Presque frères 02

 Presque frères 02



A table le soir, on était calme. On avait pris des couleurs, mais la marque du maillot n'y était pas. Mon père s'en ai aperçu, ça l'a fait rire. Il n'y trouvait rien à redire, il m'a juste demander, sur un ton taquin sans plus.


– Tu n'aurais pas oublié ton maillot de bain pour bronzer toi ?


Ce à quoi j'ai répondu …


– Le maillot de bain, c'est pour se baigner !


Après le repas, on est sorti se promener, on s'est arrêté dans un bar, il y avait du monde qu'on connaissait. Nous avions chacun une copine, ça ne faisait pas longtemps, c'était un de ces amours de vacances, un amour qui ne dure pas le reste de l'année mais qui laisse des souvenir. On a flirté toute la soirée, je le regardais quand il embrassait sa copine et je me souvenais combien il embrassait bien. Je crois qu'il me regardait aussi et je suis presque sûr qu'il devait se poser la même question. Ça faisait quand même quelques années qu'on se connaissait.


On est rentré au milieu de la nuit, nos copines travaillaient le lendemain. On leur proposait une crêperie pour le lendemain soir, elles acceptaient avec joie. Puis on est rentré après les avoir raccompagnées.


Avec Tommy on dormait dans la même chambre, elle était un peu en retrait, c'était une maison ancienne qui s'était agrandie au cours des années, une pièce était rajoutée, puis une autre, la dernière, notre chambre ne communiquait  pas avec le reste de la maison, pour y aller il fallait passer par le jardin. C'était pas gênant à  vivre en cette saison. Mais notre chambre avait sa propre douche, il y avait aussi un coin cuisine et une mezzanine ou on dormait. Au moins on était tranquille, même si on criait on ne risquait pas de trop déranger le reste de la maison, les murs devaient faire près d'un mètre d'épaisseur. On n'avait aucune raison de crier mais on pouvait écouter de la musique.


On a discuté, la journée avait été bien remplie. On se demandait si on ne pourrait pas retourner sur la petite île. On a comparé notre marque de bronzage et je ne sais plus trop à quel moment ça a dégénéré mais je me retrouvais allongé sur le ventre, il était sur son lit, et moi j'étais sur lui.


On partageais un de ces moments de tendresse et de douceur, on était encore tout habillé, enfin on avait chacun un short, mais je crois me souvenir qu'on avait négligemment oublié de mettre un sous vêtement … C'est ballot, surtout qu'on avait l'érection facile à notre âge.


La chaleur et la douceur de sa peau me faisait bander. Nos baiser étaient chauds, encore plus chaud que cet après midi sur la plage déserte. Il n'y avait plus cet effet surprise. Il y avait par contre ce désir de goûter de nouveau à l'autre. Un peu comme si on voulait s'assurer qu'il était bien à notre goût. Pourtant c'était une interrogation idiote, je savais que j'aimais tout de que je touchais. Il me caressait le dos, ses mains étaient douces et ses lèvres étaient tendres.


Je l'embrassais à partir de ses épaules et je descendait le long de son corps, mes mains précédaient mes lèvres en explorant son corps et en le caressant aussi quand mes lèvres arrivaient sur sa queue elle n'étaient pas surprises de trouver une bite bien dure, et aucun sous vêtements. Son short n'offrais aucune résistance, et sa queue rentrait rapidement dans ma bouche.


Je l'ai senti se contracter et il à poussé une sorte de cri étouffé, un de ces cris qui ne désire pas forcément se faire entendre. Je passais ma langue autour de son gland, il tremblait. Je lui massait les couilles, il frémissait. Puis je lui gobais une couilles, là je l'ai senti se crisper mais il m'a laissé faire. J'aspirais un peu et sa seconde couilles rentrait sans résistance dans ma bouche. Et là, je les malaxais  doucement avec la langue. Il tremblait, semblait désemparé, partagé entre le plaisir que je lui donnais et la situation particulière, il était sous la menace de mes dents. Oh  je n'avais pas l'intention de lui faire du mal, et mes dents, je prenais le plus grand soin  pour qu'il ne les sente même pas.


C'est sa queue que je prenais dans ma bouche ensuite, il était allongé sur le dos, les jambes bien écartées et moi j'avais la tête entre ses cuisses. Il me caressait les cheveux, il appuyait sur ma tête et sa queue pénétrait jusque dans ma gorge. J'éprouvais un réel plaisir à faire cela, mais c'était peut être à cause de la personne à qui je le faisais. Il était comme mon frère, mon meilleur pote, on n'avait aucun secret, et maintenant notre plus gros secret on ne le partageait qu'entre nous. 


