David saison 2 ( episode 22 à 28 )

LES AVENTURES DE DAVID 
Ep 22 : FUTUR PRESIDENT



Le calme revenu, le PFC prenait la parole .

'' Je suis heureux et honoré de vous voir tous réuni ici aujourd'hui … C'est un jour de joie et de fête … Il y a un siècle … Un anniversaire symbolique … Présage de prospérité … Nous aurons bientôt un nouveau directeur qui prendra en main la destinée de l'entreprise la plus prestigieuse et la plus prospère de … ''

Philippe lançait un regard de réprobation à l'encontre du PFC … Et David se disait sans pour autant s'inquiéter … '' Je me disais bien que ça allait me retomber dessus cette histoire … !''

Le PFC continuait son discours pendant encore un long moment … Il fait ça très bien, c'est pas par hasard s'il a été élu président … Puis laissait la parole au gouverneur … 

Le gouverneur se félicitait lui aussi de l'arrivé récente du prochain PDG de la PK … '' Et ça continue …  '' se disait David , '' Ils on dû se passer le mot, c'est sûr … ''

Philippe lui semblait se crisper, il n'appréciais pas vraiment ce genre de commentaires, ni de la part du gouverneur ni du PFC et il se sentait parfaitement de taille pour leur tenir tête, et ce même en public, pour protéger son petit fils. Mais David lui ne semblait pas du tout impressionné. 

''Il est quand même un peu particulier mon petit fils '' se disait Philippe, '' il a fait un choix particulier, à un âge particulier. Bien s'il n'a pas l'air inquiet, je n'ai qu'a laisser dire. Je n'interviendrai que s'il en a besoin ! '' .

Le maire de la ville prenait ensuite la parole, il avait préparé un discours de circonstance … Il faisait court mais efficace … 

Il laissait ensuite le micro à David. D'abord surpris, il se retrouvait sans vraiment comprendre devant le micro.

David : Qué !?

Le micro était branché et le son passait parfaitement la foule entendait clairement le surprise de David et éclatait de rires suivis par des applaudissements. Beaucoup de personnes connaissaient David pour l'avoir rencontré. Il savait se faire apprécier et tout le monde ne disait que du bien de lui. Il était très aimé et c'étaient des sourires de sympathie qui répondaient à sa surprise.

David : Bien … Donc vous avez sans doute compris que je ne m'attendait pas à devoir faire un discours. C'est l'administration ça … Vous connaissez ! Et à moi, j'ai beau être le prochain directeur de la PK, on ne me dit jamais rien …

Il disait ça avec humour et la foule lui répondait par des éclats de rire. Philippe ainsi que les parents de David étaient tétanisés. David, sans faire de manières, confirmais qu'il avait l'intention de prendre la direction de la PK … Les officiels ainsi que tous les membres du conseil d'administration avaient un large sourire, pour certains c'était un sourire forcé pour les autres il était sincère … Cette intervention était très largement et très longuement applaudie par la foule et tous les membres du conseil d'administration ...

La cérémonie prenait fin. On ouvrait des buvettes ( enfin buvettes, oui des buvettes … Mais en mieux ) de la musique se faisait entendre dans tout un tas de coins ou on pouvait danser ( du bal musette à des versions plus '' Rock N Roll '' ) , des baptêmes de l'air étaient organisés, les musées ouvraient un peu partout dans la ville. La ville se transformait en une foire. Personne n'avait fait attention avec toute l'agitation de ces derniers jours mais trois fêtes foraines s'étaient installées dans trois quartiers de la périphérie. Ces trois quartiers devenaient des centres d'activité et de détente. La PK avait hérité de l'époque de M Le Comte d'une capacité d'organisation irréprochable.

Étienne ( le père de David ) : Alors tu as pris ta décision ?
David : Oui ! Je dirigerai ce groupe !
Philippe : Tu sais que rien ne t'y oblige !
David : Je sais mais j'ai envie de faire de grande choses.
Philippe : De grandes choses ?
David : Mes grands oncles Luc et Bob n'ont jamais fait partie de la PK, il n'ont jamais siégé au conseil d'administration, et tu as vu ce qu'ils ont fait ? Ces gigantesques ballons qui nous survolent seront bientôt des moyens de transport agréables et écologique autant que économiques … Moi je construirai des villes dans le ciel et des cités sur les mers.

Ses parents et son grand père comprenaient qu'il avait fait son choix, et ce petit gars, on le sait depuis le début … Il sait ce qu'il veut ! 

Pendant le reste de la journée, les parents de David ainsi que son grand père étaient félicités par toutes les personnes qui les rencontraient. David aussi mais lui on le traitait avec encore plus de respect et de déférence qu'on ne lui en avait montré jusque là ! Rapidement il commençait à regretter sa déclaration, pas son choix, juste sa déclaration … Il se disait qu'il aurait dû la faire un peu plus tard sa déclaration, dans quatre ou cinq ans par exemple !

En fin de soirée David se réfugiait dans son appartement. Rapidement il constatait par la fenêtre que deux gardes prenaient positions devant la porte d'entrée de sa maison … Il y avait beaucoup de monde en ce moment dans la ville et après l'annonce qu'il venait de faire ça n'allait pas calmer les esprits.

Maintenant, pour la PK, pour le pouvoir politique, pour les cinq PFC (Président Fédéral Continental ) pour le PII ( Président Inter-fédéral Intercontinental ), pour ces cinq centres de pouvoir, aussi je ne vous dis pas pour la police locale … Le big boss c'était David ! … Il n'avait plus qu'à claquer les doigts et les maîtres de ce monde viendraient lui manger dans la main !

David regardait par la fenêtre, il remarquait deux voitures qui s'étaient stationnées à proximité, elles n'étaient pas là jusqu'à ce soir et désormais elles le suivraient … François arrivait à l'entrée de l'appartement, les deux gardes lui faisaient signe de s'arrêter, David sursautait et regardait avec attention. Un garde semblait vérifier avec soin l'identité de son ami puis le laissait passer en le saluant avec déférence … 

François arrivait un peu affolé, il voyait David de dos toujours à la fenêtre, il s'approchait de lui, posait son menton sur son épaule …

François : Tu as foutu une sacrée pagaille par ta déclaration tu sais.
David : Je commence à m'en rendre compte. J'aurais peut être mieux fait de me taire !
François : Je le crois aussi ! Tu aurais vu ça, dans le ballon c'était un silence de mort pendant ton petit discours … Ensuite c'était l'explosion de joie … On me tapait sur l'épaule par amitié, des gens que je ne connaissais pas. Aussitôt ton discours on ne parlait plus de toi en disant , David ou David Brosso mais par … Monsieur le Président !
David : Et toi on te traitait …
François : Comme la First Lady. ( En rigolant )

François donnait un baiser dans le cou de David qui le laissait faire. Puis il se retournait et rendait les baiser à son ami François, les deux garçons se prenaient l'un l'autre dans les bras. C'était une étreinte pleine de tendresse, de douceur et de passion. L'émotion qu'avait suscité la déclaration de David quelques heures plus tôt était présente dans leurs esprits. Mais ce n'était pas le président du monde que François serrait dans ses bras, c'est son ami, son amour, son amant. Pour lui c'était toujours ce garçon adorable qu'il avait rencontré quelques mois plus tôt. Il y avait de l'inquiétude dans ses pensées, pourrait-il continuer cette liaison, allait-on les laisser s'aimer, car son amour était sincère. Il ne voulait pas le lâcher son cœur battait fort, ce corps qu'il tenait dans ses bras était chaud, ferme, doux et tellement … C'était David !

David lui rendait ses baisers, les deux amants restaient là serrés, l'un contre l'autre, au milieu du salon. Avec toutes ces émotions ils avaient tous les deux besoin de ce moment de tendresse. Ils ne bougeaient pas, ils se touchaient seulement avec sans doute cette petite crainte d'être un jour séparé. Un bibliothécaire d'à peine plus de vingt ans et un gamin de dix huit qui avait désormais le pouvoir d'être reçu par le président de la planète juste en se présentant au palais présidentiel. 

C'est François qui prenait l'initiative, avec lenteur il se séparait de David, le prenait par la main … '' On ne devrait pas rester là devant la fenêtre. Il faudra sans doute être plus discret désormais '' … Il l'entraînait ensuite vers leur chambre, là au moins ils seraient tranquilles. David le suivait sans résister, il avait le sourire et commençait enfin à se détendre après cette journée de fous.

C'est François là encore qui prenait l'initiative, rapidement mais avec une extrême douceur ses mains glissaient sous la chemise de David qui déjà poussait de tout petits gémissement de plaisir. Leurs lèvres se rencontraient et les langues se caressaient. 

Rapidement David se retrouvait torse nue, il tremblait un peu mais pas parce qu'il avait froid, le contacte doux et léger des mains de François le faisait frisonner, puis c'étaient les lèvres de François qui e faisaient vibrer quand elle se posaient sur ses épaules, son cou, son torse … En descendant sur le ventre les lèvres de François faisaient gémir David un peu plus à chaque centimètre qui les rapprochaient de sa ceinture.

David caressait les cheveux de François et son visage. Le pantalon tombait, David était nu et François se relevait devant lui avec un large sourire. Le dispositif OR de David se redressait fermement devant lui. Il était parfaitement habitué à porter ce genre de truc mais ça n'empêchait pas son corps de se manifester et de répondre aux caresses de François. Sa PK OR se relevait et à chacun des battement de son cœur semblait donner un coup en avant, la pression y était au maximum et David respirait fort.

C'est lui qui à son tour prenait la direction des opération, il se penchait vers son amant, lui déboutonnait les premiers boutons de sa chemise et en profitait pour déposer un très tendre baiser sur la zone ainsi libérée. Les boutons sautaient, les baisers tombaient. François relevait la tête en arrière, il posait ses mains avec douceur sur la nuque de David et le laissait faire. Sa chemise tombait à son tour et les deux garçons s'enlaçaient de nouveau, avec force cette fois ci. 

Sans prévenir, par distraction … n'y croyez pas … David ouvrait le pantalon de son amant qui se retrouvait nus à son tour. Les étreintes devenaient intenses, les deux corps se retrouvaient allongés sur le lit, ils roulaient l'un sur l'autre. Se repoussaient, se retenaient. David se retrouvait chevauchant alors son amant qui le caressait alors qu'il lui caressait doucement la queue. Ensuite c'était François qui se retrouvait à chevaucher David. Il le couvrait alors de baisers, de caresses.

David le repoussait en arrière, François se retrouvait sur le dos. La fièvre retombait subitement, plus personne ne bougeait. David était penché sur François et avec tendresse lui suçait la queue. 

François caressait son camarade, seul son bras bougeait et ses mouvements étaient d'une grande douceur. Puis il posait son autre main sur la tête de David, il la caressait avec tendresse, n'appuyais pas, ne le forçait en aucune manière. Les mouvements des deux amants étaient lents et tendres. 

David appuyait sa tête et la queue de François disparaissait au fond de sa gorge. Puis il relevait la tête, caressait cette queue, François gémissait de plaisir, puis David reprenait.

François caressait les cuisses de David, il remontait la main jusqu'en haut des cuisses, lui massait les couilles qui remontaient et se resserraient en une véritable boule sous pression. Ses couilles étaient fermes  et sa queue sous pression. François respirait plus fort, ses caresses sur les cuisses de David devenaient plus fortes, plus insistantes.

François tremblait, David s'en rendait bien compte mais ne lâchait rien, il continuait à sucer avec toujours autant d'insistance avec toujours plus de douceur et de force à la fois. François gémissait et tremblait … '' Non ! David ! Arrête ! Je vais … '' .

David ne l'écoutait pas ou si peux, c'est à peine si ses caresses de la langue sur le gland de François diminuaient, c'est à peine si les frémissements de François se calmaient. 

Quelques instants plus tard François relevait et rabaissait son bassin d'une manière frénétique, il ne contrôlait plus ses mouvements qui ressemblaient de plus en plus à des convulsions. David encaissait sans faiblir, il retenait fermement son amant dans ses bras. Un bras dans son dos , un bras autour de sa cuisse. David ne voulait pas lâcher et ne lâchait pas .

Au moment ou François lui éjaculait dans la bouche en râlant de plaisir David avalait tout et continuait à sucer. François continuait à se tortiller, à se tordre de plaisir avant de demander grâce … David relevais la tête, François laissait tomber la sienne, il respirait fort, il frémissait.

David s'allongeait sur lui, François refermait ses bras … Un peu plus tard ils se glissaient sous la couette et s'endormaient.

Le lendemain matin la ville s'agitait très vite très tôt. Dans la cuisine David entendait parler … C'était Peter et Matthieu …

Matthieu : Mais c'est de la folie tout ça !
Peter : J'espère qu'ils ne vont pas rester devant la maison en permanence …
Matthieu : Moi ils voulaient me fouiller !


David : Mais qu'est-ce qui vous arrive à tous les deux ?
Peter : C'est les gardes …
Matthieu : Ce sont les gardes …
Peter : C'est pareil ! … Ils voulaient nous fouiller quand on est rentré hier soir !
Matthieu : Il faudrait leur expliquer qu'on habite ici !
François : Moi ils ont juste vérifié qui j'étais !

Ils regardaient tous les deux François.

