Presque frères 25

 

Presque frères 25




Les jours se suivaient et se ressemblaient. Nous arrivions au deuxième mois des grandes vacances et justement elles duraient deux moi on en était à la moitié.


Tout se passait calmement, Willy avait changé de petit copain et souvent on se retrouvait donc à quatre. Le groupe que nous formions gardait une bonne ambiance et comme en plus seulement deux d'entre nous avait la queue dans une cage, les filles se montraient méfiantes.


Mais c'était pas bien grave, on était bien quatre mais on était aussi deux couples.


On voyait beaucoup de monde, des filles passaient souvent pour jouer avec nous. Willy changeait souvent de petit copain. Il nous disait qu'il expérimentait quelque chose de nouveau dans sa vie. Quelque chose de nouveau mais certainement pas de définitif …


C'est trop rapidement et très lentement en même temps que ces grandes vacances prenaient fin. Nos parents ne sont finalement pas venus en Août, ça ne nous dérangeait pas vraiment, on était tranquille et on pouvait recevoir tous les gens qu'on avait envie de voir.


Le dernier jour arrivait, on rangeait la maison. Willy venait me voir, il avait l'air inquiet.


Dis moi cousin Paco ! Ça va se passer comment pour ma cage ? J'ai toujours pas reçu la clé moi …

C'est ennuyeux ça ! Lui répondais-je, tu va peut être obligé de la garder tous l'hiver.

MAIS TU ES FOU !


Les yeux lui ressortaient de la tête, ma petite plaisanterie ne le faisait pas rire. Je pouffais de rire. Je fouillais alors dans ma poche et en sortait une enveloppe rigide qui portait le petit logo de la PK.


Je l'ai reçue il y a deux jours, je voulait te faire une surprise ou te taquiner. J'avais pas encore décidé.


Il retrouvait le sourire, m'arrachait la lettre des mains et disparaissait dans la salle de bain. Il en ressortait un moment plus tard.


Tiens cousin Tommy, je te rends ta cage, je ne remettrai jamais un truc pareil mais l'expérience restera intéressante. Mais je vous jure de ne plus jamais …

Tu es prêt à … tentais-je de dire .

Parce que je ne vous dis pas c'est pas humain ça, c'est pas pour moi ça. Mais c'est quoi ces idées. Je viens de me branler et là ça va mieux bien mieux …

On peut y aller ? Tentait de dire Tommy.

Ah moi je pensais pas que ça se passerait pas comme ça …


Et c'était parti, il parlait, il parlait, il parlait. Il n'avait pas changé, il parlait toujours autant que le jour de son arrivé. Je lui installait son sac à dos sur ses épaules, serrait les sangle, il me laissait faire !


  • Et tu fais quoi la cousin Paco ?

  • Je te mets ton sac à dos, si on attend que tu ais fini de parler on va louper le train de demain.

  • C'est gentil ça cousin Paco. Mais j'ai rien contre vous mais ce truc là, c'est l'horreur et je …


Et il continuait. Remarquez, ni Tommy ni moi n'y faisions attention, après plus d'un mois et demi passé avec ce guignol, on était habitué. Je passais dans son dos et le poussait pour le faire avancer …


Mais tu fais quoi là, cousin Paco ?

Je te fais avancer sinon, on y sera encore la semaine prochaine.

Ah OK !


Ensuite il avançait tout seul, Tommy nous suivait, il passait en dernier et s'assurait que tout était fermé. On arrivait largement dans les temps, un petit train de campagne attendait, il semblait nous attendre.C'était bien notre train, on s'installait. On était seul.


Dis moi, cousin Paco, j'ai un problème !

NON, TU NE VAS PAS TE BRANLER ICI ! Lui gueulait Tommy.

Mais pour qui tu me prends cousin Tommy ? Je sais me tenir. C'est vrai que maintenant que tu en parles. Deux fois tout à l'heure c'était un peu court.


On le regardait avec de grands yeux, puis il continuait.


Bon on n'en est pas là, simplement je bande !


Il soulevait alors sa chemise et on pouvait voir sa grosse saucisse qui ne s'était pas manifestée depuis un mois et demi.


Ça ne se voit pas trop là , les cousins ?

Si tu baisses ta chemise, ça devrait aller ! Lui répondait Tommy, moi je rigolais.

Ensuite quand le train est parti, comme on était seul dans la voiture, on à eu droit à … Vous ne trouvez pas qu'elle est plus grosse ? J'étais déjà bien doté ! Il ne faudrait pas qu'elle grossisse encore plus. Ça prendrait trop de place … Il parlait, il parlait, il parlait … Tommy et moi avons fini par nous endormir.


Deux heures plus tard on avait notre correspondance, Willy prenait son train, nous le notre. La dernière chose que j'ai entendu c'était la voix de Willy qui résonnait et nous racontait le voyage qu'il allait faire.


J'adore ton cousin ! Me disait Tommy.

Il est mignon …

Oui mais il est fatiguant !

C'est vrai.


On devait reprendre la fac le surlendemain. Tommy avait prévu de passer ces deux jours chez moi, c'était plus simple pour lui. Le jour prévu on se présentait à l'école, on passait à l'admission. C'est là qu'on constatait que nous avions bien remis notre cage.


Je me chargeais des documents d'admission et c'est là que l'idée de lui faire une farce me prenait. Je remplissais sa fiche et je validais le port de la cage pendant toute l'année, vacances comprises. Il ne pensais pas que j'oserais lui faire la plaisanterie qu'il me faisait depuis le début de l'année.


Et bien si, j'ai osé !


Tommy était un peu distrait après le contrôle, je lui tendais le document il a fait comme moi, il l'a signé sans le lire.


Je vous ferai remarquer que moi, au moins, j'étais plus sérieux que lui, je lui faisais une plaisanterie mais moi je m'engageais aussi pour l'année à venir.


C'est ainsi que je commençais ma seconde année. Un an plus tôt il n'était pas question pour moi de porter ce genre de truc et là, je décidais de le porter pour l'année à venir, non stop. On avait récupéré nos objets personnels, les gode par exemple, ils nous avaient attendu dans un vestiaire pendant les vacances …


Aussi on décidait d'inaugurer cette nouvelle année qui commençait.


On s'enfilait un gros plug dans le cul et tranquillement on discutait avant d'aller se coucher.


Ça vous dilate bien l'anus ce genre de truc. Le moindre de nos mouvements nous masse alors l'anus. Au début c'est doucement agréable, puis ça peut devenir bien plus intense. Puis ça devient un truc de dingue. On n'arrive plus à rester en place, on a l'impression que bouger va nous soulager mais c'est le contraire qui se passe, plus on bouge plus c'est intense et plus c'est intense plus on a envie de bouger.


On était allongé sur le dos, on se tortillait un peu. Chacun avait son plug dans le cul. Tommy me regardait, je voyais son sourire, il me regardait, puis, sans prévenir il se levait et se glissait sous mes draps. On était nu, on dort toujours nu.


Son corps glissait sur le mien, il me caressait, je le recevais dans mes bras, je luis caressais le dos, je lui caressais les fesses, je faisait un pause au niveau de son cul. Et sans prévenir agitais frénétiquement son plug.


J'appuyais avec force, relâchais, puis je l'agitais. Je le sentais se contracter, je sentais sa respiration dans mon oreille, il poussait également quelques gémissements, il parvenait à glisser sa main sur mon cul et agitait à son tour mon plug qui dépassait.


Je me suis saisi, tous mes muscles se sont raidi, moi aussi alors je respirais fort, moi aussi je gémissais. On roulait l'un sur l'autre, il appuyait plus fort, j'en faisais autant. On roulait encore, on ne retrouvait plus ni les draps ni la couverture.


