Le curé du village Ep 03 : Pascal est là aussi

 Le curé du village

Ep 03 : Pascal est là aussi



Les deux hommes passaient sous la douche, José ne voulait pas laisser Mathieu se doucher tout seul, il voulait voir le dispositif de chasteté de son camarade et surtout voir comment il se lavait. 


La bite de Mathieu avait diminué en taille, elle était toute molle et ne tentait plus de déborder au travers des trous d'aération. Si on glissait un doigt au travers on pouvait le constater, la queue de Mathieu prenait toujours toute la place mais là, il bandait mou. 


Il avait joui, il l'avait senti passé également mais il avait joui. Il avait fini par juté, par éjaculer. Et là, maintenant, il avait mal au cul. José s'en amusait, il avait envie de s'amuser aujourd'hui et il continuait à tripoter les couilles de Mathieu, faute de pouvoir s'amuser avec sa queue, il s'amusait avec ses couilles.


Ils arrivaient finalement à prendre leur douche. Ils se séchaient … 


– Ose me dire que tu n'as pas aimé ! Lançait José.

– Comme tu as fait là, non pas vraiment . Tu m'as fait mal !

– Moi j'ai bien aimé !

– Tu brûleras en enfer !

– Je m'inquiète pas  je suis sûr que tu viendras me voir. Il y a des jours pour les visites ?

– On m'attend, il faut que je me prépare. Tu me laisses ?


José était prêt rapidement, il donnait un dernier baisers à Mathieu puis se sauvait sans rien rajouter. Mathieu restait là à râler, il avait toujours mal au cul. Il terminait de se préparer, il y avait cette petite fête organisée par la mairie. 


Il se grattait les fesses régulièrement, il avait mal au cul !


Mathieu connaissait le maire, c'était toujours le même qu'avant son départ. Il avait mal au cul mais sa queue le laissait tranquille. On ne peut pas tout avoir. Le cul ou la bite, il faut choisir. Faite pas attention à ce que je dis, lui n'avait plus le choix. Il n'avait pas la clé de son dispositif de chasteté. S'il décidait de le retirer, la puce intégrée le trahirait au prochain contrôle. Je sais c'est pas humain, mais ils avaient prévu des contrôles. 


Il suffisait pour cela d'approcher à moins d'un mètre un appareil de détection, c'était fait d'une manière aléatoire à l’insu du porteur. Comme je vous disait, c'est pas humain ! Mais au moins c'était discret. Le plus souvent la personne concerné ne se rend compte de rien, c'est déjà ça …


Mathieu savait tout ça, et à ce moment précis, il regrettait son choix. Ça lui arrivait de temps en temps. Bien sûr la chasteté lui donnait une sorte d'énergie qui lui permettait d'avancer et de rester concentré sur sa mission divine. Le retour de José dans sa vie remettait tout en cause. Ce qu'ils venaient de faire tous les deux, lui avait rappelé le plaisir de se faire pénétrer, il ne pourrait pas lui rendre la  politesse, il ne pourrait pas l'enculer à son tour mais il pourrait recommencer, il pourrait à nouveau se faire défoncer le cul. Il avait aimé et tous les souvenirs des plaisirs passés lui étaient revenus. 


Pendant plusieurs année aucun homme ne l'avait touché, il n'en avait touché aucun lui même, et les seuls fois ou il avait juté c'était involontairement, c'était des rêves humides. Ça soulage mais c'est pas pareil. 


Jadis il avait aimé joué les actifs, désormais il ne pourrait plus jamais jouer que les passif … Passif pour toujours …


Il s'était habillé, il avait repris des couleurs normales, il se regardait dans le miroir, ça lui convenait, il sortait, il avait toujours mal au cul.


C'est dans le jardin de la mairie que se passait la petite fête. Il n'était pas bien grand mais le village ne l'était pas non plus, il n'y avait donc pas beaucoup de monde, pas besoin de beaucoup de place.  Le maire était là et lui lançait un grand sourire quand il l'a vu et venait le saluer.


– Alors c'est toi qu'on nous a envoyé pour veiller sur nos âmes ? Lui disait le maire en lui serrant la main. Tu sais j'ai été très surpris quand j'ai appris que tu allait devenir prêtre.