Matthieu : Ils doivent donc savoir !
David : Savoir ?
Peter : Que David entretient avec toi une relation spéciale …
François : Hooo ! Et ça risque de poser problème ?
David : Mon grand père m'a certifié le contraire !
Peter : Oui mais ça c'était avant ! Tu aurais entendu les discutions hier. Je faisais le service et j'entendais tout. 
… Il sera Président Fédéral Continental …
… Il sera Président Inter-fédéral Intercontinental …

Matthieu : Merde alors, c'est encore pire que je croyais …
Peter : Maintenant notre copain David, c'est le messie … Avant c'était un prophète, maintenant c'est le messie .

David regardait ses camarades l'un après l'autres, une petite cuiller dans la bouche, il allait touiller son café !

David : Oui mais ça ne change rien pour nous tout ça. J'en toucherai un mot aux gardes …

On sonnait à la porte … Peter allait répondre … Ils revenait quelques instants plus tard.

Peter : C'est le service de sécurité, ils souhaitent parler au président Monsieur David Brosso ils ont dit .
David : Et …
Peter : Ils montent … j'ai laissé la porte ouverte …

Quelques instants plus tard deux personnes bien carrés, bien costauds entraient dans l'appartement … Ils avaient tous les deux un badge '' Sécurité PK '' sur un on lisait aussi '' Agent Ted ''

Ted : Bonjour Monsieur le Président, j'espère que nous ne vous dérangeons pas mais il faudrait que nous ayons accès à votre voiture pour la reprogrammer, vous devez savoir depuis l'autre soirée au musée que  votre sécurité est activement réalisée également par votre voiture …
David : Je vous ouvre l'accès à ma voiture !

David décrochait son téléphone et passait le message. Plus tard dans la journée il recevais un rapport de la voiture et du service sécurité de la PK . Dans la journée il était convier à dîner avec les officiels. Son grand père y venait aussi, lui n'était pas invité mais accompagnait David avec la ferme intention de veiller sur lui ! Dans la voiture qui les conduisait à l'Hôtel de ville ...

Philippe : Tu t'es laissé emporté David, tu sais !
David : Oui je sais mais, quand je vois ce que mes ancêtres on fait, les moyens que me donne la présidence de ce groupe … Je me suis dit …
Philippe : Tu as seulement fait ton annonce un peu trop tôt !
David : C'est vrai !
Philippe : Maintenant tu leur appartiens ! Si tu reviens sur cet engagement de diriger le groupe, ils vont être vraiment vexés. Jusque là ils ne t'auraient pas refusé grand chose, maintenant ils ne te refuseront rien mais si tu reviens en arrière ils ne te feront pas de cadeaux …
David : Je leur appartiens ! Tu veux me faire peur ?
Philippe : Pas de quoi avoir peur, tu leur appartiens mais tu es aussi leur maître et ils t'obéiront !

David restait perplexe à ces mots … Peu après sa voiture s'arrêtait devant l’Hôtel de ville. Il avançait suivi par son grand père, à l'entrée les employés ne cachaient pas leur surprise et surtout leur embarra … '' Le nom de Mr Brosso Philippe ne faisait pas partie de la liste des invités … '' 

Philippe : Bon je vais te laisser David, ta voiture va me reconduire à la maison …
David : Non grand père ! Tu restes !

Puis à l'intention du personnel à l'accueil …

David : Il s'agit là d'une petit erreur qui sera réglé très rapidement !
L'accueil : Mais je vous assure Mr Brosso, le protocole est tout à fait stricte les places …
David : ( Sur un ton plus sec ) Ce n'était pas une suggestion ou une simple requête ! Mon grand père sera à mes côtés à table, il est mon conseiller et participera à toutes les discutions auxquelles je serai convié ! Il me représentera aussi en attendant que je prenne la direction du groupe !

L'employé baissait les yeux et ne rajoutais que : '' Bien Mr le Président il sera fait comme vous le désirez '' … Des regards fusillaient Philippe !



LES AVENTURES DE DAVID
Ep 23 : PREMIER CONSEIL D'ADMINISTRATION



Quand David entrait dans la grande salle d'honneur il était reçu par des applaudissements. Toutes les personnes présentes affichaient un large sourire, il y avait bien sûr les officiels politiques mais aussi tout le conseil d'administration qui s'était réuni en urgence pour accueillir le nouveau président !

Au moment ou l'assemblée apercevait Philippe juste derrière David, c'était comme un murmure qui parcourait la salle … Le président fédéral avait la place d'honneur, David était invité à s'installer à sa droite, à la droite de David le maire allait s'asseoir quand David, avec un grand sourire …

David : Il doit y avoir une toute petite erreur, la place à ma droite est réservée à mon grand père désormais…

Le maire ne cachait pas sa surprise mais n'osait pas protester et toute la table se décalait d'un cran. Aucune voix ne s'élevait mais ça jetait un froid ! Philippe était connu du conseil d'administration, il avait une place qui lui était réservée mais tout au fond de la salle juste à côté de celle qui était réservée à son fils qui lui d'ailleurs n'y allait jamais sauf le jour du bilant annuel … Celui-là, ce soir là personne n'avait pensé à lui et il avait su évité de se faire remarquer.

Philippe y était connu mais le plus souvent quand il parvenait à y prendre la parole personne ne l'écoutait. Le conseil considérait qu'il recevait une rente bien suffisante par rapport à ce qu'il faisait et que ça suffisait comme participation … Recevoir une rente ! C'est vrai que sur ce dernier point, il n'était pas à plaindre.

La courtoisie reprenait sa place, les discutions allaient bon train, on invitait David à se rendre dès que possible, c'est à dire dès qu'il le souhaiterait au parlement fédéral mondial les présidents se feraient une joie de le rencontrer. Régulièrement Philippe se penchait ver l'oreille de son petit fils et traduisait les propos, je veux dire par là qu'en deux mots il lui expliquait ce que cela impliquait !

Le Président : Vous ne pouvez imaginez Mr Brosso le plaisir que nous éprouvons tous de savoir que vous allez reprendre la succession de la direction de cette grande compagnie … Vous avez pris votre décision rapidement, je suppose mais j'imagine que vous avez déjà des idées sur la direction que vous donnerez à la compagnie.
David : Des idées, j'en ai plein ! Mais il est trop tôt pour en parler. Pour le moment je suis étudiant, j'ai dis huit ans, j'ai beaucoup à apprendre et c'est là ma principale occupation … J'aimerais vous demander à tous la plus grande coopération avec mon grand père, il sera mes oreilles et mes yeux au sein de cette compagnie, j'espère que vous lui accorderez tout le respect qu'il mérite …

Cette dernière phrase était suivie de quelques secondes de silence total … Là David avait jeté un froid ( pour la deuxième fois ) ! Philippe avait été écarté de la direction de la compagnie et ne participait plus à aucune décision. Nombre de personnes s'étaient installé dans cette nouvelle hiérarchie, la place qu'il avait laissée ou qu'il avait été contraint d'abandonner était maintenant occupée et de toutes évidence la lui restituer ou lui trouver une place ne semblait plaire à personne.

Rapidement une bonne ambiance revenait, on présentait à David tous les membres du conseil d'administration, rien que ça occupait une grosse partie de la soirée , ils sont plus de deux cent cinquante … David n'en connaissait qu'un, Franck Marthe.

Marthe était un des rares qui n'était pas dérangé par le présence de Philippe, bien au contraire, ils conservaient tous les deux d'excellentes relations. Marthe n'était pas un descendant de la famille Brosso, mais il faisait tout de même partie des descendants des fondateurs, sa femme était l'arrière petite fille d'Antoine Martin …

Antoine Martin quoi ! Ça ne vous dit rien ? C'était un grand copain à Djé, c'est ensemble qu'ils avaient conçu le premier modèle de PK … Antoine quoi !

Antoine avait développé la section recherche, assisté par son fils Grégoire par la suite, John le suivant dans la lignée était diplomate et travaillait encore a installé la société PK dans le monde comme une puissance presque politique. Sa fille Isabelle a épousé un spécialiste en gestion formé dans la PK University, Franck qui est actuellement le PDG de la PK Compagnie . ( Je vous ai fourni là , une version courte sinon on y passait la nuit ).

On faisait à David un topo de la situation actuelle de la PK Compagnie, son chiffre d'affaire, le nombre de personne qui dépendent de cette compagnie … David avait rapidement le vertige, il savait que c'était énorme mais pas à se point là. '' Il ont même des lanceurs de satellite … ! '', se disait-il dans sa tête …

Les jours qui ont suivi on été parmi les plus fous que David avait vécu. Pas d'école certes, mais il était sollicité tous les jours. Au bout d'une semaine le calme revenait peu à peu, il se faisait se plus souvent représenter pas son grand père, et peu à peu la grande fête approchait de sa conclusion. Tout allait rentrer dans l'ordre, la vie allait retrouver son calme même si ça ne serait qu'en apparence.

Quelques semaines plus tard Franck Marthe passait voir David.

Franck : David, je voulais absolument te voir mais il a fallu que je contourne ton grand père. Il veut absolument te tenir loin de la compagnie.
David : Il veut me protéger !
Franck : Oui et il a raison ! Mais ça n'interdit pas qu'on te prépare, juste pour quelques occasions particulières.
David : Je vous écoute …
Franck : J'avais pour idée d'organiser une réunion au plus haut niveau …
David : Au plus haut niveau ?
Franck : Réunir les cinq Président Fédéraux Continentaux ( PFC ) ainsi que le Président Interfédéral Intercontinental ( PII ) …

David regardait Mr Marthe avec surprise.

David : Et dans quel but ?
Franck : Te présenter à eux ! Ils en seraient tous très honorés, la PK Compagnie est toujours en négociation, mais ça c'est normal, et cette simple mondanité devrait rapporter quelques sous à la PK …
David : Quelques sous ?
Frand : Un nombre à dix chiffres … Trois sous quoi !

La réponse faisait rire David.

David : Et ou va-t-on réunir cette bande de joyeux drilles ?
Franck : Mais chez toi !
David : Mon appartement est un peu petit pour une telle rencontre, mais bon, je suppose qu'on peut s'organiser.
Franck : Je ne pensais pas à ton appartement mais à ta maison de la plage …
David : Mais je n'ai pas de maison à la plage.
Franck : Ton grand père ne t'avais pas prévenu ! Il va m'engueuler, j'ai vendu la mèche. Bon accepterais-tu l'idée de cette rencontre informelle ?
David : Oui ! Après tout pourquoi pas, il faudra bien un jour que je les rencontre, alors pourquoi attendre ?
Franck : Une rencontre sans protocole, quelque chose de très simple … Ils n'en seront que plus flattés !
David : Ça marche, on fait comme ça !
Franc : Je me charge de tout, mais tu demanderas à ton grand père pour ce qui est de la maison de la plage !

David reprenait son quotidien, et tant de choses étaient nouvelles pour lui qu'il ne repensais même plus à cette fameuse maison de la plage … Il devenait l'assistant de son professeur d'économie et un programme spécial était organisé rien que pour lui. Il suivait les cours qui lui seraient le plus utile avec des cours particuliers, ainsi que des cours de culture général et l'étude de plusieurs langues. Rapidement il ne pensait plus qu'à ses études.

Au rez de chaussée son voisin avait été déménagé, on avait installé dans l'appartement des gardes qui assuraient en toute discrétion la sécurité rapprochée de David, on ne pouvait accéder à l'immeuble sans passer par eux. Le voisin ne perdait rien au change il s'installait dans l'immeuble en face, les appartements y sont très confortables également.

Un soir ou David était seul dans l'appartement, son compagnon François passait des vacances près de sa famille, Matthieu s'était lui aussi absenté pour deux semaines, Peter était en stage dans le cadre de sa formation. Quelqu'un sonnait à la porte. David allait ouvrir, c'était un des gardes, mais celui là il était connu. C'était Dorian !

Le garde que David avait rencontré quelques semaines plus tôt lors du défilé de voitures.

Dorian : Bonsoir Monsieur Brosso, j'ai pris l'initiative de venir m'assurer que vous n'aviez besoin de rien.

David craquait en voyant son sourire, son regard, et cette allure virile avec son uniforme. Il lui attrapait la veste, d'un regard circulaire il s'assurait qu'il n'y avait personne sur le palier et l'attirait dans l'appartement. Là David lui sautait dessus et l'embrassait avec passion.

Comme vous le savez Dorian n'est pas du genre farouche et il ne cherchait pas à se dégager. Bien au contraire il rendait à David tous ses baisers, toutes ses caresses, il bandait et David s'en rendait compte.

David est très mignon mais ce qui excitait le plus Dorian c'était ce petit truc dur, très dur, que David avait entre les jambes. Ce dispositif de chasteté qui le gardait délicieusement frustrés tout en provoquant chez ses partenaires une excitation très particulière.

David avait le feu au cul et Dorian bandait ferme. Ces deux garçons avaient tout ce qu'il fallait pour s'entendre.

David tombait à genoux, ouvrait le pantalon de son garde du corps, admirait quelques secondes cette bite énorme avant de la prendre dans la bouche, de la caresser, de la sucer. Il gémissait de  plaisir, encore plus que Dorian qui pourtant déjà était aux anges. C'était sans doute l'idée de se la prendre dans le cul qui lui faisait cet effet.

David y avait déjà goûté, il aimait ça. Dorian le laissait faire, par moment il lui appuyait sur la tête et amusé il ne lâchait que quand David semblait étouffer, par moment il se contentait de baisser la tête et de regarder. Il en profitait alors pour retirer le haut de son uniforme et quand David se relevait con camarade était torse nue.

