Presque frères 01

 Presque frères 01



Nous nous connaissions depuis des années, on était allé à la petite école ensemble, puis à la grande école puis … Bein là on arrivait à la fin de la grande école, La fac allait suivre et là encore on serait dans la même fac, pas dans les mêmes cours mais dans la même fac. 


C'était les vacances, il faisait chaud, nous étions allé au bord de la mer. Je dis bien nous car si nous étions amis, nos parents l'étaient également et depuis toujours, même les vacances on les passait ensemble, le ski en hiver, la mer en été … 


Nous étions maintenant de beaux jeunes hommes, le poil nous poussait déjà au menton, tout le monde nous prenait pour deux frères. C'est vrai que nous étions toujours ensembles. On avait le même âge et si nous avions été frères on aurait été jumeaux. 


Un jour Tommy me demandait.


– Dis moi Paco tu as entendu parler de cette université qui vient d'ouvrir, la PK U ?

– Qui vient d'ouvrir … Tu dis.

– Oui enfin, ça ne fait pas très longtemps.

– A peine plus de trente ans quoi .

– Ah c'est si vieux que ça ?

– Pourquoi tu me demandes ça ?

– L'autre soir j'entendais mes parents qui en parlaient, ils se demandaient s'ils n'allaient pas me le proposer. 

– Alors moi à ta place je refuserais net !

– Pourquoi !

– Tu sais que les étudiants là bas doivent porter un dispositif de chasteté.


Il me regardait avec des yeux tout ronds. 


– Tu veux dire … Toute le temps ? Finissait-il par me demander.

– Tout le temps que tu passes à l'université, jusqu'à ton diplôme. Et si tu veux travailler dans l'entreprise PK, pour le reste de ta vie.


Il avait l'air pensif. Il se grattait la tête et reprenait.


– Moi je trouve ça excitant !

– Quelques semaines je veux bien mais des mois, des années … Là je suis moins convaincu.

– Oui mais tu sais moi je ne veux pas travailler pour la PK, je ne garderais pas ce dispositif très longtemps.

– J'ai lu un article sur cette société, la plupart des anciens élèves gardent leur dispositif quand ils quittent l’université. Il parait qu'ils deviennent accro et qu'il ne veulent plus le retirer …


Tommy restait pensif quelques instants. 


– Et tu ne trouves pas ça excitant, ce genre de dispositif. Me demandait-il.

– NON !

– Au moins c'est une réponse claire. 


Le lendemain nous partions en expédition, on allait se faire bronzer sur une petite île. C'était juste une dune de sable qui dépassait de l'eau et qui devait bien culminer à deux mètres à marrée haute, il y avait quelques arbres en altitude … Oui je sais, deux mètres d'altitude.


Sans attendre Tommy se mettait à poil, j'étais un peu surpris mais pourquoi pas, personne ne pouvait nous voir, on était seuls dans un endroit isolé et tranquille, je me mettais moi aussi à poil.


On avait emmené un ballon, pour commencer on s'est amusé sur la plage. C'était finalement très agréable de sentir le vent sur tout son corps, le soleil aussi mais c'est au moment ou nous nous sommes baigné que j'étais conquis. Vous savez ce petit bout d'étoffe qui ne recouvre presque rien semble anodin mais si vous ne vous êtes jamais baigné nu, vous ne pouvez pas savoir à quel point ce petit rien change tout. J'ai adoré. Mon ami Tommy aussi et nous bandions au moment ou on ressortait de l'eau.


Ma queue était plaquée contre mon ventre, redressée à la verticale, Tommy était dans le même état. On était bien monté, la même taille comme deux frères. Un peu plus de vingt centimètre bien large. Circoncis tous les deux. Si à nous voir au quotidien on passait pour des frères, en ne regardant que nos queue on pouvait nous prendre pour des jumeaux.


C'est vrai qu'on avait presque le même âge. Il était bien plus vieux que moi, de presque quatre semaines. 


On s'est allongé sur le sable, lui sur le ventre, moi sur le dos, on a discuté. Puis on s'est allongé sur le sable, moi sur le ventre, lui sur le dos. On ne parvenait pas à débander, il faut dire qu'on était jeune et le vent sur nos corps suffisait à nous stimuler. 


