Gigolo 06 Chez Timi

 

Gigolo 06

Chez Timi




François n'a pas passé une bonne nuit, oulala non. De plus en plus frustré il s'est finalement retranché dans un coin et on l'a retrouvé le lendemain matin replié sur lui même en position fœtale accroché à une bouteille de whisky vide.

Dans les jours qui ont suivi, je ne vous dirais pas que François retrouvait le moral. Il ne lâchait sa bouteille de whisky que pour aller à l’hôpital. Il gardait l'espoir, il restait un long moment au chevet de sa bien aimée ( si , si il faut y croire ) Madame la Comtesse avait laissé de longue date des consignes précises que le médecin connaissait et la fille n'avait pas réussi à faire interdire les visites de François.


Elle n'avait pas non plus réussi à le chasser de l'appartement. L'argent était toujours disponible, comme prévu une somme était versée sur le compte de François tous les lundis .


Il restait là au chevet de sa bien aimée pendant deux heures, c'est vrai qu'il n'avait rien de mieux à faire et de retour à la maison, il sautait sur une bouteille de whisky. C'est Timi qui le conduisait, dans l'état ou il était il valait mieux ne pas le laisser conduire.


A part Simon et Timi plus personne ne venait prendre des nouvelle de François. Jusqu'à ce jour c'était un matin pour François, il n'était pas encore quatorze heures, il se réveillait , la tête dans le pâté. La fenêtre et les rideaux étaient grand ouvert.


François ouvrait un œil en râlant !

Mais qu'est ce que tu fais Timi, tu as vu l'heure ?


Ce n'était pas Timi. C'était le fille de la Comtesse !


Qu'est ce que tu fous là ? Demandait François.

J'ai une grande nouvelle !

Pour toi ou pour moi ?

Ma mère est morte cette nuit !

C'est donc pour toi que c'est une bonne nouvelle !

Toujours aussi charmant , tu aurais pu me présenter les condoléances habituelles !

Toutes mes condoléances, et ça te fait quoi ? Tu hérites !

Et toi tu dégages !


Avec la fille de la comtesse, c'étaient toujours des relations froides, ces deux là se contentaient de se supporter , ils avaient une bonne raison pour cela en fait ils n'avaient pas le choix, jusque là ils n'avaient guerre le choix.


La comtesse était décédée et donc sa fille avait maintenant le choix de ne plus supporter le parasite de sa mère, pour elle ce n'était vraiment qu'un parasite !


C'est donc à l'aube, à la première heure de la journée ( restons calmes vers quatorze heures du matin ) que notre ami François se faisait mettre à la porte.


Et il a fallu que ça bouge, le pauvre François tenait à peine debout et ses affaires se sont vite retrouvées empilées au milieu de la chambre. Timi s'est dévoué spontanément pour aider son maître qu'il aimait bien.


Pour mieux se réveiller il est d'abord allé boire la tasse sous la douche, il ne tenait pas debout je vous dis. Il s'est habillé comme il pouvait tandis que sont valet Timi rangeait toutes ses affaire dans les malles qu'il trouvait.


C'est finalement bien chargé que François quittait la maison, sa voiture ne suffisait pas et Timi remplissait la sienne. François avait encore cette chance que sa voiture était en son nom, il la gardait mais une telle voiture coûte cher, très cher … Et François savait déjà qu'il ne pourrait pas la garder bien longtemps.


La fille de la comtesse saluait le départ de François sur le seuil de la porte en agitant un mouchoir sans cacher un large sourire de soulagement. Dans un premier temps François fonçait chez Simon pour lui demander l'hospitalité. C'est vrai que Simon était bien logé, il avait quelques temps plus tôt faut un héritage conséquent, héritage qui s’accompagnait d'un heureux événement, son veuvage ! Depuis il profitait de la vie !


Problème , Simon n'était pas là ! François enquêtait et apprenait rapidement par les voisins qu'il était en vacance à Ibiza ou à Perpett les Bains ou un truc comme ça. En fait personne ne le savait trop ou il était et en plus, il ne répondait pas au téléphone !


François était au bord de la crise de larme, s'il devait se payer l'hôtel, le peu d'argent qu'il avait sauvé ne durerait pas bien longtemps. Il était là, dans le bar qu'il y avait devant la maison de François, devant un café, son serviteur Timi en face de lui, tous les deux le nez dans un café qui refroidissait. François ne disait rien et une larme coulait sur sa joue.