– Et vous Mr Le Maire, toujours au même poste, et vous n'allez toujours pas à la messe …

– C'est pas pour moi ces bondieuseries. Mais sois le bienvenu, tu es chez toi ici !


Mathieu entendait une voix qu'il connaissait juste dans son dos.


– Puis-je vous proposer un verre Mon Révérant ?


Matthieu sursautait et se retournait, c'était José ! Il avait un plateau dans les mains, il s'était porté volontaire pour aider à la buvette. José n'était pas très bien vu par les grenouilles de bénitier mais il était très apprécié par les laïques de la mairie, qui eux non plus n'allaient pas à l'église.


– Tu es toujours là ou on ne t'attend pas toi.

– Bon, tu prends un verre, sinon c'est moi qui le boit !


Mathieu prenait un verre sur le plateau et trinquait à la santé de José. 


– Alors comment ça va, ta sainteté, tu vas bien, mal nulle part ?

– Tu brûleras en enfer toi je t'ai dit ! Lui répondait Mathieu qui avait toujours mal au cul. 


Et c'est distraitement qu'il se passait une main sur ses fesses. 


Toutes les personnes de plus de quinze ans connaissaient et reconnaissaient le nouveau curé, et certains même un peu plus jeunes que cela. Il a passé un long moment à saluer tout le monde, il était appelé de toutes part. José s'occupait de son côté, et discutait longuement avec un homme de son âge. Mathieu regardait ça de loin, ils échangeaient quelques regards. C'était Pascal, une autre vieille connaissance, ils se connaissaient également depuis la maternelle. 


Cette petite fête devenait rapidement une fête de bienvenue à l'intention du nouveau curé.


C'est fatigué que Mathieu rentrait le soir, il était épuisé le pauvre, il était tard, il s'était levé tôt et il avait mal au cul. Il aurait aimé parler avec Pascal mais José lui avait expliqué qu'il avait du s'en aller rapidement mais qu'il le reverrait.


Dans les jours qui ont suivi, la petite vie de village reprenait. Le curé assurait une permanence, à son bureau tous les matins. Je voulais dire à l'église. La semaine avançait et un matin dans le confessionnal Mathieu entendait une petite voix qui lui disait.


– Pardonnez moi mon père car  j'ai péché … L'autre jour pas plus tard qu'hier, j'ai enculé votre pote José. Il aime bien se faire défoncer le cul José mais il m'a dit qu'il venait de retrouver un vieux copain mais qui lui, ne pouvait plus l'enculer … Il paraît que maintenant il porte un dispositif de chasteté.


Mathieu sursautait, et regardait de plus près au travers de la petite grille.


– Pascal ? C'est toi Pascal ?

– Ça va toi ? Lui répondait Pascal. On pourrait se voir, là je trouve que c'est très impersonnel, et puis j'ai plein de péchés à me faire pardonner moi. Je suis un grand pécheur.

– Je m'en doutais un peu, tu sais que tu n'es pas le seul. 


Mathieu glissait la tête hors de sa cachette, l'église était vide. Il invitait Pascal à le rejoindre chez lui. 


– José m'a dit qu'il t'avait revu. Je ne voulais pas y croire.

– Pourtant c'est vrai !

– Il m'a raconté, tu es en forme à ce qu'il m'a dit … Et c'est quoi ce truc que tu portes. Une dispositif de chasteté il m'a dit ?

– Tu veux voir, je suppose ?


Mathieu n'avait plus mal au cul mais maintenant il était en manque. Ses désirs s'étaient réveillé. De plus il avait souvent pratiqué Pascal dans le passé. Arrivé dans son appartement il se souvenait de cette époque ou avec José, tous les trois, ils savaient s'amuser et se donner du plaisir. 


