Nourri Logé Baisé (01)

 Nourri Logé Baisé (01)



Oui je sais l'arrangement peut paraître un peu suspect. Mais je vous jure il y a des avantages, trois avantages pour être exact , je vais vous les citer au fur et à mesure.


Certains vont me dire que certes, je ne paye pas de loyer, c'est pas à ça que je pensais. En effet je ne paye pas de loyer. Surtout que je travaille, c'est un boulot qui ne m'occupe pas trop, avec des horaires libres. Mais ce que je gagne, c'est tout pour moi et j'économise pour mes vieux jours …


Certains vont me dire que je ne paye pas la bouffe. C'est vrai aussi mais la bouffe, c'est moi qui la prépare le plus souvent. Je fais les courses. Je fais aussi le ménage. Je fais la lessive également mais pour ça nous avons des machines. Je fais la vaisselle, enfin le lave-vaisselle fait la vaisselle. Moi je me contente d'appuyer sur le bouton.


Nous vivons quand même une époque fantastique.


L'appartement est spacieux et moderne et confortable et dans un quartier huppé ! Et là moi j'aime bien le huppé !


Je ne me considère pas vraiment comme un homme de ménage, même si j'ai des copines qui se moquent de moi, mais je sais qu'ils voudraient être à ma place.


Non franchement c'est la belle vie, je ne me pleins pas !


Vous allez juger par vous même.


Ce matin là, un peu comme tous les matin, je me levais tôt, remarquez je suis du matin donc ça ne me dérange pas, ensuite je prépare le petit déjeuner, ensuite je sonne le tocsin, là c'est pour réveiller mes colocataires. Enfin c'est pas tout à fait ça, en fait c'est eux qui ' coloquent ' moi je suis chez eux …


Non je n'ai pas oublié la scène ou je m'habille. A ce niveau je suis toujours à poil et je n'ai sur moi que ma cage à bite et mes pantoufles.


Bein oui je porte une cage à bite, au départ c'était pour découvrir de nouvelles sensations et finalement ces nouvelles sensations me plaisent bien donc …


Ensuite je me glissais dans la salle de bain, oh non pas pour prendre un bain, vous savez le matin on n'a pas le temps. En général d'ailleurs moi j'ai pas trop le temps de réagir à partir du moment ou je fais couler l'eau, je vois débouler Samy dans la salle de bain, il me fait un large sourire, il est à poil bien sûr, il se lève. En plus il bande bien sûr, il se lève !


Je lui rends son sourire alors qu'il se glisse sous la douche avec moi. Puis il enroule son bras autour de mes rein, son autre bras autour de mon cou et avec une infinie tendresse il m'embrasse et là j'oublie tout le temps qu'il a fallu attendre depuis … Pas depuis très longtemps en fait, depuis que je suis levé.


Je referme mes bras autour de son corps.


Quelques instants plus tard, enlacés l'un dans l'autre nous nous caressions avec le savon, avec le baume pour la douche, mais surtout avec le savon. Le savon glisse avec douceur sur la peau.


Ses lèvres sont suaves et sa langue est chaleureuses, et me fait tourner la tête. J'aime cette douceur au moment du réveil, rien de tel pour commencer la journée. Dans une telle situation il ne me faut pas bien longtemps pour plonger et prendre sa queue dans la bouche.


Je le sentais se contracter, c'était un réflexe pas une réaction de défense. Sa queue rentrait rapidement jusqu'au fond de ma gorge, ah vous me preniez pour un débutant ?


Je m’accroupissais sous la douche il me caressait les cheveux et moi, je lui caressais son gland avec ma langue. Je sentais la douceur de ses caresses et par moment un muscle se contracter. Il appuyait doucement sur ma tête et son gland s'enfonçait dans ma gorge, il gémissait et je comprenais pourquoi. Vous avez déjà remarqué combien le gland peut être doux sous la langue ou au fond de la gorge.


Je lui caressais les cuisses, je lui lavait les fesses en glissant bien profondément mes doigts entre les fesses et au passage j'en profitais pour lui glisser un doigt dans le cul.


Là il a sursauté, je savais bien qu'il n'aimait pas vraiment.


Ah c'est à ça que tu veux jouer ! S'exclamait-il.


Il me relevait et en un seul mouvement me plaquait contre le mur de la douche.


L'eau ne coulait plus, il me lubrifiait le cul autant qu'il le pouvait et dès qu'il jugeait que c'était suffisant, il m'enfonçait sa queue dans le cul. C'était rapide et décidé. Il me limait alors le cul avec force et vigueur.


