La ceinture 10 Sibérie

 La ceinture 10

Sibérie



Il leur fallait au total douze jours pour faire le voyage. Douze jours qu'ils ont passé dans les bras de l'autre, douze jours pendant lesquels ils ne prenaient pas la peine de s'habiller sauf les quelques fois ou ils sortaient pour jouer dans la neige. Douze jours ou ils se mélangeaient régulièrement.


Ça pouvait lui prendre n'importe quand à Romain. Ils regardaient un film et s'il se mettait à bander, il attrapait Kevin. Même si ce n'était pas un film porno, ça n'avait aucun rapport.


Kevin, comme vous le savez était un peu plus réservé, il n'avait pas trop le choix le pauvre avec sa cage à bite.


Ils passaient beaucoup de temps allongés l'un contre l'autre. L'un s'installait la tête posée sur le ventre de son partenaire qui le caressait doucement. Au bout d'un moment ils bougeaient et inversaient la position. L'un ronronnait et l'autre le caressait puis c'était le contraire.


Ça faisait longtemps que romain n'avait pas connu des soirées ou même des journées aussi détendues. Ils étaient nus, ils ne s'habillaient pas tous les jours, s'il voulaient profiter de la neige ou faire un peu de sport à l'extérieur il s'habillaient, chaudement même. Sinon, c'était pas nécessaire.


Au réveil Kevin faisait un petit plaisir à Romain, juste après le mise en route du camion. Comme ça ils étaient tranquilles et bercés par le ronronnement de la machine.


Dès que Romain réagissait, Kevin se réveillait, en général il se réveillait tôt. C'était l'érection du matin qui le travaillait, sa situation devenait très inconfortable et il se réveillait d'un rien s'il dormait encore.


Il plongeait alors la tête la première sous la couette et prenait goulûment la queue de Romain dans la bouche. Avec la langue il la caressait et caressait encore tout particulièrement le dessus de son gland. Romain adorait ce genre de réveil, il gémissait de plaisir et restait en général de bonne humeur pour le reste de la journée.


Il faut dire aussi que Romain n'est pas un homme trop difficile à vivre. La langue de Kevin lui caressait doucement le gland, elle passait et repassait sur le dessus de son gland, en faisait le tour. Quelquefois il tentait de rentrer le bout de sa langue dans le petit trou qu'il y a au bout de la queue. Ça ne rentrait pas mais ça faisait réagir Romain qui gigotait de plaisir.


Kevin savait s'y prendre, il s'améliorait chaque jour, il savait faire durer le plaisir. Aucun des deux n'était pressé de mettre fin au plaisir qu'ils partageaient. Au contraire même, chacun préférait le voir durer.


Romain aimait bien caresser les fesses de son partenaire à ce moment, Kevin se mettait en position pour aider Romain à le faire et pendant de longues minutes, de très longues minutes chacun donnait à l'autre un moment de plaisir, surtout Kevin. Et chacun donnait à l'autre un long moment de tendresse, surtout … Les deux !


Quand ils étaient bien réveillé, Romain se levait et pendant que son passager préparait le petit déjeuner faisait chauffer le camion et le mettait en marche. Le camion peut s'arrêter seul et se garer sur le bas côté de la route mais il ne peut démarrer seul. Techniquement ce serait possible mais cette option était bloquée pour des raison légales.


Romain revenait ensuite, le camion continuait seul. Il n'aurait plus besoin de pilote pendant les quatre heures qui allaient suivre.


Romain bandait, après un tel réveil, il bandait toujours quand il allait rejoindre Kevin. Le petit déjeuner était prêt et Kevin se sentait à l'étroit dans sa cage. Il la réajustait.


Ça va ? Demandait Romain.

Ça va ! Répondait Kevin. Pas toujours facile.


Puis ils s'installaient côte à côte, Romain tripotait distraitement les couilles de son camarade de voyage, il s'amusait un peu avec sa cage puis lui donnait un baiser. Kevin le laissait faire puis comme pour lui rendre la politesse, il tripotait les couilles de son pilote et le masturbait doucement avant d’engloutir son petit déjeuner.


Romain se glissait sous la douche, elle n'est pas bien grande mais ils arrivaient à y tenir tous les deux. Il y avait juste assez de place pour que les deux corps se frottent et se caressent. Il y avait juste assez de place pour qu'ils puissent se caresser, que chacun arrive à glisser ses bras autour du corps de l'autre, juste assez pour se laver l'un l'autre.


Si Romain glissait rapidement ses doigt dans le cul de Kevin, c'était pas seulement pour le laver, c'était aussi et surtout pour le préparer à la suite.


Romain n'avait toujours pas débandé depuis qu'il s'était réveillé, Kevin ne bandait toujours pas vraiment mais la pression dans sa cage était terrible. Ses couilles pendaient lourdement sous l'effet de la chaleur. Romain aimait bien jouer avec. Les siennes aussi pendaient lourdement mais pour lui, sa queue se relevait avec force.


Kevin la lui suçait encore un petit moment puis, se retournait et se penchait en avant. Romain s'était déjà amusé avec son cul et le jugeait prêt pour la suite des opérations. Il lui lubrifiait le cul généreusement et avec tendresse, mais très déterminé, Il prenait alors position et avec force et douceur poussais son pénis dans le cul de Kevin.


Il était là pour ça le petit Kevin.


D'abord il rencontrait une certaine résistance, c'est normal. Kevin gémissait, il n'y avait plus de douleur, il y prenait même un grand plaisir. C'était toujours une grimace épouvantable qu'il faisait, heureusement il ne pouvait pas se voir mais Romain s'en amusait. Romain s'en amusait surtout parce que quelques secondes plus tard, cette grimace se transformais et le visage de Kevin exprimais surtout l'extase. Il prenait désormais un plaisir intense quand la queue de Romain glissait entre ses fesses.