On finissait par se retrouver en tête à queue, avec la paume de la main on appuyait sur le plug de l'autre, on appuyait avec un mouvement circulaire, et on léchait les couilles de l'autre. Nos bites étaient inaccessible mais pas nos couilles. On les léchait avec conviction, on les gobait, je sais c'est flippant mais on laissait faire l'autre dans la plus grande confiance.


Je ne sais même pas si à ce moment c'était lui ou moi qui tremblait le plus. Je manquais d'air, je respirais fort, il convulsait.


Il semblait ne plus rien contrôler et me donnais des coups de bassin comme s'il me baisait le cul. Ses couilles venaient s'écraser sur ma joue. On ne pouvait pas faire plus intime puis je m'allongeais sur lui, j'allais lui gober les couilles quand il a juté, plusieurs jets de spermes on passa au travers des barreaux de la cage, le reste coulait.


J'ai alors pris sa cage dans la bouche et j'ai sucé et j'ai avalé.


Le plaisir montait en moi également, il a du le sentir, il a commencé à me sucer la cage, en même temps il me massait les couilles, oh il sait ce qui me fait réagir. Sa langue parvenait à passer entre les barreaux de ma cage et à me faire frémir et la compression sur mes couilles me donnaient envie de crier de plaisir, puis le plaisir est venu.


Comme une explosion de plaisir, j'ai juté, il y avait sa bouche pour ne rien perdre, et j'ai juté, j'ai joui. J'avais l'impression de n'avoir pas éprouvé un tel plaisir depuis des mois.


C'était sans doute le cas en fait.


Puis on s'est comme effondré, je retombait légèrement sur le coté, il continuait à sucer ma cage, j'en faisais autant et on est resté là sans rien bouger sinon nos lèvres.


On est resté là pendant un long moment. Il faisait nuit quand on s'est relevé, nous nous sommes rendu à la douche. Les douches sont ouvertes toute la nuit.


Le plus dur était de retirer le plug.


Vous savez quand on se le rentre on est excité, sexuellement excité et on peut prendre un vrai plaisir à forcer sur le plug pour qu'il entre, on prend du plaisir à sentir son anus s'ouvrir, se dilater jusqu'à la limite de la douleur mais quand toute la tension est retombée.


Et bien le plug il faut le retirer … Et ça c'est une autre histoire …


Il faut plus de temps, plus d'efforts, ou alors ce ne sont plus les même efforts. C'est donc un peu sonné qu'on revenait de la douche, le plug bien nettoyé dans la serviette, le cul tout propre également. Là on savait qu'on allait bien dormir.



A suivre



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Jeune adulte 26 Finalement prêt accordé

 

Jeune adulte 26

Finalement prêt accordé



Thomas lui en a mis plein de cul, aucune tendresse, notre hôte en voulait pour son argent. Pourtant il n'avait pas payé, il avait parlé du prêt. Il avait juste parlé de réétudier notre dossier.


En effet nous voulions faire construire et pour cela il nous fallait un prêt et il était banquier !


Je restais dubitatif face à cette situation, je connaissais très bien le banquier, mais c'est vrai qu'il se foutait bien de nous. Il avait même fait la morale à Thomas. Non mais franchement ! Il m'avait souvent fait la morale à une époque, c'est vrai qu'à cette époque je l'aimais bien mais là je le voyais sous un autre angle.


Thomas lui glissait sa queue bien à fond dans le cul, avec force, il terminait en lui donnant un violent coup de bassin et faisait claquer son ventre contre les fesses de son partenaire.


Notre hôte râlait, gémissait de plaisir car il aimait ça.


Ça ne faisait aucun doute, il aimait se faire défoncer le cul. Je ne l'aurais jamais imaginé si je ne l'avais pas vu. Moi aussi j'aimais bien ça mais lui il était pire que moi, il en redemandait encore et encore.


Je reconnaissais bien là mon Thomas, serviable et toujours prêt à faire plaisir, il insistait, ne lâchait rien. Il jutait, un liquide blanc et épais coulait du cul de notre hôte. Thomas faisait une vague pause, un bref moment de répit puis reprenait. De nouveau il limait et rapidement retrouvait toute sa force, il bandait de nouveau très ferme et de nouveau sa queue s'enfonçait avec force.


Il a fait durer le plaisir mon Thomas, il s'est bien amusé le banquier puis, au moment que j'ai jugé opportun je me suis montré.


Tranquillement je me suis installé face à ce couple totalement dépareillé. Thomas m'a fait un large sourire sans pour autant s'interrompre. Il me regardait et continuait à limer le cul de notre 'invité'.


Celui-ci gémissait de plaisir mais son visage changeait d'expression, il avait l'air embarrassé, il continuait à grimacer sous l'effet de caresses très intimes que Thomas continuait à lui apporter mais je percevais toutefois un malaise.


Bien si on parlait de ce prêt ! Déclarais-je.


Thomas donnait le ton avec un grand coup dans le cul qui arrachait un cri à notre banquier.


Bien sûr, vous l'aviez deviné, le banquier m'avait reconnu. Mais il ne comprenait pas encore ce que je faisais chez son amant ! Il ne savait pas que nous étions amants.


Oui ! Non ! AAAAAh ! S'exclamait notre ami.


Imperturbable je regardais la scène qui se continuait.


Donc ! Disais-je. Si nous reparlions de ce prêt, on a les moyens tu sais !


Thomas avait trouvé son second souffle, il bandait ferme et je savais par expérience qu'il pouvait tenir comme cela pendant des heures. Enfin des heures peut être pas mais une heure facilement.


Le banquier tremblait de plaisir. Je devinais qu'il devait y avoir un peu de désordre dans sa tête, En face de lui un petit jeune, ancien de sa congrégation à qui il avait souvent fait la morale et juste dans son dos, dans son cul, pour être plus précis un homme de plaisir qu'il avait souvent sollicité, payé, consulté. Enfin comme vous voulez … Mais toujours dans le plus grand secret.


Ça valait mieux remarquez, dans ce milieu, louer les services d'un gigolo ou d'un prostitué n'est une chose à dire à tout le monde. D'une prostituée non plus, c'est pas mieux mais de ce côté, les hommes portant tous un dispositif de chasteté, ce doit être encore plus rare.


Je sentais que le plaisir montait, ce devait être contradictoire, il me regardait et devait se sentir honteux et en plus le plaisir montait, là il ne pouvait pas le contrôler. Je sais depuis un moment combien mon doudou Thomas peut être efficace. Finalement il tremblait de plaisir , pas mon doudou, mais le banquier ! Il jouissait comme un fou, j'ai vu ses grimaces de plaisir j'ai entendu ses cris et je me suis amusé de voir que Thomas ne lâchait rien.


Pendant de longues minutes Thomas continuait à lui limer le cul, pendant de très longues minutes le banquier implorait. Il gémissait fort maintenant, il s'agitait, il remuait ses bras dans le vide puis il finissait par sangloter, il était submergé, il était vaincu, il se rendait.


Il s'effondrait sur les coudes . Thomas se retirait. Le banquier restait là, allongé sur les coudes, comblé.


Et bien dis donc,là tu m'impressionne. Lui disais-je enfin. Je ne m'attendais pas à ça de ta part. Mon révérant .

Te fou pas de ma gueule ! Me répondait-il sur un ton méprisant.

Mais je ne me moque pas de toi, au contraire, je suis venu pour parler du prêt que tu nous a refusé.

Je ne t'ai pas refusé de prêt ! Finissait-il par me répondre.

Si tu avais étudier le dossier tu saurait que mon doudou, Thomas et moi allons nous marier !

Vous êtes vraiment des dégénérés, vous marier alors que vous êtes deux hommes.

Oh je trouve que tu es mal placé pour employer ce mot je trouve. Surtout après le spectacle que tu m'a donné.


Là il ne disait plus rien, j'avais fait mouche.


