La maison d'hôtes 07 De la pédale

 La maison d'hôtes 07

De la pédale



Il faisait beau, il faisait chaud, j'avais de l'énergie à dépenser. Deux jours seulement et la frustration faisait son effet. Il fallait que je bouge. Je ne pensais plus qu'à ma cage de chasteté. Je ne sentais plus qu'elle. J'ai alors décidé de faire un peu de vélo ...


Mais pas une ballade, un truc sérieux. Je me suis mis en tenue. Une tenue bien moulante, c'est léger et avec la chaleur qu'il faisait c'était ce qu'il me fallait. Une réserve d'eau accroché dans mon dos, je sautais sur mon vélo.


Mais voilà … Le dispositif de chasteté est garanti discret, certes … mais voilà … il y a des limites. Surtout que je n'avais pas mis le bouclier. C'est un petit dispositif qui se fixe sur la cage de chasteté, il est lisse et sa surface est douce. J'en ai plusieurs. Avec, la cage est pratiquement invisible, même sous un short moulant mais sans, la cage ressemble plus à une cage. D’où son nom d'ailleurs, cage de chasteté, et là, sous un short moulant, elle est beaucoup moins discrète. On devine parfaitement la forme de ses barreaux. Le dessin qui transparaît est harmonieux et joli à voir mais il n'est pas discret, pas discret du tout. 


Dans ma précipitation je n'avais pas vérifié ce que ça donnait, aussi je ne comprenait pas tout de suite les regards que me lançaient les gens que je croisais.


Rapidement je n'y prêtais plus aucune attention et je fonçais. Comme je vous le disais, j'avais de l'énergie à dépenser. Ça fait du bien, au début on a chaud, plus tard on a chaud, plus tard encore on a très chaud. J'ai fait quelques dizaines de kilomètres, je suis passé près d'un lac que je connaissais bien et j'ai décidé de faire un petit plongeon. 


Arrivé au bord de l'eau je me suis rappelé que j'avais ma cage de chasteté, j'avais réussi à l'oublier pendant environ vingt kilomètres, je n'avais pas de maillot de bain. Ça m'a calmé ! 


De nouveau je ne comprenais pas pourquoi les gens me regardaient avec autant d'insistance. Les filles surtout, elle me faisaient des sourire charmeurs. C'est vrai que je suis mignon aussi je me disais que je devais l'être encore plus avec cette tenue moulante. 


J'ai repris mon vélo et j'ai continué mon tour. Au total j'ai fait plus de soixante dix kilomètres. J'étais sur les rotules ! Là je ne pensais plus du tout à ma cage, je me sentais bien mais liquéfié. J'avais bu ma réserve d'eau et je l'avais transpirée. Je revenais en passant par le village … 


Je ne me suis pas limité aux routes tranquilles ou il n'y a presque personne. Non ! Il a fallu que je me fasse bien remarquer, je suis passé par tous les centres-bourg de tous les villages dans un rayon de quinze kilomètre, et il y avait du  monde, et tout le monde me regardait. Et moi comme un gros abruti que je suis je leur faisais des sourires. 


J'entendais crier mon nom … C'était Julien, il était avec ses parents confortablement installé à la terrasse du café du village. Je me suis arrêté pour les saluer et ils m'ont invité à boire un verre avec eux. 


Son père me regardait avec un sourire bienveillant. Il me regardait de la tête au pieds en insistant sur mon entre jambe. Là je commençais à me sentir gêné. Je me disais à ce moment que j'aurais peut être du mettre un sous vêtement, j'avais de nouveau oublié ma cage, mais alors là complètement oublié, je ne la sentais plus. 


Je m'installais à leur table. On me proposait un grand verre de jus de fruit. 


– Tu sais Hugo, j'aime beaucoup les garçons comme toi, courageux, et volontaire …

– Oh c'est rien … Je gonflais le torse en répondant … Vous savez m'sieur, j'ai même pas fait cent kilomètres. 