David se relevait en caressant le corps magnifique de Dorian, il l'embrassait partout ou ses lèvres pouvaient se poser. Dorian caressait David avec douceur, son pantalon tombait complètement sur le sol, il l'écartait du pied et se retrouvait nu devant David.

David se collait contre Dorian qui le prenait et le serrait bien fort dans ses bras.

Dorian : Allez ! A poil ! J'ai envie de te prendre là.

David retirait ses vêtements en quelques secondes. Dorian lui attrapait les couille et s'amusait à tirer David vers lui. De nouveau les deux amants se retrouvaient dans les bras l'un de l'autre, ils s'embrassaient, se caressaient. Dorian invitait David à lui sucer la queue de nouveau. David ne se faisait pas prier et de nouveau se retrouvait pendant quelques minutes à genoux devant Dorian.

Finalement il se redressait, donnait un baiser à Dorian, se retournait, se penchait en avant …

David : Vas y encule moi !

Dorian s'approchait, se lubrifiait, et doucement plaçait sa queue juste sur le cul de David. David soupirait longuement, se détendait et hurlait au moment ou Dorian poussait et s'enfonçait dans son cul.

Dorian y allait doucement mais fermement, il ne poussait pas comme une brute mais il poussait, il poussait sans s'occuper des réactions de David. Il poussait avec force et ça rentrait, ça résistait un peu mais il poussait.

David était tout rouge, il avait la bouche grande ouverte mais aucun son n'en sortait, son souffle était fort et rapide. L'énorme queue de Dorian glissait en un seul mouvement jusque au fond de l'anus de David.

Dorian le prenait alors dans ses bras, David s'était relevé et se retrouvait contre le mur, derrière lui Dorian s'appuyait et le coinçait. En même temps il se relevait aussi et appuyait son bassin contre les fesses de David qui finissait pas sangloter et gémir.

Dorian le faisait taire en l'embrassant.

David respirait fort, Dorian se retirait, toujours en un mouvement lentement mais fermement. La queue de Dorian ressortait. David sentait son anus se refermer au moment ou le gland de Dorian ressortait complètement. David reprenait son souffle rapidement. Dorian se lubrifiait abondamment de nouveau, reprenait position, il sentait David se détendre contre lui, il reprenait position et en un mouvement violent et rapide enfonçait de nouveau sa bite bien à fond. David hurlait, avec une main Dorian le faisait taire. Il se retirait rapidement et revenait tout aussi rapidement.

Il continuait ainsi avec fermeté, c'était viril. C'était violent, c'était ferme, il était décidé, c'est pour ça qu'il était venu. David agitait ses bras contre le mur, il cherchait quelque chose pour s'agripper, il ne trouvait rien mais de toutes façons il ne risquait pas de tomber, Dorian l'écrasait contre le mur.

La cage de chasteté de David était bien pleine mais sans trop de pression, c'était une grosse molle qui prenait toute la place, rien de plus. Il gémissait de plus en plus fort, c'était de plaisir. Par moment on avait l'impression qu'il chialait, c'était de plaisir.

Il tremblait, la tête appuyée sur le mur il tremblait de plaisir, d'extase même. Il jutait abondamment, un flot de liquide blanc et épais coulait de son dispositif de chasteté, il soufflait fort. Dans son dos Dorian s'était un peu calmé mais continuait ses mouvements d'avant en arrière plus lentement mais toujours avec régularité.

Il finissait par pousser un gémissement à son tour, une contraction, il donnait un coup de bassin incontrôlé puis ne bougeait plus, il continuait à tenir David, bien serré dans ses bras. Il l'embrassait dans le cou, sur les épaules.

Les deux amants retrouvaient leur calme, Dorian débandait peu à peu, David resserrait son cul et la queue de Dorian ressortait et retombait mollement entre ses cuisses. Ils ne bougeaient plus pendant un long moment puis ils se regardaient dans les yeux, éclataient de rire.

Dorian : C'était quelque chose !
David : Je trouve aussi !

David entraînait son camarade dans un bain moussant. Comme à l'époque de Djé il est toujours là le bain moussant, simplement pour y accéder on passe par la véranda, sur la terrasse. Il y a bien toujours trois chambres mais elles sont toutes identiques maintenant et il n'y a plus qu'une salle de bain avec douche et baignoire dans chacune.

Les deux hommes se détendaient dans le bain moussant.

David : Tu veux passer la nuit ici ?
Dorian : Je ne sais pas si c'est possible.
David : C'est moi le boss ! Non ?
Dorian : Bein oui …
David : Et si le boss avait besoin de compagnie … De ne pas rester seul …
Dorian : J'avertis mes camarades !





LES AVENTURES DE DAVID 
Ep 24 : GARDES RAPPROCHÉS



C'était le plus jeune gradé de sa promotion. Il avait décidé très jeune d'entrer dans l'armée. École militaire, préparation militaire, issu d'une famille de militaires … Enfin bref il avait de la chance l'uniforme lui allait comme un gant ! Laurent restait malgré tout un garçon très '' cool '', il n'était pas bagarreur, pour lui l'armée était avant tout là pour garantir la paix, et ce matin il avait un rendez-vous important, entendez par là, il était convoqué dans le bureau du général. 

En arrivant à l'état-major il remarquait tout de suite qu'il se passait quelque chose d'anormal. Il y avait la présence d'une garde spéciale réservée à la présidence. Il ne s'en inquiétait pas, il n'était pas si rare que cela que des personnages importants viennent ici. Il se présentait à l'accueil, on lui confirmait qu'il était attendu, suivait une salle d'attente ou un autre jeune officier de son âge attendait déjà, salut de rigueur puis les deux jeunes hommes attendaient sans rien dire, debout face à une fenêtre.

Le jeune homme déjà présent ne portait pas d'uniforme, mais avait salué Laurent à la manière d'un militaire. 

Laurent : Vous êtes militaire vous aussi.
Ed : Lieutenant Édouard Cascou pour vous servir mon capitaine.
Laurent : Capitaine Laurent Lassible, repos ! Vous n'êtes pas en uniforme …
Ed : Vous êtes convoqué chez le général ?

Laurent faisait oui de la tête.

Ed : Avez-vous une idée de la raison pour laquelle ils nous ont convoqués ?
Laurent : Pas la moindre.
Ed : Quand je suis arrivé, j'ai vu le président, il arrivait et le général venait le saluer …
Ed : Vous pensez que cette visite officielle a un rapport …
Laurent : Vous vous posez trop de questions … Nous ne devrions pas tarder à le savoir …

Les deux hommes reprenaient la contemplation du jardin. Au bout d'un moment du semblait durer une éternité, un sous officier entrait dans la salle : '' Messieurs, vous êtes attendus, voulez-vous bien me suivre. Les deux premiers hommes étaient conduits dans le bureau du général, en effet le président y était. Ils allaient se présenter comme seuls les militaires savent le faire …

Le président : Repos jeunes gens, repos. Voulez-vous bien vous asseoir nous avons à parler.

Suivait une longue discussion, le Lieutenant Cascou, se voyait bombardé Capitaine. Il s'attendait à une promotion depuis déjà quelques temps, ce n'était donc pas une surprise. On leur parlait d'une mission qui impliquait une grande rigueur, une grande discrétion et de bonnes manières. Ils avaient ces qualités. S'il acceptaient la mission, ils passeraient les prochaines semaines en caserne à se préparer. Ils seraient ensuite détachés de l'autorité militaire et recevraient leurs ordres directement du conseil d'administration de la PK et de son  directeur. 

Ils acceptaient tous les deux sans aucune hésitation.

Quelques jours plus tard c'est en uniforme que le jeune Capitaine Cascou se présentait à la caserne. On leur avait réserver une chambre chacun, c'était spartiate mais confortable. Les chambres faisaient quinze mètres carré à peine, elles étaient côte à côte. Dans le reste de l'étage il y avait tout un contingent qui serait sous leurs ordres. Pour le moment ils étaient tous directement sous les ordres du général, par la suite ils seraient sous les ordre de … C'était un peu moins clair, il devraient rendre des comptes à la police, au maire, au gouverneur … A leur client aussi mais là c'était très difficile pour obtenir des informations, il y avait comme  un secret militaire mais nos deux héros avaient l'habitude de ne pas poser de questions. 

On les formait à différentes techniques de garde rapprochés. Garde du corps serait leur mission, mais le corps de qui ? On leur apprenait aussi à passer inaperçu dans une soirée mondaine, ou à préparer et à servir des cocktails, après le stage ils seraient tous capable de prendre place dans un restaurant ou un bar et d'assurer le service comme de vrais professionnels. 

Laurent et Édouard se rapprochaient, devenaient amis. Souvent le soir une discussion se prolongeait dans la chambre de l'un ou de l'autre.

Ed : Vous êtes d'une famille de militaire m'a-t-on dit ?
Laurent : Oui, depuis trois générations …


Laurent : Vos parents sont des artistes, ça n'a rien à voir avec la carrière militaire.
Ed : C'est vrai que dans la famille mon engagement dans l'armée a été un choc …


Laurent : A ton avis pourquoi ils nous ont choisi nous ?
Ed : J'en sais rien, on ne sait même pas qu'elle sera notre mission. 
Laurent : Nous seront garde du corps, c'est à peu près tout ce que j'ai pu obtenir comme informations.
Ed : Et tu as une idée de qui il s'agit ?
Laurent : Mais c'est sans importance, une grosse ponte …
Ed : Notre préparation, notre sélection n'a rien d'habituelle. Ce n'est pas une mission ordinaire qui nous sera confiée.
Laurent : Pourquoi tu dis ça ?
Ed : Nous somme tous porteur d'un dispositif de chasteté.
Laurent : Non ! Pas moi !

… 

Ed : Excuse-moi. Je pensais que toi aussi.
Laurent : Toute l'équipe ? Tu est sûr ?
Ed : Ça ne fait aucun doute, tout le monde, porteur permanent !


Le quotidien reprenait, entraînement, formation … Laurent restais pensif à l'idée d'être le seul à ne pas porter de dispositif de chasteté. Il se posait des questions, à commencer par celle-ci : pourquoi ?

En rentrant de l'entraînement, il y pensait. Seul sous la douche il se demandait qu'elle serait leur mission exacte. Tout ce qu'il savaient c'est qu'ils assureraient la sécurité d'un personnage important, enfin important on ne leur avait pas dit important mais la déduction était facile. Sinon ils n'auraient pas cette entraînement. Il laissait l'eau couler sur son corps longuement. C'est le bruit de la porte qui le sortait de ses pensées. 

Les douches avait des cabines mais qui toutefois n'avaient pas de porte, ce qui assurait un minimum d'intimité et il se disait que en effet bien qu'ils aient pris plus d'une fois leur douche en même temps, Ed et lui il ne l'avait jamais vu nu de face … Justement c'était lui qui venait d'entrer. Pour le reste de l'équipe il y avait un autre local de douches, sans cabines lui.

Laurent penchait la tête, il avait envie de voir à quoi ça ressemble un dispositif de chasteté sur quelqu'un, Ed se déshabillait et se croyant seul ne prenait pas la peine de passer sa serviette autour de ses hanches.

Ed : Ah tu es là ! Je ne t'avais pas entendu !
Laurent : Ouai, une bonne douche en fin de journée, ça fait un bien fou.

Laurent ne pouvait pas détacher ses yeux du dispositif de son camarade. C'était un modèle en titane, pas le modèle permanent … Enfin je m'explique mal, je veux dire que ce n'était pas le modèle PK OR qui ne peut plus être retiré, c'était un modèle moins … inquiétant …

Ed : Tu as vu ? ( en montrant avec ses deux mains son dispositif )
Laurent : Et tu le portes depuis longtemps ?
Ed : Depuis mes seize ans. Ça aussi, ça a été un choc dans ma famille.
Laurent : Une famille d'artistes …

Ed ne prenait plus la peine de se cacher, jusque là il avait été un peu plus réservé mais c'était plus la peine maintenant que son camarade était au courant. De plus Édouard était un peu éxib. C'est Laurent qui maintenant jouait les prudes, d'habitude il se déshabillait devant son camarade sans aucune gêne mais là il semblait … Pudique … Ed s'en rendait compte. 

Ed : Tu n'as jamais porté un dispositif comme ça ?
Laurent : Dans l'école militaire ou j'étais ce n'était pas obligatoire et en fait personne n'en portait.
Ed : C'est rare, on m'a dit en effet qu'il y avait un école comme ça, qu'il en restait une.
Laurent : Mais c'est pas trop dure à porter ?

Ed ne répondait pas.

Laurent : Et comment tu fais pour … ?

Ed ne répondait toujours pas. Laurent sortait de sa cabine, regardait dans les cabines à côté, il n'y avait personne. Faisait le tour et retrouvait son camarade dans la partie des douches qui n'avait pas de séparation. Ici il ne pouvait pas entendre Laurent.

Ed pouffait de rire en voyant son camarade, il bandait !

Ed : Tu en as une belle dis donc. 
Laurent : Oh excuse moi !
Ed : Ne soit pas gêné, au contraire ça ne fait pas mal aux yeux, au contraire, moi j'aime bien voir un mec bander.
Laurent : Euh !
Ed : C'est parce que moi, comme tu peux voir, je ne peux pas vraiment …

Laurent continuait sa douche à côté de son camarade. 