Il était plus actif que passif à cette époque, maintenant tout avait changé, et pour cause. Il portait un dispositif de chasteté, c'était obligatoire quand on décidait de servir l'église désormais. Trop de scandales, avait noirci la réputation de cette institution. Il l'avait accepté avec enthousiasme, mais depuis quelques années l'enthousiasme avait fini par disparaître, par se calmer. Maintenant il l'acceptait … 


La présence de Pascal à ses côté ne réveillait pas seulement ses souvenir mais réveillait aussi ses désir. Il aurait aimé également pouvoir retirer son dispositif et enculer son camarade, on peut supposer qu'il y aurait mis toute la violence qu'il avait reçu quelques jours plus tôt de la part de José. Mais c'était, ce n'était qu'un vœux pieux ! Il n'y avait aucune chance que cela n'arrive. Il aurait été viré de son poste.


Aujourd'hui il ressentait la frustration, le désir qui ne serait pas assouvi. Sa queue se réveillait et protestait de toutes ses forces. Le dispositif est garanti confortable mais il y a des limites et là, il était hors limite.


Ils se retrouvaient peu après chez lui, Pascal l'avait suivi, il se tenait debout dans l'entrée juste devant la porte. Les deux hommes échangeaient quelques regard puis c'est Mathieu qui prenait l'initiative, il s'approchait de Pascal, le prenait dans ses bras et l'embrassait.


Pascal refermait ses bras sur son vieil ami et amant. Leurs baisers étaient chauds, doux et chauds. Leurs bras se promenaient sur tout le corps de l'autre. Les mains de Mathieu se glissaient rapidement sous la chemise de Pascal.


– Tu n'as pas changé toi, tu es toujours aussi musclé.

– Toi non plus tu n'as pas changé. Lui répondait Pascal.

– Ça m'a manqué tout ça tu sais.

– Tu ne vas pas me faire croire que tu ne t'es pas un peu amusé avec tes camarades.

– C'était impossible. Tu verrais ça, c'est un truc de fou. On n'est jamais seuls … Jamais. Même un rêve humide et tout le monde est au courant, à commencer par le père supérieur. 


Puis ils se taisaient, ils n'avaient plus rien à se dire avec la voix. Mathieu ouvrait la chemise de Pascal, lui caressait le torse avant de le couvrir de baisers. Pascal essayait de suivre et d'ouvrir à son tour la chemise de Mathieu mais celui-ci était le plus rapide. Sans plus attendre il lui ouvrait le pantalon, il portait des sous vêtements lui, et quand il baissait tous ses vêtement sur ses genoux, il retrouvait cette grosse bite qu'il connaissait déjà mais qu'il avait oublié. 


Il s'accroupissait et la prenait dans sa bouche.


Rapidement les réflexes perdus depuis longtemps se réveillaient. La technique qu'il croyait avoir oublié lui revenaient à la mémoire, Pascal le lui faisait savoir en gémissant de plaisir. Il lui caressait les cheveux pour l'encourager. Il se souvenait que José pouvait être violent quelquefois mais il lui semblait bien que Pascal, lui, était surtout d'une grande douceur, viril mais doux.


Des deux mains Pascal accompagnait le mouvement de la tête de Mathieu, il le suivait, le laissait faire, il ne le contraignait pas, même pas un tout petit peu. Et c'est au bout d'un long moment qu'il prenait le contrôle.


Il relevait Mathieu et le déshabillait. Ils se déshabillait tous les deux l'un l'autre pour se retrouver allongé sur le lit quelques minutes plus tard. Pascal s'était allongé sur le torse de Mathieu, ses mains, ses caresses parcouraient le corps de son amant et se rapprochaient sans se presser de son sexe. Les couilles de Mathieu formaient deux boules qui semblaient ligotées, bien fermes, lisses. Mathieu était épilé, son sexe était épilé, c'est plus confortable, souvent les religieux se faisaient faire une épilation définitive sur cette partie de leur corps. La queue de Mathieu avait presque disparue, Pascal se souvenait qu'elle était de la même taille que la sienne. Il était bien monté Mathieu quand il était jeune, il avait une grosse queue et savait bien s'en servir, il aimait bien s'en servir aussi.


Pascal ressentait une envie encore plus forte de le prendre mais il prenait son temps, il faisait durer le plaisir. La cage à bite semblait vraiment petite, l'ensemble ne faisait pas sept centimètre, si peu pour contenir une bite qui en faisait plus de vingt. Pascal était impressionné. Il décidait de lui gober les couilles.


