SOLSTICE

SOLSTICE



Bon on ne va pas y passer la nuit, tu attends quoi ? Disais-je.


J'étais allongé sur le ventre les cuisses légèrement écartées, Mathias était allongé sur moi et depuis un moment déjà je profitais de la douceur et de la chaleur de son corps, il continuait à me caresser tout doucement. C'était terriblement agréable.


Certes on avait tout notre temps mais on s'était câliné depuis un long moment, on s'était embrassé, caressé, je l'avais sucé longuement et il avait aimé l'animal.


Je ne vous dis pas j'avais souffert, c'est qu'il en a une grosse, une bien grosse. Une queue pareil on ne rencontre pas tous les jours et là j'attendais qu'il me la glisse dans le cul. Elle était bien longue plus de vingt trois centimètres de long, ça faisait presque peur mais je suis un gros gourmand, les six centimètres de diamètres me faisaient bien un peu peur aussi mais il faut savoir vivre dangereusement …


Tu es sûr ? Me demandait-il .

Puisque je te le dis …


Il bandait et je sentais sa queue glisser entre mes cuisses, il se soulevait doucement et se laissait retomber, sa queue poussait alors sur mes couilles. Je refermais les cuisses et je la sentais bien sa queue. Elle faisait tout de même ses six bons centimètres de large. Et en plus elle était très bien proportionnée, comme je les aime.


Et pendant que sa queue me caressait les cuisses avec sont torse doux et chaud il me caressait le dos, il y rajoutais ses mains, ses bras, ses lèvres et ses baisers.


La situation n'avait rien d'inconfortable pour moi mais j'attendais la suite. Oui bon, vous avez deviné je suis principalement passif et une queue pareil, je ne voulais pas passer à côté sans l'essayer. Elle me faisait bien un peu peur mais j'avais déjà essayé un gode de la même taille, et tout le monde sait qu'un queue c'est toujours mieux qu'un gode.


J'attendais, j'avais le visage tourné sur le côté, il était plus grand que moi et par moment me donnait des baisers sur la joue. Il était câlin, j'ai rien contre mais j'attendais autre chose.


Tu attends quoi ? Vas y encule moi ! Lui disais sur le ton de la lassitude.

Ça vient, ça vient mais enfin tu es sûr ?

Puisque je te le dis …

C'est qu'elle est grosse !

J'avais pas remarqué !

Tu te moques, mais elle est vraiment grosse, on me l'a souvent dit. Et ton cul semble tout petit.


Il avait posé son gland sur mon anus, s'était relevé et du coin de l’œil je pouvais voir qu'il jaugeait la situation. Il appuyait doucement son gland contre mon anus et je sentais cette douce pression. Il savait faire monter le désir, je respirait plus fort rien qu'à ce contact.


On avait procédé par ordre, comme il convient il s'était lubrifié la queue à mort, mon cul était lubrifié à mort, ça devait passer sans aucune résistance.


Bon c'est quand tu veux.

J'ose pas !

Comment ça tu n'oses pas, mais c'est moi qui te le demande.

Oui mais …

MAIS !

J'ai peur de te faire mal !


Bon, il est câlin, il est d'une grande douceur et il ne veut pas me faire mal … Il est mignon. Me disais-je, mais on ne va pas y passer la nuit …


Tu attends l'hiver pour te décider ?

On n'est même pas encore en été ! Me répondait-il.

Mais enfin on est bien le vingt et un Juin !

Oui mais l'été c'est à partir du Solstice et le Solstice c'est à seize heures cinquante sept cette année pour être précis !


La je vous jure j'avais l'impression de rêver ou plutôt de cauchemarder. Il avait redressé sa queue qui glissait entre mes fesses, c'est vrai que c'était bien lubrifier, il n'avait qu'à se relever légèrement, à appuyer sur sa queue, la positionner bien en face de mon cul et pousser … Et il me parlait de l'heure du Solstice …


ENCULE MOI ESPECE DE GROSSE BOURRIQUE !

A non en plus si c'est pour se faire engueuler …

Mais tu as déjà enculé quelqu'un au moins.

En fait personne n'a jamais voulu, j'ai essayé une fois et le mec il a hurlé comme un fou.


On parlait mais la situation n'avançait pas … Sa queue glissait entre mes fesses mais à aucun moment ne se dirigeait vers mon mon petit trou de balle. A propos de balle, là je commençais à avoir les boules.


Il continuait à me câliner.


Tu veux vraiment que je t'encule ?

Bein, sinon je ne te l'aurais pas demandé …

C'est logique.


Il me mordillait dans le cou, il me faisait frissonner et je me tortillais dans tous les sens.


C'est que j'ai vraiment une grosse queue. Me faisait-il remarquer.

Non je trouve pas ! Lui répondais-je en faisant la moue.

Vraiment ! Répondais-il en se redressant.


La je me disais que ça prenait forme cette affaire !


P'tit bite ! Lui lançais-je.

