Hétéro Ep 01 Mais pas trop

 Hétéro Ep 01

Mais pas trop



Enfin un hétéro … Il ne faut pas exagérer non plus et se faire des idées. Bon jusque là il donnait dans le genre hétéro mais bon … Et puis il faut de tout,  et il ne faut pas se catégoriser comme ça d'une manière arbitraire … Enfin tout ça pour dire que s'il était vraiment hétéro moi je sais pas ce que je suis alors.


Une chose seulement était sûre et évidente, ma queue ne l'intéressait pas vraiment. Il était seulement en manque de sexe. Il avait divorcé quelques années plus tôt et depuis, il était resté seul. Pourtant il était bien foutu, il avait un corps harmonieux et agréable à caresser. J'aimais beaucoup ses baisers également.


C'était pourtant lui qui était demandeur, c'est lui qui m'avait fait des propositions quelques temps plus tôt. Puis on avait discuté. ( C'est pour ça que je commençais mon histoire par ce commentaire, hétéro peut être mais pas trop non plus )


– Dis moi Charly, tu fais comment toi ?

– Tu penses Charly que c'est plus facile de draguer un mec ?


Voilà comment il avait commencé, ça mettait tout de suite l'ambiance. On avait discuté une bonne partie de la soirée et on s'était retrouvé un peu ivre. Je lui avait seulement demandé.


– Tu veux passer aux choses sérieuses ?

– Heu ? Maintenant ?

– Oui maintenant mais pas ici. 


On était dans bar, on s'était tranquillement installé dans un coin pour discuter, oh pour ce qui est de discuter on ne s'en était pas privé, pas plus de picoler d'ailleurs.


– Alors ça se passe comme ça ? Le premier soir !

– On se connaît depuis quelques temps. Lui répondais-je.

– Oui mais …

– Bon je te paye un verre chez moi ?

– Qu'est ce que tu as à boire ?

– Pas grand chose mais c'est juste un prétexte pour t'attirer …


Il réfléchissait quelques instants puis se décidait …


– Ça marche … Moi je prendrais juste un doigt. Rajoutait-il en rigolant.


Arrivé devant la maison il réagissait. 


– Mais tu ne m'encules pas ! Je veux bien tout ce que tu veux mais moi, tu ne m'encules pas !

– Bein mince alors moi qui pensais à un truc du genre ' Tu me suces et je t'encule ' , tu es sûr que ça te tente pas ?


Il réfléchissait longuement, on sentait qui soupçonnait un piège puis.


– Ah non, non, non moi je fais l'homme. Tu m'encules pas .

– Bon alors on fait le contraire !


Il réfléchissait, là encore il semblait rechercher un piège … 


– Tu essayes de m'embrouiller ?  Je te suce si tu veux, j'ai jamais fait ça mais à condition que tu me suces aussi. Et pour ce qui est d'enculer … Ouai, je veux bien, comme ça, ça va … C'est moi qui t'encule ! Mais  je te préviens j'en ai une grosse !

– Ok ça marche.


Je suis surtout passif, mais vraiment surtout passif. C'est pas une façon de parler. Et l'histoire de la grosse bite, on me l'a déjà faite celle là. Tous les hommes vous la font celle là, j'ai une grosse bite. En général à les entendre on s'attend toujours à un 'bitosaure'. Je me disais, on verra bien.


On entrait dans mon appartement. On était encore dans l'entrée, je refermais la porte et il me demandait un peu bêtement.


– Alors ça se passe comment ?


Pour seule réponse je me retournais alors et me serrais contre lui, le prenais dans mes bras et je l'embrassais. J'ai senti comme une crispation, c'était la surprise, puis il se détendait. Il me rendait mon baiser et à son tour il me prenait dans ses bras. C'était pas désagréable, il faut dire qu'il était costaud le petit bonhomme. Je dis petit, mais il faisait la même taille que moi. 


On est resté un moment comme ça à se caresser, à s'embrasser, à se faire un gros câlin quoi !


Je m'éloignait à peine de lui sans pour autant le lâcher, je le regardais droit dans les yeux, il avait les yeux marron mais j'y voyais un petit reflet de lumière. Comme un éclair mais c'était peut être moi qui commençait déjà à rêver.


Je glissais mes mains sous sa chemise, son corps était doux et lisse, il me regardait et me souriait, il glissait alors ses mains sous mon T-Shirt, il avait les mains douces et j'aimais sa manière de me caresser le corps.


Doucement, lentement je faisais sauter tous les boutons de sa chemise, puis je me penchais vers lui et lui embrassait les tétons, là encore j'ai senti comme une crispation. C'est vrai que c'était la première fois qu'un homme lui faisait ça. 


Je lui pinçait doucement les tétons et il réagissait en frémissant et en tremblant, c'était encore mieux que je ne l'espérait. Il se décidait sans prévenir de me retirer mon T-shirt, je me retrouvais torse nue et c'est lui qui me caressait le corps et l'embrassait. Il était très câlin.


J'étais surpris, c'était une première pour lui mais ça semblait être une réussite. Il avait l'air doué, il avait certainement déjà pensé à prendre un homme dans ses bras, l'opportunité ne s'était pas présentée, c'est tout. Il avait rencontré une fille, ça s'était bien passé avec elle et il avait continué dans cette direction … Voilà.


Mais maintenant qu'il était dans mes bras, je n'avais plus envie mais plus du tout envie de le lâcher, il me plaisait vraiment. Je l'entraînais dans le salon, on n'avait même pas pensé à se servir un verre mais bon, C'est pas parce qu'on invite un mec à boire un verre que c'est ce qu'on pense faire. 


