
donc la cage que Tommy avait portée pendant plusieurs semaines. J'en
avais une aussi mais elle était à la maison.
– Et
si tu commençais par lui sucer la queue ? Me demandait-il.
Surpris
au départ, je m'exécutais. C'est vrai qu'il avait une très belle
bite, il fallait la purger pour qu'il puisse enfiler la cage …
C'était le principe, mais j'avais pas tout compris.
Il
bandait mais j'ai senti sa queue se contracter, comme se relever. Il
avait un gros gland bien large et épais, et surtout lisse, comme je
les aime. J'ai dit une connerie, en érection ils sont toujours
lisses.
Avec
la langue je tentais le passage dans le petit trou au bout, il râlait
de plaisir et gigotait. Le petit trou était bien trop mince pour que
je puisse y glisser ma langue mais il aimait, je le ressentais bien,
il aimait.
Je
faisais aussi tourner ma langue tout autour de son gland lui
arrachant de longs gémissements de plaisir. Il me caressait les
cheveux, osait appuyer sur ma tête, sa queue entrait jusqu'au fond
de ma gorge. Il criait de plaisir.
On
l'avait déjà vu jouir deux fois depuis son arrivée, en général
c'est suffisant pour calmer les ardeurs. Mais avec lui ça ne
marchait pas, la cage était la seule solution mais pour combien de
temps, pour la journée ?
Quand
je retirais la tête, je le masturbais et lui tripotais les couilles,
j'en gobais une, puis la deuxième. Il ne donnait pas vraiment
l'impression d'aimer et je n'insistais pas.
On
se caressait, ma peau contre sa peau était chaude, brûlante mais ne
laissait pas de cloques, juste quelques gouttes de sueur, juste une
peau moite, juste une envie d'un peu plus.
Ses
baisers aussi étaient chauds, à côté de nous Tommy bandait aussi
maintenant. Il se masturbait, doucement juste pour garder son
érection, mais je pense qu'il n'en avait pas vraiment besoin, il ne
tentait pas de jouir.
– Maintenant
Willy, tu vas enculer ton cousin. Suggérait Tommy.
– Je
peux ? Me demandait Willy …
je
faisais oui avec les yeux, il me retournait sur le ventre, les jambes
bien écartées. Tommy lui donnait du gel, Willy m'en enduisait le
cul. Il ne maîtrisait pas vraiment le dosage mais il vaut mieux trop
que trop peux.
Ensuite
avec sa maladresse, il s'allongeait sur mon dos et glissait sa bite
dans mon cul. Il poussait, elle était bien large. Il forçait, elle
entrait. Je me sentais envahi de plaisir.
Ça
faisait un moment que je ne m'étais pas fait enculé, pas loin de
trois heures pour être précis et j'étais encore très stimulé.
Pour moi, c'était du plaisir, du plaisir et encore du plaisir. Je
soupirais fort, je respirais fort, je gémissais fort.
Willy
poussait bien à fond, un peu comme une brute. Son ventre à claqué
contre mes fesses, j'ai crié.
Puis
Willy s'est retiré, est revenu toujours avec une certaine violence,
il s'énervait, il recommençait plus vite et plus fort. Un instant
j'ai paniqué, j'ai même failli me dégager. Mais Willy s'énervait
et me retenait fermement.
Il
faisait de petites pauses, quelques instants puis reprenait avec
violence. Il bougeait vite, c'est vrai que d'habitude il bouge tout
le temps, là c'était pareil, il bougeait, il bougeait vite. Mais
dans mon cul ça déménageait.
Tommy
regardait ça, il n'y restait pas indifférent, il se masturbait
doucement, il se caressait lentement. Sans doute pensait-il déjà au
moment ou il prendrait la suite, ou il me défoncerait le cul à son
tour.
Willy
se retirait, puis ne bougeait plus pendant quelques secondes, il me
donnait alors un baiser dans le dos puis sans prévenir revenait avec
violence bien à fond. Il faisait une autre pause puis recommençait.
C'était
violent, je commençais à gémir et pas que de plaisir, c'était
déjà un peu plus que simplement du plaisir.
Puis
suivant les indications de Tommy il me limait le cul longuement,
lentement, la seule violence qui restait était la taille de sa
queue. Le milieu de sa queue était un peu plus épais et ce massage
me dilatait un peu plus quand il passait et me massait. Le plaisir
revenait, c'était une violence douce et le plaisir montait dans mon
cul, montait dans mon ventre montait dans tout mon corps.
