ELLE A AIMÉ

Elle A aimé



C'était le début de l'été, il n'y avait pas grand monde sur la plage. Je me trouvais donc un petit coin tranquille et me déshabillais. Me déshabillais entièrement. Oui je sais je ne mets pas de maillot de bain mais c'est pas vraiment gênant, je ne me baigne pas, donc … De plus la plage que j'avais choisie était naturiste, ça veut dire que le maillot de bain n'y est pas obligatoire.


Je n'avais gardé que ma cage à bite. Oui mais ça c'est normal, il y a une clé et c'est pas pour rien.


Je me suis fait remarqué rapidement, des garçons, c'était amusant de voir leurs têtes. Certains même bandait à me voir, il y en avait un qui était bien monté, et il bandait ferme le bougre. Il était bien foutu, beau corps, belle gueule, beau cul, belle bite . Très belle bite.


Il s'est installé pas très loin de moi, bien en vue. Il me regardait, toujours avec cet air empreint de curiosité. Rapidement je passais à autre chose et me cachais derrière mes lunettes de soleil. Toutefois quand il se levait je ne loupais rien, il y avait sa grosse queue qui pendouillait lourdement ou qui se relevait bien fière, bien ferme devant lui selon sa forme ou son niveau d’excitation.


Il tournait alors la tête dans ma direction et me lançait un sourire complice. Je me régalais à le regarder aller et venir. Il s'est décidé à venir me rejoindre. Il s'est assis juste à côté de moi et on a discuté.


Quelques instants plus tard c'est une fille qui passait par là. Elle a d'abord remarqué Le gars qui était avec moi. Elle le connaissait et c'est avec un très large sourire qu'elle venait vers lui.


Çà va Jonas ? Mais qu'est ce que tu deviens ?


Vous avez deviné, le gars s'appelait Jonas et comme il l'appelait Lydia, je devinais que c'était son nom. Je suis futé, non ?


Je me présentais pendant que la fille se déshabillait avant de se joindre à nous. Et c'est là qu'elle à vu mon truc. Vous savez, ma cage à bite ? Mais si je viens de vous en parler … Enfin quoi, si personne ne suit, moi j'arrête de raconter.


Mais c'est quoi ce truc ? S'exclamait-elle.

C'est rien, juste un truc pour faire joli. Lui répondait Jonas.

Mais c'est un truc de fou ça. J'adore ! Continuait-elle.


Ensuite mes deux camarades continuaient à discuter et à me commenter sans me laisser le temps d'en placer une. L’atmosphère devenait plus détendue, il n'y avait rien de méchant de dit et la fille était marrante.


Nous sommes resté là un bon moment à discuter, on s'est levé pour aller se tremper les pieds. Je sentais les regards de tout le monde sur moi. Il y avait du monde sur le sable mouillé. De grands yeux s'écarquillaient à mon passage, d'autres me lançaient un sourire surpris ou amusé.


C'est vrai que j'étais bien accompagné. Il y avait un mec superbe qui avait une grosse bite et une fille magnifique qui avait une grosse poitrine.


Lydia avait un côté un peu vicieux, par moment quand elle parlait à Jonas elle s'approchait de lui, elle le frôlait et sa main caressait subrepticement le bas de son ventre et sa bite. Elle arrivait à la lui redresser.


Ça ne le dérangeait pas vraiment, il bandait, il était fier de sa queue et de son érection. Elle faisait la même chose avec moi, mais je n'avais pas la même réaction. Ma queue restait désespérément pointée vers le bas. La cage était très efficace, je bandais bien un peu mais j'étais le seul à m'en rendre compte. Seule la pression montait dans ma cage. C'était excitant et un peu stimulant, j'aime bien me sentir confiné dans une cage. J'aime bien sentir mes érections retenues avec force dans ce dispositif de chasteté. C'est frustrant mais la frustration fait parti du plaisir, j'étais aux anges.


Jonas exhibait fièrement son érection et moi je montrait avec un certain exhibitionnisme mes deux couilles qui pendouillaient sous ma cage à bite. Moi aussi j'étais fier. Peut être que seul, je n'aurais pas osé me montrer de cette manière mais on était trois et les deux autres attiraient aussi les regards.


