Le roy 25 : Un grand roi

 Le roy 25 : Un grand roi



J'étais dans la salle du trône, assis sur mon trône quand Jaffa est parti. Maintenant je savais que j'étais seul. J'avais beaucoup de serviteurs, tous se mettraient en quatre pour me faire plaisir mais je n'avais qu'un seul ami et il venait de partir.


Tout allait bien, j'étais le roi.


C'est vrai que par moment il me prend une certaine mélancolie, mais il y a toujours quelqu'un autour de moi, ils sont tous attentifs à mes moindres besoins et il sont trous sincères en fait.


Quand j'ai besoin de douceur j'en reçois, quand j'ai besoin d'un câlin on m'en propose deux ou plus même. De plus il n'était pas interdit à ma famille de me rendre visite, il y avait quelques semaines de voyage c'est vrai mais … Tout restait possible, un jour peut être. Et le temps passait ...


Il y avait de nouvelles têtes qui arrivaient à la cour, le nouveau contingent du premier cercle. Comme vous le savez il y avait une arrivée tous les mois, et un départ. Enfin en moyenne, quelquefois il pouvait y avoir plusieurs arrivées. Il devait y avoir soixante membres du premier cercle on était descendu à cinquante cinq.


Ce matin on avait cinq nouveau. On me les présentait, ils étaient comme il fallait, beaux comme des dieux, virils comme des démons. Un d'entre eux avait la peau noire, ses muscles couraient sous sa peau, ses proportions étaient parfaites et j'étais subjugué par sa beauté.


Avec les petites mains il avait été décidé que les cinq nouveaux seraient admis chacun leur tour en cinq jours. Entendez par là qu'ils me passeraient sur le corps chacun leur tour, au rythme de un par jours. J'aimais de plus en plus me faire défoncer le cul mais il ne faut pas trop exagérer. Les petites mains veillaient sur ma santé.


C'est cet homme noir que je choisissais en premier. On le conduisait sur la piste des exhibition, une salle qu'on utilisait de temps en temps, le roi prenait position au milieu, autour des gradins, des terrasses d’où les spectateurs pouvaient prendre place. Tous les premiers cercles et beaucoup de petites mains s'installaient.


Cet homme était d'une incroyable beauté, c'est quand il était face à moi que je constatais qu'il n'avait absolument aucun poil sur le corps. Pour ça j'avais bien remarqué que ce n'était pas un ours, son corps était lisse. Mais il n'avait pas de barbe, pas de cheveux. Sur son visage et sur son corps il y avait les sourcils et les cils. Ça ne devait pas être naturel mais c'était doux.


De la main je lui caressais le torse, ma main descendait jusqu'à son sexe qui se redressait, sa queue était ferme et énorme. Je devinais qu'il était le mieux monté de tous les premiers cercles. Il me faisait presque peur pourtant j'avais envie de lui, j'avais envie, une envie de le sentir me pénétrer, glisser dans mon corps, dans mon cul.


Il n'y avait pas un poil autour de son sexe et je ne résistais pas bien longtemps à l'envie d'y goûter. J'oubliais toutes les personnes qui nous observaient et me mettais à genoux. Je prenais sa queue dans la bouche et l'avalais jusqu'à la garde en quelques secondes.


J'entendais un léger bruit qui parcourait les spectateurs, un peu comme un bruissement d’approbation.


Cette queue splendide trouvait naturellement sa place dans ma gorge. J'écrasais mon visage sur son ventre et refermais mes bras sur ses fesses. Elles étaient fermes, tout était ferme chez lui, j'éloignais ma tête et le regardais en levant les yeux. Il me regardait il avait l'air ému et il me caressais le visage. Je replongeais et de nouveau sa queue glissait sur ma langue, et se trouvais un passage plus profond, bien plus profond. Je la sentait dans mon cou, on le voyait mon cou gonflait.


Quelques instants plus tard, c'est lui qui prenait la direction des opérations, il me maintenait bien fermement la tête et me limait la gorge. Sa queue pouvait entrer en entier dans ma bouche, il ne se privait pas de bien l'y enfoncer, et à chaque fois il m'écrasait son ventre contre ma figure.