Les événements de ces derniers jours repassaient en boucle dans sa tête, la catastrophe aurait pu être évité. Un mois plus tôt il avait parlé de mariage avec la comtesse, un mois plus tôt elle acceptait de l'épouser le jour même, un mois plus tôt, le temps de publier les bancs et il serait veuf et heureux aujourd'hui. Et surtout très riche !


Mais voilà ils avaient tous les deux choisi un grand mariage, c'était pour faire plaisir à la comtesse. Il regrettait vraiment de ne pas avoir insisté.


Il avait pensé à lui faire une grosse crise de romantisme, publier les bancs et l'épouser incognito et ensuite, seulement ensuite il l'aurait emmenée à l'église en grandes pompes !


Mais pourquoi avait-il choisi de décaler ?


Je te le dis mon pauvre Timi, si une occasion se présente , n'attend pas. Ne repousse jamais un mariage lucratif . Tans de drame peuvent arriver ! Ah si seulement c'était arrivé le lendemain, juste le lendemain, au moment ou on sortait de la mairie par exemple. J'étais veuf, et tellement heureux.


Puis François fondait en larme.


Ne te met pas dans cet état, tu es jeune, beau gosse et tu as du succès.


François se souvenait que Timi n'était pas au courant de sa cage de chasteté. Il ne l'avait pas crié sous les toits. Simon le savait mais personne d'autre. Enfin sauf les deux filles de l'autre jour, leurs copines, les copines de leurs copines, leurs copains aussi à toutes, certains employés d'hôtel, de bar ou serveurs de restaurants. Enfin quelques centaines de personnes seulement.


C'est vrai que François était très en vue, très connu dans ces milieux. Mais bon, ce n'était pas la peine de l'alarmer, il croyait encore que le secret était bien gardé. Et puis il ne se trompait pas, Timi n'était pas au courant !


Timi ne savait pas et il n'était pas du genre à écouter les ragots ou à se poser de questions. À ce moment précis, il ne savait pas quoi dire, quoi faire.


Si tu veux, tu peux venir chez moi, j'ai deux chambres, l'appartement est grand.

Tu es vraiment adorable lui répondait François. Juste le temps que je me retourne alors …


Timi payait, François le suivait, c'était une voiture puissante qu'avait François mais pour une fois il ne poussait pas le moteur, il suivait docilement son valet, son ancien valet même on pourrait dire. Car si François avait perdu ses revenus, indirectement Timi avait perdu son boulot et lui y pensait.


C'était difficile à dire à quoi, François, lui, pensait. Il pensait un peu à tout à la fois et avec l'alcool qu'il avalait tous les jours, ses idées étaient tout sauf claires . Au volant il était toujours en larmes.


Peu après ils arrivaient chez Timi, François était en larmes. Ses réserves, il le savait, ne lui permettraient pas de garder son train de vie bien longtemps et que faire … Il n'avait pas l'habitude de travailler ni avec ses mains ni avec ses pieds, il était un peu comme les castors.


Et là il ne pouvait plus travailler avec sa queue non plus ! En plus il ne savait rien faire, il avait bien travaillé dans un hôtel mais il n'était pas doué, il était même nul et sans sa rencontre avec la confesse, il aurait été viré peu après.


Timi montait les affaires de François, c'est lui qui faisait tout, comme d'habitude. François le suivait complètement ahuri. Il semblais ne rien comprendre à ce qui se passait.


Timi lui montrait les lieux, c'était sympa, il y avait deux chambre un salon avec un coin cuisine et une salle d'eau. Ce n'était pas très grand mais il y avait largement assez de place pour deux.


François s'est effondré sur le lit, on était encore dans l'après midi mais il était fatigué, épuisé même. Plusieurs semaines à passer veiller la comtesse à l'hôpital, plusieurs semaines de cuites qui n'en finissaient pas.


Il se réveillait, il était dans son lit, dans son confort habituel douillet et rassurant. Une douce lumière inondait la chambre, il se souvenait , la comtesse les avait quitté, il était libre, il était heureux, il héritait.