Un peu plus tôt je vous parlait de caméras que nous avions emprunté à nos amis de la production. Il voyait la caméra et devait imaginer le pire. Mais nous, on était un peu trop nigauds, je n'avais même pas pensé à enregistrer ! C'est ballot non ?


Là je me suis dit qu'on n'était peut être pas obligé de le lui dire .


Il a changé de couleur quand il a vu la caméra, moi j'ai fait le mariole et Thomas revenait de la salle de bain. Il pensait lui aussi que j'avais fait un enregistrement. J'ai compris ce que pouvais tirer de ce quiproquo.


Bon si on reparlait de ce prêt ? Déclarait Thomas.


Le banquier qui voulait garder la tête haute malgré la situation reprenait sur un ton assuré.


J'espère que tu sais ce que veux dire le concept de secret bancaire. J'ai déjà réétudié votre dossier, c'est vrai que vous avez de très bon revenus et de l'épargne. Je désapprouve votre vie mais il faut être professionnel. Et le dossier est solide.


J'ai senti qu'il avait du mal à reconnaître ce dernier fait, mais ni Thomas ni moi ne voulions autre chose.


Le lendemain il nous recevait , tous les deux cette fois, pour signer le contrat. J'ai bien regardé le document avec attention, il était rédigé comme il fallait, pas de pièges, pas de paragraphe rédigé en tout petit caractère. On a signé.


Les autres formalités comme l'achat du terrain étaient plus simples, plus facile. L'entreprise de construction était tenue par des amis, le cabinet d'architecture aussi. Ils se sont occupé de tout.


Ils nous ont fait du bon boulot, on passait régulièrement voir ce qui se passait sur le chantier,comment avançaient les travaux. Ça avait de l'allure, on était fier et heureux de voir les murs monter, le salon apparaître, la terrasse, le premier étage, les chambres .


Ils ne se moquaient pas de nous, le travail avançait vite et était vraiment bien fait.


Le montage de la baie vitrée était impressionnant, elle ouvrait sur une large terrasse, en contrebas il y avait un large espace ou on prévoyait d'installer une piscine de belle taille.


Ce serait le paradis.


Dans un même temps on préparait le mariage, on avait décidé de le faire dans cette maison qui prenait forme chaque jour un peu plus. C'est au printemps suivant qu'on faisait les finitions. Nos amis passaient régulièrement voir ou nous en étions puis le grand jour devait arriver.


On nous donnait les clés !


La maison était totalement vide mais ça n'a pas duré, on avait tout prévu, en moins de temps qu'il ne fallait pour le dire les livreurs avaient tout apporté. Et le grand jour toute l'équipe de la boite de nuit était là !


Rapidement ça a dégénéré, c'est ce qui était voulu. On n'avait pas peur on était des mecs on était tous des mecs, oui bon on n'était que des mecs.


Mais ça ne dérangeait personne.


Le premier qui s'est mis à poil était applaudi de tous les autre et suivi par un autre, puis un autre puis encore un. On s'est tous retrouvé à poil, la musique était à fond, et on dansait, on dansait en se collant l'un à l 'autre, à deux , à trois, à plus .


Presque tous les mecs bandaient. On s'était tous déjà vu à poil, on travaillait ensemble.


Simon était là bien sûr, il s'était très bien adapté à sa nouvelle vie et s'était mis en couple avec le barman. Il était lui aussi à poil et dansait au milieu de notre salon.


Il était vraiment magnifique, il avait tout ce qu'il fallait pour faire une superstar du porno. Vous savez, c'est un boulot ou on peut mesurer le talent en centimètres, lui était au niveau du génie !


Plusieurs mecs se glissaient contre lui, tout contre. Le caressait, il ne les repoussait pas, bien au contraire. Il en profitait le bougre, je ne l'avais jamais vu comme ça. Thomas allait le rejoindre ils dansaient ensemble, tous les deux actifs, mais pas concurrents. Il n'y avait aucune rivalité entre eux.


Sans prévenir Thomas me prenait la main et me tirait au milieu de salon. Je le suivais. Aussitôt plusieurs mains me saisissaient, me caressaient le corps. Elles glissaient sur moi, me tripotaient les couilles, je voyais en face de moi le visage de Thomas. Il avait l'air satisfait de me voir dans cette situation.


J'étais ravis moi aussi remarquez et j'avais un large sourire satisfait !


Thomas décidait d'intervenir, il s'approchait de moi, appuyait sur mon épaule et me tirait vers lui. J'ai tout de suite compris ce qu'il voulait et je tombais à genoux sans faire plus de manière. Je prenais aussitôt sa queue dans ma bouche. Je le suçais, avec un plaisir que je tentais pas de cacher.


Il y prenait du plaisir, j'y prenais du plaisir moi aussi il me laissait faire tout en caressant les autres tout autour de nous, puis enfin il décidait de passer à la suite logique ( c'est un e façon de parler ) il me faisait tourner sur moi-même. Il me saisissait avec force par les hanches puis me pénétrait avec force.


J'ai râlé, je me suis redressé, on continuait à me caresser et à me tripoter les couilles.


Thomas me retenait contre lui, et continuait à me limer, il entrait sa queue en entier, puis la retirait et revenait. Il appuyait avec force.


D'autres couples se formaient, d'autres râlaient de plaisir, surtout ceux qui étaient passifs, c'était bien eux qui râlaient le plus fort.


Dans le salon on n'entendait plus que des cris de plaisir, des gémissement des râles.


Tout le monde s'éclatait, chacun suivait son rythme, s'amusait pour lui. Un a un les couples se séparaient, puis se reformaient avec d'autres partenaires. Quelques uns disparaissaient, on les voyait revenir un peu plus tard.


Thomas ne faiblissait pas, je le connaissais bien et je me redressais contre lui, il me retenait contre lui et me caressait tout le corps. Sa bite entrait toujours avec force, bien à fond, dans mon cul puis ressortait avec vigueur avant de recommencer.


Il respirait fort dans mon oreille, je penchais ma tête en arrière, je la tournait vers son visage et là il m'embrassait avec passion. C'est un baiser intense que nous partagions au moment ou il jouissait en moi.


Il terminait avec des coups de bassin particulièrement violents que je prenait directement, je convulsais et il semblait continuer à jouir. Mois aussi je jouissais mais pas de la même manière que lui, moi je jouissais avec mon cul. Le plaisir était intense mais durait dans le temps et au moment ou Thomas se retirait l'orgasme était au plus for. J'ai alors éjaculé. Un long filet de sperme coulait lentement de ma cage, lentement mais généreusement !


La soirée s'est prolongée dans le temps , on a bu, on a recommencé.


On était des pro, et on était capable de baiser plusieurs fois de suite, on avait toute la nuit. C'était notre soirée d’inauguration de la maison, il y en aurait d'autres , beaucoup d'autre et le mariage avançait à grands pas.


Fin



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Gigolo 05 Mariage annulé

 

Gigolo 05

Mariage annulé



C'était Timi un ami à François et aussi un petit peu son valet de chambre. Qui arrivait, il était catastrophé. Il bafouillait …


Madame la Comtesse ... Madame la Comtesse … Madame la Comtesse.


François a éclaté de rire quand il l'a vu dans cet état.


Mais oui, on sait, Madame la Comtesse, je l'épouse demain matin. Lui répondait François en rigolant.

Non, c'est pas ça, non, c'est pas ça ! Insistait Timi.


François n'est pas du genre à paniquer facilement mais il voyait que son pote Timi était vraiment affolé. Et là il commençait à s'inquiéter.


Il y avait de quoi remarquez, Madame la Comtesse valait au bas mot pas loin de cent ou deux cent millions de crédit et François espérait bien s'en mettre une partie dans la poche. Même un tout petit peu, quelques dizaines, malgré son héritière officielle. Madame la Comtesse avait en effet une fille qui était sa seule héritière, et en plus elle était très proche de ses sous. Elle n'appréciait pas vraiment non plus François.