On revenait nous allonger sur le sable, on continuait à discuter. Rapidement on en apprenait un peu plus sur chacun d'entre nous. Jonas était gay, Lydia était lesbienne et moi … Je ne vous dirai pas !


L'après midi avançait et Jonas nous quittait. Il avait rendez-vous nous avait-il dit, je restais donc seul avec Lydia. Elle s'allongeait à côté de moi. Mais quand je dis à côté, c'était vraiment à côté. Elle regardait ma cage.


Je peux toucher me demandait-elle sans attendre la réponse.


Elle ma caressait les couilles avec une grande douceur. La tension avait baissé à ce moment mais ce contact me réveillait et de nouveau ma queue se retrouvait à l'étroit dans sa cage à nouveau devenue trop petite. Là elle s'en rendait compte et s'en amusait. Elle y mettait plus de force et me massait les couilles avec forces. Je ne cachais pas que j'appréciais.


Le soleil tournait dans le ciel.


Je t'offre un verre me proposait-elle.

Avec plaisir lui répondais-je.


On se relevait, je repassais mon pantalon, il était peut être très léger mais il m'habillait très bien. Elle attendait de sortir de la zone naturiste pour se rhabille, moi je restais torse nue.


Elle s'approchait de moi, me frôlait et me caressait le torse en déposant un baiser sur mon épaule.


Tu me suis, me demandait-elle quand nous arrivions à la voiture.

je prenais ma voiture, elle prenait la sienne et je la suivais.


Je ne savais pas ou elle allait m’emmener, mais je suivais sans difficultés. Et puis je me disais, on verra bien. J'aurais bien sûr préféré suivre Jonas, surtout qu'il avait une belle grosse queue qui me faisait envie, mais j'avais bien envie de prendre un verre. Aussi, si Jonas n'est pas là, on fera sans .


A peine arrivée elle retirait le peu de vêtements qu'elle avait remis sur elle. Autant vous dire que ça ne prenait pas bien longtemps.


N'hésite pas à te mettre à ton aise, j'aime bien voir tons truc et tes couilles qui pendent ! Me lançait-elle.


À moi non plus il ne m'a pas fallu bien longtemps pour faire tomber le pantalon. Sur sa terrasse sans vis-à-vis je me laissait tomber entièrement nu sur le fauteuil. Deux bières arrivaient puis elle disparaissait.


Quelques instants plus tard je l'entendait qui m'appelait. Entièrement nu je traversais son salon dirigé par sa voix. Elle était sous la douche.


Tu devrais en profiter pour une douche de dessalage. Me disait-elle.

J'ai bien sûr compris qu'elle en voulait à ma chasteté, mais c'était une fille et en plus j'étais bien protégé. Je ne risquais rien. Aussi je me glissais sous la douche à côté d'elle. Aussitôt, elle me sautait presque dessus, et me caressait le corps. Je lui rendait la politesse, moi aussi je lui caressais le corps. Elle me tripotait tout particulièrement les couilles, ça elle aimait bien.


On s'est passé du gel moussant un peu partout sur le corps puis on s'est généreusement rincé. C'est débarrassés de notre surplus de sable et bien rafraîchis que nous sommes revenus sur sa terrasse, à l'ombre pour déguster notre bière.


Elle s'asseyait tout à côté de moi et me tripotait les couilles, j'écartais les cuisses pour la laisser faire. C'était une fille, c'est vrai mais ce n'était pas désagréable finalement. Elle aimait la douceur de ma peau, j'étais épilé, ça vade soi !


Elle aussi remarquez mais je n'étais pas vraiment fan de ses partie intimes, n'oublions pas que c'était une fille. Mais pour le reste de son corps, je dois bien avouer que je le trouvais moi aussi très doux à caresser, je ne m'en privais pas . Mais enfin, c'est elle qui avait commencé !


Et qu'est ce que tu peux faire avec ce truc sur ta queue ? Me demandait-elle.

Avec ma queue pas grand chose, mais il y a le reste …


Elle se levait et revenait quelques secondes plus tard avec un gros gode dans la main. Il y avait même des bretelles !