J'arrivais à gémir, c'est à peut près tout. Je ne cherchais pas à me dégager, en fait j'adorais cette situation, ce n'était certainement pas le première fois. Samy était du genre costaud, enfin quand on le voyait à poil, sinon il avait l'air délicat. Il était comptable, avec sa veste et sa cravate il était beau comme un dieu mais il paraissait un peu moins … Viril !


Là il avait l'air viril, là ça ne faisait aucun doute. Je la sentais bien sa virilité Je la sentais bien jusqu'au fond de mes entrailles. Je la sentais bien qui me dilatait l'anus.


Et j'aimais ça.


Je gémissais de plaisir, il appuyait bien son ventre contre mes fesses et sa queue au fond de mes entrailles. Je fermais les yeux et je murmurait ' Encore, oui vas y ! '. Puis je rajoutais , ' P'tit bite ! '.


Il rigolait de m'entendre lui dire ça, mais c'est vrai quoi, il ne dépassait pas les vingt trois centimètres sur plus de cinq de large. Il s'énervait, je l'avais défié, je l'avais fait exprès et commençait à me limer encore plus vigoureusement le cul. Il ressortait, et s'enfonçait et il accélérait le mouvement.


Tout ça ne nous empêchait pas de nous doucher. Il me frottait le corps avec du savon, il n'oubliait aucune partie de mon corps et aimait bien s'attarder sur mes couilles. Elles formaient une grosse boule bien ferme qui tentait de remonter contre l'anneau de ma cage à bite. Ma queue protestait dans sa cage. J'aimais bien cette sensation, j'aime encore plus cette sensation avec le temps.


Sentir cette pression sur mon cul, la sentir devenir plus forte et encore plus forte et brusquement sentir mon cul lâcher et se dilater. Si au début ça fait mal, par la suite ça ne fait plus mal du tout. Au contraire même, c'est intense mais c'est bon.


Il me limait avec force et régularité. Je respirais de plus en plus fort. Sodomie verticale, c'est pas la position la plus facile mais c'est pas moi qui choisi. C'est jamais moi qui choisi d'ailleurs. Mais je ne m'en plaint pas, c'est quand même moi qui ai choisi.


Ses coups devenaient violents, il frappait fort son ventre contre mes fesses. Là je vous jure que pour ne pas gueuler il fallait que je serre les dents. Je jouissais depuis un moment, mon plaisir avait monté vite, très vite. Mon plaisir montait de plus en plus vite avec le temps.


C'est à ce moment que je l'ai entendu crier de plaisir, il jouissais, je le connaissait et je savais qu'il jouissait.


Nous étions couverts de savon, il se retirait rapidement et terminait sa douche pendant que je retrouvais mon souffle.


Au début je vous avait parlé de trois avantages, Samy était le premier …


Gus débarquait à son tour dans la salle de bain. Il était bien moins vigoureux au réveil que mon ami Samy. Lui il traînait les pieds. Tous les matins c'était pareil, il avait du mal à ouvrir les yeux et il se cognait contre la porte de la douche.

je le prenais dans mes bras, il avait un corps totalement dépourvu de poil, sauf les cils et les sourcils. Pour le reste il avait un corps d'une douceur incroyable. J'aurais bien aimé lui faire un shampooing, je me contentais de lui caresser le sommet de son crane.


C'est là qu'il ouvrait les yeux et me faisait un large sourire. Lui aussi il était bien bâti. Lui aussi il était viril, ses muscles n'était que plus beau quand ils roulaient sous cette peau légèrement ambrée et totalement lisse. Je le couvrais de baisers.


J'aimais ce contact, sa peau me faisait frissonner de désir. Il était un peu plus large et plus musclé que notre camarade Samy. Lui travaillait dans le bâtiment et il était musclé de partout.


À commencer par ce truc qui grossissait et durcissait entre ses cuisses. Un peu moins longue que le premier mais ça restait dans de très belles taille, sa queue n'était pas moins large que celle de Samy.


Il m'avait bien dilaté l'anus Samy, Gus était costaud et c'est sans difficultés qu'il me soulevait contre lui. Je m'accrochais à son cou relevais les jambes et les repliais dans son dos. Il me soulevais par les cuisses. Je sentais sa queue se relever contre son ventre. Je sentais mes couilles glisser avec volupté contre son ventre, je me cambrais et je sentais sa queue appuyer contre mon anus.