Pour elle c'était un parasite !


Quelques heures plus tôt elle lui avait proposé un très joli chèque pour qu'il abandonne son idée de mariage avec sa mère et pour qu'il dégage sans regarder derrière lui ou un procès contre une armée d'avocat.


Elle ne savait pas qu'il y avait un contrat et que cela lui garantissait d'être riche. Oh oui, il allait accepter le chèque avant de disparaître sans regarder derrière lui mais il savait que le montant de ce chèque serait bien supérieur à ce que Mademoiselle la fille de la Comtesse était disposée à lui donner.


Il arrosait son mariage du lendemain, et il était donc avec ses amis à rigoler, à picoler à chanter, à danser et à crier pour fêter sa fortune prochaine. Il avait gagné, toutes ces années à faire preuve de patience, toutes ces années à faire le beau devant la Comtesse, à épier ses moindres besoins. Enfin quand je dis là ' Toutes ces années ', je voulais dire un peu plus d'un an.


Un an mais une année bien pleine une année compliquée. Rien n'avait été prémédité, mais voilà quand Madame la Comtesse s'est approchée de François, il a tout de suite compris qu'il y avait du fric à se faire, et il était cupide .


C'est elle qui avait fait le premier pas, mais c'est bien lui qui avait fait les suivants. Et il avait bien manœuvré. Et maintenant après touts ces efforts, il avait gagné.


Le lendemain matin il se mariait, le lendemain il allait devenir riche, il aurait une nouvelle voiture, une voiture de sport italienne qui fait très frime et fait beaucoup de bruit, pour lui tout seul.


Il était à moitié ivre et il ne réagissait pas vraiment face à cette panique qui apparaissait sur le visage de son valet Timi.


Mais tout va bien Timi, allez bois un verre, tu seras plus détendu après !

Non Monsieur, non, madame la Comtesse , madame la Comtesse …


Continuait Timi, il était au bord du malaise .


Madame est à l'hôpital ! Finissait enfin par s'exclamer Timi.


La tête de François changeait, la joie insouciante laissait la place à un angoisse.


Mais que s'est-il passé ?

Madame la Comtesse a fait une attaque, elle a été transportée en urgence à l'hôpital, elle est dans le comas .


Expliquait enfin Timi en terminant avec une toute petite voix


Là François ne rigolait plus du tout, il devait entendre le bruit de la voiture rouge qui s'éloignait.


Brusquement François avait dessaoulé. Il avait vraiment l'air très triste mais ne nous trompons pas ce n'était pas l'amour de sa vie qu'il allait peut être perdre.


Mais que ? mais que ! Bafouillait François.

Je vous emmène à l'hôpital ! Lui disait Timi, j'ai ma voiture.


François s'est retrouvé à l'arrière de la petite voiture française, blanche, même pas pas noire, même pas rouge. Il avait quelques larmes qui coulaient de ses yeux. C'était la panique, son compte en banque à venir était dans le comas.


Ils arrivaient rapidement à l'hôpital. Et le pire était encore à venir.


François se présentait à l'accueil, le médecin de garde arrivait rapidement, il connaissait très bien Madame la Comtesse et son gigolo par conséquent.


Mon pauvre François, il faudra que tu sois très fort et très patient. Gertrude a fait une attaque, rien ne le laissait attendre, une crise cardiaque et un AVC, ce n'est pas bon signe.

Et elle est … ?

Elle est toujours en vie, mais elle est inconsciente.

Je veux la voir !

C'est hors de question, elle est en soin intensif.

François voulait insister et entrer en force, mais il ne partait pas dans la bonne direction. Le médecin le rattrapait rapidement.


Tu ne devrais pas rester là, tu ne peux rien faire. Nous prendrons soin d'elle et je te préviendrais personnellement dès qu'il y aura du nouveau.


François est resté sonné pendant un long moment, il ne réagissait pas vraiment, il se demandait ce qu'il devait faire et finalement Timi l'a reconduit à la maison.


Ils sortaient de l'hôpital quand arrivait la fille de la Comtesse.


Si tu voulais dépecer ma mère, tu t'est trompé d'adresse, jusque là tu étais un parasite, n'en rajoute pas ! Lui lançait-elle avec mépris en le croisant.


Puis elle continuait sans se retourner vers lui.


Vous l'avez compris, entre eux, ce n'était pas vraiment le grand amour.


François suivait Timi qui le ramenait à la maison. Ils avaient le choix entre la maison et l'hôtel. Timi se disait que la maison était un endroit plus sûr, il avait peur que la chambre d'hôtel ne leur soit plus disponible. La fille de Comtesse avait parfaitement pu rendre les clés. À la maison, François garderait les clés au moins jusqu'à l'ouverture du testament.


Eh oui, on en était là en moins d'une heure François était passé à l'euphorie d'un mariage d'intérêt à l'ouverture d'un testament.


Si seulement la vieille avait fait son attaque demain ! S'exclamait François en franchissant la porte d'entrée.


Là c'était la colère, il ne rigolait plus le pauvre.


Toutefois François était toujours très organisé, il sauvait les meubles, transférait tout l'argent qu'il pouvait vers un compte sécurisé. Il se doutait que l'héritière lui couperait les vivres.


La nuit était bien avancée quand Simon arrivait avec deux filles. ( Simon c'est le jeune veuf en larme du second épisode ), il n'était plus en larme et riait aux éclats.


Tu ne vas peut être pas de marier demain mais en attendant, cette nuit on va en profiter !


Sans attendre une des deux filles se laissait tomber à côté de François. François sursautait, brusquement il se rappelait de sa cage de chasteté. Depuis un petit moment il l'avait oublié. Un tout petit moment. Sinon, il y pensait toujours, en permanence. Il sentait sa queue se soulever, tenter de prendre ses aises. Malheureusement elle ne pouvait pas.


Rapidement la chaleur de cette fille superbe faisait son effet et François se sentait rapidement vraiment mal à son aise. Il avait une grosse érection contrariée. Une grosse queue ratatinée dans une petite cage, une cage à bite minuscule.


Ça faisait un moment que la Comtesse l'avait enfermée, ça faisait un moment que régulièrement sa queue manifestait mais là, c'était plus intense que jamais. C'était violent et il commençait à en baver.


La demoiselle le sentant un peu tendu glissais subrepticement sa main entre ses cuisse puis remarquant qu'il y avait un défaut s'exclamait.


Mais c'est quoi ce truc ?


François ne savait plus quoi dire, il se relevait, ouvrait son pantalon et le baissait. Les deux fille et son pote Simon regardait le spectacle totalement stupéfaits.


Alors là, mon vieux, si tu n'as pas la clé, tu es mal !


Puis une des deux filles pouffait de rire et pour terminer tout le monde rigolait, sauf François bien sûr !


Arrêtez de rigoler bêtement, CE N'EST PAS DROLE ! S'écriait Francois !


Simon rigolait et sans attendre retirait ses vêtements. Une des deux filles plongeait à ses genoux et lui prenait la queue dans la bouche. François regardait ça, sa queue occupait tout le peu de place disponible dans cette cage ridicule. Il ne bougeait pas, comme tétanisé.


La seconde fille se glissait juste derrière lui et lui caressait le corps, elle glissait ses mains sur son ventre, descendait jusqu'à son sexe, lui tripotait doucement les couilles puis lui caressait le torse. Ses mains glissaient sous sa chemise qu'elle relevait et avant que le pauvre François n'ait le temps de réagir, il se retrouvait entièrement nu, enfin au dessus des chevilles.


Elle le poussait fermement vers le canapé, il s'écroulait et elle lui libérait les pied. L'autre couple ne restait pas là bêtement à ne rien faire, Simon ne portait plus rien sur le dos. Il affichait un large sourire sur son visage.


La cage de son copain François ne le perturbait pas, tant que ce n'était pas lui qui devait porter ce genre de truc, ça l'amusait.