C'était un silence total dans la salle, un instant j'ai bien cru que tout le monde était parti. Mais c'est pas dans les habitudes.


Quand il m'en laissait la possibilité, quand il me laissait respirer je le regardais, je pleurais mais ce n'était pas par tristesse. C'est juste qu'elle était grosse.


Il s'amusait pendant un moment puis me relevais, je me retrouvais dans ses bras. On partageait un moment de tendresse intense. Son corps était chaud et sentait le soleil, il était noir mais pas brûlé, j'étais impressionné.


Je me retournais et lui offrais mon cul. Il savait ce qu'il fallait en faire, il me lubrifiait longuement avec le produit que lui donnait une petite main. Un instant je pensais à lui, à cette petite main, condamné à la chasteté à vie et obligé d'assister à ce genre de spectacle … Remarquez moi aussi j'étais condamné à la chasteté à vie et obligé de participer à ce genre de spectacle.


L'homme à la peau noire, ne traînait pas, il m'enfonçait son énorme bite dans le cul en un mouvement lent mais décidé. Il poussait, sa queue glissait et en quelques secondes c'était son ventre qui s'écrasait contre mes fesses. J'étais bien rodé, maintenant ça passait tout seul, même les gros calibres.


J'étais le roi, j'étais le grand chaste. Et là je prenais mon pied.


Il continuait ensuite en se retirant lentement, en revenant de nouveau et ces mouvements de va et vient continuaient. Il y allait avec une grande douceur, une grande force, la violence ne résidait que dans la taille de son membre viril.


Il me saisissait et comme me relevait contre lui, il se redressait pliait légèrement les genoux pour être à la bonne auteur, il était nettement plus grand que moi. Puis il repliait les genoux il se retirait, il le relevait et là c'était la panique, il était plus grand, et il me soulevait. Ça on ne me l'avait jamais fait, je me retrouvais sur la pointe des pieds. Autour de moi c'était des regards d'admiration, le spectacle était à la auteur des attentes.


Je grimaçais, les regards autour de moi semblaient se demander combien de temps je pourrais tenir. Il me saisissait par les cuisses en glissant ses mains sous ma cage, je passais mes mains dans mon dos et tentais comme je pouvais de me retenir à lui.


Et là il me soulevait, là j'ai hurlé mais j'ai tenu, je n'ai pas demandé grâce. À plusieurs reprises il me soulevait, puis finissait pas me reposer sur le sol. Il continuait alors à me limer le cul mais avec force, s'il avait commencé lentement, il continuait avec de plus en plus de vitesse.


Je respirait fort en râlant, par moment je poussais des cris plus ou moins forts, par moment très fort, par moment même je hurlais. Son ventre claquait contre mes fesses. Il se retirait totalement, je respirait un instant puis revenait avec force et de nouveau on entendait son ventre claquer contre mes fesses.


Un instant je me disais que s'il devait continuer comme ça il finirait par me tuer, et c'est pas lui qui prendrait alors la place du roi défunt. Il me semblait avoir lu une loi dans ce genre …


les derniers coups portés étaient violent, je n'avais plus de voix, il hurlait, il jouissait et le faisait savoir. Il se retirait et me lâchait, je m'effondrais sur le sol. Il y avait comme un murmure bruyant dans la salle, un murmure approbatif.


Je me levais, une petite main visiblement mal à l'aise avec son entre jambe m'essuyait le cul et s'assurait en même temps que tout allait bien. Je me retournais vers la les spectateurs et je remarquais que tous les premiers cercles étaient au garde à vous. Presque soixante bite non enfermées qui se relevaient, et toutes étaient de très belle taille, ça fait partie de la sélection …


Ensuite je prenais place sur mon trône. Je vous jure, le gode est rentré tout seul ce jour là.


On avait reçu un courrier pour le roi. Un secrétaire, petite main, m'en faisait la lecture.


C'était une lettre de Jaffa, il était bien arrivé, il s'était installé dans mon village, ma famille lui avait fait un grand accueil. Il leur avait raconté mon voyage, et mes proche ne cachaient pas leur tristesse de ne plus me revoir. Il fallait plus d'un mois pour faire le voyage.


Les jours, les semaines, les mois passaient.