Il allait appeler Timi quand une sublime blonde entièrement nue entrait dans la chambre, il n'était pas étonné de la voir entrer, il savait qu'elle était là, il ne s'en souvenait plus plus mais il le savait. Il lui faisait un large sourire. Elle se penchait sur lui, il sentait sa poitrine qui lui caressait le torse. Il bandait. Il ouvrait ses bras en grand, elle se laissait aller sur lui. Le couvrait de baisers , d'abord sur les lèvres puis dans le cou, puis les épaules, le torse.


Elle se glissait contre lui et le caressait avec son propre corps. Il refermait ses bras et lui rendait caresse pour caresse.


Puis les corps se mélangeaient, elle se penchait sur son torse, il se penchait sur ses seins, la chaire était douce, c'était une nuit comme il n'en avait jamais connu. Une nuit douce, une nuit chaude, une nuit torride d'érotisme et de plaisir. Oui, c'était la nuit, la lumière provenait d'un éclairage indirecte.


Elle descendait le long de son corps et avec douceur lui prenait la queue dans la bouche. C'était bon, la comtesse nui lui avait jamais fait cela. Avec la comtesse, c'est lui qui devait donner du plaisir. Cette nouvelle petite était plus généreuse, mais peut être n'avait-elle tout simplement pas d'argent. C'est lui qui héritait !


Il se retournait et alors qu'elle ne voulait toujours pas lâché cette superbe queue, il plongeait entre ses cuisses. Lui aussi donnait alors du plaisir. Il savait faire sa langue plongeait dans les recoins les plus intimes de sa partenaire, il n'était pas en territoire perdu, il savait parfaitement ou il allait et ce qu'il fallait faire.


Elle gémissait la bouche pleine, elle gémissait de plaisir et sa langue glissait avec plus de force contre le gland de son partenaire. Il frémissait de plaisir, tous son corps tremblait. Il sentait le corps de sa partenaire frémir lui aussi. Il se retournait dans le bon sens, se plaçait entre ses jambes et la pénétrait avec son gros dard.


Elle a alors gémi avec force, elle a poussé un cri, pour l'encourager pour lui dire d'arrêter , il comprenait, il n'hésitait pas une seconde, il glissait avec souplesse, avec douceur, avec fermeté. Il s'enfonçait en elle jusqu'à la garde. Il sentait son corps vibrer de plaisir, il sentait qu'elle jouissait.


Il allait jouir lui aussi mais c'est une souffrance, une douleur qui lui tenaillait alors la queue. Il se souvenait qu'il avait une cage à bite au moment ou il ouvrait les yeux, il bandait avec force et ce n'est pas cela qui allait le calmer.


Il faisait presque jour, il se réveillait après un rêve très agréable et très doux et se heurtait à la réalité, il n'héritait pas et il avait toujours la queue dans une espèce de prison infernale. Allongé sur son lit, chez Timi, dans la chambre d'ami, il avait dormi une journée entière et il avait la gueule de bois.


A suivre

N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


INDEX

                                        .       Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.  

                                     

PAGE D'ACCUEIL










NOUVEAUTÉS

Sept derniers textes publiés


Comme prévu Ep02

Bien mieux que prévu

------

Presque frères Ep26

Un berger

------

Comme prévu Ep03

Tout va bien quand même

------

Comme prévu Ep04

Un petit boulot

------

Comme prévu Ep05

Ah les filles

------

Comme prévu Ep06

La cage de Ralf

------

Il m'a juste demandé (Ep 01)

------

https://charlychast.blogspot.com/?zx=ce4f16562b37976


 

═════════════


J'avais pris l'habitude de proposer un texte tous les 4 jours. Mais voilà je suis en manque d'inspiration ( ou un truc comme ça )

BREF

Je n'ai plus de planning, 

on verra bien !


═════════════


BRICOLAGE
  

Do it "yourcherlfe" , comme ils disent les américains ...













═════════════

IL ETAIT UNE
FOIS
Pour une fois c'est pas une fiction, c'est du vécu raconté
avec passion, émotion, rythme ... 
Et en plus il y a des images ... 