Les filles en étaient au même point que lui. Elles aussi s'amusait d'un rien. Et puis c'est toujours agréable de caresser un corps musclé et doux, François tout comme Simon l'étaient. Elles s'amusaient. La blonde qui s'occupait de François refermait ses bras sur lui, elle écrasait sa poitrine dans son dos et ses caresses devenaient plus intenses.


Le cœur de François battait très fort. Il finissait par reprendre la situation en main. Il se retournait face à la belle blonde, la prenait dans ses bras et l'embrassait. Ses seins s'écrasaient sur son torse et sa queue réagissait en plus, ça devenait presque douloureux et surtout incroyablement frustrant.


Il ne se sentait pas vraiment bien le pauvre, il jetais un œil sur sa droite et il voyait la queue de son ami Simon qui entrait et ressortait de la bouche de la superbe brune qui s'occupait de lui.


Une belle blonde, une superbe brune. Ils avaient tout ce qu'il fallait sous la main pour passer un bon moment mais voilà, pour François, c'était pas tout à fait ça !


Il y avait comme un malaise. La blonde glissait son corps sur celui de François, elle se donnait du plaisir et en échange donne une bonne dose de frustration à son compagne su moment.


Pour l'autre couple la situation était plus détendue, Simon était totalement décontracté, il avait retourné la brune et s'était penché sur elle. Il passait ses mains sur tout le corps de sa camarade, il insistait particulièrement sur le haut des ses cuisses, glissait un doigt, puis un autre puis y glissait sa bite.


A les voir faire François poussait un énorme soupir, puis râlait avant de se relever puis de repartir entièrement nu vers la salle de bain.


On voyait le malaise qu'il éprouvait, sa bite tentait comme une évasion, elle était gonflée, et formait des bourrelets de peau qui formait comme des bulles qui ressortaient par les trous d'aération, on pouvait voir qu'elle était toute ratatinée.


François plongeait littéralement sous la douche, il l'ouvrait à fond, froide comme il le fallait et poussait un cri. C'était glacé, il espérait seulement se calmer mais rien n'y faisait. Il grelottait mais tentait de tenir.


Simon était resté avec les deux filles et il les caressait en même temps, en limait une puis, l'autre. Lui il s'amusait comme un petit fou. Il avait deux filles magnifiques, rien que pour lui, ça ne lui faisait pas peur, à elle non plus remarquez.


Mais quand François revenait, le malaise n'était pas passé.



A suivre



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Troy 07 Chacun son tour

 

Troy 07

Chacun son tour



Troy se sentait bien, il avait toutefois regardé la date, les dates avaient tourné, jour après jour . On arrivait à dix !


Dix semaines bien sûr, mais c'est que ça faisait tout de même soixante dix jours. D'une certaine manière il se sentait soulagé, mais d'une autre manière il sentait que ça lui manquerait. Il avait fini par aimer cette situation, enfin pas au point de vouloir la continuer trop longtemps non plus.


Il ne faut pas exagérer !


Troy se faisait une joie à l'idée de retirer le dispositif. Le grand soir arrivait. Sam et Nadia étaient là. Elle était arrivée en dernier.

Elle avait un grand sourire pour cette occasion.


Toi tu regardes ! Ordonnait-elle à Troy.


En réponse il se laissait tomber sur le fauteuil avec un grand soupir.


On avait bien décidé soixante dix jours ? Tu te souviens ? Demandait-il à Nadia.

Je sais mon bébé, et je tiendrai parole. Mais la dernière heure du dernier jour n'est pas encore terminée.


En disant cela elle se déshabillait.


Sam regardait ça du coin de l’œil. Il bandait, il avait encore tous ses vêtements sur lui mais il bandait et ça se voyait.


Tu me fais voir ou tu en es ? Demandait Nadia.


Avec un petit sourire coquin, Sam se relevait, il regardait dans la direction de Troy. Commençait à se déshabiller. Troy regardait ça, il avait l'air un peu fatigué de cette histoire, il avait tellement attendu. Dix semaines, vous vous rendez compte, dix semaines … Oui je sais je me répète mais je voudrais vous y voir moi !


Enfin bref.


Sam leur faisait un striptease. Lentement il retirait ses vêtements, tous ses vêtements. Il commençait par la chemise, torse nue déjà il était pas mal, très agréable à regarder. On avait envie d'y toucher, Nadia ne s'en privait pas. Elle s'approchait, et avec douceur lui caressait le torse en s'attardant un peu sur ses tétons qu'elle pinçais délicatement.


On pouvait remarquer sa réaction, il bandait encore plus. Nadia s'en amusait, Troy beaucoup moins. Les vêtements de Sam disparaissait et Nadia s'échauffait, elle se montrait plus câline, sensuelle et certainement pas timide.


C'est elle qui s'approchait et qui ouvrait le pantalon de Sam, c'est elle qui le faisait tomber sur ses chevilles, c'est lui qui en retirait ses pieds et très en forme avec sa grosse queue bien relevée, au garde à vous, s'approchait de Nadia et la prenait dans ses bras.


Troy se sentait un peu à l 'étroit, il bandait mais sa cage toujours en place le confinait. Il en avait l'habitude mais en ce jour il s'attendait à autre chose. Il espérait sa libération. Nadia l'invitait à s'approcher d'elle et de la déshabiller.


Il s'approchait, il prenait Nadia dans ses bras, il la caressait avec énormément de douceur, il manquait d'air le pauvre et il tremblait. C'est dans les bras des deux garçons que Nadia se retrouvait. Sam la tenait dans ses bras face à elle et l'embrassait, Troy était dans son dos. Il lui caressait les seins, elle penchait sa tête en arrière, Troy l'embrassait chaque fois qu'il pouvait atteindre ses lèvres.


Sam se laissait aller, les caresses de Nadia l'invitaient à aller un peu plus loin, il la pénétrait. Elle était debout devant lui et Troy était debout derrière Nadia. Tout le monde caressait tout le monde, les bras se mélangeait et Sam se mélangeait avec Nadia.


Troy avait toujours sa cage, il bandait vraiment fort à ce moment. Il ne pensait plus qu'à être libéré. Il se souvenait du moment ou Nadia lui avait dit '' … Disons quatre semaines .. ;'' et lui qui répondait avec un total manque de lucidité, '' … Et pourquoi pas huit ? ...


Mais pourquoi avait-il fallu qu'il en rajoute se demandait-il en caressant le corps si doux de sa maîtresse. Il avait fini par arriver à dix. Il se demandait là s'il ne s'était pas fait avoir, mais fait avoir par lui même. Il sentait ses fesses contre le bas de son ventre. Ses seins, dans les paumes de ses mains, et partout la douceur de sa peau. Il y avait aussi la douceur du corps de Sam. Sam glissait en Nadia, elle se cambrait, sont corps se saisissait, se redressait et lui continuait à glisser en elle.


Sa queue, de grosse taille s'enfonçait et ressortait puis continuait encore et encore. Nadia gémissait de plaisir, elle embrassait l'un puis l'autre puis c'étaient eux qui s'embrassaient. C'était un mélange de bras, de mains et de douceur.


Nadia tremblait de plaisir, elle vibrait en poussant des cris d'orgasme, elle se tordait, se redressait entre les bras des ses amants. Pour elle c'était la totale, pour Sam c'était un plaisir, pour Troy c'était surtout un moment de frustration.


Ce dernier éprouvait ce qui était certainement la plus grande frustration depuis le début de cette histoire. Frustration qui était amplifiée d'autant plus que, dans sa tête, c'était clair il devait retirer ce dispositif. Toutefois il avait décidé de jouer le jeux jusqu'au dernier instant, il ne réclamerait pas. Il continuait à faire confiance à Nadia.


Et c'est elle qui décidait !