Je me lubrifiais un doigt avec de la salive et sans le prévenir je commençait à lui caresser son trou de balle. Je le sentais se contracter, il respirait fort et c'est au moment ou il contractait le plus son anus que j'appuyais mon doigt. Il rentrait sans trop de résistance mais j'ai senti tout le corps de Tommy se contracter, je l'ai entendu gémir de plaisir. C'est à ce moment qu'il à juté avec force dans ma bouche, je ne me m'y attendait pas et mon premier réflexe était de retirer ma tête mais il me retenait avec force. Je me retrouvais bloqué, et j'encaissais plusieurs giclées de sperme chaud dans la bouche, je continuais à le sucer, d'autres giclées suivaient. J'avais la bouche pleine mais je ne voulais rien perdre et j'avalais goulûment.


Je sentais son anus qui se contractait autour de mon doigt et quand je l'agitais, Tommy râlait plus fort, il criait presque de plaisir. Tous ses muscles se détendaient. Il se retrouvait les bras en croix, et les jambes écartées allongées sur son lit. Je relevais la tête, il venait de jouir et s'il paraît qu'on fait une grimace au moment de l'orgasme après on a plutôt un air réjoui, détendu. Dans son cas il n'avait pas l'air futé, il avait une expression de béatitude sur le visage. Et c'est moi qui l'avait mis dans cet état. J'étais fier de moi et je le regardais en souriant. 


Il regardait et me souriant également.


– Je ne savais pas qu'on pouvait jouir de cette manière. Me disait-il.


Il était essoufflé et parlait en hachant les mots.


– Je te jure c'était le pied, il faudra que je tu essayes toi aussi …


Il laissait tomber sa tête en arrière et continuait à gémir de plaisir, pourtant là je ne le touchais plus. Et en plus il débandait. C'était pas mon cas. Je bandais toujours aussi ferme. Puis j'ai un peu perdu patience, j'ai commencé à me masturber.


Il me regardait avec un regard absent.


– Approche, approche jute moi sur la figure, je veux que tu éjacules sur moi, vise la bouche.


Il m'a un peu surpris mais je me suis exécute, je me mettais à genoux juste à côté de lui, ma queue juste au dessus de son visage. Je me branlais activement, rapidement il semblait récupérer et me caressait les cuisses avec une main. Il glissait plusieurs doigts. Il me caressait la raie du cul avec les doigts, il ne s'attardait pas sur la petite ouverture qui s'y trouve, mais il me caressait avec de plus en plus de force.


Je continuais à me masturber, il ouvrait la bouche et tirait la langue.


Il me massait alors mon anus, il n'y avait pas de doute il avait visé juste. C'était l'ouverture qui l'intéressait, son doit en faisait le tour en appuyant assez fort, il n'essayait pas vraiment de glisser sont doigt. Je continuais à me branler et sans prévenir, il tentait de glisser son doigt dans mon cul, à sec.


Évidemment son doigt n'est pas rentré mais la pression m'a fait ressentir un étrange plaisir, étrange et impérieux, en une fraction de seconde j'ai joui, avec une force qui me surprenait. Deux ou trois jets sont partis sans que je puisse réagir et sont retombés plus d'un mètre plus loin sur un coussin, j'ai complètement loupé sa bouche, seules deux ou trois gouttes lui sont tombées sur la langue. J'avais éprouvé un plaisir intense moi aussi, il m'avait fait un peu mal mais j'avais aimé et je comprenais qu'avec un peu de gel et un tout petit peu plus de douceur le plaisir devait être total.


Je me suis laissé tombé sur lui. Il avait son doigt toujours appuyé sur mon cul.


– Ça ne rentre pas ! Comment tu as fait toi ?

– J'ai lubrifié avec de la salive.


Il se redressait alors faisait tomber de la salive.


– Mais qu'est ce que tu fabrique Tommy ?

– Bouge pas, surtout ne bouge pas. 


La salive faisait son effet et son doigt glissait maintenant dans mon cul. Là j'ai poussé un long gémissement de plaisir. Je venais de jouir mais c'était tellement nouveau que je voulais voir ce que ça faisait. 


Son doigt est entré en entier puis il a commencé à le remuer dans tous les sens et par moment c'était une véritable alarme de plaisir qui se déclenchait dans mon cul. C'était bon comme je n'aurais jamais imaginé, j'écartais les cuisses et le laissais faire. Ce qui est bien quand on se connaît autant nous nous connaissions, c'est qu'il y avait une totale confiance et que chacun pensait au plaisir de l'autre. 