Les pages sont reliées ( à la main )
par groupe de 5
═════════════



Toute la famille Brosso
Djé  -  Antoine  -  Philippe  -  David

-------------------------------






Bonne lecture et surtout n'hésitez pas à me retrouver sur

TWEETER

@CharlyChast







-------------------

Il m'a juste demandé

 

Il m'a juste demandé



On s'était rencontré comme souvent dans une soirée très arrosée . La bière coulait à flot. Les inhibitions tombaient. C'est son sourire qui m'a séduit, son regard ensuite, et pour terminer la manière qu'il avait de me regarder. Son regard était doux et rassurant. Son visage était agréable. Il était très détendu et prenait bien le temps de déguster chaque gorgée de sa bière brune.


Ensuite c'est sa silhouette que je voyais au moment ou il se levait, il avait de l'allure, une silhouette large et massive sans pour autant être gros. Il émanait de lui une certaine force et une grande stabilité.


On était plusieurs attablés près de la fenêtre du bar et on pouvait regarder les gens aller et venir sur le boulevard . Le temps était chaud, maintenant il faisait nuit.


Les heures passaient lentement en prenant bien le temps de nous laisser nous détendre.


La nuit avançait et des six que nous étions au début, quatre d'entre nous décidaient de terminer la soirée chez Damien, c'était son nom. Damien !



J'ai enfin pu le voir en pleine lumière, et je dois dire que je le trouvais tout à fait à mon goût. Son pantalon de jeans le mettait très en valeur, sa chemise aussi, une chemise épaisse à carreaux qui lui donnait une allure de bûcheron. Sans sa casquette il avait vraiment l'air très masculin, ses cheveux courts étaient très foncés, sa peau était mate et sa barbe naissante était noire .


Son sourire semblait encore plus doux en pleine lumière. Il nous servait une bière chacun, en gardait une pour lui et nous parlions. On racontait nos vies, je ne voyais que le beau Damien, nous étions chez lui et il était particulièrement décontracté.


La soirée avançait depuis un bon moment quand j'ai remarqué que les deux autres garçons étaient enlacés. L'un des deux s'était penché sur l'autre et laissait sa tête retomber sur son épaule.


Ça n'avait rien d'une position scabreuse, juste une position câline, deux bons copains qui se faisaient un câlin. Enfin quand je dis là deux copains, peut être un peu plus quand même. Ils avaient l'air d'être un peu plus que de simple camarades. Ils étaient mignons tous les deux. Damien n'avait pas l'air surpris et n'y prêtait pas attention, c'est vrai que pour moi, je ne connaissais ces trois garçons que depuis quelques heures mais eux se connaissaient de plus longue date.


  • Ils sont en couple ! Me confiait Damien en parlant des nos deux autres camarades.


Je jetais un œil et en effet, je constatais qu'ils étaient en couple , il s'embrassaient avec autant de douceur que de passion. Je les regardais, peut être avec un peu d'insistance, mais c'était sans voyeurisme et sans arrière pensées.Je les regardais peut être aussi un peu trop longtemps sans m'en rendre compte, mais Damien lui, s'en rendait compte. Il me regardait a vec un large sourire quand me retournais vers lui.

    • Ça ne te choque pas ? Me demandait alors Damien.


Je lui répondait en faisant non de la tête, il me faisait un sourire. On continuait à discuter .

plus tard, nos amis sont partis. L'un après l'autre ils faisaient la bise à Damien et tout naturellement me faisaient la bise. Ça semblait tellement naturel.


Je me retrouvais seul avec Damien, il était vraiment beau, je le regardais alors d'une autre manière, je devait avoir du désir dans les yeux, je sentais du désir pour lui. Il avait un corps large, fort. Notre discussion était ponctuée de silences.


C'étaient des moment ou un trouble me parcourait. Il se relevait mettait un disque et revenait s'asseoir, mais cette fois un peu plus près de moi, très près de moi même. On trinquait et on buvait une rasade de bière en cœur.


Je n'ai pas fait vraiment attention quand son bras est passé derrière moi, derrière mon dos, sur le dossier du canapé. Je n'ai pas réagi quand il s'est rapproché un peu plus. Il ne me dérangeait pas , au contraire. Il était tout à fait à mon goût mais seulement je n'osais pas, ça ne me dérangeait pas vraiment que lui, il ose.