Elle prenait son plaisir, Sam aussi prenait son plaisir, Troy lui éprouvait la frustration mais la frustration ne fait-elle pas partie du plaisir ! Lui aussi prenait du plaisir, c'était un autre plaisir.


Sam jouissait, il ne le cachait pas et poussait les cris de plaisir au moment ou il parvenait à l'orgasme. Nadia faisait de même, elle jouissait bruyamment et Troy ressentait le plaisir, l'orgasme de ses deux partenaires.


C'était un moment intense, un moment de fièvre. Nadia se laissait retomber sur le lit, à côté d'elle, Sam s'écroulait également. Troy tremblait sous l'effet de la frustration en retombant contre Nadia, il continuait à la caresser, il continuait, comme à se nourrir de ses gémissements de plaisir.


Tout le monde retrouvait peu à peu son calme.


Bon, on ne vas pas en rester là ! Déclarait Nadia.

Je suis d'accord ! Rajoutait Troy.


C'est sûr, il ne réclamait pas, en cela il respectait sa promesse.


Et maintenant , rajoutait Nadia si on passait à la suite … Si on inversait les rôles.


Troy frémissait, il sentait comme un tremblement sur tout son corps. Il savait qu'il arrivait à la fin de ce défi.


Tu es prêt ? Demandait Nadia à Sam .

Moi ! Mais pourquoi, ? J'ai rien fait !

Te bile pas, tu verras c'est pas si terrible. Tu peux même y prendre du plaisir ! Rajoutait Troy.


Pendant un moment Sam semblait réfléchir, puis rajoutait.


Et pourquoi pas !


Nadia lui tendait un dispositif identique à celui que portait Troy. Il était totalement détendu le pauvre Sam, il venait de jouir. Nadia et Troy le regardaient, il tournait le regard vers l'un puis l'autre et timidement, en tremblant un petit peu, glissait ses couilles dans l'anneau principal.


Il savait comment fonctionnait ce dispositif, la seule chose qu'il ne savait pas c'est que ça faisait au porteur. Là ce serait une découverte pour lui.


Troy le regardait attentivement, il bandait, il avait toujours sa cage sur lui et il bandait. Mais c'était une érection calme, une grosse molle. C'était même très agréable, dans sa cage la pression était douce.


Nadia lui tendait la clé, Il ouvrait sa serrure et retirait de cadenas. Il le tendait à Nadia qui se retournant vers Sam le lui tendait.


Toujours avec quelques hésitations Sam refermait son dispositif. Il s'assurait que sa queue était parfaitement ajustée, que tout était en place puis il terminait en rendant la clé à Nadia. Il avalait sa salive, se demandait s'il avait bien fait mais comment aurait-il osé refuser. Son pote Troy lui avait montré l'exemple et semblait s'en porter très bien.


Troy avait retiré la cage et enlevé l'anneau principal. Il se sentait mieux, il avait maintenant une grosse molle qui pendouillait lourdement entre ses cuisses.


Une première surprise, il ne bandait pas vraiment, il bandait mou. Le contact de sa main qui tripotait sa queue était agréable, très agréable.


Mais il ne bandait pas vraiment. Sa queue restait molle. Il ne s'inquiétait pas, il se sentait bien mais quand la main de Nadia s'est posée sur son pénis, là, ça a changé. En quelques secondes, sa queue s'est mise à gonfler et à retrouver sa taille initiale, énorme et bien ferme.


A suivre



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Un coin tranquille

 

Un coin tranquille



Vous savez j'habite à la campagne, c'est un coin tranquille, il y a peu de circulation. Depuis la fenêtre de ma chambre j'ai une vue tombante sur un chemin qui passe entre les arbres, un peu en retrait de la route.


Il y avait un petit parking, je ne m'étais jamais posé la question de savoir à quoi servait ce parking, il était totalement isolé. Enfin pour aller aux champignons dans la journée, je ne dis pas, mais le soir. Mais la nuit, en début de nuit. Il y avait toujours quelques voitures stationnées. Oh elle ne restaient pas bien longtemps. Mais ça n'explique rien. Que venaient faire ces gens à la tombée de la nuit ?


On était vendredi, le temps était magnifique, un ciel rouge feu se dessinait derrière la forêt, le ciel devenait bleu très foncé puis noir. La saison était douce et les températures agréables. Je regardais la forêt, la nuit qui tombait doucement, le paysage restait très lumineux et on voyait très bien ce qui s'y passait.


Une silhouette passait. C'était un homme, il venait de sortir d'une voiture qui était arrivée quelques instants plus tôt, avait passé sous un arbre puis s'était dirigé d'un pas lent vers se petit chemin. Depuis la route on ne devait plus pouvoir le voir, il avait disparu au regard des passants.


Enfin remarquez, il n'y avait pas de passants.


Je voyais l'homme disparaître, il s'enfonçait sous les arbres. Une autre voiture arrivait, elle roulait lentement et se garait pas bien loin de la précédente. Un homme en sortait. Il ne semblait pas plus pressé que le précédent, lui aussi se dirigeait vers le chemin.


C'est pas une heure pour chasser les champignons. Ce n'est pas un hasard si je dis ' chasser ' , comme tout le monde le sait, les champignons ne sont pas des végétaux mais ont plus de gênes animaux ( oui je sais si on ne le sait pas ça surprend ) mais bon passons.


Ils ne venait pas chasser ( donc ) les champignons. Ceci dit un champignon ne se sauve pas en général. Ils devaient venir pour autre chose. Surtout que la nuit allait tomber et si les champignons ne se sauvent pas, ils savent se cacher sous les arbres.


Je voyais la seconde silhouette s'enfoncer dans le chemin, puis un peu plus loin, je voyais le premier se approcher. Les deux hommes se retrouvaient face à face et s'arrêtaient l'un en face de l'autre. Ils devaient discuter, je regardait en pensant à autre choses.


Moi je suis jamais allé à la chasse aux champignons, mais je pense que si j'y allais, et bien, je n'irais pas à la tombée de la nuit. Dans les endroits dégagés il faisait encore jour et on voyait très bien ce qui se passait ou qui passait. Mais sous les arbres, c'était autre chose.


Et puis les champignons, c'est pas comme les anguilles, la lumière des lampes ne les attire pas mais …


Qu'est ce qui venait de se passer là, les deux hommes s'étaient rapprochés l'un de l'autre et j'ai comme l'impression qu'ils s'étaient embrassés. Je sursautais, j'oubliais mes anguilles ainsi que les champignons.


J'ouvrais bien grands mes yeux. Maintenant ils s'était tellement rapprochés qu'ils se touchaient. De nouveau ils s'embrassaient, là il n'y avait pas de doutes, c'était bien un câlin. Remarquez j'ai rien contre mais je m'y attendais pas c'est tout.


Une des deux refermait ses bras autour de son partenaire et semblait le serrer bien fort contre lui, le second faisait de même et de nouveau ils s'embrassaient. Ils tournaient l'un sur l'autre. J'étais surpris, enfin j'espère que là vous me croyez. C'était juste à côté de chez moi mais c'est vrai que je n'habitais là que depuis quelques semaines.


Je découvrais les lieux par ma fenêtre. Je n'étais pas encore allé me promener dans cette forêt. Ça m'avait l'air sympathique et pittoresque.


Les touristes qui traînaient dans coin me semblaient un peut étranges, c'est tout.


Enfin quand je dis touristes, vous avez compris que c'était une manière de parler. Si eux étaient des touristes moi j'étais un voyeur.


Remarquez il y avait un peu de cela, donc disons que c'étaient des touristes.


Je les voyais se caresser, la main de l'un disparaissait sous la veste de l'autre. Puis c'était la main de l'autre qui imitait la première. J'étais surpris de voir aussi bien, mais quand on joue les voyeurs il vaut mieux voir ce qui se passe, sinon, c'est pas la peine. Un voyeur qui ne voit rien, c'est pas un vrai voyeur. Mais j'ai une bonne vue.