Du coin de l’œil je le voyais, il observait mes moindres réaction, il ne me voulait que du bien.


Par moment je sursautais quand il touchais une certaine partie à l'intérieur de mon cul, là ça devenait particulièrement agréable. Au bout de quelques instant, c'était à la limite de l'orgasme, à chaque fois. Je vous jure j'ai pris un pied comme jamais.


Au bout d'un long moment il m'a demandé s'il pouvait arrêté, il avait une crampe au doigt, surtout que la position qu'il avait n'était pas vraiment confortable.


Il a retiré son doigt, je me sentais toujours aussi bien. Je me suis retourné, je ne bandais plus. Je n'avais par recommencé à bandé depuis ma dernière éjaculation mais j'avais tout de même pris un grand, un très grand plaisir.


On a fait un rapide passage dans la salle de bain, surtout pour se laver les mains. Vous connaissez le proverbe … '' Qui s'endort avec le cul qui gratte se réveille avec les doigt qui puent ! '' ? … Non ? C'est de Coluche  mais là je m'égare de mon propos. 


Ensuite on est revenu dans la chambre et on a parlé. On ne l'a même pas fait exprès mais quand on s'est couché, on s'est couché dans le même lit et pour la première fois de ma vie j'ai dormi avec mon pote dans les bras. 


C'est la voix de sa mère qui nous réveillait le lendemain matin, elle nous criait que tout le monde partait pour le marché, que si on avait besoin de quelques chose il fallait le dire. Elle avait juste entrouvert la porte et n'était même pas entrée. Ça n'aurait pas posé de problème de toutes façons. Mais en attendant, on était réveillé.


C'était même un réveil violant !


On s'est levé rapidement on s'est bousculé pour entrer dans la salle de bain, on était à poil bien sûr. Il m'a attrapé les couilles et par réflexe je me suis défendu. C'est comme ça qu'il a réussi à rentrer dans la salle de main avant moi. Je l'ai rattrapé sous la douche et là on s'est calmé.


On s'est frotté le dos mutuellement, et pas que frotté, et pas que le dos. On a fait un câlin, un gros câlin turbulent. On a dévasté la salle de bain, il y avait de l'eau partout et des serviettes détrempées dans tous les coins. 


On s'est embrassé, on s'est caressé, on s'est un peu branlé l'un l'autre mais sans aller jusqu'au plaisir. On se le réservait pour plus tard. Plus tard dans la journée, on avait joui deux fois la veille et c'est pas que ça aurait difficile de recommencer mais on restait convaincu que ça ne serait que meilleur si on faisait durer. Alors on a fait durer.


On s'est bien sûr sucé, enfin un petit peu … Puis à a nettoyé la salle de bain, on a rangé la chambre puis on s'est habillé, juste avant de sortir de la chambre. Nos parents arrivaient, ils nous retrouvaient tout beau, tout propre, on avait mis un short mais cette fois on avait pensé à mettre un maillot de bain.


Aucun d'entre nous ne parvenait à débander, il n'y avait rien à faire. C'était excitant, moi ça me plaisait. Je repensais à ce que Tommy m'avait dit à propos du dispositif de chasteté, l'idée était excitante mais sans plus. Juste pour quelques jours mais pas d'avantage. 


Je l'imaginais avec ce genre de truc sur lui, et je dois dire que ça marchais bien ce truc, dans mon imaginaire il ne pouvait plus bander mais dans le monde réel c'est moi qui ne parvenait toujours pas à débander, je remarquais que pour lui c'était pareil, dans le monde réel oui dans le monde réel.


Le facteur était passé et avait apporté un petit colis et plusieurs lettre. C'est moi qui faisait le dernier tri, et faisait parvenir chaque lettre à son destinataire ainsi que le colis, il était adressé aux parents de Tommy.


On était presque l'après midi quand on prenait notre petit déjeuner. On parlait, on se demandait ce qu'on ferait de la journée. On a finalement décidé de faire comme la veille, on irait se faire bronzer et se baigner sur cette petite plage isolée du monde. On avait le bateau pour ça. En plus le téléphone marchait très bien là bas.


On se préparait, on emmenait  un pique-nique et tout ce qu'il fallait pour passer l'après midi tranquillement. Il faisait chaud et la météo annonçait que le temps ne changerais pas.


On était très proche l'un de l'autre comme je vous le disais mais ce jour là, on était encore plus près l'un de l'autre. Pendant que le bateau avançait presque tout seul, je m'installais contre lui, tout contre et je terminais dans ses bras. Sa main glissait déjà sous mon short.



A suivre




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


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