Nous nous détendions, je me souviens qu'à un moment j'ai tourné ma tête vers ma gauche, il tournait la sienne vers la droite et nos visages se retrouvaient face à face, en un instant je me perdais dans ses yeux. Il approchait son visage et me donnait un baiser. Je le lui rendais son baiser. Ses lèvres étaient douces et sa langue glissait sur les miennes.


Pendant de longues minutes nous partagions un moment de tendresse et de douceur comme on en connaît trop peu.


Une main glissait sur mon torse, je la caressais. Elle glissait sous ma chemise. Je refermais les bras autour de son cou, le tirant contre moi et nos baisers devenaient intenses.


Imperceptiblement au début il retombait en arrière sur le dos. Je le suivais et me retrouvais allongé contre lui dans ses b ras, lui dans les miens. Nos caresses restaient sages, peut être pas trop longtemps mais au début, nos caresses restaient sages pendant un peu de temps.


Pas trop longtemps, sa main glissait sous ma chemise, je sentais ses doigts à la fois doux et rugueux, un instant je me suis dis qu'il n'avait peut être pas que l'air d'un bûcheron finalement. J'ai trouvé son contact particulièrement agréable, ses mains étaient douce tout de même.


Sa main glissait contre ma peau, la mienne remontait sur son bras, il m'embrassait dans le cou. Il prenait bien son temps pour faire monter le désir et le plaisir montait déjà, je sentais ma queue qui prenait du volume. Elle devenait aussi plus dure, pas seulement plus grosse.


Doucement, toujours sans se presser, il ouvrait ma chemise, il faisait sauter chaque bouton l'un après l'autre, ma main glissait sur son torse. Il était musclé et sa peau était douce.


On échangeait encore un baiser puis un autre, et … encore un !


Je ne sais plus combien de temps à duré ce moment, je me retrouvait dans ses bras, j'étais torse nue, lui aussi et nous profitions tous les deux de la chaleur du corps de l'autre.


Je lui ouvrais son ceinturon. Il se penchait en arrière pour me faciliter le travail. C'est avec délicatesse que je lui ouvrais son pantalon, sa braguette, puis j'y glissais doucement la main. C'était une surprise, pas vraiment une petite surprise, non, une grosse surpris.


C'est un bel engin qui se relevait avec force, je ne m'y attendais pas. J'aurais à peine osé l'espérer. Une grosse bite comme je les aime. Bien large, un beau diamètre et une belle longueur, plus longue que ma main, c'est dire.


Il était circoncis, j'aime bien moi les mecs circoncis. Son gland sec brillait sous le soleil, enfin la lampe de salon. On n'avait pas bougé, on était toujours dans le salon, sur le canapé. Il soulevait les fesses et me laissait tirer son pantalon ver le bas. Encouragé par ce que je découvrais, je le lui retirais totalement, chaussette comprises.


Pendant une petite seconde, pas plus, je vous jure. Puis je plongeais sur sa queue et je prenais son gland dans ma bouche.


Il brillait encore plus sous ce soleil artificiel. Je penchais ma tête sur lui, il me caressait les cheveux. Il n'appuyait pas sur ma tête, il m'aurait fait peur, elle était vraiment grosse.


Je vous ai dit que j'étais passif ?


Mon cœur battait fort, et je respirais fort également, il fallait que je me calme, je passais ma langue et mes lèvres sur son gland. Je le caressais, je caressais cette belle queue, je me régalais. J'en oubliais de me déshabiller ! Je sentais ma queue qui se retrouvais à l'étroit dans mon pantalon.


Il finissait pas le remarquer.


D'un mouvement rapide, il ouvrait mon pantalon, je me relevais devant lui, il baissait mon pantalon et ma queue se relevait enfin libre à l'horizontale.


Il s'en amusait, me prenait mon gland dans sa bouche et me donnait un moment de plaisir, un court moment de plaisir. Rapidement je me penchais de nouveau sur lui et continuait là ou je m'ettais arrêté. Je prenais le temps de bien lui masser la queue, de bien la caresser sur toute sa longueur.


J'insistais longuement sue son gland, avec la paume de la main, avec la langue et je lui arrachais de gémissements de plus en plus fort. Je parvenait même à lui arracher un cri de plaisir.


Je relevais alors la tête et je ne lui cachais pas mon sourire de satisfaction. Il me rendait mon sourire et je l'embrassais.