Il y avait un grand arbres très épais devant ma maison, je supposais qu'on ne devait pas pouvoir me voir depuis le chemin. Surtout que je n'avais pas allumé la lumière à cause des moustiques. Il n'y a plus de saisons, maintenant il y a des moustiques depuis tôt le printemps jusqu'à tard dans l'automne.


Mais je m'égare un peu.


A cet instant j'ai pas tout compris, un pantalon a glissé sur le sol. Enfin sur les pieds de son porteur pour être précis. Il ouvrait sa chemise et son blouson et l'écartait, je pouvait voir très nettement sa bite qui se relevait. Son partenaire tombait à genoux devant lui et sans traîner lui prenait la queue dans sa bouche.


Là j'ai sorti les jumelles. Mais je vous jure que j'ai honte, vous me croyez peut être pas mais je vous jure que c'est vrai.


Brusquement je voyais bien mieux ce qui se passait. Il en avait une belle le gars. Ça faisait envie !


Pardon !


Je voulais dire j'étais dégoutté ! Non mais c'est vrai ça , vous imaginez un peu la scène ? J'ai pas l'impression. Je me félicitait d'avoir choisi ces jumelles, le vendeur m'avait garanti qu'elles étaient très lumineuses et en effet , je pouvais le constater.


D’où j'étais je pouvais voir la queue du premier disparaître dans la bouche d' l'autre. Il balançait quelques coups de bassin, l'autre encaissait sans difficulté. Y en a je vous jure !


C'était excitant, je voulais dire dégouttant mais bon je bandais quand même. Je vous fais confiance, je vous raconte mais on est entre nous, ne répétez rien à personne. J'ai une réputation moi !


Bref donc, celui qui avait le pantalon sur les chevilles, retenait maintenant son partenaire avec force et lui balançait des coup de bassin. Je voyais maintenant bien mieux ce qui se passait. L'autre encaissait sans difficultés. Il était à genoux et semblait se régaler.


Debout l'autre appuyait sur sa tête à chaque coup de bassin qu'il donnait. C'était violent, je n'entendais rien la végétation étouffait les bruits mais je voyais bien.


Au bout d'un moment, celui qui était à genoux se relevait et baissait son pantalon, il se retournait, à ce moment je l'ai bien vu lui aussi. Il avait une petite bite mais il bandait lui aussi. Il s'est retourné et s'est penché en avant. Puis il tournait la tête en direction de son partenaire.


Ils étaient de profil à ce moment et je distinguais très nettement ce qui se passait. Je ne loupais rien !


Oui je sais j'ai honte mais on va pas en faire toute une histoire.


Celui qui avait une grosse bite s'approchait de l'autre qui lui tournait le dos. Là j'ai sursauté, il a enculé son partenaire. Il n'a pas pris de précaution. Il s'astiquait le manche avec je ne sais quoi puis l'enfonçait directement dans le cul de son partenaire.


Là j'ai entendu un cri.


'' Ça doit faire mal ! '' me suis-je dit ! Mais je bandais toujours.


Toujours celui qui était en position dominante saisissait l'autre par les hanches et le tirait avec force vers lui. Sa bite disparaissait entre les fesses du passif. Il donnait un coup de bassin, bien ferme, bien rapide et de toutes évidence bien fort, violent même. J'entendais encore quelques râles de la par de l'autre.


Puis il se laissait aller. Il s'enfonçait, ressortait et recommençait. Je distinguais une grimace sur le visage du pauvre passif, je vous jure que j'aurais bien pris sa place. Oui je sais, j'ai honte je vous dis mais on va pas y revenir.


Les coups devenaient réguliers, l'un se lâchait, l'autre s'abandonnait en râlant et je sentais comme un désir qui montait en moi, je le sentais se glisser entre mes reins.


Bon j'avais pas seulement honte, c'est évident !


Pendant de longues minutes, je les regardais prendre du plaisir. La lumière diminuait, il m'a semblé en voir un éjaculer, enfin je pense que c'était ça, le reflet que j'ai vu. L'autre à continué à le limer avec détermination pendant encore un moment.


L'ombre envahissait rapidement le chemin quand il s'est calmé. Il avait pris son plaisir lui aussi et il se retirait. Les jumelles étaient lumineuses mais il faisait trop sombre. Ils disparaissaient sous les arbres, je les voyais réapparaître au niveau des voitures. Ils discutaient encore un petit moment mais je ne pouvais pas entendre ce qu'ils disaient.


C'est pas bien grave remarquez, c'est pas ce qui m'intéressait.


Aussi le lendemain je faisais un petit tour, au coucher du soleil. Mais ce jour là, il n'y avait personne, il pleuvait à verse !


Heureusement j'habite pas loin !


Fin


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Jeune adulte 25 Pour avoir un prêt

 

Jeune adulte 25

Pour avoir un prêt



Simon n'est pas rentré avec nous ce soir là. On l'a tout de suite compris, il est parti avec Eric, le barman. Remarquez je comprends Eric, il est passif ( pas que mais principalement ) et Simon exposait quelque chose de très gros et lui était actif.


J'en connais deux qui vont bien s'amuser faisais-je remarquer à Thomas.


C'est cette nuit là que Thomas et moi avons décidé de nous marier. On n'a pas baisé cette nuit là. On avait bien travaillé et … oui quand je dis qu'on avait bien travaillé, ça veut dire que je m'étais bien fait défoncé le cul et que Thomas , lui, avait pété la rondelle à au moins deux de nos partenaires de travail.


Bein oui c'est du boulot ! Vous imaginez quoi, je voudrais vous y voir moi !


Bref, on s'est fait un câlin bien sûr mais on n'a pas baisé. N'allez surtout pas vous imaginez que nous sommes un couple moderne dans le sens ou chacun fait ce qu'il veut avec qui il veut. Non ! Pas du tout, on est fidèle mais là c'est du boulot, et dans le boulot, ça ne compte pas !


Je ne vibre vraiment de plaisir que quand c'est la peau de Thomas qui me touche. On s'est touché ce soir là, on s'est même bien touché et caresser mais on n'a pas baisé.


On a discuté, Il m'a demandé en mariage et en réponse je lui ai fait un gros, un très gros câlin … Mais on n'a pas baisé !


Par contre on a discuté. On a refait le monde, on a fait des projets et un en particulier … Acheter une maison !


C'est vrai que nous avions de très beaux revenus et, de fait, nous en avions les moyens. Il suffirait de faire un prêt à la banque, elle servent à ça les banques.


Je connais un banquier ! Disais-je à Thomas.

Il faudra aller le voir alors ! Me répondait-il.

Non, je ne crois pas, tu sais c'est un des anciens dans ma communauté !

Ah oui ! Remarque moi aussi je connais un banquier.

Et il est d'où celui-là ?

Je sais pas, c'est un client. Il porte une cage à bite lui aussi. Et il aime bien se faire défoncer le cul !

Il porte une cage à bite ?

Oh tu sais il y en a plusieurs. Il y a des hommes qui, sans faire partie d'un mouvement religieux, portent un tel dispositif.

Ah ouai !


On a discuté encore un moment et je ne me souviens plus lequel d'entre nous s'est endormi en premier. Tout ce que je sais c'est que j'étais dans ses bras, bien au chaud, et confortablement installé . Je pense que j'ai même un peu ronronné … Enfin je sais pas mais ça aurait très bien pu arriver.


Le lendemain nous n'avions pas changé d'avis. On voulait toujours se marier et on voulait toujours acheter une maison. Le matin, on en parlait, de nouveau on refaisait le monde ou on préparait le notre, notre futur. C'était vite décidé Thomas prenait rendez-vous avec son banquier.


Par contre je te préviens je ne marie pas en Robe blanche ! Lui sortais-je.


Il pouffait de rire et me prenait dans ses bras.