– Il faut malgré tout beaucoup de courage pour faire ce que tu fais là tu sais …


Je ne comprenais pas trop ce qu'il me racontait mais bon, il me faisait des compliments, c'est toujours bon à prendre. J'en pouvais plus de gonfler le torse et de faire mon fier … C'est à ce moment que j'ai eu envie d'aller faire une pause pipi …


J'entrais dans le bar, c'est le fameux bar du village pas loin de chez moi, et le fameux bar ou j'étais déjà venu une fois … 


Donc, j'entrais dans le bar et là … Tout le monde me regardait, et  plus personne ne parlait. Il n'y avait plus un bruit on pouvait entendre une mouche voler ( et justement il y en avait deux ). Oui je sais j'ai l'air de prendre ça à la légère mais je vous jure qu'à ce moment j'en menait pas large.


'' Quel bled paumé, franchement il n'ont jamais vu un cycliste en tenu, me disais-je dans ma tête, ils n'ont jamais vu le tour de France à la télé. C'est vraiment un coin pau... ''. 


C'est là que je me suis vu dans le miroir qu'il y avait en face de l'entrée … '' Mon  dieu ! '' … C'est à ce moment que je pouvais constater que sans bouclier le dispositif de chasteté était tout sauf discret. On en distinguait tous les détails, en plus avec la transpiration il se dessinait avec une incroyable précision sur le tissus. Je pense même qu'il était encore plus visible que si j'avais été à poil …


J'ai eu un grand moment de solitude, mon torse s'est dégonflé, je ne savais plus ou me mettre, je vous jure c'est pas facile tous les jours. L'envie de pisser devenait urgente, je me précipitais donc dans les toilettes et en revenais avec une tache à cet endroit. C'était pas mieux !


C'était donc de ça que me parlait le père de Julien ! 


Je les retrouvais, mais là, je faisais moins le fier d'un coup, je vous jure … Je glissais mes mains entre mes cuisses et tentais de cacher comme je pouvais mon entre-jambe. J'allais repartir quand Julien à proposer qu'on fasse une photo et je me suis retrouvé au centre de la photo, Julien me retenait discrètement les mains dans le dos pour que je ne puisse pas les croiser devant moi. J'ai moyennement apprécié … Heureusement la dernière tache avait disparu.


Je l'ai encore la photo, maintenant elle me fait rire mais je vous jure que sur le coup, j'avais pas envie de rigoler.


Je suis donc remonté rapidement sur mon vélo et je suis reparti sans traîner … Sous les applaudissements de toute la terrasse. J'étais repéré !


C'est furieux que j'arrivais à la maison.


– Je ne retournerai jamais dans ce village de ploucs ! Je hurlais. Je ne veux pas rester un jour de plus dans cette campagne de péquenots … Etc …


Mes parents étaient là, ils me regardaient sans trop comprendre ce qui me prenait. Sans répondre je me plaçais face à eux et j'écartais légèrement des jambes et croisais les bras …


– Alors là mon chéri, je trouve très courageux de ta part de montrer à tout le monde le choix que tu as fait ! Je suis fière de toi. Me disais ma mère.

– Mais pourquoi tu n'as pas mis le bouclier ivoire. Sa forme est discrète et je te jure qu'avec sa couleur il serait totalement invisible … lui … Rajoutais mon père.


J'étais furieux, humilié et furieux. Je passais sous la douche. Ça me faisait le plus grand bien. J'étais épuisé aussi et cette histoire n'avait qu'un avantage, j'étais calmé.


Là je vous jure que je ne bandais pas, je ne bandais plus du tout. Je me séchais et me laissais tomber sur mon lit. C'est mon père qui m'a réveillé pour passer à table. Avec la fatigue je me sentais bien, je ne bandais toujours pas en descendant à la salle à manger. Tout le monde soupe à la même table, surtout quand on est en petit comité. J'étais décontracté, je sentais ma queue au fond de sa cage, tout allait bien, j'avais mis un pantalon en toile légère et pas de sous vêtements. Ma petite queue était au frais et restait très sage.


