Jeune adulte 16 Fornication

 Jeune adulte 16

Fornication



Cette nouvelle vie qui me donnait beaucoup de plaisir finissait par déborder sur ma vie quotidienne. Ma moyenne de notes baissait. Je m'en moquais, ma garde robe se remplissait. J'étais content de mes nouvelles baskets, elles valaient près de deux cent crédits mais elles les valaient, elles étaient trop mode.


Le pantalon que je m'achetais aussi était trop mode, moulant, moule boule mais on ne voyait pas que je portais un dispositif de chasteté, celui-ci serait pour tous les jours. Pour les sorties j'en prenais aussi un plus fin, là on devinait tout. La forme de ma cage de chasteté se dessinait parfaitement sous l’étoffe.


Je rajoutais une chemise très juste au corps, et j'étais prêt pour toutes les situation. Je me disais seulement qu'il valait mieux que mes parents ne me surprenne pas dans cette tenue. Mais quand je mettais une de ces tenue je me sentais bien. Je finissais pas adorer cette forme d'exhibitionnisme et quand j'arrivais en boite c'était le pied.


Tout le monde me connaissait, les habitués me caressaient les couilles et la cage. Comme pour bien vérifier si c'était pas du chiqué. Je ne buvais pas d'alcool et je ne fumais pas, ce sont peut être les deux seules choses qui ne changeaient pas. Pour le reste, et en fait je me moquais que mes parents me surprennent dans cette tenue.


C'est vrai quoi, c'étaient bien eux qui voulaient que je porte un dispositif de chasteté alors pourquoi ne pas en être fier. Pourquoi ne pas le montrer à tout le monde ? Et c'est ce que je faisais !


Je sortais tous les week-end !


Tous les samedi comme vous le savez, je faisais mon spectacle sur scène, tous les samedi je dansais tout la soirée, je dansais habillé, je finissais par me déshabiller et je dansais nu … Pour terminer je dansais nu mais au milieu de la piste, autour de moi, il y avait des clients torse nue, et aussi quelquefois des clients qui dansaient nus également. Eux ne portaient pas de dispositif de chasteté.


Rapidement ce qui était nouveau c'est le vendredi, je faisais pareil.


Ce n'est peut être pas par hasard si le samedi je dormais pendant les cours.


Mais j'étais plein aux as ! En un week-end je gagnais de quoi vivre pendant un mois avec le budget que j'avais avant. Et je ne travaillais pas ailleurs contrairement à mon doudou Thomas.


Lui il sortait tous les soirs, il passait la moitié de ses nuits en dehors, la seconde moitié dans mon lit et la matinée aussi. Au bout de quelques mois il m'arrivait de ne pas aller à la fac le matin. Juste le matin, l'après midi j'étais un peu plus réveillé. Ça allait. Mais ma moyenne était en chute libre.


Je m'en moquais, le soir quand je montais sur la scène de la boite de nuit, on m'acclamait, on m'applaudissait, j'étais la star. Tous les week-end je me faisais défoncer le cul sur scène, devant tout le monde ils étaient déchaînés.


Un soir en boite je jouais un spectacle, la soirée était bien avancée. Je montais sur scène et commençais à danser, bien sûr, comme la soirée était déjà bien avancée, j'étais à poil, je n'avais gardé que mes chaussures. Un de mes camarades me suivait, il avait fait comme moi, il n'avait gardé que ses chaussures.


C'est pas des pantoufles, c'étaient des chaussures de marche, des chaussures de mecs, et je vous jure ce genre de chaussures, ça habille ! La pression dans ma cage de chasteté était énorme, presque douloureuse et j'avais le feu au cul.


Pourtant on m'avait déjà enculé moins d'une heure plus tôt !


Mais voilà j'en voulais encore … C'était Farid qui m'avait suivi, au début, je ne l'avais pas remarqué, il dansait juste trois pas derrière moi et suivait mes mouvements. Lui il bandait, moi, j'aurais bien voulu.