Il y avait un homme qui venait d'arriver, il avait les cheveux couleur de feu, sa peau était très claire et couverte de taches rousse. À voir on s'attendait à une peau rugueuse, en fait elle était très douce. Il avait retiré ses poils autour de son sexe.


Il avait lui aussi un très gros sexe, j'en oubliait presque la taille d'un pénis normal. Ici toutes les personnes présentes exceptés les petites mains, avaient un pénis de plus de vingt centimètres. Dans mon esprit désormais, c'était la taille normale.


Il était donc juste au dessus de la moyenne des petites bites.


Comme d'habitude je lui donnais carte blanche, il me prenait dans ses bras et m'allongeait sur le dos. Ensuite me relevait les jambes et m'écartais les cuisses. Il me caressait les couilles et s'amusait avec. Il me faisait couiner, il m'écrasait les couilles, pas trop fort certes, mais je vous jure que je le sentais passer.


Puis sans prévenir il enfonçait sa queue, sa petite queue bien à fond dans mon cul. Ça passait. Il me lubrifiait alors de nouveau généreusement le cul et s'enfonçait avec force une deuxième fois, là il faisait claquer son ventre sur mes fesses. C'était rapide, j'ai gueulé.


J'ai gueulé mais j'ai laissé faire. Il s'est alors mis à me ramoner le cul comme un fou. Il m'attrapait les couilles et me les écrasait, il me les tirais aussi et là je gueulais plus fort. C'est qu'il me faisait mal l'animal.


Il continuait à me défoncer le cul avec force, je continuais à gueuler, il continuait à tirer sur mes couilles et à me les écraser. Là je gigotais, il jouissais et me faisais jouir également. Je jutais généreusement, ça ne m'arrivait pas tous les jours.


Il se laissait alors retomber sur moi. Je reprenais mon souffle avant de me réinstaller sur mon trône. Finalement il y avait des jours ou le trône me reposait réellement.


De temps en temps il y avait ces moments magiques. De temps en temps je recevais des nouvelles de ma famille. Jaffa, toujours lui s'était associé avec mon frère, mon frère avait utilisé l'argent que je lui avait envoyé ( j'avais pensé à tout le monde, vous imaginez bien !) pour acheter un immense terrain verdoyant. Oui je sais, ça veut dire un buisson puis un peu plus loin, un buisson puis … Du sable et des buissons.


C'est un projet que j'avais eu, acheter des terres et y élever des moutons. Pour faire tout ça il fallait de l'argent. Brusquement ils en avaient beaucoup.


Ensuite ils avaient investi dans le tissage de la laine, on fait plein de choses avec la laine, des vêtements bien sûr, mais aussi des cordages, des tentures, pour refermer les ouvertures des maison et se protéger du soleil.


On peut faire plein de choses avec la laine et le mouton est l'animal idéal pour ces régions désertiques.


Ma famille était devenue le premier éleveur de moutons de la province, le premier producteur de textile à base de laine, et le premier producteur de viande mouton … Bein oui, ça se mange aussi.


Les voyages avaient donné des idée à Jaffa et il venait d'installer le premier moulin à eau dans mon village. Là bas personne ne savait que ça existait. Avec mon frère il envisageaient même d'en fabriquer, ils pouvaient déjà produire les ailes du moulin avec la laine …


Pour cela ils avaient besoin de l'autorisation du roi. Ce n'était pas dans les projets des petites mains mais ils n'ont pas osé me le refuser.


Les jours, les semaines, les mois passaient et chaque courrier m'apprenait plus de chose sur la vie dans mon village.


Jaffa avait épousé ma plus jeune sœur, elle était vraiment jeune mais c'est vrai que je ne l'avais pas vu grandir et maintenant elle était d'âge à se marier. Un enfant viendrait bientôt agrandir la famille.


Toute la famille vivait maintenant dans la même maison, mais ce n'était pas celle que j'avais connue, ils en avaient construit une autre, chacun avait sa chambre …


Ma famille était en train de devenir la famille la plus riche de la province, ces courriers me réconfortaient et peut être un jour, un membre de ma famille viendrait me voir.


Les jours passaient, les semaines et les mois suivaient. Et moi je devenait un grand roi !



FIN



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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