Laurent : Et comment tu fais si tu as vraiment envie de … ?
Ed : Je ne fais pas !
Laurent : Ah !
Ed : En fait il y a des petits gadgets qui te purgent la prostate, mais moi j'aime pas, on ne sent rien. Je préfère des gadgets plus … virils …

Laurent ne semblait pas comprendre.

Ed : Tu voulais te branler là ? Non ?

Laurent devenait tout rouge. 

Laurent : Bein oui mais, je ne vais pas là, excuse moi …
Ed : Mais si vas y j'aimerais bien te regarder.

Laurent était surpris, mais mécaniquement il passait sa main sur sa queue, il bandait toujours. Il refermait sa main fermement et se caressait la queue, il serrait un peu plus sur le gland puis massait le reste de sa bite jusqu'à sa racine. Le mouvement reprenait et s'accélérait. Ed ne loupait rien, lui il n'essayait même pas de se masturber, mais sa cage de chasteté se redressait devant lui. Sa queue se révoltait et exigeait de pouvoir sortir. Il n'avait pas la clé !

Laurent le regardait, il avait la bouche légèrement ouverte et le regard troublé. Ed s'approchait lentement de lui, sa main rencontrait la main de Laurent, elle se retirait et lui laissait la place.  C'est Ed maintenant qui masturbait lentement Laurent.

Ed s'accroupissait devant son camarade et prenait sa queue dans la bouche, c'était pas la première fois qu'il faisait ça et il savait y faire. Tout d'abord sa langue, le bout de sa langue caressait avec une extrême douceur le gland de Laurent qui soupirait de plaisir. Pour lui c'était une première, aucune fille, personne ne lui avait jamais fait ça. C'était d'autant plus agréable que Ed s'y prenait très bien.

La langue léchait ensuite le reste du membre viril de Laurent, les lèvres à leur tour déposaient des baiser sur la queue de Laurent, puis sur ses couilles. Ed caressait en même temps les cuisses de son camarade avec les deux mains qu'il faisait remonter jusque sur ses fesses et un doigt se promenait avec impudeur entre les deux fesses, s'attardant sur le petit trou qui s'y dissimule. 

Ed prenait maintenant la queue de Laurent complètement dans la bouche, sur toute sa longueur et Laurent se cramponnait au moment ou son gland s'écrasait au fond de la gorge d' Ed. Il ne pouvait pas toucher le mur qui était trop loin, il n'y avait rien qu'il puisse attraper et c'est donc à la tête de son ami qu'il se cramponnait sans même s'en rendre compte. C'est également sans s'en rendre compte qu'il tirait avec force le visage de son camarade vers lui et l'écrasait contre son ventre.

Ed ne résistait pas et tirait Laurent vers lui, il prenait une grande respiration et avalait la queue de Laurent jusqu'à la garde, puis toujours en le tirant vers lui avec les mains sur ses fesses restait comme ça sans bouger. Laurent gémissait de plaisir, se crispait, se relevait sur la pointe des pieds. C'était nouveau pour lui, et il ne savait pas comment réagir, se laisser aller, s'abandonner, se ressaisir, prendre le contrôle de la situation … Mais pour faire quoi alors ! 

Quand Ed retirait sa tête en arrière c'était pour mieux revenir après après avoir pris à nouveau une grande respiration. Puis il retirait la tête en arrière de nouveau et de nouveau avalait la queue de Laurent sur toute sa longueur. Ce jeux continuait pendant un long moment. Laurent tremblait de  plaisir, gémissait de plus en plus fort.

C'est sans même s'en rendre compte, par pur réflexe qu'il avançait et reculait le bassin, doucement, imperceptiblement. Ed relevait les yeux et le regardait. Laurent prenait alors la situation en main. Il accélérait le mouvement et c'est lui qui maintenant enfonçait sa queue dans la gorge de son camarade. Son souffle s'accélérait, ses mouvements aussi, doucement au début puis plus fermement. Lentement au début puis rapidement. Ed ne résistait pas, il participait au mouvement en tirant le bassin de Laurent et en avançant le visage vers lui quand il lui enfonçait sa queue dans la gorge. Il avait du mal, Laurent était bien monté mais il avait aussi une certaine habitude, Édouard, et il aimait ça !

Laurent ne comprenait plus ce qui se passait mais il s'en moquait, maintenant il se lâchait. Ses coups de bassins étaient rapide et violents, il gémissait fort maintenant. Les douches leurs étaient réservées et ils ne risquaient donc pas d'être dérangés. Ed avait du mal à suivre et ne parvenait plus à se synchroniser avec les mouvements de Laurent. Il ne le tirait plus vers lui, il se contentait d'ouvrir la bouche le plus possible et d'encaisser, mais là il avait vraiment du mal. 

Ed gardait les mains sur les fesses de Laurent et essayait de suivre le mouvement. Laurent enfonçait sa queue bien à fond, ne se retirait pas, tremblait, gémissait et éjaculait avec force dans la gorge de son ami. Au même moment comme un réflexe Ed Enfonçait un doigt dans le cul de Laurent qui là hurlait de plaisir, il lâchait encore deux giclées de sperme directement dans la gorge de Ed puis une troisième.

Avec son doigt bien enfoncé dans le cul de son copain Ed lui massait fébrilement la prostate. Le corps de Laurent se détendait, il lâchait la tête de Ed, qui ne se retirait que partiellement, gardait la queue de Laurent dans la bouche et continuait à la sucer avec des mouvements de langue.

Laurent tremblait de plaisir, il jouissait mais cette fois ce n'était pas avec sa queue mais avec sa prostate, il râlait de plaisir et se retirait. Au moment ou sa queue sortait de la bouche de son camarade, celui-ci retirait son doigt. Plus personne ne bougeait.

Ed relevait les yeux, on pouvait y lire la frustration. Laurent lui caressait les cheveux. Ed se relevait.

Ed : Je ne sais pas si ça répond à ta question mais … 
Laurent : C'était quoi la question ?
Ed : Comment on fait pour … 
Laurent : Au moment ou tu as introduit ton doigt … J'ai jamais joui comme ça !

Les deux hommes se calmaient et reprenaient leur douche.

Ed : On recommencera ?
Laurent : Bein ! J'ai rien contre !

Ed le regardait alors droit dans les yeux et lui répondait.

Ed : Je te préviens, je veux me la prendre dans le cul avant que … 
Laurent : Avant que ?
Ed : Avant que … Tu ne portes toi aussi un dispositif comme le mien !
Laurent : Mais j'ai pas prévu de porter un dispositif comme ça ! 

… 

Laurent : Et pourquoi tu dis ça ? Pourquoi je devrais porter une truc comme ça ?
Ed : Voyons tu es le seul de tout notre groupe à avoir la bite à l'air, à pouvoir te branler ou enculer qui tu veux. Avec les règles morale de notre société c'est déjà presque une anomalie. Et moi je pense que pour notre mission tu devras en mettre un.

Laurent restait pensif. Dans le passé on lui avait déjà proposé de porter un truc comme ça, il avait toujours refusé. Il avait bien sûr des amis qui avaient fait ce choix et même un officier de son âge qui portait un dispositif PK-OR, le modèle qu'on ne peut plus retirer, il n'a pas de cadenas, pas de serrure, il est riveté, les deux parties de la cage emboîtées l'une dans l'autre d'une manière définitive. Il avait donc déjà pensé à porter un tel dispositif mais jamais d'une manière sérieuse.

Et ce dernier commentaire le mettait face à une situation qu'il voyait maintenant sous un angle nouveau.

Ils sortaient de la douche. Laurent ne disait plus rien. 

Ed : Ne t'inquiètes pas, en fait je ne sais rien, il n'y a peut être aucune raison que la situation change, c'est peut être ainsi que les choses doivent rester.
Laurent : On pourrait en parler un peu plus ?
Ed : Bien sûr.

Laurent ouvrait la porte de sa chambre et laissait entrer Ed.

Ils ont parlé tard dans la nuit. Laurent désirait brusquement en savoir plus. Ce qu l'on ressent, si ça fait mal au début, si gêne les mouvements au début … S'il faut du temps pour s'y habituer. 

Laurent : Je n'avais jamais pensé qu'un jour on pourrait me demander de porter un de ces trucs, mais maintenant je me demande … Et je me demande surtout ce que je répondrais …
Ed : Ça t'inquiète ?
Laurent : Bein oui un peu ! 
Ed : Tu sais, on ne peut pas t'y obliger !
Laurent : Tu sais maintenant que j'y repense, j'avais un camarade de promotion à qui l'état-major a proposé de porter une dispositif PK-OR … Peut après il voyait sa promotion avancer …
Ed : Et tu penses que tu gagnerais un grade si tu portait une PK-OR ?

La discussion se prolongeait encore un long moment puis chacun se retrouvait dans son lit. Ben oui vous vous imaginez bien que dans le même lit, là ça risquait de faire jaser … Il n'en a jamais rien dit mais on peut être sûr que Laurent cette nuit a rêvé du cul de Édouard, son camarade. Il a un peu rêver aussi qu'il devait porter un dispositif de chasteté un truc jaune, couleur or … Celui qui ne peut pas être retiré. Pour Édouard, lui, il a rêvé à le bite de Laurent. Il a rêvé que Laurent pouvait rester libre de ses mouvements et que régulièrement il se prenait cette grosse queue dans le cul.

Quelques temps plus tard cette histoire se précisait. Laurent était convoqué de nouveau chez le général mais seul cette fois ci. On lui donnait quelques détails sur la mission à venir.

Il en revenait un peu pensif et allait aussitôt voir son camarade et ami Édouard dans sa chambre.

Laurent : On m'a donné quelques détails sur notre affaire !
Ed : Vas y raconte !
Laurent : Comme tu l'avais deviné, c'est une grosse ponte que nous devront protéger.
Ed : Famille du président, ambassadeur … ?
Laurent : On ne me l'a pas encore dit ! On m'a demandé si j’acceptais de porter un dispositif comme le tien !
Ed : Je m'en doutais un peu, et qu'est-ce que tu as répondu ?



LES AVENTURES DE DAVID
Ep 25 : LES GARDES SE RAPPROCHENT


Laurent avait différé sa réponse, il avait demandé un délai. Il était inquiet, porter un dispositif de chasteté n'avait jamais fait partie de ses projets. C'est une question qu'il ne s'était jamais posé, en tout cas d'une manière sérieuse et, là on le lui proposait de la manière la plus sérieuse qui soit.

Laurent : Je n'ai pas répondu !
Ed : Et que vas-tu répondre ?
Laurent : Je ne sais pas, sérieusement je ne sais pas !
Ed : C'est une obligation ?
Laurent : Pour cette mission … Oui !
Ed : Mais c'est quoi cette mission ?
Laurent : On ne m'a rien dit sur ce sujet. On m'a seulement dit que c'est en rapport avec la PK Compagnie, nous seront sous le contrôle de son conseil d'administration. J'en sais pas plus.

Ed réfléchissait.

Ed : Tu te souviens le jour de la convocation le Président Fédéral Continental (PFC) était là …
Laurent : Je me souviens, l'affaire doit être importante. 
Ed : Le président de la PK est un certain Marthe, je ne pense pas que soit pour lui que nous travaillerons.
Laurent : Pourquoi tu dis ça ?
Ed : Je me suis renseigné, il a son propre service de sécurité, certains dans son service viennent de l'armée mais ils sont tous civils. L'affaire est plus importante.
Laurent : Mais que peut-il y avoir de plus important que la PK C ?


La question restait sans réponse. Laurent se détendait. Brusquement il se relevait.

Laurent : Le PII ( Président Interfédéral Intercontinental ) ! C'est de lui qu'il s'agit, c'est évident !
Ed : Ce ne serait pas la PK alors ?
Laurent : C'est vrai ! Mais la mission semble tellement secrète qu'ils nous ont peut être aiguillé dans une mauvaise direction ? A mon avis, c'est le PII !

Le silence revenait entre les deux hommes.

Ed : Je te proposerais bien quelques chose …
Laurent : Vas y je t'écoute.
Ed : Retire tes vêtements …

Laurent éclatait de rire, mais il s'exécutait. 

Laurent : Tu veux sucer ma queue ?

Depuis la première fois qu'ils s'étaient amusé à ce jeux, ils avaient recommencé à plusieurs reprise et on peut supposer que Laurent y avait pris goût. Déjà il bandait. Bon à ce niveau de l'histoire il ne faut pas exagérer, ils ne l'avait pas fait souvent. 

À plusieurs reprises ils s'étaient retrouvés sous les douches et comme Laurent ne portait pas de dispositif, que Ed était en manque permanent, que les douches leurs étaient réservées et que personnes ne risquait de venir les déranger, il avaient partagé quelques moment de douceur, de câlins. 

La peau caressait la peau, les lèvres caressaient les lèvres de l'autre avant de se promener sur tout le reste du corps. C'était doux, c'était chaud. La peau brûlait mais sans laisser de blessure, c'est une chaleur, une brûlure qui ne provoque aucune blessure et qui ne donne que du plaisir. 

Les deux hommes se serraient fermement l'un contre l'autre, chacun d'entre eux retenait son camarade avec autant de force que de douceur. Et la peau caressait la peau. Ed était nu également. 

Ed repoussait Laurent sur son lit et s'allongeait sur lui, le faisait rouler sur lui-même, le retournait et glissait ses mains partout ou il pouvait. Sur le torse pour commencer puis rapidement sur le ventre, puis elles se glissaient entre les cuisses, s'attardaient sur les couilles de Laurent pendant que ses lèvres se refermaient avec douceur sur la bite de son camarade qui rapidement lui rentrait jusqu'au fond de la gorge.