Je le repoussais sur le canapé, il se laissait tomber et moi je me laissais tomber sur lui. Il me recevait dans ses bras. J'étais aux anges. De nouveau je lui faisais des câlins, il me les rendait puis je l'embrassais sur le ventre, je passais de ses téton à son nombril puis je continuais à descendre. J'ouvrais son pantalon et là, c'était quand même une surprise.


Il m'avait prévenu, j'en conviens mais, je n'y avait pas prêté attention. Et bien j'aurais du, il ne s'était pas venté quand il m'avais dit qu'il en avait une grosse, non, c'était pas une promesse, c'était plutôt une … menace.


Il en avait une grosse, bien grosse même et moi j'adore … 


– Je t'avais bien dit qu'elle était grosse ! Me rappelait-il.

– Même pas peur ! Lui répondais-je, avant de baisser la tête et de me la prendre dans la bouche. 


De nouveau je sentais comme une crispation de sa part. Puis je sentais une caresse sur mes cheveux. Il y allait avec douceur, il n'osait pas appuyer sur ma tête, il me laissait faire. Je le suçais généreusement, je lui caressais le gland avec ma langue et lui gémissait de plaisir. Par moment je relevais la tête, je le regardais, il avait l'air comme absent, il semblait planer de plaisir. Il parvenait à me sourire et à un moment il m'a juste dit.


– C'est super bon, on ne m'avait jamais fait ça.

– Jamais ?

– Une fille a essayé une fois, mais elle était pas à ton niveau, loin de là.

 

Je reprenais, au bout d'un long, d'un très long moment, j'avais un peu mal à la mâchoire et je me relevais. Il se penchait alors vers moi en me disant ''A mon tour. '' . Il se lançait, là encore c'était une première pour lui, il s'en sortait bien, de toutes évidences il s'appliquait pour ne pas me décevoir. Et il s'en sortait bien, sa langue était douce et je ne sentais pas les dents. Ça c'est bien ça, enfin je veux dire, quand on ne sent pas les dents. Sinon ça fait des frites et on est pas en Belgique là.


Mais il fatiguait vite, c'est vrai que c'est du boulot, je reprenais la main, il me laissait faire. De nouveau sa queue entrait dans ma bouche en douceur, je prenais sa main et la posais sur ma tête. Il comprenait qu'il pouvait appuyer dessus, rapidement il s'en amusait. Il me guidait avec plus ou moins de force. Par moment il appuyait fort sur ma tête, sa queue s'enfonçait alors jusque dans ma gorge, si c'était trop pour moi je résistait et alors il me laissait.


Rapidement il comprenait le jeux qui consiste à pousser l'autre juste à ses limites et alors à forcer encore un peu, juste un peu … Là moi je dégustais, le contrôle m'échappait mais m'échappait juste comme il faut. Il m'incitait à me surpasser et à lui donner encore plus de plaisir.


Ses gémissements en témoignaient et ils m'encourageaient. 


Je n'oubliais pas de le caresser, je lui massais les couilles, je lui caressais les fesses mais n'essayais pas de glisser un doigt entre les fesses, juste un peu, un tout petit peu. 


J'allais relever la tête pour passer à la suite. J'allais lui demander de m'enculer quand j'ai senti comme une frénésie dans son corps, il me balançait des coups de bassin plus rapide et plus violents. Sa queue s'écrasait alors avec violence dans ma gorge, je tentais de me dégager mais là il me retenait et je finissais par recevoir une giclée de sperme directement dans la gorge. J'avalais, je n'avais pas d'autre choix. Il gémissait fort, c'était un râle de plaisir qui lui échappait alors que tous ses muscles se détendaient, il me relâchais. 


Je relevais la tête mais juste pour reprendre son souffle, je gardais son gland dans la bouche et continuais à le caresser avec la langue. Il se laissait faire et se tortillait de plaisir dans mes bras. 


Je me suis calmé, il s'est détendu, j'ai relevé la tête.


– Tu m'excuses,  j'ai pas réussi à me retenir mais si tu me laisses un moment, disons vingt minutes. Je t'encule et tu vas le sentir passer.


Il se laissait tomber, la tête sur l'oreiller et ne cachait pas un sourire satisfait. J'avais laissé sa queue toute propre, on ne voyait plus rien, on ne pouvait même plus deviner qu'il avait éjaculer. Moi par contre je le savais.


Je  me suis blotti contre lui, son corps était doux, sa peau était chaude, je lui ai fait un câlin et il s'est endormi.


J'aurais bien voulu voir la tête que j'ai fait la. Je ne m'y attendait pas, il m'avait promis de m'enculer et c'est ce que j'attendais. J'ai du faire une drôle de tête, je vous jure que là j'étais vexé. Tous ces efforts pour si peu de résultat, ça valait bien la peine. Je décidais qu'on n'en resterait pas là.


Surtout que, je ne sais pas si vous avez remarqué mais on n'a parlé de son plaisir, de ses gémissements, de mes caresses, un peu des siennes aussi c'est vrai mais lui, il a joui. Et moi j'avais une crampe à la mâchoire. Non mais c'est pas comme ça que ça devait se passer. Normalement vu qu'il a vraiment une grosse queue c'est au cul que je devrais avoir mal. 


J'étais décidé de ne pas laisser les choses se passer comme ça. Et j'étais bien décidé qu'avant le lendemain j'aurais mal au cul … Oui, enfin, mes pensées étaient un peu embrouillées. Quand je dis ' j'aurais mal au cul ' c'est pas vraiment ce que je voulais dire … C'est pas non plus ce que je voulais vraiment en fait mais bon il y avait un peu de ça.


Je me suis donc blotti contre lui, son corps était doux, sa peau était chaude, et il faisait de petit bruits avec son nez. C'était agréable. Je me suis endormi à mon tour.


A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


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