Je me retournais, on dansait alors face à face. Je l'admirais, ma queue me travaillait encore plus, là je sentais que j'allais craquer. Toujours en dansant je le prenais dans mes bras et lui glissait à l'oreille.


Encule moi, là sur scène !


Farid est du genre viril et pas timide. Il me saisissait et me projetais contre le poteau central de la scène, attrapait du gel s'en recouvrait la bite et me pénétrait sans ménagement sous les acclamations de la salle. J'étais déchaîne, Farid était déchaîné, le public était déchaîné … Bref il y avait de l'ambiance. Je gueulait tout ce que je pouvais mais avec la musique on ne m'entendait pas.


Farid me limait le cul avec force, Il s'enfonçait avec vigueur puis ressortait, il faisait des ' effets de manche ' qui je peut vous le garantir n'avait rien de simuler. Il y allait vraiment, il y allait à fond, il y allait de toutes ses forces.


Un court instant le DJ coupait la musique et là en entendait parfaitement mes cris et hurlement et on entendait aussi son ventre qui claquait à chaque fois qu'il s'écrasait sur mes fesses. Et là c'était les cris et les encouragements et les acclamations de la foule qui couvraient mes cris.


Il y avait une ambiance je ne vous dis pas mais … oh et puis si je vous le dis, c'est simple le patron de la boite m'a dit qu'il n'avait jamais vu ça et profitait du fait que j'étais déchaîné pour me faire promettre de remettre ça tous les week-end.


Farid dansait pendant qu'il m'enculait, il bougeait ses jambes en suivant la musique, je le sentais et rapidement je faisais comme lui. La fièvre montait encore plus et le plaisir que je prenait à me faire défoncer le cul, pour lui aussi le plaisir montait. C'était comme une explosion de plaisir.


Sa bite me rendait fou, ses bras me rassurait, je ressentais sa force et la douceur de ses mains me transportaient comme dans un autre monde. Un monde ou j'étais le roi, un monde ou je me faisais défoncer le cul par des mecs beaux et virils.


Il m'entraînait dans une valse, enfin il dansait en tournant sur lui-même et m'obligeait à le suivre, on tournait et ainsi on était vu sous tous les angles par la foule qui dansait et s'agitait, comme une foule hystérique, une foule déchaînée prête à tout pour se donner, pour prendre du plaisir.


Pour moi c'était le pied, pas facile à gérer je ne dis pas, mais j'ai aimé. Plus que ça j'ai joui comme un malade. J'en ai pris plein le cul, Farid, s'il n'est pas timide n'est pas non plus une petite nature. Il a une grosse queue mais avec mon doudou Thomas j'étais habitué à m'en prendre une grosse dans le cul.


Et c'est ce que je recherchais maintenant.


Je regardait les clients qui dansaient sur la piste et j'en repérais plusieurs qui étaient tout à fait baisables. S'ils avaient une grosse queue j'en aurais bien fait mon quatre-heures. Et gratos en plus, on dirait que c'était pour la soirée, on trouverait bien une explication pour justifier que je me fasse enculer par un client tiré au sort.


Enfin quand je vous dis, tiré au sort, c'est moi qui déciderais du vainqueur. Le tirage serait pipé mais … Comment dire … C'est mon cul et on ne le ferait pas payer.


Ça ferait des jaloux ? Je m'en fout !


Thomas était dans les coulisses, il me regardait et me souriait. On était ensemble mais c'était pour le boulot, c'était du boulot.


Farid se lâchait, on n'avait pas répété, on n'avait jamais baisé ensemble mais pour lui c'était pas une première. Je veux dire enculer un mec sur une scène devant un public. Il avait même tourné dans des pornos et en pensant à ce détail je me disais qu'il faudra que je lui demande de me pistonner.


Il m'enveloppait avec ses bras, et me soulevait. Je hurlais, il me faisait mal, enfin un peu mal mais je criais '' Encore, défonce moi le cul ! '' . Et c'est ce qu'il faisait.