Je
me suis à trembler de tous mes membres.
Je
ne pouvais pas voir le visage de Willy, j'avais l'impression que son
expression de petit ange s'était transformé en celle d'un démon.
Un démon du sexe, il était jeune mais il devait avoir déjà
beaucoup d'expérience, il s'amusait et ce n'était pas la première
fois.
Je
me disais que j'avais de la chance de ne pas me faire dépucelé par
lui. Celui ou ceux à qui c'est arrivé ont certainement eu des
problèmes pour marcher ou s'asseoir pendant plusieurs jours.
Moi
j'avais de la chance, j'étais déjà suffisamment entraîné et je
savais que je m'en remettrais rapidement.
Il
s'énervait de nouveau, ses mouvements devenaient encore plus rapide,
mais n'avaient plus rien de régulier. Il éjaculait, je l'entendais
gémir puis hurler dans mon oreille.
J'ai
hurlé moi aussi. C'est qu'il a de la voix le petit.
Il
est resté là, allongé sur mon dos pendant un long moment, sa queue
restait là au fond de mon cul, mais je la sentais elle reprenait une
taille plus raisonnable, elle redevenait toute molle et je la sentais
ressortir. C'était un instant de plaisir supplémentaire.
Tout
mon corps était plongé dans le plaisir, et je n'avais plus envie de
bouger.
– Tu
as joui ? Mais c'est vrai ça, tu me dis que je t'ai fait jouir
mon cousin. Wouah c'est cool ça. Moi je ne pensait pas que je
pourrais faire jouir un mec avec une bite comme la mienne, elle est
tellement grosse. Vous savez les cousin, à l'école pendant le
sport, sous la douche, je suis un des mieux monté et …
Et
c'était reparti, il se laissait retomber sur le dos, moi je ne
bougeais plus.
– Bon
maintenant tu vas prendre une douche, tu es en sueur ! Ordonnait
Tommy.
– OK
mon cousin chef ! Répondait Willy en se dirigeant vers la salle
de bains.
Il
en revenait un peu plus tard, tout propre et la queue reposée. Il
avait tout de même éjaculé trois fois depuis son arrivée le
matin, la fin de l'après midi n'en finissait pas d'arriver.
– Bon
maintenant tu mets ce truc. Tu pourras te promener sur la plage sans
risquer de te faire remarquer. Mais il faut faire les choses
sérieusement. On va passer un contrat avec la PK.
– Oui !
Répondait Willy.
– Tu
le garderas jusqu'à la fin de l'été, soit six semaines.
– Oui !
– On
ne gardera pas la clé .
– Oui !
– Elle
te sera restituée le jour prévu, à l'heure prévue.
– Oui !
– Et
comme ça au moins tu sera sage !
– Bein
oui !
Willy
avait un peu l'air idiot. Pour une fois il ne disait pas grand chose.
Sous nos regards de Tommy et de moi, il s'exécutait il glissait une
couilles puis l'autre, enfin il glissait sa queue dans l'anneau. On a
eu un peu peur qu'il ne bande à ce moment et ça aurait tout arrêté.
Mais
non ! Tout s'est bien passé, Willy glissait sa queue dans la
cage, ça passait, juste mais ça passait puis il enclenchait la cage
sur l'anneau et enfin la serrure que Tommy lui tendait.
Il
restait là pendant un moment à regarder le résultat, il ne disait
rien. Oui je sais ça change.
Tommy
remplissait les cases du contrat, le faisait signer par Willy puis
glissait le contrat et la clé dans une enveloppe.
– Bon
on a encore le temps pour porter l'enveloppe à la poste, il y a un
service spécial PK !
– Ça
marche ! Répondait Willy.
Je
faisais un rapide passage dans la salle de bain. Je vous jure il
m'avait déboîté le cul mais je me sentais bien, je le sentais
encore en moi et je sentais encore ce plaisir. Je m'habillait
rapidement.
On
se retrouvait à la poste, Willy ne parlait toujours pas …
L'enveloppe
était glissée dans la boite spécial PK. Et là Willy se retournait
vers nous.
– Et
maintenant je vais la garder jusqu'à quand ?
Tommy
s'approchait de Willy lui passait un bras sur ses épaules !
– Dis
moi Willy …
– Oui
mon cousin.
– A
quel moment as tu arrêter d'écouter ce que je t'expliquais ?
– Quand
tu as dit '' Bon maintenant tu mets ce truc. ''
Là
j'ai pouffé de rire.
A
suivre
N'hésitez
surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur
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