Ensuite Ed maintenait son camarade sur le ventre, il s'était allongé sur lui et de son corps caressait celui de Laurent. Son dispositif de chasteté se relevait avec force et glissait entre les cuisses de Laurent. Ed couvrait de baisers les épaules de son amant, puis ses lèvres descendaient sur le dos et quand elles arrivaient au creux des reins il avait glissé ses mains sous les cuisses de Laurent et le masturbait doucement. Laurent soulevait légèrement son bassin et laissait faire son camarade...

D'un mouvement rapide Laurent se retournait et prenant fermement Édouard dans ses bras le retournait sur le dos. C'est Laurent qui se retrouvait alors allongé sur son camarade et le couvrait de baisers à son tour. Il caressait le torse de son ami tout en l'embrassant sur son ventre puis plus bas, il lui gobait les couilles et glissait ses mains sous ses couilles. 

Puis comme Ed lui avait déjà montré une fois, il lui glissait un doigt dans le cul …

Ed : Oui vas y ! C'est bon ! Prends moi !

Rapidement et très décidé Laurent plaçait les chevilles de son amis sur ses propres épaules avant de s'allonger de nouveau sur lui en lui repliant les jambes, Ed se retrouvait alors le cul relevé et offert, il attrapait les épaules de Laurent et râlait de plaisir quand il sentait la queue de son compagnon se positionner sur son cul, puis appuyer contre son cul et enfin s'enfoncer, s'introduire.

Une convulsion, un tremblement, un gémissement, un sanglot de plaisir peut être suivaient et la queue de Laurent s'enfonçait lentement.

Les deux hommes se regardaient dans les yeux, Laurent très attentif à la moindre réaction de son amant, Édouard envahi de plaisir. Il faisait quelques grimaces par moment, sans doute un peu de douleur mêlé au plaisir. Souvent il y a un peu de douleur dans le plaisir quand il devient intense.

Le ventre de Laurent s'écrasait contre les fesses d'Edouard qui poussait un long soupir de plaisir qui se terminait comme une plainte. Les corps ne bougeaient plus, les lèvres ne se séparaient plus et les langues se caressaient dans des mouvement autant doux que sensuels. 

Puis lentement, avec une grande douceur Laurent se retirait. Doucement il retirait sa queue du cul de son ami, pas totalement, juste à moitié avant de revenir et de l'enfoncer de nouveau en poussant doucement et fermement au moment ou son ventre s'écrasait sur les fesses de son camarade.

Édouard gémissait de plaisir à ce moment, il saisissait ses chevilles et retenait ses jambes bien repliées contre lui alors que Laurent se retirait de nouveau, un peu plus, et revenait de nouveau bien à fond, un peu plus vite, un peu plus fort. Édouard tremblait et ses gémissements se transformaient en plaintes. 

Laurent accélérait les mouvements, plus amples, plus rapides, plus forts, plus violents. Il s'était relevé et c'est lui qui retenait les chevilles de son ami. Quand il enfonçait sa queue dans le cul d'Édouard il ne se retenait plus, il appuyait ensuite de tout son poids contre les fesses de son camarade qui ne gémissait plus, qui râlait de plaisir, qui en redemandait et qui en recevait.

Laurent se lâchait ses mouvements devenaient rapides, très rapides et violents, très violents. Édouard gueulait, le bâtiment est ancien et les portes sont épaisses, personne n'intervindrait, heureusement !

Édouard gémissait, gueulait, pleurait au moment ou il jutais, il jouissait et c'était intense. Laurent le regardait, il était fasciné par le visage de son ami qui semblait exprimer de la douleur alors que ce qu'il éprouvait était avant tout un intense plaisir, peut être même une certaine extase. Il continuait ses mouvements de toutes ses forces, le plus vite possible. Édouard convulsait alors , il ne contrôlait plus ses réflexes, il était alors pris de mouvements qui échappaient à son contrôle. Il ne jutais plus mais il jouissait toujours. Laurent était un peu dépassé.

Dépassé peut être mais c'est pas pour ça qu'il se calmait, il sentait le plaisir monter, il s'entait qu'il allait jouir lui aussi, il lâchait tout. Il jouissait, il éjaculait dans le cul de son ami, il était lui aussi pris de quelques convulsions, enfin de quelques mouvements qui échappaient à son contrôle. 

Laurent appuyait contre les fesses d'Édouard.

Plus personne ne bougeait, ils restaient dans cette dernière position un long moment. Laurent finissait par se pencher contre son ami, lui déposait un baiser sur les lèvres et se retirait dans un même mouvement. 

Édouard laissait retomber ses jambes, Laurent se laissait retomber sur son ami et ils restaient là sans bouger pendant un très long moment. Ils échangeaient encore quelques câlins puis se décidaient à passer sous la douche. Il n'y avait personne dans le couloir, c'était un soir de relâche et presque tous les gars de l'équipe étaient sortis. 

C'est un bruit étrange qui attirait leur attention en passant devant la porte d'une chambre. On aurait dit un cris étouffé. Les deux hommes se regardaient l'air interrogatif puis Laurent décidait d'ouvrir pour voir ce qui se passait.

Doucement il ouvrait la porte et y glissait un œil. Il y avait le sergent Lamass, à quatre patte sur un lit et juste derrière lui le sergent Dupont placé juste derrière lui. Dupont avait lubrifié le cul de Lamass, il y glissait un puis deux doigts, il tenait dans la main une sorte de gode fait maison. C'était une serviette de bain de petite taille enroulée sur elle même puis bien saucissonnée avec un lacet, le tout était alors enfilé dans un préservatif ou deux. Le tout faisait un godemichet tout à fait fonctionnel.

Dupont enfonçait alors le gode ainsi bricolé lentement dans le cul de Lamass qui ne cachait pas son plaisir, qui râlait et en redemandait. Dupont lui en donnait, il enfonçait le gode bien à fond, finalement il était de belle taille, ça marchait bien ce truc. Dupont le retirait puis l'enfonçait de nouveau et continuait de plus en plus vite.

Édouard et Laurent regardait le spectacle sans bouger, sans faire de bruit, surtout sans se faire remarquer. Édouard avait lui aussi glissé la tête dans l'ouverture de la porte. Ils se rinçait l’œil un long moment. Lamass râlait de plaisir et s'abandonnait totalement à la volonté de son ami qui ne ralentissait pas le mouvement, même pas au moment ou on voyait couler du dispositif de Lamass un liquide blanc et épais. 

Nos deux héros, voyait les deux sergents de côté, Lamass avait les cuisses écartés et ils pouvaient voir parfaitement le dispositif de chasteté qui se balançait et le sperme qui en coulait.

Au bout d'un moment les deux hommes se calmaient et Laurent tout comme Édouard se retirait doucement, sans faire de bruit et refermaient la porte le plus doucement possible.

Ils se regardaient alors en rigolant.

Ed : Tu vois ! On n'est pas les seuls à se faire plaisir.
Laurent : J'y crois pas ! C'est sûr, demain je vais regarder le sergent Lamass avec un tout autre regard. 
Ed : Moi, ça ne m'étonne pas !
Laurent : Tu as vu le truc qu'ils se sont bricolé.
Ed : On m'en avait déjà parlé ! Ça marche bien on dirait !
Laurent : Ils portent tous les deux un dispositif, ils n'ont pas trop le choix !

La discussion avait continué sous la douche, ils étaient sous la même douche et se savonnaient l'un l'autre. Ils se séchaient et enfilaient une tenue de sport.

Laurent : Et tu ne regrette pas ton choix de porter ce truc ?
Ed : Non, tu sais j'arrive à prendre mon pied moi aussi.
Laurent : J'ai vu ça.
Ed : Le plaisir est très différent mais il y a du plaisir, ça dure plus longtemps même. Et en plus on devient addict !

En sortant des douches ils croisaient dans le couloir le sergent Lamass et le sergent Dupont.

Laurent : Vous n'étiez pas sortis les gars ?
Lamass : Non mais on y va là !
Ed : Et bien passez une bonne soirée les gars.

Nos deux héros échangeaient un regard complice et amusés, les deux autres continuaient leur chemin. 

Laurent : Woah ! Lamass, j'y crois pas !
Ed : On était pas mieux tous les deux juste avant !
Laurent : Et tu as vu il porte un dispositif de petite taille.
Ed : Il ne faut pas se fier à la première impression …

Lamass était une montagne de muscles et il ne valait mieux pas se retrouver coincé entre ses bras dans un combat. C'était une force de la nature mais là Laurent le voyait autrement. Il l'avait vu dans une position qu'il n'aurait pas soupçonner.

Dans les jours qui suivaient la vie reprenait son rythme, entraînement, formation, dodo. C'était monotone par certains côtés mais il n'y avait pas de quoi s'ennuyer, ils étaient toujours occupés. Le soir c'était détente, la bouffe était bonne, le salon télé était plein tous les soirs … Des liens se créaient entre les membres du groupe, des affinités, des amitiés et même plus …

Quelques jours plus tard le Capitaine Lassible était de nouveau convoqué au bureau du général. Il y restait un long moment en discussion avec le Général. En fait on le pressait à donner une réponse. L'état major ne lui cachait pas qu'une réponse positive serait bien vue mais lui confirmait toutefois qu'aucune sanction ne serait prise, aucune pression ne serait faite. Il fallait seulement qu'il donne sa réponse.

Le général : Vous savez Lassible, vous étiez le premier choix, vos états de service, votre âge font de vous le premier candidat auquel nous avions pensé. Il nous faut une réponse rapide pour savoir si nous devons envisager un remplacement.
Laurent : Le port du dispositif est une obligation pour cette mission ?
Le général : C'est une obligation incontournable !
Laurent : Et on ne peut toujours pas en savoir plus ?
Le général : Négatif capitaine ! 

Laurent réfléchissait un moment, le général ne l'interrompait pas.

Laurent : Vous êtes vous-même porteur je suppose ?
Le général : Affirmatif capitaine, affirmatif … PK OR depuis maintenant dix ans …
Laurent : Et … Vous … Je sais pas comment dire …
Le général : Non … C'est un choix personnel, mais on ne vous demande pas de choisir la PK OR, c'est un modèle un peu définitif ( Ce modèle ne peut en effet pas être retiré ). On vous propose juste une modèle permanent et permanent ne veux pas dire définitif …
Laurent : Vous me laissez une dernière nuit avant de me décider mon général ?
Le général : Demain matin dans mon bureau à dix heures. Vous recevrez votre équipement ou votre ordre de route si vous préférez nous quitter. À vous de choisir !



LES AVENTURES DE DAVID
Ep 26 : IL FAUT CHOISIR


Le reste de la journée, Laurent restait très perplexe, pensif, dubitatif. La situation devenait claire et le choix tout autant. Enfin le choix … Oui de ce côté c'était clair mais ça ne veut pas dire que c'était facile de décider. 

En temps normal, quand on passe par la procédure habituelle, on peut se réserver des périodes d'essais. C'est ce que font la plupart des étudiants, il profitent des vacances qui précèdent la rentrée pour s'entraîner à porter la cage à bite. Pas tous, c'est vrai. Quelques uns enfilent le truc et le gardent sans limite dans le temps, c'est plus rare. De plus à l'époque ou on est, tous les garçons ont essayé au moins une fois un dispositif de chasteté. Ce n'était pas le cas de Laurent. 

 Il ne l'avait pas mis pendant ses études, ni à la fin du secondaire contrairement à la plupart de ses camarades qui préparaient la fac. Il avait choisi une école militaire qui ne le demandait pas, la seule. Le port du dispositif n'était pas interdit dans cette école mais aucun de ses camarades ne le portait. En fait tous ceux qui ne voulaient pas porter le truc la choisissaient en priorité et aucun élève ne portait le dispositif de chasteté.

Plusieurs de ses anciens camarade d'école avaient fini par se décider et portaient maintenant le dispositif, en fait tous ceux qui comme lui, faisaient carrière, en portait un, plusieurs avaient même fait le choix du modèle PK OR, celui là il n'était pas seulement permanent il était définitif. On ne pouvait pas le retirer ! 

Laurent se souvenait de discussions avec ses anciens camarades. A l'époque pour lui c'était clair : Ce n'était pas une obligation il ne le porterait donc pas !

Il n'avait jamais eu un doute, une hésitation, un questionnement … Jusqu'à ce jour !

En fait ce n'était pas une obligation, il lui restait toujours la possibilité de refuser, il serait alors muté à une autre mission. Mais si ce n'est pas une obligation et si personne ne peut l'exiger ( sauf pour lui même ) on sait qu'il y a quelquefois des requêtes qui valent largement une exigence, et qu'il vaut mieux accepter. 

C'est vrai qu'il n'avait jamais entendu parler d'un officier d'un grade supérieur au sien qui ne portait pas ce dispositif PK. Il n'y avait pas d'obligation, c'est vrai mais il fallait toutefois faire un choix !

Laurent, quelquefois, avait pensé à cette famille étrange dont on ne savait que peu de chose. Enfin je m'exprime mal, de cette famille on savait tout. Mais des membres de cette famille on ne savait presque rien. On savait que depuis deux générations ce n'était plus elle qui dirigeait la société, on savait que le dernier petit avorton prendrait la direction de l'entreprise, on connaissait le fief de cette famille, cette petite ville qui lui appartenait pratiquement. Mais le visage de cet héritier, son âge, ce qu'il faisait … Rien ! On ne savait rien ou si peu !

