Le roy 24 : Un marchand connu

Le roy 24 : Un marchand connu



Je me relevais en lui disant que sa marchandise pourrait peut être m'arranger. En faisant cela je me retournais, oui je sais je montrais ainsi mon cul à tout le monde mais ce n'était pas pour ça. Au passage une petite main m'essuyais les fesses.


Je me penchais vers Jaffa qui n'avait pas vu de qui il s'agissait. Puis me retournais vers la marchand.


Je mettais ma couronne et mon harnais puis très solennellement je descendais les quelques marches de mon trône. Puis je discutais avec le marchand. Il ne me reconnaissait pas, il faut dire que c'était tellement improbable qu'il retrouve ici, sur le trône, avec une couronne sur la tête, le petit jeune qu'il avait volé des mois plus tôt. Je n'avais pas oublié rassuré-vous qu'il avait oublié lui de me rendre ma monnaie. Pour le dire d'une manière courtoise.


Je m'intéressais tout particulièrement à ses armes, les prix qu'il affichait étaient bien plus cher que ceux qu'il demandait dans les marchés, mais je feignait de les trouver très abordables.


Je l'avais hameçonné. Et déjà on pouvait voir dans ses yeux le reflet des pièces d'or qu'il espérait bien gagner avec sa marchandise.


Vous savez j'aimerais bien pouvoir voyager mais je suis le roi et je voyage un peu grâce à des marchands comme vous.

Vous me voyez ravis si je peux vous être agréable majesté.

On m'a fait un étrange cadeau il y a peu. Un jeune homme !

Un jeune homme ?

Oui il a été récupéré dans les déserts des soifs qui assèchent le gosier …

Je les ai souvent traversés.

Il porte une cage à bite en acier d'Extrêmasie et comme vous savez … Pensez vous que ?

C'est un matériaux indestructible.


J'avais discrètement fait signe à Jaffa qui s'approchait. Il avait la tête haute.


Je donnerais cher à celui qui aurait une clé capable d'ouvrir son dispositif. Ce garçon me plaît beaucoup et ainsi je pourrais m'amuser avec lui. Car comme vous le savez moi je ne le retirerais pas, jamais …


Ça ne faisait aucun doute il reconnaissait Jaffa.


Vous savez majesté, il arrive quelquefois qu'une seule clé ouvre plusieurs serrures ! Me répondait-il en mon montrant un trousseau de clés énorme qu'il emportait partout.

Vous pensez vraiment ? Ce serait fantastique !


Il y avait un jeune homme qui l'accompagnait, il me le présentait comme son fils. Et m'expliquait que son fils était un branleur, comme beaucoup de jeune de son âge, et que c'était pour cette raison qu'il lui avait mis une cage à bite.


Je lui répondais par un sourire approbateur.


Frénétiquement je le voyais chercher une clé puis il l'essayait sur la cage de Jaffa. Je le saluait, et le laissait faire.


On se revoit tout à l'heure, vous me rendriez un grand service mon ami. Ce jeune homme me plaît vraiment beaucoup …


Puis je continuais ma réception. J'avais bien compris que s'il cherchait, il savait ce qu'il cherchait. Il avait la clé !


D'autres marchands m'étaient présentés, je continuais ma visite, on me prodiguait des conseils, je les suivais et j'achetais quelques étoffes. C'est seulement quelques minutes plus tard que le premier marchand revenait, il avait la cage à bite de Jaffa dans la main, elle était ouverte.


Je ne cachait pas ma joie. J'invitais Jaffa à m'attendre dans la salle de service. Puis je me retournais vers le marchand, je devenais bien plus accueillant, bien plus amical …


Je vous invite à ma table ce soir, on fait banquer mais il faudra. N'y voyez aucune malice. Que vous portiez une cage à bite, juste pour la soirée, vous la retirerez ensuite. Vous savez mon ami, votre bagage sera plus léger pour le retour … Terminais-je avec un grand sourire.