Jusqu'au moment ou j'ai vu Julien.


Les adultes discutaient entre eux, Julien était de l'autre côté de la table. Il me regardait, je le regardait. Son père félicitait mes parents pour l'éducation qu'ils m'avaient donné, le fait que je sache porter avec fierté un dispositif de chasteté. Ma queue commençait à se réveiller.


– Mais julien, votre fils, n'en porte pas lui ? Demandais-je bêtement à son père.

– Enfin Hugo, notre fils est un exemple de sérieux. Me répondait son père.


Sa mère me balançait un coup de pied dans les tibias, elle était juste à côté de moi, tout en me faisant un sourire d'excuses. Julien me regardait depuis l'autre bout de la table, il avait mis son visage d'ange, on y aurait cru. 


– Je sais bien sûr qu'il se masturbe de temps en temps, mais c'est normal, c'est impossible d'y résister à leur âge mais je suis sûr que même sur ce point il n'abuse pas. Rajoutais le père de Julien qui lui répondait par un sourire innocent.


J'allais répondre quand je sentais le pied de sa mère contre ma jambe. Je vous jure que là elle ne me draguait pas. Aussi j'ai préféré répondre … '' Oui ça c'est sûr ! '' .  Ça m'avait paru plus prudent pour mes tibias. Elle retirait son pied …


'' Mais ils sont tous fou dans cette famille ! . '' Me disais-je.


On terminait de souper, je quittais la table après avoir salué tout le monde. Je jouais au petit garçon bien élevé. Je partais faire un petit tour dans les champs. Il y avait une légère brise qui donnait un peu de fraîcheur, les étoiles étaient la seule lumière qui parvenait au sol. Ma queue se réveillait lentement mais se réveillait au moment ou je me sentais devenir poète.


Julien me rattrapait, il m'appelait. Il y avait cette obscure clarté qui tombait des étoiles … ( Wouah,vous avez vu comment que j'ai dit ça, bon d'accord j'ai plagié ! Note de L'auteur ) . Bref je distinguait sa silhouette qui s'approchait. 


On approchait d'un coin un peu dégagé, il y avait un arbre, je m'asseyais en tailleurs sur le sol. Il se plaçait juste devant moi, il ouvrait son pantalon et me tendait sa queue, elle était encore toute molle et je me disais que ça n'allait pas durer. Dans sa cage ma queue commençait à protester. 


Avec une main, je commençais à lui caresser sa queue, avec l'autre je remettais mes affaire en place. Ensuite c'est avec les deux mains que je m'occupais de Julien. Il avait vraiment une très belle queue, un peu grosse pour me la garer dans le cul mais elle était bien. Elle prenait rapidement de la force et devenait énorme et bien dure. Mais ça je m'y attendais.


Je lui léchais le gland avec délectation. J'aimais de plus en plus. Ma queue avait pris tout son volume, enfin tout le volume qu'elle pouvait prendre. C'en était désagréable et de plus en plus même, et c'était pas une impression. J'essayais de ne pas faire attention. Je suçais son gland, je le prenais dans la bouche. Julien ne faisait rien, il regardait autour ne nous, comme s'il admirait le paysage. 


Il me laissait faire, sa queue commençait à entrer, je l'humectais au mieux et peu à peu elle entrait. Je lui gobais les couilles, je le masturbais, je bandais et j'aurais tellement aimé pouvoir me donner du plaisir. J'aurais tellement aimé. Je m'imaginais que j'étais à sa place et je m'appliquais, je faisais de mon mieux. Il gémissait et me faisait savoir qu'il aimait.


Il finissait par réagir, sa queue entrait sans difficultés à moitié dans ma bouche quand il plaçait ses deux mains sur ma nuque, il y allait avec douceur, je ne me méfiais pas, il me caressait les cheveux puis brusquement sans prévenir il me tirait vers lui de toutes ses forces. J'étais coincé, je n'avais aucune prise pour le repousser et sa queue me rentrait dans la gorge.