La presse avait parlé de lui il y a peu, il avait été intronisé comme futur maître du monde, une photo de lui avait été publiée mais elle était floue, c'était volontaire bien sûr, pour sa tranquillité. C'est à peu prêt tout ce qu'on savait. Un commentaire plein d'éloge sur sa gentillesse, sur le fait qu'il savait se faire apprécier, que tous ses proches l'aimaient, que tous ceux qui l'approchaient tombaient sous son charme. Enfin Laurent trouvait que la propagande était parfaitement organisée. Tout n'était certainement pas faux mais, c'était trop beau pour le croire …

Encore une fois Laurent se disait que quelques part c'était un pauvre petit garçon riche … Il avait vécu dans un palais depuis sa naissance, savait-il seulement ouvrir une porte ? Il n'avait pas le choix, lui il serait obligé de porter le dispositif, on ne lui demanderait pas son avis, il n'aurait pas la possibilité de refuser …

Mais pourquoi avait-on sauté deux générations ?

L'équipe de Laurent remarquait que le capitaine n'était pas dans son état normal, mais comme personne ne savait rien de ce qui était proposé à Laurent, ils supposaient simplement qu'il ne devait pas être en forme ... Seul Édouard se doutait de ce qui se passait. Seul Édouard devinait que l'échéance du choix se présentait maintenant. 

Il se retrouvaient sous la douche dans la soirée.

Ed : Tu veux parler ?
Laurent : Non ça va merci.
Ed : Tu es sûr, tu sais je suis passé par là !
Laurent : Oui je sais mais j'ai surtout pas envie de parler !


Laurent : Je dois donner ma réponse demain !


Laurent : Soit je dis oui , soit je pars pour une autre mission.

… 

Laurent : Le général me donne demain un nouvel ordre de mission si …
Ed : Ou alors on te donne ton '' Équipement ''.
Laurent : Oui c'est exactement ça !
Ed : Et tu penses répondre … ?
Laurent : Je ne sais pas, je ne parviens pas à … C'est pas un choix facile … C'est vrai quoi ! Moi j'ai toujours organisé ma vie, ma carrière dans le choix contraire. Et là …

Édouard est un garçon prévoyant ou alors il avait envie de rigoler. Il avait prévu un petit godemichet. Ça devait être pour rigoler !

Il s'approchait de Laurent et lui frottait le dos. Laurent ne bandait pas et même ce doux contact ne provoquait chez lui aucune réaction. Les caresses d'Édouard devenaient plus fortes, il s'approchait de son ami et le prenait dans ses bras, il lui caressait le torse, suivait des doigts chacun des muscles qui dessinaient la silhouette de Laurent. Ils était tous les deux d'une plastique exceptionnelle, mais le reste de l'équipe également …

Laurent commençait à réagir quand les mains d'Édouard arrivait sur la queue et commençait à le masturber. 

Ed : Tu la mettras en cage ou tu ne le feras pas mais ce soir je vais t'initier à un autre plaisir qui lui ne te seras pas interdit …

Laurent ne comprenait pas ou il voulait en venir mais ne se posait pas vraiment de questions. Édouard se collait dans le dos de Laurent. Laurent sentait ce contact si doux qu'il connaissait déjà bien et auquel il prenait goût. Il sentais la cage de son camarade qui se redressait au niveau des ses fesses. Il se disait qu'il aurait le bon rôle ce soir encore. 

Mais ce soir Édouard insistait plus longtemps sur les fesses de son ami, son doigt glissait de plus en plus vite, bien lubrifié par le savon, entre les ses fesses. Il faisait une légère pause juste sur l'anus de Laurent, exerçait une petite pression sans insister d'avantage. Laurent laissait faire. Édouard lui avait déjà prodigué ce plaisir et il avait apprécié, aussi il laissait faire.

Ed : Retourne toi !

Laurent se retournait, Édouard le guidait avec une main, l'appuyait contre le mur, lui écartait largement les jambes avant de reprendre ses caresses. Là il insistait un peu plus sur l'anus, puis sans prévenir il enfonçait un doigt. 

Laurent poussait un long soupir de plaisir.

Édouard continuait avec un peu plus de force mais toujours beaucoup de douceur. Son doigt entrait, sortait puis entrait de nouveau un peu plus profond puis … Rapidement le doigt entrait sur toute sa longueur.

Laurent continuait à soupirer de plaisir .

Édouard, regardait le visage de son ami qui n'exprimait que du plaisir. Il continuait le mouvement et sans prévenir introduisait un deuxième doigt avec le premier mais sans prévenir. 

Laurent se contractait, faisait une grimace et tremblait, c'est un petit cri de surprise qu'il poussait en même temps. Il baissait alors les yeux vers Édouard qui était à genoux devant lui et lui faisait un sourire.

Laurent : Là je ne m'y attendais pas !
Ed : Ça va ?
Laurent : Super ! Suce moi la queue !
Ed : Non, ce soir c'est un autre plaisir que je vais te faire découvrir ce soir. Tu me fais confiance ?
Laurent : Fais de moi ce que tu voudras !

Édouard enfonçait son index et son majeur bien à fond dans le cul de son camarade puis toujours sans prévenir commençait à remuer fermement les deux doigts avec le même mouvement de jambes qu'on fait quand on nage le crawl. 

Laurent se contractait de tous ses muscles, il tremblait bien maintenant.

Laurent : Ahhhh ! C'est bon là ! Oooooh oui ! Vas y ! 

Édouard continuait et Laurent aussi .

Laurent : Terrible ! Là c'est terrible ! 

En même temps Laurent se caressait le ventre, ses mains glissaient à la base de son sexe, entre ses cuisses. Il avait quelques première convulsions et se penchait en avant d'un mouvement saccadé.

Ed : Tu ne te masturbes pas !
Laurent : Là tu es dur avec moi ! 

Laurent obéissait, Édouard devinait qu'il avait du mal à se retenir et n'hésitait pas à lui écarter les mains s'il était trop tenté. Au fond du cul de Laurent les deux doigts d'Édouard bougeaient de plus en plus, de plus en plus fort et tambourinaient avec force contre sa prostate. Le corps de Laurent était pris de nouveau de convulsions, un peu comme quand on rigole et le ventre se contracte mais là il ne rigolait pas le mec, non il ne rigolait pas, il faisait des grimaces qui dans une autre situation auraient montré de la douleur mais là ce n'était que du plaisir .

Ed : Ça va ?
Laurent : Ahhh, Ohhh, Ehhh, baaa, béééé …

Oui bon vous avez compris !

Ed : Bon on passe à la suite ?

Laurent ne disait plus rien mais regardait ce qui se passait. Édouard lui ressortait les doigts du cul. ( j'ai entendu un jour un joueur de foot qui utilisait cette expression mais je suis pas sûr qu'il fallait la prendre dans le même sens que dans cette histoire … Enfin j'espère … Pour la réputation du foot … Pfff … note de l'auteur).

C'est donc à ce moment qu'il montrait le gode à Laurent. 

Laurent sursautait.

Laurent : Tu es sûr ?
Ed : tu es partant ?
Laurent : Je te fais confiance. Vas-y doucement, là tu me fais un peu peur !

Ed y allait tout doucement, il lubrifiait bien le gode, de nouveau il lubrifiait le trou du cul de Laurent puis positionnait le gode.

Ed : Tu respire bien à fond et surtout tu te détends.

Ed commençait alors à pousser le gode qui doucement se frayait le passage. Il écartait les fesses d'une main et poussait de l'autre. Le gode entrait.

Laurent respirait fort, très fort et râlait de plaisir. En tous cas ce n'étaient pas des cris de douleur même si la sensation devait être particulièrement intense.

Ed continuait à pousser le gode qui s'enfonçait de plus en plus profondément. Laurent grimaçait, tremblait, convulsait mais il tenait le coup et ne demandait pas son ami d'arrêter. Il poussait des cris de plaisir.

Laurent : Oh oui c'est bon ! Vas y ! Fourre le moi bien à fond ! 

Quelques instants plus tard, Laurent lâchait la purée, il éjaculait avec force et Édouard se prenait tout sur la figure. Laurent ne bougeait plus, Édouard non plus. Il n'avait pas retiré le gode du cul de Laurent qui s'en rendait compte, n'en doutez surtout pas, et qui le retirait doucement un peu plus tard .

Édouard était content de lui, Laurent était content … 

Laurent : C'était génial, je savait pas que … J'avais jamais joui comme ça !
Ed : Et ça t'a plu ?
Laurent : C'était le pied !
Et : Si tu dis oui, tu dois savoir que ça c'est toujours possible.

Finalement le lendemain quand Laurent s'est rendu au bureau du directeur, pardon je voulais dire du général, il n'avait pas fait son paquetage, il avait décidé d'accepté la mission.

Il avait tout de même un pincement là, au niveau de son cœur … Un nœud aussi là, au niveau de l'estomac. Il ne savait pas combien de temps ça devrait durer. Il se souvenait des histoires qu'ils se racontaient quelques années plus tôt à l'école militaire … 

On racontait que certains avaient signé le contrat sans le lire et se sont retrouvé sous clé pour la totalité de leur engagement. Sans avoir été prévenus, ils ont porté le dispositif pendant plus de dix ans...

D'autres en renouvelant leur contrat n'ont pas fait attention à la petite close et se sont retrouvé avec un dispositif PK OR sur la queue sans qu'on ne les ait prévenus. Ils l'ont senti passé et s'en souviennent encore, et pour cause. Le dispositif PK OR ne peut pas être retiré.

Laurent savait que c'était des  histoires mais son estomac lui semblait l'ignorer et son cœur battait fort au moment ou on lui présentait le dispositif. Il hésitait, tout le monde hésite à ce moment. La première fois tout le monde hésite. Il n'aurait pas la clé, comme prévu. Les porteurs de ces dispositifs n'ont jamais la clé, ce serait idiot.

Il avait mesuré son membre avec soin et au moment fatidique il ne bandait pas, il n'en menait pas large non plus. Il ressentait encore le plaisir qu'il avait découvert la veille entre les mains d’Édouard, ça lui donnait le courage de procéder. Comme on lui avait conseillé plus tôt il glissait d'abord un testicule puis le second. Une pause pour reprendre son souffle. Il commençait à sentir une certaine excitation et glissait sa queue dans l'anneau avant qu'il ne le puisse plus. 

Il prenait la cage et y glissait sa queue également, il commençait à bander et ça ne rentrait pas comme prévu, il respirait bien à fond, retrouvait son calme et en forçant un peu parvenait à emboîter la cage sur l'anneau de maintien. 

Ce modèle était équipé d'un cadenas incorporé. On pouvait le changer mais uniquement quand le dispositif était ouvert, là on allait le fermer et pour verrouiller le tout il suffisait de forcer sur le dispositif, le cadenas de refermait alors et seule la clé pouvait le rouvrir.

Laurent bandait à moitié au moment ou il enclenchait la cage sur l'anneau et avait un peu forcé c'est donc sans s'en rendre compte qu'il avait verrouillé le dispositif. Il était sous clé et ne le savait pas encore. Il se retournait vers le sous officier infirmier chargé de superviser la mise en place du dispositif. 

Le sous officier : Voyons voir … Il me semble que le dispositif est verrouillé . Tu auras du le verrouiller au moment ou tu as forcé.
Laurent : C'est tout … C'est ...  ?
Le sous officier : Bein j'en ai bien l'impression.

Le sous officier tentait de faire jouer la cage sur l'anneau, tout était bien verrouillé. Laurent remontait son pantalon, on lui remettait une attestation à remettre au bureau du général. C'était réglé, il avait signé pour cinq ans. 

C'est avec un petit sourire pincé qui retrouvait son équipe.

Ed : Ça va ? Ça s'est bien passé !

Laurent lui répondait d'un mouvement de la tête. 

Quelques jours plus tard on convoquait nos deux capitaines au bureau du général, le Président Fédéral était là comme au jour de leur arrivée. Ils allaient enfin savoir de quoi il s'agissait.



LES AVENTURES DE DAVID
Ep 27 : LA MAISON DE LA PLAGE


David avait repris son rythme de vie habituel. Une équipe de gardes avait été installée au rez de chaussée ainsi que d'autres équipes dans les appartement de plusieurs immeubles dans le quartier, au rez de chaussée uniquement. En fait le quartier s'était discrètement transformé en quartier sécurisé sans que ça ne se voit trop. 

Il n'y avait plus de garde devant la porte de l'immeuble de David mais il y en avait un certain nombre qui surveillaient le moindre mouvement dans le quartier. Les colocataires de David n'étaient plus fouillés à chaque fois qu'ils se déplaçaient dans le quartier, ses amis non plus. C'en était presque étonnant mais en fait ils avaient fait l'objet d'une enquête très serrée. David n'en savait rien mais c'étaient les services secrets qui s'étaient occupé de cette affaire.

Le deuxième trimestre scolaire se terminait, David s'était totalement adapté dans cette nouvelle vie. Franck Marthe venait le voir.