Il me retournait sur le dos.


  • Tu es passif ? Me demandait-il.


Je faisais oui de la tête.


  • Prouve le ! Rajoutait-il.


Je pouffais alors de rire.


  • Tu veux quoi, que je m'assois sur ta queue ? J'ai rien contre me la prendre dans le cul mais vas y doucement tout de même !


C'est lui qui pouffait de rire à son tour.


  • C'est pas à ça que je pensais, enfin si quand même! Me répondait-il.


Puis en me caressant les couilles et la bite il se levait se dirigeait vers un petit meuble. Il en sortait quelque chose et revenait. Sa queue énorme se balançait de droite à gauche.


Il se penchait sur moi, me saisissait les couille et là j'ai pas tout compris. Quelques instant plus tard je relevais la tête, il m'avait passé les couilles dans un anneau, la queue elle ne pouvait pas y entrer. Il posait ce que je reconnais comme une cage à bite sur mon gland mais je ne pouvais pas y entrerma queue, j'étais en érection.


J'étais sur le dos, les jambes écartées, et je lui montrais la cage.


-Et comment tu veux que je l'enfile ? Lui demandais je .


Sana rien répondre il me saisissait par les jambes, me les relevait, se penchait sur moi et dans un mouvement rapide prenait position, je sentais alors une intense pression contre mon anus.


J'ai poussé un cri mais je l'ai laissé faire, je respirais fort et je gémissais, ce n'était pas que du plaisir. Il poussait et je sentais mon anus se dilater sans ménagement.


J'ai couiné, c'était un peu de douleur, il était vraiment bien membré ! Je vous jure que là, je l'ai senti passer. Il ne me ménageait pas. Il était décidé, moi aussi et je tenais bon. Ça me faisait bien un peu mal mais je connaissais le plaisir qui allait suivre, je faisais de mon mieux pour me détendre, je criais presque par moment.


C'était violent, je ne le regrette pas mais c'était violent. Je sentais sa queue glisser en moi, il avait mis du gel et ça glissait bien. Le frottement n'était pas désagréable, mais la sensation venait surtout de la dilatation. Il me remplissait, son ventre s'écrasait sur mes fesses, là j'ai hurlé.


Je tremblais, je gigotais de gauche à droite, j'avais envie de me dégager mais je ne le voulais pas. J'en voulais encore. Il s'appuyait alors contre moi, les genoux sur le canapé.


  • Et là alors ? Me faisait-il remarquer. Tu peut entrer dans la cage.


Je relevais la tête et, en effet j'avais débandé. Il glissait ma queue dans l'anneau, ça passait tout seul, je le laissais faire, il me lubrifiait la queue, je ne comprenais pas tout de suite, et il glissait ma queue dans la cage, j'entendais un petit clic.


Et sans attendre il se retirait de mon cul avant d'y revenir avec force. Puis il limait, il entrait bien à fond en s'écrasant contre mes fesses avant de se retirer. Au début c'était douloureux mais quand la douleur disparaissait, c'est un grand plaisir qui montait en moi. J'ai encore hurlé mais là c'était de plaisir, je ne bandais pas mais c'était bon.


Il me limait en douceur puis avec fermeté puis enfin avec force et violence, son ventre claquait contre mes fesses et rythmaient mes cris. Il gémissait lui aussi.


Je ne sais pas à quel moment il à juté, il a continué à me limer, toujours avec force. Je tremblais, je ne contrôlais plus mes gestes. Il se repliais sur moi et me prenais dans ses bras. Nous restions un long moment sans bouger, peu à peu je sentais sa queue glisser hors de mon cul. C'était bon.


Il se relevait, et tout en me regardant droit dans les yeux il me tendait un petit cadenas.


J'ai compris ou il voulait en venir. Sans faire de manière, je prenais le cadenas et je verrouillais la cage. Sans trop savoir ce que je faisais. Mon cœur battait fort , très fort, trop fort. Je n'avais plus rien dans la tête au moment ou il me prenait la clé des mains.


Il se penchait de nouveau sur moi pour me faire un câlin. En fait quand j'y pense, il ne me l'avaitmême pas demandé !


Fin



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

INDEX

    . Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.                                         PAGE D'ACCUEIL   Mis e  à j...