C'est pour toi ça ? Demandais-je, un peu incrédule.

Non, le gode est bien trop gros pour moi, c'est pour toi !


À sa réponse je faisais des yeux tout ronds. C'était un gros gode.


Elle me repoussait en arrière, me faisait des baisers un peu partout, continuait à me caresser les couilles, et finalement enfilait les bretelles et se fixais le gode, bien comme il faut.


On se retourne, à quatre pattes ! M'ordonnait-elle.


Un peu surpris, je m'exécutais. C'était un gros gode. J'aurais préféré la grosse queue de Jonas mais bon, un autre jour peut être. Quelque chose me disait que ça viendrait.


Elle se penchait sur moi, me recouvrais de tout son corps, je sentais ses seins s'écraser sur mon dos et sa queue glisser entre mes cuisses et appuyer sur mes couilles. Elle faisait couler un liquide froid sur mon cul, elle continuait à me caresser les couilles d'une main et me glissait quelques doigts dans le cul. Ça glissait bien, elle avait mis la dose qu'il fallait de gel.


C'est donc sans attendre plus qu'elle glissait entre mes fesses son gode. Par moment on aurait cru que c'était une vraie queue. C'était un modèle réaliste, mais de grosse taille tout de même.


J'ai poussé un petit cri, une sorte de plainte au moment ou elle poussait ce gode dans mon cul. Ensuite je me suis un peu crispé, oh, pas le cul ça non il ne faut jamais serrer les fesses dans cette situation. Mais je serrais les dents. Je gémissais au moment ou elle s'enfonçait en moi. Là j'ai oublié que ce n'était pas un homme. J'ai commencé à prendre mon pied.


Elle poussait plus fort, plus vite , j'ai hurlé. Elle m'a fait mal. Je ne lui ai pas demandé d'arrêter, j'aime bien le sentir mais par moment elle y allait un peu fort, je continuais en gémissant.


Les coups devenaient plus rapides et plus violents, je tremblais sous ses assauts et je gémissais.


Elle se retirait.


On se retourne sur le dos les quatre fers en l'air ! S'exclamait-elle.


En soupirant, je m'exécutais. Sur le dos les jambes repliées contre moi. Elle ne perdait pas de temps et revenait à la charge. Enfonçait son gros gode bien à fond en un mouvement décidé et rapide. Je râlais, c'était du plaisir mais pas que …


En me saisissant fermement les jambes elle me tirait vers elle et m'enfonçait son gode en même temps puis se retirait et recommençait. Je voyais ses seins gigote sous mon nez, par moment elle faisait une pause, se laissait retomber sur moi. Elle respirait fort, presque aussi fort que moi. C'était un petit instant de douceur, un petit instant d'un petit peu de douceur. J'avais un gros gode dans mon cul. Elle reprenait son souffle puis recommençait. C'est vrai qu'elle ne risquait pas de débander. Je sentais le plaisir m'envahir, il y avait un peu de douleur mais de plus en plus de plaisir.


Je finissait par trembler un peu comme un parkinsonien, mais en plus fort et en plus rapide. Je convulsais, elle râlait, je le sentais, elle prenait du plaisir. Moi je jouissais.


Nous avons finalement partagé un moment de plaisir intense. J'ai joui, elle aussi on était synchrone et quand j'ai hurlé, elle à crié. Elle a continué à s'agiter ainsi pendant un petit moment, j'en pouvais plus. Elle s'est soudainement laissé tomber sur moi.


Son gode en moi prenait toute la place et me dilatait toujours l'anus. C'était bon, vraiment bon. Sa peau était douce, et sa poitrine s'écrasait sur mon torse. Elle décrochait les lanières et les bretelles.


Puis elle s'est relevé, je suis resté là, un moment, toujours avec le gode dans le cul. Je ne bougeais pas, je respirais fort puis j'ai trouvé la force de me relever. Le gode à glissé en dehors de moi. Là j'ai joui de nouveau mais là j'ai éjaculé. J'ai gémi. Elle me regardait faire, elle semblait s'amuser.



Fin de l'épisode


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