Franck : Alors David, ton grand père t'a parlé de la maison de la plage ?
David : Oui il parait que c'est une maison de fous. C'est un grand oncle Luc qui a dessiné les plans, et mon grand père m'a dit que quelquefois c'était un grand malade.
Franck : C'est vrai que c'est une maison de fous mais tu verras elle peut être très agréable. 
David : Alors vous avez organisé cette réunion informelle ?
Franck : Oui et on va profité des vacances qui approchent. Tu n'a rien de prévu de particulier ?
David : Bein non !
Franck : Ça m'arrange, tu n'imagines pas combien c'est compliqué, il va falloir réunir dans un même endroit les cinq dirigeants de la planète … En plus de toi, de ton grand père et de moi !
David : Vous serez là aussi !
Franck : Je suis le PDG de la PK Compagnie et ces cinq dirigeants je les connais personnellement … Très bien même … Il n'y a pas trois jours j'ai dîné chez le PII ( la plus haute autorité politique de la planète ) il se fait une joie de t'être présenté. 

Quelques jours plus tard les vacances commençaient. David se détendait un peu. Le deuxième jours des vacances Franck Marthe arrivait chez David il était avec Philippe. 

Franck : Bien mon garçon, on peut partir quand tu veux .
Philippe : Je te rassure David tout s'est fait dans mon dos, je suis et reste contre cette réunion .
Franck : Mais c'est une réunion informelle, et ton petit fils a décidé de reprendre l'entreprise familiale …
Philippe : Bon on arrête de discuter, on peut y aller !
David : C'est loin ?
Philippe : On y va en hélicoptère, en voiture on y passerait la moitié de la journée.

David en avait désormais l'habitude, un taxi les attendait sur la terrasse, en quelques minutes ils étaient à l'aéroport. Deux petites heures plus tard ils arrivaient à destination.

David : C'est étonnant comme architecture, on dirait un maison de poupée.
Philippe : Ça c'est parce que tu la vois de loin, de prêt  on a une tout autre impression. 
David : Du genre ?
Philippe : Du genre … L'architecte était fêlé !
David : Tu es dur avec tes oncles, grand père !
Philippe : Non pas du tout, je ne leur ai jamais caché ce que je pensais d'eux, ils étaient extraordinaires, je les aime et les ai toujours aimé … Mais ils étaient fêlés ! Luc surtout !
L'hélicoptère se posait juste devant la maison, les trois passagers en descendaient l'hélico repartait aussitôt. Plusieurs employés de maison venaient saluer et accueillir les arrivants. Philippe faisait l'accolade à un des employé.

Philippe : David je te présente Alex, il est au service de notre famille et de cette maison depuis très longtemps.
Alex : Voilà donc ton petit fils, j'en ai beaucoup entendu parlé. Je suis très heureux de te rencontrer David … C'est moi qui suis chargé de faire fonctionner cette maison, si tu as besoin de quoi que ce soit … Tu n'hésites pas à me déranger s'il te plaît, ça me fera plaisir !

Alex saluait Franck Marthe et leur expliquait ce qu'il avait prévu pour le séjour.

David se retrouvait devant l'entrée principale, il restait perplexe. La porte principale avec son imposte culminait à une hauteur de près de dix mètres … Le plafond du hall d'entrée dépassait de plusieurs mètres la hauteur de la porte ( c'est préférable ) ce qui fait que le premier étage à cet endroit de la maison se retrouvait à la hauteur d'un quatrième étage dans un immeuble standard …

Au rez de chaussée les salles de réceptions avait une hauteur de plafond de six mètres. Le hall d'entrée se terminait au fond, face à la porte d'entrée monumentale par un escalier tout autant monumental en fer à cheval. De chaque côté de l'escalier une ouverture ouvrait sur une deuxième partie, une salle tout aussi monumentale que le hall avec en son milieu une piscine de vingt cinq mètre de long … 

David n'avait encore rien vu mais déjà il se retournait vers son grand père …

David : Tu avais raison Grand Père, ton oncle était fêlé !
Philippe : Ça lui aurait fait plaisir de t'entendre du sais !

Au premier étage les chambres étaient plus modestes, les hauteurs de plafond ne dépassaient pas quatre mètres ( sauf pour quelques unes ) et leur tailles moyennes étaient de cinquante mètre carré … David avait rapidement le vertige. La chambre des maîtres faisait une surface de soixante mètre carré avec sa partie salon mais sans la salle de bains, et était décorée de marbres parmi les plus rares, robinetteries en or, baignoire en marbre. Les tissus les plus luxueux, depuis le plus simple comme le coton d’Égypte aux soies de Chine sur  lesquelles apparaissaient des motifs en relief, tissés directement dans le tissus lui même ( du sur mesure de très haut de gamme ). 

C'est bien sûr la chambre des maître qui était réservée à David, ne le serait-il pas un jour … Son grand père Philippe retrouvait lui la chambre qui lui était attribuée quand il était jeune. Rien n'avait changé sauf peut être les vêtements dans la penderie, ils étaient au goût du jour.

La chambre d'en face était réservée à Franck Marthe, elle était du même genre que celle de Philippe. Six autres chambres étaient préparées pour les présidents, la vaisselle d'apparat était sortie. Tout était prêt pour recevoir les invités. 

Le jour même c'est  un commando de militaires qui débarquait. Ils investissaient les lieux. C'est Alex qui se chargeait de faire visiter aux responsables militaires les dispositifs de sécurité. Tout était prévu, depuis un système de détection qui n'aurait pas laissé un moustique approcher de la maison ( C'est en tout cas ce qu'avait dit le fabriquant ) jusqu'à un abris anti-atomique au cas ou … 

Les services de sécurité semblaient rassurés. Ils prenaient le contrôle de la situation. En temps normal il n'y avait pas beaucoup de personnel de maison mais pour l'occasion un contingent était arrivé, tous avaient été sélectionnés parmi le personnel de la PK, parmi un personnel très bien connu, au dessus de tout soupçon.

Le premier soir, David était un peu perdu il était allongé sur son grand lit. On frappait à la porte. Un employé métisse entrait, il portait un plateau. 

L' employé : Monsieur Alex m'a demandé de vous apporter un grand verre de chocolat pour vous aider à dormir Monsieur Brosso.

Ça faisait toujours une drôle d'impression à David de se faire appelé Monsieur. 

L'employé : Puis-je faire quelque chose pour vous ? Voulez-vous que je vous fasse couler un bain ?

David n'était pas habitué à se faire traiter de la sorte, il faisait oui de la tête mais sans aucune conviction. Quelques instants plus tard le bain était prêt. L'employé prenait les vêtements que David retirait, David se glissait dans son bain.

L'employé : Si vous me permettez Monsieur Brosso !

L'employé se plaçait dans le dos de David et commençait à lui masser les épaules et le cou. David se détendait, il ne réalisait pas vraiment la situation, il ne réalisait pas vraiment que si partout ailleurs il était le futur Maître, ici il l'était déjà. Il était chez lui … Il se laissait aller et se détendait complètement. 

David : Dis moi, tu t'appelle comment ?
L'employé : Jonas Monsieur Brosso !
David : S'il te plaît, n'en rajoute pas trop avec les '' Monsieur Brosso '' je sais c'est mon nom mais tout le monde m'appelle David .
Jonas : Vous appeler simplement David ne serait pas convenable de ma part  Monsieur Bro ... Pardon … Monsieur !

David rigolait.

Jonas : Je sens que vous vous détendez bien Monsieur David. Voulez-vous que …
David : Oui vas y .

David était nu dans son bain, allongé sur le dos, son dispositif de chasteté se relevait avec force. Ce contact qui n'était pas prévu réveillait en lui des désirs qu'il aurait aimé satisfaire. Il se laissait faire, le massage se transformait doucement en caresses qui descendaient sur son torse. David se sentait bien, il respirait fort. 

C'est sans penser à mal, c'est sans penser à rien d'ailleurs que David posait sa main sur le bras de Jonas et le caressait avec douceur. Jonas était surpris mais laissait faire, il était penché sur David qui le regardait, c'est sans prévenir et toujours sans penser à rien que David déposait un baiser sur la joue de Jonas. Sur le bas de la joue pour être plus précis, presque dans le cou. L'employé était métisse et comme tout le monde le sait David aime bien les garçons à la peau mate. 

Jonas n'était pas du genre timide, il baissait la tête et donnait un baiser sur les lèvres de David. Quelques instants plus tard il avait retiré sa chemise et David découvrait autant avec les yeux qu'avec les doigts le corps parfait et musclé de Jonas. 

Rapidement suivait un nouveau baiser, puis encore un. David se relevait et prenait dans ses bras, on ne parlait plus de petit massage, là c'étaient des caresses, des câlins, des baisers. Les mains de Jonas se promenaient sur tout le corps de David avec, peut être, un peu plus de force et d’insistance que les fesses de david. 

David : Je vois que tu fais du sport.
Jonas : Je vois que vous faites vous aussi du sport Monsieur David.

Les mains de David se posaient également sur les fesses de son employé, bein oui, en fait Jonas était employé par David même si ce dernier n'en savais rient jusqu'à ce jour. 

Puis les mains de David se glissaient dans le pantalon de Jonas, toujours sur les fesses. Jonas avait lui aussi un fessier très ferme, et David ne se privait pas de le vérifier. 

David : Et si tu venais me rejoindre dans mon bain.
Entre deux baisers Jonas lui répondait.

Jonas : Si Monsieur David le désire, ce sera avec plaisir. 

Quelques secondes plus tard, le pantalon de Jonas tombait et c'est belle grosse bite qui se relevait fièrement, avec force, presque à la verticale contre le ventre de Jonas.

David : Ah ouai !
Jonas : Oh pardon ! Vous ignoriez que … 
David : Non, au contraire, j'aime bien.

En disant cela David se penchait et prenait dans la bouche la queue de son employé, rapidement il la prenait toute entière dans sa bouche, elle était de belle taille mais David comme vous le savez tous n'était plus un débutant. Il commençait à avoir de l'expérience et ce soir là c'est Jonas qui en a profité.

David était à genoux dans la baignoire, Jonas était debout juste à côté. Il caressait les cheveux de David, avec douceur. Il appuyait doucement sur la tête de son boss, avançait le bassin par intermittence, appuyait un peu plus fort, sa queue rentrait jusqu'au fond de la gorge de David qui se régalait. 

David glissait ses mains entre les cuisse de Jonas, lui caressait les couilles, lui passait une main entre les fesses et glissait tout doucement un doigt dans le cul. Oh David n'allait pas bien loin, juste une phalange et Jonas gémissait. David lui ne pouvait pas dire grand chose.

Jonas se penchait vers David et l'embrassait tendrement sur la bouche puis enjambait la baignoire et s'allongeait sur David, le prenait dans ses bras et ce n'était plus que câlins, caresses, douceur. David masturbait Jonas, il ne s'y attendait pas à ça mais c'était une bonne surprise. 

David se retournait sur le ventre, sortait sa tête et son cul de l'eau …

David : Encule moi !

Jonas ne le faisait pas répéter, il se lubrifiait la queue, prenait position et poussait. Il poussait assez fort, peut être un peu trop fort et David gueulait au moment ou la queue de Jonas s'enfonçait, elle rentrait vite, avec violence. Il ne fallait que quelques secondes avant que le ventre de Jonas ne s'écrase sur les fesses de David.

Ensuite Jonas s'appuyait de tout son poids, il forçait sur sa gauche sur sa droite, se retirait rapidement et s'enfonçait avec violence de nouveau. Le ventre de Jonas claquait fort contre les fesses de David qui râlait et en redemandait.

Les coups étaient rapides et violents. David jutais et jouissait et les derniers coups particulièrement violent arrachaient à David un cri et un gémissement de plaisir à Jonas.

Les corps se détendaient alors de nouveau Jonas se retirait et reprenait, avec un peu de malice toutefois, le massage qu'il avait interrompu par force … ( Enfin par force, ouai, je me demande si je n'exagère pas là moi … Note de l'auteur )

Une voix se faisait entendre … '' David … Tu es là ? '' . C'était Philippe.

David : Je suis dans mon bain Grand Père, tu désires quelque chose ?
Philippe : Tu pourrais nous rejoindre dans le salon s'il te plaît.

Jonas avait un peu paniqué mais David pas du tout, ils se séchaient, David s'habillait rapidement et laissait là Jonas. Au passage en passant devant la table il avalait rapidement le verre de chocolat et descendait les escaliers.

Un état major militaire était là dans le salon, David ne connaissait pas les grades mais il remarquait les trois étoiles sur le chapeau d'un des militaires, Franck Marthe et Philippe l'attendait. ( Oui je sais … Mais David n'a jamais fait l'armée et il ne fait pas la différence entre un képi et un chapeau, j'y suis pour rien moi … Note de l'auteur )

Franck : Demain, dans la journée les cinq présidents vont arriver l'un après l'autre, par mesure de sécurité ils ne voyageront séparément. L'armée contrôle actuellement l'aéroport. Et la propriété est sous haute sécurité.
Philippe : Puisque nous sommes chez toi David, j'ai pensé que tu pourrais aller les chercher avec ta voiture...
David : Mais grand père on est venu en hélicoptère !
Philippe : Je sais aussi j'ai téléphoné à ta voiture, elle s'est mise en route, elle sera là à temps !
David : Et il est loin l'aéroport ?
Philippe : Trois bons kilomètres.
David : En dehors de la propriété donc.
Philippe : Mais non pas du tout ! Pourquoi tu dis ça ?
David : Mais elle est grande comment cette propriété ?