Tout de suite j'en voulais plus. Il m'avait bien échauffé le cul notre ami Samy et j'en redemandais. C'est moi qui relevait mon cul, il appuyait contre sa queue, je ne résistais pas et lentement elle me pénétrait.


Selon que je repliais mes cuisses ou que je me raidissais, sa queue entrait et sortait. Je contrôlais le mouvement, il contrôlait la profondeur. Il me laissait m'enfonçait sur sa queue et je me retenais en me raidissant mais je m'enfonçais tout de même, lentement inexorable et au moment ou je me suis relâché j'ai tout pris dans le cul.


Là j'ai poussé un cri et j'ai été pris de tremblements, presque des convulsions. Il m'écrasait alors contre le mur de la douche. On n'avait pas ouvert l'eau et on s'en moquait de se laver ou pas.


Sa queue glissait dans mon cul, et à chaque fois qu'elle s'enfonçait, il s'arrangeait pour qu'elle rentre bien à fond. Je me contractais, je resserrais mes cuisses, comme pour me retenir, comme pour reprendre le contrôle. Mais c'était en vain, je subissais et j'aimais subir.


Samy terminait de s'essuyer en nous regardant puis disparaissait.


J'aimais perdre le contrôle de la situation, je me donnais à lui. J'en prenais plein le cul, je gueulais de plaisir puis je gigotais comme un fou. Il finissait par me relever les cuisses complkètement, il me pliait en deux. C'est vrai qu'il était costaud et qu'il n'avait pas de mal à me porter, à me soulever, là il s'amusait avec moi. Comme un pantin.


Je me retenais en passant mes mains derrière son cou, il me retenait par le bas du dos et j'avais les jambes totalement repliées. Là je pouvais contracter les cuisses tant que je voulais ça ne changeait plus rien.


Il me balançait des coups de bassin, des coups de bite. Je ne pouvait plus résister mais en fait j'en avais pas envie. J'étais mort. Je ne pouvais plus rien faire, plus personne ne pouvait rien faire pour moi.


Je suppliais qu'il s'arrête, mais heureusement il ne m'écoutait pas. D'ailleurs il m'avait dit un jour qu'il ne m'écoutait jamais quand j'étais dans cet état et continuait à me buriner le cul.


Il lui a fallu encore un moment avant d'éjaculer mais quand il s'est laissé aller, je l'ai senti passer.


Les derniers coups étaient violents. Ensuite il m'embrassait, j'avais mes genoux sur mes épaules je ne pouvais plus respirer. Il me lâchait, me retenait pour que je remette mes pieds sur le sol en douceur. Il me retenait encore un moment, le temps que je retrouve mon équilibre.


Vous vous souvenez, je vous avais dit qu'il y avait trois avantage, je suppose que vous avez compris que Gus était le second …


Je me rinçais, je m'essuyais et je retournais dans la cuisine. Il y avait Samy qui était toujours à poil, il était là tranquille, il prenait son petit déjeuner.


Ma queue s'était au repos au fond de sa cage, mais ça ne durait pas bien longtemps. J'avais joui oui mais avec le cul, ma bite réclamait et en plus elle ne pouvait même pas se relever. J'aimais cette délicieuse frustration.


Je regardais la queue de Samy qui s'étalait sur sa cuisse, Gus nous rejoignait. Il était lui aussi resté à poil et ma queue protestait encore plus en la voyant se balancer. Quelques minutes plus tôt ces deux grosses queue me labourait les intestins et là maintenant qu'elle avaient craché leurs semence elle retombaient sous leur poids et se balançaient lourdement.


Je rangeais la table pendant que mes deux camarades allaient s'habiller. Un peu plus tard, Samy arrivait, il me regardait avec un regard triste et la cravate dans la main.


Dis … Tu peux … ? Me demandait-il tristement.


Je lui faisais son nœud de cravate et il retrouvait le sourire. Je lui tendait son manteau, je le lui refermais pour qu'il ne prenne pas froid. Il me donnait un baiser et partait au boulot, il allait gagner la pitance quotidienne pour nourrir la famille, sa femme, les enfants … Heu, pardon là je crois que je m'égare.


Samy n'avait pas tourné le dos que c'est Gus qui arrivait, il avait sa tenue de travail. C'est vrai que ça fait viril une tenue d'ouvrier du bâtiment. C'est chaussure de sécurité épaisses, ce pantalon qui met bien en avantage la silhouette du bonhomme, et cette chemise à carreaux …


Il voulait juste me donner un baiser avant de partir.



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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