La maison d'hôtes 06 Julien

 La maison d'hôtes 06

Julien



Avec Julien c'était pas la même chose qu'avec Baptiste. Ça m'a fait un peu plus mal !


D'abord il faut bien se dire que Julien il a une grosse queue. C'est pas que Baptiste en avait une petite, il était de la même taille  que moi et je suis loin … Enfin j'étais loin d'être ridicule … Je dis '' j'étais '' parce que maintenant que je porte une cage de chasteté, ça fait plus vraiment pareil … 


Rien que de voir la queue de Julien, j'avais mal au cul … Et bien après son passage j'avais encore plus mal au cul. Mais ça, ça ne le dérangeait pas. Il ne m'a même pas demandé ce que j'en pensais.


– Tu devrais prendre une douche et t'habiller. Il a dit. Il va être l'heure de passer à table.


J'avais une faim de loup remarquez, c'est ça la vie à la campagne, même si j'avais un peu de mal à m'asseoir. Enfin on s'y fait. On s'y fait même bien d'ailleurs.


Le lendemain je ne l'ai pas vu de la journée. J'ai vu ses parents, Julien lui était absent. Il était parti en vadrouille quelque part. Le surlendemain par contre il réapparaissait. Je le retrouvais devant ma télé, il avait allumé la console de jeu. C'était la fin de la matinée, j'avais terminé mon travail. Et quand il m'a vu arriver il a ouvert sa braguette …


– Je t'attendais. Me lançait-il.


Il sortait sa queue, déballait tout le matos, comme on dit. 


– Nos parents sont partis, ils ne reviendront pas avant une bonne heure. Je ne me suis pas branlé ce matin, je me suis dit que je pouvais te laisser ce plaisir.


Mes yeux me sont ressortis de la tête  quand j'ai vu ça, là ça faisait deux jours que je portais le dispositif de chasteté. Et je vous jure que je ne pensais plus qu'à ça. Il ne faudrait pas oublier que je suis un branleur …


Dans la seconde qui suivait je me retrouvais à genoux entre ses jambes et j'avais sa bite dans la bouche. Il continuait à jouer, il tenait la manette de jeux à deux mains posée sur ma tête, il appuyait dessus pendant que je le suçais. Enfin je me demande s'il jouait vraiment avec la console ou s'il jouait seulement avec moi. 


Il me laissait faire, le plus souvent, il me laissait faire et se contentait de guider ma tête. Par moment sans prévenir il appuyait un peu plus fort, il m'obligeait alors à avaler sa queue, à chaque fois elle pénétrait plus profond dans ma gorge. Il ne me maintenait ainsi que quelques instants, juste quelques instants mais à chaque fois plus longtemps, ou alors c'était une impression. 


Ma sensation était mitigée. J'y prenais un certain plaisir mais par moment ce n'était plus du tout agréable. Par contre pour Julien c'était bon. J'y mettais tout mon cœur. J'apprenais ! J'apprenais à faire disparaître mes dents. Il ne faut surtout pas laisser dépasser les dents, la personne qu'on suce ne doit en aucun cas ressentir les dents. En aucun cas. Ensuite il faut avaler. La queue, même si elle est de grosse taille doit glisser sur la langue, contre le palais, elle doit glisser le plus profond possible, elle entre dans la gorge en écartant la glotte et s'enfonce plus profond …


Enfin ça, c'est la théorie, dans la pratique, c'est une autre histoire. Pour chacun de ces détails c'est une autre histoire. Moi j'en étais pas là. Je devinais qu'il me faudrait encore de la pratique et beaucoup d'entraînement. Pourtant je vous jure que je m'appliquais tant que je pouvais et  je m'en sortais bien à en croire les gémissements que je lui arrachais.


Il appuyait sur ma tête avec force maintenant et je résistait. Je n'avais pas le choix sinon mon visage s'écrasait sur son ventre et sa queue entrait trop loin dans ma gorge. Trop loin pour moi, je n'étais pas encore prêt. J'y travaillais. 


Il appuyait, je résistais. Sa queue s'enfonçait dans ma gorge puis en ressortait. Pendant de longues minutes, mon visage finissait pas s'écraser par moment contre son ventre, je relevais la tête aussitôt.


Je devais avoir le visage rouge, je pleurais. C'était de plus en plus dur. C'est à ce moment que j'ai entendu une voix.


– Tu serait mignon de ne pas trop traîner mon petit Julien. Nous n'attendons plus que toi pour partir en ballade. On est sur l'autre terrasse.


C'était une voix féminine. J'ai cru que j'allais étouffer. Julien me retenait, la tête de toutes ses forces, je gardais sa queue, pas à fond mais tout de même bien enfoncée dans ma bouche. Machinalement je continuait à lui caresser le gland avec ma langue, et lui me caressait les cheveux.


– Je vais conclure rapidement maman. J'arrive ! Répondait Julien !


Là c'en était trop, je me débattait pour me dégager, il me retenait et c'est à ce moment qu'il m'a juté dans la bouche, il a éjaculé avec force. Quatre grosse giclées coulaient dans ma gorge, j'ai aimé, beaucoup aimé. J'ai tout avalé. Je ne me débattais plus, il ne me retenait plus.


Quand j'ai relevé la tête, je laissais sa queue toute propre. Il me regardait, il avait le visage penché vers moi.


– Tu fais ça bien dis donc. Tu m'excuses mais il faut que je retrouve mes parents.


Je le regardais hébété. Là il y avait quelque chose que je ne comprenais pas. En fait, je ne comprenais plus rien.


– C'était ta mère tout à l'heure ?

– Oui, elle me cherchait, on va partir.