D'abord il fallait forcer un peu, puis son anus se détendait et la le plaisir montait. La grosse queue de Romain glissait et s'enfonçait. Jusqu'à ce moment il y avait encore un peu de douleur, une douleur très particulière qui se transformait en plaisir proche de l'orgasme.


Kevin se sentait ensuite envahi, ce n'était plus que du plaisir et il sentait une masse énorme et douce lui masser son anus, il sentait rempli. Suivait un petit moment de panique, Romain était bien monté. Et pour terminer il hurlait quand le ventre de Romain s'écrasait sur ses fesses.


Romain se penchait sur lui et l'enveloppait avec ses bras. Il le caressait avec force et douceur, ses mains glissaient sur tout le corps de Kevin, elles descendaient jusque sur sa cage de chasteté. Romain lui tripotait les couilles, s'amusait un moment avec la cage de chasteté puis cramponnait fermement Kevin par les hanches avant de lui balancer un coup de bassin qui n'avait plus rien de tendre.


Romain cramponnait bien sa victime, le tirait vers lui en avançant son basin avec force, le repoussais et revenait. Pour Kevin c'était un moment de plaisir, un plaisir violent mais un immense plaisir.


Il gémissait Kevin, il râlait. Ils n'avait aucun voisin à moins de cent kilomètres au moins alors il ne se retenait pas.


Kevin se faisait limer le cul pendant de longues, de très longues minutes puis, comme pour faire durer, Romain se calmait. Il restait là bien planté dans le corps de Kevin et se contentait de le caresser. Il se penchait sur lui et le caressait avant de recommencer.


Il avançait et reculait son bassin, les mouvements était saccadés, brefs, rapide et secs.


Il changeait ensuite de rythme, et limait le cul de Kevin avec des mouvement amples et lents, il accélérait avec des mouvements toujours aussi amples. Kevin tremblait, il jouissait, là il jouissait. Pour lui c'est à ce moment que ça commençait.


Les mouvements de Romains ne faiblissaient pas et Kevin tremblait, ses bras s'agitaient dans le vide, il perdait tout contrôle. Il aimais de plus en plus ces moment de bonheur ou il ne contrôlait plus rien, il aurait voulu que tout s'arrête tant le plaisir était fort. Mais comme il n'avait aucun contrôle il subissait et le plais continuait, à chaque fois il avait l'impression de devenir fou.


Au moment ou les derniers coups était portés, Romain râlait, là c'est lui qui jouissait, et il le faisait entendre. Kevin savait que tout allait s'arrêter il le souhaitait, il l'espérait et en même temps il le regrettait.


Romains ne bougeait plus, il se retirait et relâchait Kevin qui se cramponnait pour ne pas tomber. Kevin le sentait encore en lui et on avait l'impression qu'il jouissait encore. Quelques secondes plus tard il jutait.


Ils ont terminé leur douche, pourtant on aurait bien cru qu'ils l'avaient déjà finie. Enfin ils ressortait du compartiment douche bien propres. Puis se sont effondré sur le lit, Kevin dans les bras de Romain.


Kevin n'avait plus cette pression dans sa cage, Romain avait toujours cette grosse molle qui ne le quittait plus depuis qu'ils passaient leurs journées à poil. En un mot ils étaient tout les deux parfaitement détendus.


C'est à peu près à ce moment qu'une alarme se faisait entendre.


Le camion va déjà s'arrêter ? Demandait Kevin.

Non il est bien trop tôt. Je crois que nous arrivons à notre destination. Répondait Romain. On devrait peut être se rhabiller.


Ils avaient encore le temps et ils le prenaient. Plus d'une demie heure plus tard, Romain avait repris les commandes, Kevin était à la place passager et le camion se présentait au portail de la prison SSS (Swing Swing Sibérie) …


Oui le nom peut paraître joyeux mais c'est juste une impression !


Le bâtiment était blanc mais c'était à cause de la neige, ce n'était pas la maison du Père Noël, loin de là.


Romain garait le camion parallèlement au quai de déchargement et ouvrait les portes latérales. C'est une petite armée de prisonniers qui allaient s'occuper du déchargement. Pas de grue, pas de robot qui prenait en charge les remorques.


Romain descendait et se rendait au bureau de la direction, il faisait signe à Kevin de le suivre.


Toi tu restes avec moi, tu ne me quitte pas ! Disait-il seulement à Kevin.


Ils entraient dans le bureau.


Vieille fripouille, ça fait combien de temps que tu n'est pas venu dans le secteur. Je te croyais mort. Lui lançait le directeur en accueillant Romain d'une manière très chaleureuse.

J'ai roulé, j'ai roulé ! Que veut tu faire d'autre sur la ceinture.

Tu as un nouveau passager ?

Oui !

Et tu veux le vendre ? Demandait le directeur.

Non, il me plaît bien et je crois que je vais le garder.


Kevin regardait Romain avec de grands yeux inquiets, il se demandait si c'était une boutade ou bien …


On donnait à Romain et à Kevin un badge visiteur. Le directeur et Romain discutaient ensemble, ils se connaissaient depuis longtemps mais ne se voyaient pas souvent. Ils prenaient des nouvelles.


Kevin était libre de faire ce qu'il voulait, il ne pourrait de toutes façons pas aller bien loin. L'endroit, précisément, était conçu pour retenir ses occupants.


Il était rapidement repéré par les différents gardiens qui ne loupaient rien de ses déplacements.



A suivre




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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