LES AVENTURES DE DAVID
Ep 28 : REUNION AU SOMMET


Voilà le dernier épisode des aventures de David. Pour le moment aucune suite n'est prête ni prévue mais ce n'est peut pas définitif, sait-on jamais … Il faut bien se dire aussi qu'au départ il ne devait y avoir qu'un seul épisode … 



Le lendemain tout le monde était en tenue d'apparat. David avait un costume à dix mille DI sur lui, son grand père ainsi que Franck Marthe portaient eux aussi un costume du même genre. Le personnel était en tenue des grands jours, les militaires tentaient de se faire discrets, ce qui n'était pas facile dans la mesure qu'il y en avait partout. Un avion s'approchait de la propriété. On avertissait David.

Philippe : C'est le PFC Europe qui arrive.
David : Ça me dit quelque chose !
Philippe : Tu l'as déjà rencontrer lors de la petite fête.

David arrivait avec sa voiture, ils se connaissait en effet, le président prenait des nouvelles de David ils se serraient la main, l’ambiance était informelle et totalement décontractée.

David ramenait le président à la maison. Devant l'entrée le président ne cachait pas qu'il était impressionné par l'architecture.  

Le PFC : Et bien dites donc jeune homme, et c'est vous qui allez hériter de ce … Monument … Mais c'est pharaonique, j'en avait entendu parler mais c'est au delà de tout ce qu'on peut imaginer … 

Les autres présidents ont aussi eu un commentaire du même genre. La PK voulait les impressionner en leur montrant une des maisons personnelles de la famille Brosso … C'était réussi ! Depuis l'aéroport aucun service de sécurité n'était visible mais il était partout, invisible mais partout !

Avant midi les cinq présidents étaient arrivés, David était allé les chercher seul avec sa voiture. Le but était aussi de permettre à chacun des présidents de faire connaissance avec David, en tête à tête, sans aucun protocole. Ils étaient seuls dans la voiture, il ne faut pas oublier qu'elle n'a pas besoin de chauffeur.

A table David avait la place d'honneur, en bout de table, on était chez lui !

Le service était discret, il y avait tout le personnel qu'il fallait mais les consignes étaient surtout d'être discret, très discret, de se faire oublier. Alex, en maître de cérémonie, veillait. 

Dans la journée, on se promenait dans le parc, on discutait, Philippe proposait une ballade en aéroglisseur, tout le monde acceptait, le service de sécurité paniquait mais personne ne s'en inquiétait.

Tout le monde s'amusait dans cet appareil, en commençant par Philippe. Ça faisait un moment qu'il n'avait pas piloté cet engin. C'est en rigolant que les présidents descendaient de l'appareil, deux hélicoptères survolaient la propriété, comme je vous disais, la sécurité paniquait !

Dans la soirée le ton était devenu très détendu, amical serait un mot juste. Les présidents étaient sous le charme et la gentillesse de David. On parlait du devenir du groupe …

Le PII : Et vous David, je sais que vous ne dirigez pas le groupe pour le moment mais, y a-t-il un projet qui vous tenterait là … Maintenant ?
David : J'ai envie de vous répondre … La ligne transocéanique … 

C'était comme ça qu'on avait appelé le projet de route qui devait traverser l'océan …

Les présidents se regardaient en hochant la tête.

Le PII : C'est  un projet énorme, ça fait des années qu'il a été abandonné …
David : Le pont-rail s'arrête sur un archipel au milieu de l'océan, si on le prolongeait on pourrait traverser l'océan encore plus vite qu'en avion un train toutes les demies heures par voie, des milliers de passagers à chaque départ, trois voies dans un sens et trois voies dans l'autre … 

Tout le monde restait pensif.

Philippe : C'était le projet initial de Mr Le Comte …
Franck Marthe : C'était il y a déjà un siècle …
Philippe : La question reste la même. Combien ça va coûter ?

Le lendemain David parlait longuement avec les cinq présidents, son grand père et F Marthe étaient autorisés à rester. On mettait David au courant de tout un tas de secrets sur l'économie mondiale ou la situation politique internationale … F Marthe savait déjà tout cela et pour ce qui est de Philippe, par respect pour David personne n'osait lui demander de sortir !

Pour David c'était une initiation, un premier pas vers sa future prise de fonctions. 

Dans la soirée après le souper, les présidents repartaient. Philippe les accompagnait comme à leur arrivée.

Le PII : C'est amusant comme voiture !
David : Ça roule tout seul, j'ai pas mon permis.
Le PII : Il n'ont pas mis longtemps pour vous la livrer ?
David : Normalement il faut des mois mais moi je l'ai eu en une semaine !
Le PII : C'est normal, on ne fait pas attendre le patron dans ce genre d'entreprise. 
David : Ah bon ! Parce que … ?
Le PII : Bein oui David, vous ne le saviez pas ?

Finalement la rencontre s'était bien passée, tout le monde était content, même Philippe qui pourtant était contre au départ.

David restait encore plus d'une semaine, il en profitait pour visiter la propriété tout en se demandant comment ou pouvait vivre dans une telle maison surdimensionnée.

Finalement il n'était pas mécontent de retrouver son appartement, à côté de la maison il avait presque la taille d'un placard mais c'était suffisant et c'était chez lui. 

L'appartement était vide et tranquille. David se faisait entendre, personne ne répondait. Il frappait puis ouvrait la chambre à Peter, la chambre était parfaitement bien rangée, c'était bizarre. Il faisait de même pour la chambre de Matthieu, là c'était suspecte elle était elle aussi parfaitement bien rangée …

David entrait dans sa chambre, bon le ménage avait été fait dans tout l'appartement pendant son absence. Il n'y avait personne.

Juste derrière lui, il entendait quelqu'un toussoter, il se retournait et se trouvait face à un homme en tenue de majordome.

David : Vous êtes qui vous ?
Bilal : Bilal, Monsieur Brosso, pour vous servir. Si vous n'y voyez pas d'objection je serai votre majordome, je me chargerai de l'entretient de la maison, des repas et de tout un tas d'autres choses …
David : D'accord ! Et mes amis ? Ils sont ou ?
Bilal : A ma connaissance vous êtes le seul occupant de cet appartement Monsieur Brosso !
David : Il doit y avoir erreur ! Qui vous a nommé ici, à mon service ?
Bilal : Mr Julien Rampard administrateur PK dans le département !
David : Il me semblait qu'il s'appelait José et qu'il habitait au rez de chaussée. 
Billal : Ho non Monsieur Brosso, je connais bien Mr José il habite l'immeuble en face maintenant mais ce n'est pas lui, c'est un de ses supérieurs.
David : Là je ne comprend plus rien ! Tout ce que je veux savoir c'est ou sont mes amis.

Billal n'en savait pas d'avantage. David décrochait son téléphone et appelait François. Il finissait par répondre, le ton de sa voix était sec.

David : Ça va François ?
François : Tu t'en préoccupes maintenant.
David : Je ne comprends pas …
François : Pourtant c'est pas compliqué, on nous a dit de dégager, les ordres venaient de toi, j'ai du me réfugier chez un ami, je n'ai plus d'appartement moi maintenant. Peter a été obligé de retourner loger à l'hôtel et Matthieu est avec moi … On ne savait pas ou aller !
David : Je n'étais pas au courant, je te jure. Les ordres ne venaient pas de moi. 

David discutait encore un moment avant que François ne lui donne son adresse. David décidait d'aller le voir sans attendre. Deux jeunes officiers venaient d'entrer et se mettaient au garde à vous au moment ou David les croisait.

Laurent : Capitaine Laurent Lassible et Capitaine Édouard Cascou détaché à votre service Monsieur Br … 
David : Je ne sais pas ce que vous voulez mais on verra ça plus tard, j'ai une urgence …
Billal : Mais Monsieur Brosso …
David : Pour vous aussi on verra plus tard !

David sautait dans sa voiture qui le conduisait vers son amis François.

Il était reçu froidement. David se sentait mal, très mal, ses amis pensaient que c'était lui le responsable de la situation. Il s'expliquait. Finalement ils se détendaient, David prenait dans ses bras son ami François.

David : Tu as vraiment cru que …
François : En fait au début non, on a gueulé mais on avait des uniformes en face de nous … 

Les deux jeunes hommes se serraient l'un contre l'autre, ils s'embrassaient.

François : Tu m'as manqué !

Ils s'embrassaient, Matthieu s'approchait et les prenait tous les deux ses bras. Ils étaient tous les trois dans l'appartement, c'étaient des retrouvailles. C'est François qui se montrait le plus entreprenant, en regardant David avec un petit sourire coquin il ouvrait et retirait sa chemise, Matthieu en faisait de même et David se retrouvait face à deux corps qu'il connaissait bien, deux torses superbes, musclés. L'un était noir l'autre était blanc mais David n'hésitait pas, sa préférence allait vers le corps de François.

David se penchait sur lui et lui donnait tout un tas de baisers doux et tendres.

Matthieu : Et moi alors. 

François rigolait, David lui donnait des baisers à son tour, Matthieu et François s'embrassaient et laissaient faire David. François ouvrait et faisait tomber son pantalon, rapidement Matthieu en faisait de même et David se retrouvait seul avec encore ses vêtements sur lui. 

Il s'accroupissait et lui le jeune maître se mettait au service de ses amis, pour leur seul plaisir. Il suçait d'abord la queue de François, avec plaisir, je veux dire avec du plaisir pour David … François aussi remarquez y prenait beaucoup de plaisir, il caressait les cheveux de David avec douceur.

David prenait la queue de François jusqu'au fond de sa gorge puis passait à Matthieu qui patiemment attendait son tour, c'étaient deux mains qui caressait les cheveux de David.

David passait de l'un à l'autre, il masturbait un de ses camarades en le suçant généreusement, puis changeait il en faisait de même avec son autre camarade. Les deux jeunes hommes ne cachaient pas le plaisir que David leur donnait et gémissaient de plaisir tout en lui caressant les cheveux. En appuyant un peu sur la tête.

Les deux garçons ne s'étaient pas concerté mais ils avaient la même idée. Ils laissaient faire David, l'encourageaient. Ils ne cherchaient pas à lui retirer ses vêtements, ils profitaient de la situation comme elle se présentait. David s'était montré dévoué et volontaire, ils se contentaient de l'encourager.

Doucement il se masturbaient mais c'était par pure réflexe, ils ne tentaient pas de jouir, ils se stimulaient doucement c'est tout. Pour ce qui est de jouir, pour ce qui est de les mener à l'orgasme ils avaient décidé de laisser faire David. Et David, il s'y prenait bien, il prenait sont temps, mais personne n'était pressé.

Maintenant François balançait des coups de bassin et sa queue s'enfonçait dans la gorge de David avec une certaine force, David encaissait comme il pouvait. Mais David aime se retrouver dans ce genre de situation. De plus en plus dans son quotidien quand il dit quelque chose on l'écoute et on lui obéi comme à un maître. Dans ce genre de situation il se retrouve dans la situation inverse.

Là on ne lui demandait pas son avis, ses amis décidaient et lui, il suivait, il subissait même.

Matthieu ne se gênait pas pour bien appuyer sur sa tête en même temps qu'il balançait de violents coups de bassin. Son gland s'écrasait derrière la glotte de David et lui rentrait dans la gorge. 

Son dispositif de chasteté se resserrait autour de sa bite, il tentait de se redresser sous son pantalon. David était le seul à avoir gardé ses vêtements. Il connaissait ces deux corps, il savait les apprécier et il n'attendait plus que le moment ou l'un de ses camarades lui dise de se déshabiller avant de l'enculer.

David aime bien sucer des queue mais par dessus tout il aime se faire pénétrer par derrière, bien à fond, avec la même violence que Matthieu montrait à lui défoncer la glotte. 

Puis revenait François, les mouvements devenaient plus rapides, plus violent. Ils respirait fort tous les trois, enfin David respirait fort quand il pouvait reprendre son souffle. 

François finissait pas juter dans la gorge de David, il n'avait pas prévenu, David était à la fois ravis, surpris et un peu déçu. C'est dans son cul qu'il aurait aimé que ça se termine. Sans attendre plus Matthieu prenait la place, de nouveau il défonçait la bouche de David et finissait lui aussi par éjaculer.

Dans les deux cas David n'avait pas perdu une goûte.

Ses deux camarades s'effondraient sur le canapé, David se retrouvait, toujours habillé, sur le fauteuil en face d'eux. Ils discutaient un long moment sur les derniers événements.

Matthieu : Alors tu ne savais vraiment rien de ce qui se passait ?
François : Je n'arrivais pas à y croire mais quand j''ai vu que tu ne me répondais même pas au téléphone, je dois dire que je ne savais plus quoi croire. 
David : Mais je n'ai reçu aucun appel !
François : A chaque fois je suis tombé sur un standard '' pour des raisons de sécurité nous ne pouvons … '' etc …
David : Alors vous revenez à la maison ? Quand je suis parti j'avais un nouveau majordome et deux gardes en uniforme militaire, je ne sais pas ce qu'ils voulaient …
François : J'appelle Peter ?
David : Bien sûr !

La voiture de David est grande, ils passaient chercher Peter et tout le monde se retrouvait à la maison. Personne ne connaissait ni Bilal ni les gardes évidemment.

David : Alors avant de tirer au clair ce qui s'est passé pendant mon absence ! Je vous présente mes amis, ils habitent ici et j'entends qu'aucun changement, dans ma maison ne se fasse sans mon autorisation. Ceux qui ont décidé de virer mes amis devront me rendre des comptes … 

Le ton employé était sec, ferme et autoritaire, plus personne ne bougeait, les deux militaires étaient au garde à vous et Bilal acquiesçait de la tête.




N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 

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