Là il n'avait plus aucune méfiance. Je demandais à une petite main de l'équiper. C'était fait en quelques minutes. Le marchand avait l'air content, il allait faire une grosse vente et le roi l'appelait même '' Mon ami ! ''.


Sur un ton très décontracté je demandait qu'on appelle le forgeron et quelques gardes. Dès qu'ils sont arrivés, j'invitais le marchand à s'installer dans un fauteuil puis les gardes intervenaient.


Le marchand n'a pas compris ce qu'il se passait. Trois gardes le plaquaient sur le fauteuil, le forgeron plaçais son étrange enclume sous ses couilles, comme il avait fait pour moi, il hurlait quand son marteau s'est écrasé sur l'enclume. Il hurlait comme un fou, les gardes le relâchaient. Il était verrouillé tout comme moi, pour toujours.


Un peu sonné, il examinait ce qui s'était passé, il allait très bien mais il était chaste définitivement. Il me regardait sans comprendre. C'est là que je me suis fait reconnaître.


Et ton nouveau fils, tu l'a acheté combien ? Et à qui ? tu sais que c'est interdit ? Tu sais que la peine que tu risques est bien plus sévère que juste une petite cage.


On trouvait rapidement la clé de ce second fils. J'avais un certain pouvoir de justice et je prenais quelques décisions. Dans un premier temps j'interdisais au marchand de vendre des cage de chasteté, ensuite je nommais au titre de associé ce jeune homme qu'il exploitait. Bien sûr le marchand pouvait refuser mais dans ce cas je l'aurais envoyé devant un juge, et là c'était plus sérieux.


Je sais c'est paradoxal mais les juges n'aiment pas qu'on oblige des jeune à porter une cage à bite et encore moins qu'on les achète.


Je le virais aussitôt, j'annulais l'invitation que je lui avait donné. Il n'était pas fier, mais comme j'invitais le petit jeune à venir faire connaissance, le marchand se retrouvait seul pour ranger toute sa marchandise.


La vie reprenait, le quotidien, l'ordinaire du roi.


J'invitais Jaffa à dormir avec moi. Les ministres ont bien sûr un peu râler.


Le roi doit toujours respecter le protocole, m'a-t-on dit, et votre valet personnel n'en fait pas partie !


On a un peu râler mais il n'y avait pas effraction flagrante des règles, l'invité n'était pas chaste, il ne l'était plus, alors on le laissait dormir avec le roi.


Ça faisait quelques temps que je connaissais Jaffa, avant notre arrivé à la cour je prévoyais de l'épouser, enfin d'en faire mon second époux et de choisir une femme comme première épouse. Vous savez c'est permis si le second époux portait une cage à bite. Maintenant c'est moi qui la portait la cage à bite.


Après toutes ces années il avait gardé un bel organe, les spécialistes m'expliquait qu'avec un peu de temps il retrouverait ses mensuration normales, mais elles étaient déjà très sympathique. Un peu plus gros il sera dans les grandes tailles.


Le ministre exigeait que mes quatre enculeurs officiels me passent sur le corps puisque je voulais partager un moment avec mon compagnon Jaffa. Je me prendrais donc cinq bites dans le cul. Mais c'est vrai que je commençais à bien aimer.


Cinq, ça ne me faisait plus peur, et je voulais absolument me faire sauter par Jaffa. Je lui devais bien. Je ne sais combien de fois, c'est moi qui lui avait défoncé le cul, cette soirée était une soirée d'adieu.


Jaffa se présentait devant moi, il était entièrement nu, c'était la première fois que je le prenais dans mes bras et qu'il n'y avait pas sa cage à bite entre nous, par contre il y avait la mienne. Ce serait désormais un obstacle auquel je devais m'habituer, jamais je ne pourrais le retirer. Il avait été scellé à l'enclume et à la masse. L'acier d'Extrémasie est indestructible mais le dispositif était très légèrement déformé, c'était à peine visible mais c'était suffisant. Il était définitivement bloqué.