Pour s'amuser, juste histoire de rigoler il se jetais sur moi et s'allonger sur le ventre mais sur mon dos. Je sentait sa queue qui s'écrasait contre mes fesses. Oh je vous rassure, c'était tout à fait naturel, c'était juste pour rigoler, il n'y avait rien de sexuel … Enfin si peut être un peu quand même. En tout cas c'est pas ça qui m'a calmé, lui non plus mais bon, il l'avait cherché moi j'avais rien fait.


Il retombait sur le dos juste à côté de moi.


– J'aurais jamais du faire ça ! Me disait-il.

– Tu parles, y a pas de mal !

– C'est pas ça mais je crois que maintenant je n'arrive pas à débander …


Je me retournais sur le dos, moi aussi je bandais.


– Je suis dans le même état que toi.

– Il n'y a plus qu'une solution …

– Laquelle ?

– Une p'tit branlette.


Je rigolais pour cacher ma gène. Vous l'avez deviné, on n'avait jamais joué à ce genre de jeux tous les deux. On s'était bien déjà vu nu, sous la douche au sport ou à la maison chez l'un ou chez l'autre, sous la douche aussi. Mais on n'avait jamais bandé ensemble … 


Il commençait à se masturber, je le regardais et je vous jure que pour me calmer à ce moment il fallait aller jusqu'au bout. Je bandais particulièrement ferme. 


Voyant que je ne me décidais pas, pour rigoler, toujours pour rigoler, sans rien de sexuel, il attrapait ma queue et commençait à me masturber, je me contractait et je mettais mes mains pour l'écarter mais mes mains se refermaient sur les siennes sans les repousser. 


Nos visages était juste face à face à quelques centimètres de distance. On se regardait dans le blanc des yeux et je pensais découvrir dans son regard une expression que je ne lui avait jamais vu.


Nos visages se rapprochaient, puis brusquement il voulait s'écarter, il desserrait sa main, me relâchait la queue mais moi je continuais à bien lui retenir les mains autour de ma bite, il ne pouvait pas me lâcher. Il retournait la tête mais voyant que je le retenais il me regardait de nouveau. Nos visages continuaient à se rapprocher. 


Je sentais son souffle, le bout de son nez touchait le mien, je penchais doucement le visage, il penchait lui aussi son visage mais dans l'autre sens et, c'était inévitable, nos lèvres se touchaient et là ce n'était plus lui, ce n'était plus moi, c'était nous …


Je lui lâchais les mains mais c'était pour le prendre dans mes bras, il me lâchait la queue mais c'était pour passer sa main derrière ma tête. On roulait l'un sur l'autre sur le sable, les vagues nous léchaient les pieds. Je me souviens que souvent des filles m'avait dit qu'il embrassait bien, et ce jour là j'ai pu le constater 


Et là on a tout oublié, allongé sur moi, il se relevait, me souriait puis m'embrassait dans le cou, je lui rendais son baiser. Puis on roulait et là c'est moi qui me retrouvais allongé sur lui, je l'embrassais sur les épaules. Puis mes lèvres descendaient le long de son corps se posaient sur ses téton, je le mordais doucement il me répondant en râlant de plaisir et en me caressant le torse.


Ensuite de nouveau on roulait l'un sur l'autre. Je me retrouvais allongé sur le dos, il était juste à côté de moi appuyé sur son coude, il me caressait, je lui rendais chacune des ses caresses et même plus, il glissait une main sur ma queue et commençait à me branler mais là ce n'était plus pour rire, là c'était sexuel. On était passé à autre chose, sans même nous en rendre compte.


Il s'est penché sur moi et me couvrait le corps de baisers. En quelques instant il arrivait au niveau de mon sexe et prenait ma queue dans la bouche. Il me suçait avec douceur, il s'y prenait bien et c'était un grand moment de plaisir pour moi.


Je décidais de lui rendre la politesse. Je me penchais vers lui et je ne sais pas par quel mouvement acrobatique je me retrouvais avec sa queue dans la bouche, il n'avait pas pour autant cessé de me sucer la mienne.