Il m'a reposé sur le sol, pour que la salle nous voit de profil puis à continué à me limer avec des mouvements bien amples et puissant. Là j'ai pas tout compris, il s'est retiré, c'était bon, vraiment bon. J'ai éjaculé et en même temps il a éjaculé sur mon dos.


C'était le pied, j'ai vraiment aimé et sans la fatigue, et aussi parce que j'avais mal au cul, j'aurais peut être crié ' Encore, encore !'. Mais là, j'ai rien dit, j'ai même faille tomber en avant, il m'a agrippé et ma relevé en me serrant contre lui.


J'avais encore un peu de sperme qui coulait de ma cage.


On est revenu dans les coulisses, au passage Thomas me disait.


J'y crois pas, j'ai créé un monstre !


Il avait le sourire en me disant ça. C'est vrai qu'il s'amuse d'un rien.


J'ai enfilé un jockstrap et je suis descendu sur la piste de danse jusqu'à la fin de la soirée. Quand j'en suis sorti il y avait plein de billet de cinq à dix crédits accrochés à mon jock. Ça m'a donné une idée et depuis, le soir en boite je garde un harnais avec plusieurs sangles. J'ai doublé mon salaire.


On doit partager mais entre nous dans l'équipe, c'est pas pour le patron de la boite.


En général il me fallait toute la journée du dimanche pour récupérer. Souvent je passais la nuit dans la maison juste à côté de la boite de nuit. Thomas passait me récupérer en fin de matinée. Je ne m'habillait pas avant son arrivée.


J'étais adopté par toute l'équipe. Me voir en cage les excitait, et dans les mois qui ont suivi ils m'ont tous enculé. Vous savez dans ce métier j'étais le seul qui n'avait pas été embauché parce que j'avais une grosse queue. Pour tous les autres c'était le cas. Thomas n'était pas le seul dans ce cas.


J'avais plus que doublé mes revenus, désormais je n'avais plus besoin de l'argent de mes parents pour vivre. Yohan n'avait pas suivi, il était resté plus raisonnable que moi. Il dormait tous les week-end avec son doudou. Vous n'avez pas oublié que mon petit frère à un doudou également, Gaëtan. Quelquefois ils sortaient en boite avec Thomas et moi. Mais eux ils restaient plus sages.


On n'est pas tous délurés et débauché dans la famille, remarquez quand j'avais son âge, j'étais comme lui, pas débauché du tout et on a tout de même trois ans d'écart. Il avait encore le temps de me rattraper, c'était récent cette tendance à la dépravation et à la débauche. Surtout que j'aimais bien la débauche.


Avec le temps je suis devenu célèbre dans le milieu, j'avais des habitué, il y en avait quelques uns qui venaient tous les week-end dans la boite rien que pour me voir. On a retravaillé le spectacle, la fréquentation de la boite à plus que doublé, et j'ai eu une augmentation.


Tout allait merveilleusement bien, mes notes s'étaient effondrées et mes parents commençaient à s'en inquiéter. À la congrégation on leur posait beaucoup de questions, mon confesseur que je ne voyais plus se posait des question, surtout qu'il savait que je séchait les cours.


Mon père me téléphonait, ma mère me téléphonait, ils téléphonaient aussi à mon petit frère qui savait tout mais qui ne savait pas quoi leur répondre. Il me racontait ensuite.


Je ne savais pas quoi lui répondre, mais je refusais de m'en inquiéter. J'étais plein au as et je m'amusais. Ma vie avait changé et ça me plaisait. Ma garde robe prenait désormais beaucoup de place. J'en étais fier.


Plusieurs mois avaient passé. Je savais que je ne serait pas accepté dans la classe supérieure, ma famille venait de l'apprendre et c'était un drame. C'est Yohan qui me le disait dès qu'il était mis au courant, un matin il arrivait et me lançait .


Papa et maman passeront aujourd'hui pour te voir !




A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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