Je sentais la queue de Jaffa se relever entre mes cuisses, les mains de mes autres partenaires couraient un peu partout sur mon corps. Ils me tripotaient les couilles avec force et sans grand ménagement.


Jaffa se montrait lui d'une grande tendresse, c'est avec une grande douceur qu'il refermait ses bras autour de moi. Il m'embrassait et je savourais sa sincérité. Il y avait un véritable lien entre nous. Je m'accroupissais devant lui et je faisais ce que j'avais à faire, je lui suçais la queue. Je lui donnais du plaisir.


Il me caressait les cheveux, c'est à peine s'il appuyait sur ma tête, il me laissait prendre la direction des opérations,je me suis alors appliqué comme jamais. Tout ce que je voulais c'était lui faire plaisir, il m'avait déjà donné tellement de plaisir.


Je sentais sa queue glisser contre ma langue, je la caressais avec force, elle était douce et même la force que j'y mettais n'était que douceur. J'appuyais ma tête et la relevais, lui se laissait faire. Il m'encourageait seulement avec des caresses.


Nos autres partenaires restaient un peu en retrait, ils participaient mais avec un peu de recul. Je sentais leurs mains, leurs doigts me caressaient mes couilles. Certains s'enfonçaient dans mon cul et déjà me donnaient beaucoup de plaisir.


Jaffa me relevait et me prenait dans mes bras. On échangeait de nouveau un long moment de tendresse. Il me retournait et appuyait doucement sur mon dos. Je me penchais en avant deux de mes partenaires m''attrapaient et me tendaient leurs queues très en forme.


Toujours avec une certaine douceur Jaffa prenait position dans mon dos. Il me lubrifiait et m'enfonçait sa queue dans mon cul. Je commençais à apprécier ce genre de plaisir, mais là je me suis régalé. Il avait une belle queue, elle était un peu plus petite que la mienne. Enfin que la mienne était. Elle était toutefois de très belle taille et se glissait dans mes entrailles sans difficultés. Il avait bien lubrifié.


Les autres se relayaient sur ma bouche, ils m'enfonçaient leur queue dans la gorge l'un après l'autre. Ils y allaient avec un peu moins de douceur, ils voulaient juste s'amuser. Ils voulaient juste prendre leur plaisir.


C'est avec force qu'ils appuyaient sur ma tête, avec eux je ne contrôlais plus rien, avec eux je me retrouvais obligé d'avaler leurs queues. Les quatre l'une après l'autre.


Jaffa me limait le cul avec des mouvement lents et amples. Je sentais sa queue glisser et elle semblait prendre plus de place à chaque mouvement. C'était le plaisir qui montait, je tremblais, je frémissais, mon souffle devenait plus fort et gémissais sans même m'en rendre compte.


Le plaisir n'est pas du tout le même quand on se fait baiser par quelqu'un qui compte pour nous. Avec mes autres partenaires, le premier cercle, c'était avant tout mécanique, technique mais là, avec Jaffa il y avait aussi de la tendresse de l'amour peut être.


J'oubliais presque les quatre autres, pourtant ils faisaient tout ce qu'il pouvaient pour ne pas se faire oublier mais c'est la peau de Jaffa, les caresses de Jaffa, la queue de Jaffa qui me donnaient le plus de plaisir.


J'ai joui comme jamais, comme avec ma queue et il a continué à me limer, puis c'est lui qui à joui et là il me prenait bien fermement contre lui et m'embrassait. Je me concentrais sur son corps, sur ses bras, sur sa peau, je ne voulais pas oublier ce moment …


Il avait été décidé que Jaffa partirait dès le lendemain avec la caravane pour la ville de feu. Pour sa sécurité il partait avec une caravane officielle. Il transportait beaucoup d'argent. Il était riche. Je lui avais remis un montant égal à ce que je devais gagner pendant cinq ans auquel j'avais ajouté une somme non négligeable.


C'était des adieux, je savais et lui aussi savait qu'on ne se reverrait jamais !


A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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