– Mais, elle n'a rien dit ? Elle m'a vu ?

– Mais enfin tu portes un dispositif de chasteté. Qu'est ce que tu voulais qu'elle dise ?

– Alors là moi je ne comprends plus rien.

– Bienvenue dans le monde la morale PK ou tout est permis si un des partenaires sexuel sur les deux, au moins, porte un dispositif. C'est le cas !


Il partait alors rejoindre ses parents. Tranquillement il refermait son pantalon. 


– Je te retrouve plus tard bonhomme.


J'y croyais pas ! Je restais là l'air con à genoux sur le sol. J'avais encore le goût de son sperme dans la bouche. Ma cage ne me faisait pas mal mais presque. La pression y était infernale, je finissais enfin à penser à mes besoins. Sous l'effet de la surprise je ne pensais plus à moi, d'ailleurs là je dois reconnaître que je ne pensais pas à grand chose. 


J'étais resté concentré sur ce que j'avais à faire. J'avais ressenti son plaisir, je l'avais senti vibrer de plaisir, j'avais ressenti son orgasme mais moi je n'avais pas joui, je n'avais obtenu aucun plaisir, aucun orgasme. Et maintenant que je me retrouvais seul face à moi même. Seul face à ma cage c'était un enfer de frustration.


Je n'avais même pas retiré mes vêtements, lui non plus, il avait seulement ouvert son pantalon. Moi, même pas ! Je me sentais à l'étroit dans mon pantalon, enfin dans ma cage et à ce moment précis, je ne sentais plus que cela.


Je me serais damné pour pouvoir me branler, à ce moment précis, je n'éprouvait plus que de la frustration. Ce besoin impérieux qui ne serait pas satisfait. Je sentais que si jamais j'essayais de me masturber, je ne réussirait au mieux qu'à me blesser. Je savais que je ne parviendrais pas à me donner du plaisir. Pourtant j'en avais plus besoin que jamais.


Plus besoin ou plus envie que jamais ? Je restais là un long moment sans réagir, perdu dans mes pensées.


J'entendais alors la voix de ma mère qui m'appelait pour passer à table. Et il y en a qui pensent à manger dans une telle situation ! C'est pas croyable.


Javais l'impression d'avoir un truc énorme devant moi, un truc gigantesque qui prenait une place folle accroché en haut de mes cuisses. Ça devait se voir, ça ne pouvait pas passer inaperçu, à chacun de mes mouvement j'avais cette impression de ce truc énorme et lourd qui bougeait en même temps que moi ... 


J'avais mis un sous vêtement, par confort, avec ce dispositif ça m'avait semblé plus sage. Avant tout, je me passais le visage sous l'eau. J'étais tout rouge, et j'avais bavé partout. Je préférait faire un petit passage par ma chambre pour changer de chemise, et j'arrivais à la salle à manger. Nos hôtes étaient partis, ma mère leur avait préparé un repas froid. 


– Tu es tout rouge mon chéri ! Tu as pris un coup de soleil. Il ne faut pas oublier de mettre ton chapeau quand tu travaille à l'extérieur. Me disait ma mère.

– Nos clients sont tous passés, ils sont très content des paniers de légumes que tu as préparé. Rajoutais mon père. 


J'avais l'impression que mon sexe avait la taille d'un ballon de basket, mes parents ne remarquaient rien. Dans ma tête c'était la folie. En fait c'était une impression, tout était normal. Aucune partie de mon corps n'avait pris des dimensions anormales. C'était juste une impression, mais elle était intense.


J'avais encore le goût du sperme de Julien dans la bouche. 


Je mangeais mécaniquement, je n'avais pas vraiment faim, je n'avais pas vraiment ' pas faim '. En fait j'étais un peu perdu. J'avais toujours cette pression dans ma cage. On ne m'avait pas prévenu que sa taille pouvait changer, elle était plus petite que la veille, bien plus petite. Ma queue ne tenait plus dedans.


C'était peut être elle qui était en cause finalement. En fait je ne pensais pas que ma cage pouvait devenir plus petite mais je savais que ma queue pouvait devenir plus grosse, je l'avais déjà expérimenté souvent. Si vous en avez une vous aussi, vous avez du le constater, dans le cas contraire, vous êtes probablement une fille … Donc pas directement concernée par ce genre de situation, amusée peut être mais concernée, non !


Enfin bref, je m'égare ! Et je rajoute, si vous êtes une fille, '' Que ce n'est pas amusant ! '', même si ça vous amuse …


J'en profite pour vous dire que si vous voyez une publicité pour ce genre de produit ou on vous vante le confort de ces dispositif, ne le prenez pas au pied de la lettre. En fait d'habitude, ce n'est pas inconfortable mais il y a des moments comme ce midi à table ou c'est totalement insupportable. On ne pense plus qu'à une chose, retirer le truc, se branler, jeter le truc loin, le plus loin possible. 


Je mangeais donc mécaniquement, sans conviction. Mes parents discutaient entre eux. À la fin du repas je quittais la table.


– Je crois que je vais aller prendre une douche !

~ Tu as raison mon chéri, tu était tout rouge en arrivant tout à l'heure. Ça te fera du bien mais fait attention à ne pas te mettre trop au soleil et à garder ton chapeau … Insistait ma mère.


En fait je voulais surtout voir si tout allait bien. Je ressentais une telle tension dans ma cage que ça commençait à m'inquiéter. Finalement tout était normal, normal et sans espoir. 


Je pense que c'est à ce moment précis, ce jour là sous la douche que je me suis demandé pour la première fois si j'avais bien fait d'accepter de porter ce genre de dispositif … 



A suivre


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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