C'était une étrange sensation, je n'avais jamais pensé faire cela plus tôt, mais c'était agréable, un gland bien gonflé c'est vraiment doux. Vous devriez essayer, je n'y avais pas vraiment pensé avant mais je ne regrettais pas, ni sur le coup, ni depuis.


Sa queue s'enfonçait lentement, je la sentais glisser sur mes lèvres, sur ma langue et j'écrasais ma langue contre son gland. Il me limait la bouche, c'était sans le faire exprès qu'il appuyait sa queue contre ma gorge. Je retirais la tête, il se retirait et moi j'avançais le visage. 


On n'oubliait pas de se caresser, on n'oubliait pas d'échanger autant que de partager toute la tendresse, toute la douceur que nous avions l'un pour l'autre. C'est vrai que si nous n'étions pas amants, nous étions amis et ce de très longue date.


Ce jours là il s'est passé un petit quelque chose entre nous et ce quelque chose à fait qu'on en était arrivé là.


J'étais allongé conte lui, sa bite bien planté dans ma gorge, il était dans la même position. Je ne savais pas encore comment ça allait se terminer mais j'aurais du m'en douter. J'ai éjaculé dans sa bouche. Je ne contrôlais plus rien, je jutais et c'était un immense plaisir, bien plus intense que quand je me masturbe tout seul. Et c'est à ce moment qu'il a juté dans ma bouche. Je l'ai entendu gémir, je ne sais même pas si j'avais gémi juste avant et je suppose que oui. Il me donnait quelques coups de bassins dans la bouche et son sperme remplissait ma bouche, c'était un régal, je n'avais encore jamais goûté la sève d'un homme et c'était bon. 


Je ne voulais pas lâcher et je continuais à le sucer, il en faisait de même et nous sommes resté un long moment à nous sucer l'un l'autre avec douceur, avec beaucoup de douceur.


Nous avons fini par débander, je me suis retrouvé avec son sexe juste devant les yeux, il avait le mien devant son visage, je sentais son souffle contre mon pénis encore humide … 


On s'est retrouvé de nouveau face, face. Un câlin, un baiser, on ne savait plus quoi dire, un autre baiser, on se regardait dans les yeux. J'espérais sincèrement que notre relation ne changerais pas,  qu'il n'aurait pas de regret. Moi je n'en avais pas .


Il me regardait, encore un baiser, il me souriais, un autre câlin.


– Tu penses qu'on recommencera ? Me demandait-il.


Je le prenais dans mes bras et le serrait fort en lui répondant.


– J'espère bien oui, et souvent même.


On s'embrassait encore, on se faisait encore des câlin. Je pense que je n'avais  jamais été aussi  heureux.


Puis on a parlé, on a parlé de caresses. Suivait un câlin. Et le câlin entraînait un baisers …


On a parlé sodomie. Il n'avait jamais essayé, je le savais mais je lui ai dit que moi non plus. Il le savait.


On est allé se baigner et je regardais son corps comme je ne l'avais jamais regardé, et ce n'était pas seulement parce qu'il était nu. Je ne l'avais jamais trouvé aussi beau pourtant mon pote, je vous jure qu'il était beau. Les filles savaient le lui dire. 


Bein oui, on était puceau mais on avait déjà flirté, on avait déjà eu plus d'une fille dans les bras. Il faut dire qu'on était aussi beau l'un que l'autre, c'est ce que tout le monde nous disait. Mais il ne faut pas oublier que tout le monde pensait qu'on était frère.


Ce qu'on venait de partager entre nous était tout nouveau et totalement inattendu. Je vous jure, je n'y avais jamais pensé. Depuis, j'y ai souvent pensé et repensé et j'y pense encore très souvent.


Cette nuit là nous avons bien dormi, je sais que lui aussi a bien dormi puisque nous partagions la même chambre. On était en vacance il ne faut pas l'oublier. Avant de dormir on a encore parlé et on s'est promis de recommencer et même d'aller plus loin.



A suivre




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


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