Il me retenait avec force, quand il a vu que j'allais me dégager, il me relâchait et devenait tout câlin. J'ai écarté mon visage, j'ai toussé, j'ai craché, j'ai râlé ...il se penchait vers moi et me donnait un baiser sur le front. Je sentais son sourire charmeur, j'ai revu le visage d'ange qu'il avait porté pendant tout le repas. Je l'ai laissé faire et …


Il a recommencé. Il s'y prenait plus calmement, là il me laissait le temps de m'habituer, de m'y faire, il y allais avec plus de douceur, il me caressait la joue et de nouveau, sans prévenir, sa queue se retrouvait au fond de ma gorge. Là il me retenait plus longtemps.


Ce jeux a duré un moment, je devinais son sourire satisfait. Il s'était mis torse nue et maintenant il laissait tomber son pantalon.


Allez à poil ! Me lançait-il.


Je m'exécutais. Il me prenait dans ses bras et m'embrassait. 


Retourne toi !


Je me retournais, il me caressait tout le corps en commençant par les épaules et descendait jusqu'à mes couilles. Arrivé là il se marrait, il passait un bras contre mon ventre au niveau de ma ceinture et appuyait sur le haut de mon dos. Je comprenais ou il voulait en venir. Je me penchais en avant. 


Là je bandais à mort dans ma cage, je la sentais m'écraser ma queue, je sentais ses barreaux me confiner. C'était bien étudié ce truc, ce n'était pas douloureux, c'était à la limite. Il me lubrifiait le cul, je sentais son gland s'appuyer contre mon anus et il poussait. 


J'ai couiné ! J'ai poussé un cri étonnant que je n'avais jamais entendu. Mon anus s'est ouvert avec force, je ne cherchais pas à résister. C'était la folie dans ma tête, ça, glissait, sa queue s'enfonçait lentement et rapidement je ne savais plus, je ne savais même plus si c'était douloureux ou pas. 


Lentement il me remplissait, je tremblais, je paniquais mais surtout je me laissais faire. Son ventre s'est écrasé contre mes fesses. J'ouvrais la bouche comme pour trouver de l'air. J'avais le souffle coupé. Ensuite il poussait, et là j'ai encore couiné mais là, j'avais une toute petite voix. Puis je me suis mis à trembler. Je ne contrôlais plus mes mouvements. 


Si je tenais encore debout c'est parce qu'il me retenait. Il y avait un arbre juste à côté, je m'appuyais contre son tronc. Il se retirait avant de revenir avec force, je gémissais, je ne comprenais pas comment je pouvais me prendre sa queue comme ça. Elle est énorme. 


Il me limait le cul avec force et régularité, par moment il me balançait des coups plus violents et là on entendait son ventre claquer contre mes fesses, et on m'entendait gémir également. Sinon il donnait des coups de bite plus doux. Il me limait plus lentement et tout recommençait. 


Les derniers coups qu'il m'a donné étaient violents, il jutais dans mon cul. J'ai senti ses bras se refermer autour de moi avant de sentir ses muscles se détendre. Il m'embrassait alors avec une grande tendresse dans le cou. Puis finissait par me lâcher.


Je tombais sur le sol. 


Ils s'est rhabillé, je récupérais lentement. Je finissais par me rhabiller. J'avais juté, je ne m'en était même pas rendu compte, mais j'avais bien juté, je m'essuyais et on revenait vers la maison. Nos parents étaient toujours sur la terrasse, Julien s'est joint à eux, je suis monté me coucher. 


La j'avais mal au cul, c'est sous la douche que ma queue s'est de nouveau fait remarquer, elle s'était ratatinée dans un tout petit coin de la cage. Finalement la cage était à la bonne taille, ça ne faisait plus aucun doute, ma bite trouvait encore un petit recoin ou se réfugier en cas d'urgence.



A suivre


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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