Là tu me cherches.

Non pas du tout, p'tit bite !

Tu vas voir si j'ai une petite bite.


Il me retournait sur le dos, je bandais comme un fou, au passage il me suçait la queue, il fait ça très bien d'ailleurs. Puis me mettait sa queue sous le nez.


Alors ça c'est une petite bite ? Monsieur est difficile.

Je sais pas ou tu veux en venir mais pour l'instant j'ai rien senti.


Je me repliais sur moi même, repliais mes jambes et les lui passais autour de la ceinture. Je le retenais de toutes mes forces.


Tu veux jouer ? Me demandait-il en rigolant.

Ça dépend du jeux ! Lui répondais-je.


Je continuais à le tirer vers moi, avec la main j'en profitais pour voir ou il en était. Son érection était totale, là je ne comprenais plus. C'est vrai que sa queue était vraiment énorme, mais là j'en avais encore plus envie.


Allez on reprend ou on en était. Maintenant tu m'encules.

J'ai vraiment peur de te faire mal, ou pire de te blesser.

Je suis solide.

Je suis trop gros !

Tu parles de ta p'tit bite. J'en ai connu plus d'une qui ne mettait pas si longtemps pour qu'on la sente. Je sais pas si c'est une grosse bite mais moi là je ne sens toujours rien.


Il était alors pris d'un élan de douceur et de tendresse. Me prenait dans ses bras, me caressait, m'embrassait. Ses mains glissaient sur tout mon corps, même dans les recoin les plus intimes. Nous partagions encore un grand moment de tendresse.


Mais là encore les choses n'avançaient pas …


J'avais toujours les jambes autours des ses hanches et je le tirais toujours vers moi.


Tu préfères dans ce sens, ça marche ! C'est ma position préférée.


Il faisait glisser son énorme queue sur mon ventre, il repoussait mes couilles et la différence avec ma nouille devenait flagrante.


Tu trouves vraiment que c'est pas énorme ça ? Me demandait-il en me montrant sa bite qui s'étalait maintenant sur mon ventre.


Je la lui caressais doucement, en effet elle était énorme, mais je me souvenais de ce gode que je m'enfilais de temps en temps, il était aussi gros que sa queue et j'aimais bien me le prendre en entier dans le cul. J'étais excité, de plus en plus excité, j'étais presque en manque de sa queue. Juste à porté de main, mais pas moyen de me la prendre dans le cul.


P'tit bite je te dis !

J'ai vraiment peur de te faire mal.

OUI FAIS MOI MAL, VAS Y FAIS MOI MAL !


Oui je sais mais là je crois que je craquais. Il me regardait d'un air étrange. Je sentais qu'il réfléchissait, un instant j'espérais qu'il n'allait pas me parler de l'heure du solstice de nouveau.


Il fallait passer aux actes. Ça faisait trois heures ou plus, je ne savais même plus, qu'on se caressait, qu'on de câlinait l'un l'autre. Il était temps de passer à la dernière étape. C'est à dire pour lui, me défoncer le cul. Me faire hurler de plaisir, me faire peur.


Oui voilà mais comment faire, il n'était toujours pas décidé !


Il me faisait un câlin. J'en profitais pour lui glisser dans l'oreille …


Défonce moi le cul !

Je vais te faire mal !

Oh oui vas y, fait moi mal !

Tu es fou.


Pendant quelques instants qui semblaient durer des heures, des heures, encore des heures …


Bon d'accord ! S'exclamait-il !


Je retrouvais le sourire. Il se relevait, me retournait sur le ventre.


Ça sera plus confortable dans ce sens !


Il me soulevait en me prenant par les hanches, je me retrouvais à quatre patte, le cul bien offert. Il s'allongeait sur moi, me recouvrait de son corps. Il me caressait avec ses mains, je sentais la douceur ferme de ses bras, je sentais qu'il respirait fort.


Il me masturbait la bite, il me masturbait les couilles me lubrifiait généreusement le cul, il se lubrifiait très généreusement la bite, la faisait glisser entre mes fesses. Là j'étais dans tous mes état, j'ai prié tous les démons qu'il ne change pas d'avis. Dans une telle situation j'ai déjà prié tous les dieux mais ça ne marche pas, maintenant je prie les démons, ça me semble plus fiable.


J'ai peur de te faire mal … Me murmurait-il en hésitant.

FAIS MOI MAL ! Hurlais-je sur un ton excédé.


En un mouvement rapide il se redressait, appuyait sur sa queue, la positionnait bien dans l'axe de mon cul et poussait. Il poussait fort, sa queue glissait dans mes entrailles avec une violence à laquelle je ne m'attendais pas. Il a crié, j'ai hurlé, son ventre claquait contre mes fesses et …


Tu as vu, il est seize heures cinquante huit. Faisait-il remarquer.

Il recommençait l'animal ! Je ne répondais rien mais je vous jure que là, il m'a vraiment fait mal le con.




Fin



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


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