Mathieu s'est contracté à ce contact, ça faisait maintenant plusieurs années que personne ne lui avait fait ça, et c'était bon, c'était tellement bon. La peau de sa queue faisait des bosses qui dépassaient par les trous d'aération. Pour Mathieu ça devenait violent maintenant. Pas de coups de bassin, pas de coup de bite dans le cul mais ça devenait violent. La pression dans la cage, la tension dans sa tête et cette vibration dans son corps. C'est totalement immobile que son corps vibrait, tremblait. Mathieu était submergé par le  plaisir, il prenait la queue de Pascal dans la bouche, bien à fond dans la gorge et la suçait avec conviction. De nouveau Pascal gémissait de plaisir.


Puis les deux corps se caressaient l'un l'autre. Ils glissaient l'un sur l'autre et à chaque passage, chaque donnait à l'autre des caresses parmi les plus intimes  et les plus agréables. Les baisers suivait et la tension montait, surtout pour Mathieu qui savait que son plaisir dépendait de son partenaire. Il lui en donnerait, il lui donnerait tout ce qu'il pouvait lui donner mais en recevrait-il ? 


Pascal lui caressait les couilles qui était toujours bien fermes, un peu comme des balle de golf. Les couilles de Pascal pendaient lourdement et se balançaient. Sa bite se relevait avec force alors que celle de Mathieu se retrouvaient de plus en plus écrasées dans sa cage.


Pascal retournait Mathieu sur le ventre et le couvrait de baisers sur le dos. Rapidement il glissait un doigt puis deux dans le cul de Mathieu, il y allait avec beaucoup de douceur, et prenait le temps de bien le lubrifier. Les deux doigts glissaient avec douceur. Mathieu gémissait de plaisir et en redemandait. 


Les corps était chauds, la peau était douce et quand Pascal s'allongeait sur le dos de son partenaire, celui-ci écartait les cuisses pour lui simplifier la position. Pascal bandait ferme depuis un moment maintenant, il se lubrifiait la queue et prenait position. Il caressait avec une infinie douceur le corps et surtout les épaules de Mathieu puis poussait sa queue dans son cul. 


Mathieu se tendait, tous ses muscles se contractaient. Pascal y allait doucement, il laissait à Mathieu le temps nécessaire de se détendre.


'' Il n'a pas changé, lui … '' se disait Mathieu, '' Il est toujours aussi tendre !'' . Mathieu se souvenait que Pascal avait toujours été d'une grande douceur. Ça faisait un peu mal mais juste un tout petit peu et Pascal restait très attentif à la moindre réaction de Mathieu. A la moindre alerte il faisait une pause et le calmais en l'embrassant dans le cou et en le mordillant aussi, ce qui le faisait frémir. 


Il reprenait ainsi jusqu'à ce que son ventre s'écrase sur les fesses de Mathieu qui gémissait de plaisir et en redemandait. Il faisait une pause avant de reprendre un peu plus fort, un peu plus vite et encore un peu plus et un peu plus. 


Mathieu gémissait puis râlait puis criait de plaisir avant de hurler et de jouir. Il jutait, il éjaculait même, une ou deux giclées de spermes on du sortir par une trou d'aération mais comme il était allongé sur le ventre, tout ce qu'on pouvait constater après c'est qu'il avait joui. 


Son cul s'est contracté ce qui provoquait un véritable massage sur la queue de Pascal qui jouissait aussi rapidement et presque en même temps. Les deux hommes se laissaient aller, ils s'effondraient, s'écroulait sur le lit. Pascal était toujours allongé sur son partenaire et pesait maintenant de tout son poids, Mathieu trouvait cela agréable, c'était un contact chaud et doux.


Si par moment il avait déjà regretté d'être revenu, là ce n'était plus du tout le cas. Il se sentait bien, il était heureux.


A suivre


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


2 commentaires:

  1. ils sont vraiment sympa les habitants de ce village !

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  2. C'est un petit village tranquille loin du monde et de toutes ses folies, la moitié du village calotin l'autre moitié probablement communiste et entre les deux un curé qui marche à la voile et à la vapeur ... En plus ils ne sont même pas répertoriés sur google earth , c'est tout dire si c'est paumé !

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