Quelques jours plus tard nous avions rendez-vous chez le banquier de mon doudou. Je reconnaissais l'agence.


Dis moi, ton banquier c'est pas un grand, chauve avec des lunettes carrées ?

Bein si pourquoi ?

Je le connais ! Il fait partie de ma congrégation. C'est un fanatique, il ne voudra jamais nous prêter de l'argent !


C'est incrédule que Thomas entrait dans la banque, j'hésitais à le suivre mais j'arrivais à quelques pas derrière lui, d'une démarche mal assurée.


Il me regardait avec un regard de fou, un regard de fou fanatique qui vient d'être découvert. C'était lui le client de Thomas, c'était lui qui nous faisait la morale, nous interdisait le plaisir du corps. C'était lui qui louait les service d'un petit gigolo. Il changeait de couleur, il devenait tout blanc, presque livide.


Voyant cela je préférais me retirer discrètement. Le banquier n'a pas imaginé que nous étions ensemble, ça lui paraissait sans doute trop surprenant, ou alors il n'était peut être pas très perspicace. Il a donc reçu Thomas qui n'a, bien sûr pas parlé de moi.


Je l'attendais à l'extérieur de la banque. Un moment plus tard je voyais arriver mon Thomas qui arrivait l'air dépité, il me regardait dans les yeux …


Il m'a dit non ! Me déclarait-il sur un ton dégouté.

J'en étais sûr. Lui répondais-je.

Mais pourquoi, on a un très bon dossier, on a de l'épargne, de beaux revenus. Que lui faut-il de plus ?

Comment a-t-il réagi quand tu lui as parlé de moi . Demandais-je.

Je ne lui ai pas parlé de toi, j'ai vu que tu avais disparu et je n'ai pas insisté. Il n'a même pas imaginé que nous étions ensemble.

Tu es sûr ?

Oh ça oui, ça j'en suis sûr ! Il m'a même demandé de passer le voir un de ces jours.

Passer le voir ?

C'est un client, enfin c'était. Et c'est un gros gourmand, il aime bien la bite.

Il va falloir le faire changer d'avis. Déclarais-je.


Thomas me regardait avec un regard surpris et interrogateur.


  • Tu penses à quelque chose de particulier ?

Je sais pas, je ne sais pas il va falloir faire un plan.


On rentrait à la maison, Thomas ne cachait pas sa déception.


On pourrait voir une autre banque ,

C'est une solution, mais je pense que pour ce genre de prêt cette banque est la plus intéressante. Il va falloir y réfléchir.

On a parlé d'autre chose, on est rentré. Le soir on était au boulot. On avait refait les calculs, et nos finances nous semblaient parfaitement saines . On avait du boulot, et on passait une très bonne soirée à danser sur scène à poil, à se montrer. Le travail nous permettait d'oublier nos ennuis. Thomas en a parlé à nos camarades de boulot, ils étaient surpris, c'était la principale banque dans la région et tous y étaient. Ils ne comprenaient pas non plus ce refus. Aucun ne connaissait ce banquier.


Quelques jours plus tard, le téléphone sonnait, c'était en fin de matinée. C'est Thomas qui décrochait, son visage changeait quand il entendait la voix. Il me faisait signe de prendre l'écouteur.


Là c'est moi qui devait changer de tête, je reconnaissais la voix, c'était le banquier. Il avait aimé la visite de Thomas, et il s'était souvenu de moments très agréable qu'il avait passé avec lui. Il avait une voix mielleuse, collante,gluante même. Il voulait quelque chose et sans rien dire vraiment d'une manière claire, il laissait sous-entendre qu'il pourrait peut être influer sur la décision du conseil d'administration.


Thomas, toujours très professionnel prenait rendez-vous. J'étais médusé, je restais sans voix.


Tu sais que là, il m'étonne le mec. Il nous faisait la morale en permanence.

Tu veux que j'annule le rendez-vous ?

Non, on va la convaincre de nous accorder le prêt ! Lui Répondais-je.


On décidait que le rendez aurait lieu à la maison. Thomas le contactait un peu plus tard et finalisait le rendez-vous.


Ce qui est bien avec ce monsieur c'est qu'il sait être ponctuel. En plus il ne venait pas les mains vides, il emportait avec lui une bouteille de bon champagne. Je restais en retrait et ne me montrais pas mais je pouvais tout voir. On s'était fait prêté quelques caméras par un des producteur pour lequel on travaillait.


Je suivais tout sur un écran.


Thomas recevais notre hôte, il l'invitait à s'installer puis ils passaient aux choses sérieuses.


Thomas se plaçait devant notre banquier qui s'était assis sur un fauteuil, puis ouvrait son pantalon et le baissait. Il gardait un sourire satisfait. Le banquier devait être en manque, il se jetais sans aucune retenue sur la queue de mon doudou, Tomas !


C'était un gros gourmand, ça ne faisait aucun doute. Il avalait cette superbe grosse bite que je connaissais si bien et qui en dehors du boulot m'était réservée.


Non, je n'étais pas jaloux. Vous savez avec le métier qu'on fait, mon doudou et moi, on en a vu d'autres. Je regardais depuis la salle d'à côté, je regardais mon doudou en action et j'admirais.


J'en revenais pas le banquier savait y faire, lui que je connaissais pour nous faire la morale me surprenait. Il suçait goulûment la grosse queue de Thomas. Il l'avalait avec passion, on pouvais deviner qu'il avait du mal mais aussi qu'il aimait ça.


Thomas retirait ses vêtements en commençant par le haut. Torse nue les mains de notre invité se promenaient sur sa peau, elles le caressaient. Il y prenait du plaisir, et là je ne parle pas de Thomas. Je n'y croyais pas de voir le plaisir que prenait notre banquier. Il aimait vraiment la bite le bougre.


Thomas lui prenait la tête entre les mains et lui limait la bouche avec sa grosse queue, il la lui enfonçait tranquillement bien à fond. On aurait pu se demander comment il faisait pour encaisser. Enfin moi je ne me demandais pas, je savais, moi aussi je fais pareil.


Moi aussi j'aime sentir la queue de mon Thomas s'enfoncer dans ma bouche, puis aller un plus profond, puis finalement d'aller en retour s'écraser dans ma gorge. Son gland épais et large, m'écrasait la glotte et continuer un peu plus loin. Arrivé à ce niveau je ne peux plus respirer mais j'adore ça quand même. Il était comme moi, il n'y avait pas que notre queue en cage qui nous faisait nous ressembler.


C'est Thomas qui prenait l'initiative, c'est lui qui décidait, tout comme avec moi. Thomas le relevait , le retournait , le repoussait pour qu'il se penche en avant lui lubrifiait le cul.


Là notre ami commençait à nous sortir des insanités, il gueulait, il en redemandait. Thomas le prenait fermement par les hanches puis le tirait vers lui avec force et en même temps enfonçait sa queue dans son culs. Là notre hôte à gueulé, je ne vous dis pas.


Même moi, j'ai trouvé que mon Thomas exagérait un peut à ce moment, mais il est comme ça Thomas, il joue entre la tendresse et une certaine forme de violence. Il sais ce qu'il fait, il savait que notre ami, aimait bien le sentir quand il se faisait enculer.


Ensuite Thomas lui a limé le cul, longuement, avec des mouvements amples. Il se retirait presque entièrement puis s'enfonçait jusqu'à la garde. Il faisait claquer son ventre contre les fesse de notre hôte. Et des cris de panique autant que de plaisir accompagnaient les mouvements de Tomas.


Thomas s'énervait, il accélérait, il ralentissait puis il reprenait. Plus tendre , plus violent, il donnait à notre hôte toute la gamme de mouvements.


Il nous avait refusé le prêt mais ça, c'est pas une raison pour ne pas être professionnel.


A suivre



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    . Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.                                         PAGE D'ACCUEIL   Mis e  à j...