Gigolo 09
Avec Serena
François
s'inquiétait grave, il n'arrivait pas à y croire. Elle ne va pas
oser se disait-il.
Il
était allongé sur le dos, la cage bien en vue. Serena lui caressait
les fesses, un doigt glissait avec de plus en plus de force entre ses
fesses et s'attardait à chaque passage un peu plus sur son petit
trou de balle.
François
ne savait pas quoi dire, il continuait à bander, enfin vous voyez ce
que je veux dire, sa queue prenait toute la place , le peu de place
qu'il y avait et on voyait qu'il y avait de la pression, on pouvait
deviner que ça ne devait pas être confortable.
Serena
ne s'inquiétait pas de ce genre de détail, le confort de son
partenaire n'était pas sa priorité, son confort par contre …
Elle
se sentait toute forte, c'est elle qui avait le pouvoir avec son gode
ceinture. Elle regardait le visage de François, on pouvait y lire le
désarroi. Le pauvre comprenait ce qui se passait, mais ne réalisait
pas vraiment. En fait il ne comprenait pas totazlement, il y avait
comme un bug dans sa tête.
Elle
se penchait sur lui, ses seins s'écrasaient sur la poitrine musclée
et douce de François. Un de ses doigts à elle glissait dans son cul
à lui et c'était agréable … pour lui !
Il
gémissait de plaisir, il se laissait retomber sur le dos et
profitait du plaisir qu'elle lui imprimait sur sa prostate et de la
douceur de ses seins.
Il
ne comprenait plus rien, c'était bon, c'était tellement bon !
Elle
s'en rendait compte, et continuait à lui masser la prostate, il
gémissait encore plus fort. En même temps elle lui lubrifiait
généreusement le cul, un second doigt rejoignait le premier et
s'agitaient rapidement, en douceur et avec force .
Elle
faisait durer le plaisir, il se dilatait doucement, son anus se
détendait.
Elle
finissait par retirer ses doigt et prenait position. Un éclair de
panique traversait le regard de François. Il sentait le gode qui
appuyait contre son anus. C'était doux, c'était ferme c'était
terrifiant mais c'était tellement bon, tellement agréable.
Elle
poussait en avant et son gode forçait contre la la petite rondelle
de François, elle se contractait subitement. François paniquait !
Serena
restait impassible et continuait à forcer, elle sentait le passage
s'ouvrir, s'en réjouissait et poussait un peu plus. Là ça
coinçait.
François
changeait de tête, il faisait une grimace de douleur, c'était la
première fois qu'il se faisait défoncer le cul le pauvre. Dans son
boulot, c'est toujours lui qui tenait les commandes. Quand je dis
dans son boulot, je vous rappelle qu'il était gigolo et que pour lui
c'était un boulot à plein temps !
Serena
continuait à forcer et son gode glissait un peu plus profond, il
fallait qu'elle force, c'est qu'il était étroit le petit François.
Après ça il sera plus large se disait-elle dans un sourire. Mais
son visage, a lui, restait figé, il ne rigolait pas vraiment, son
visage exprimait de la douleur mais il ne poussait pas le moindre
cri, il ne faisait pas le moindre bruit, sauf peut être sa
respiration qui était intense et saccadée.
Elle
continuait à pousser, elle forçait, ça glissait bien, elle avait
fait tout ce qu'il fallait mais c'était étroit.
François
poussait un cri, un gémissement de douleur lent et sourd, tout son
corps tremblait. Il aurait voulu tout arrêter, c'était douloureux
mais voilà il ne parvenait pas à se dégager, quelque chose le
retenait, il était cupide mais là tout de même. Ou alors c'était
Serena qui le retenait avec force.
Elle
poussait encore un peu et la base de son gode ceinture s'écrasait
sur les fesses de François. Il poussait un cri de douleur étouffé,
il manquait d'air, il était crispé, elle le remarquait mais s'en
amusait.
Elle
savait ce que ça faisait de se faire défoncer le cul et pour elle,
c'était une petite vengeance qu'elle se payait, son ancien mari, feu
monsieur plein de fric, aimait tout particulière passer par derrière
et il le faisait avec le même gode ceinture.
Elle
n'aimait pas cela mais savait ce que ça faisait et restait toutefois
surprise par les réaction de François. Elle aurait parié qu'il
hurlerait et se dégagerait tout de suite.
Il
encaissait, elle se retirait et làn enfin il poussait un cri. Elle
revenait avec force et il poussait un cri intense, un cri très fort,
mais c'était pas le cri qu'elle attendait .
C'était
un :
– OUIII
C'EST BON !
Elle
ne s'y attendait pas, il jouissait sa respiration devenait intense
plus fort encore mais plus régulière et surtout moins silencieuse.
Il faisait un bruit terrible, il en redemandait encore et encore.
François
remuait la tête de gauche à droite d'une manière frénétique, il
refermait, sans même s'en rendre compte, ses jambes autour de
Serena. Elle ne comprenait pas mais ne se posait pas de question et
s'activait à lui limer le cul avec force.
Elle
continuait sans s'inquiéter une seconde d'aller trop loin, ou d'y
aller trop fort. Cette situation l'amusait, elle y prenait aussi du
plaisir, il y avait un petit truc à l'intérieur de la ceinture ,
comme un petit clitoris qui la chatouillait au bon endroit et
elle aimait ça.
Elle
aussi prenait du plaisir, elle savait qu'elle aimerait mais elle ne
s'était pas douté que lui aussi prendrait du plaisir. Il refermait
ses jambes avec force autour d'elle, il la retenait et la tirait
vers lui. Elle appuyait contre lui de tout son poids, de toute sa
force. Son visage à elle exprimait du plaisir et de la satisfaction,
son visage à lui montrait de la douleur et de la panique. Pourtant
il jouissait.
Serena
s'en amusait mais c'est son plaisir qu'elle recherchait et elle
finissait par le trouver. Son plaisir montait entre ses cuisses, le
plaisir de François montait entre ses reins.
Elle
se tordait de plaisir maintenant, elle gémissait tout en continuant
ses mouvement, elle avançait son bassin et le reculait et à chaque
mouvement le gode défonçait François, lui limait le cul, lui
dilatait les entrailles. Sa tête retombait en arrière, il tremblait
et râlait.
C'était
difficile de dire si c'était du plaisir ou de la douleur.
Probablement les deux.
Elle
continuait encore pendant un long moment. François tremblait,
c'était aussi un orgasme puissant qu'il éprouvait à ce moment.
Puis brusquement elle lui donnait un coup de gode, bien à fond, il
râlait,elle râlait et se retirait.
C'est
uniquement à ce moment que François à juté, il s'est vidé de son
sperme, un flot de ce liquide blanc et épais coulait abondamment, il
n'éjaculait pas vraiment , son sperme coulait lentement et en grosse
quantité. C'était comme si il se vidait de tout le sperme retenu
depuis qu'il portait cette cage maudite. Une quantité anormale, il
jouissait en même temps.
Un
peu plus tard il était tout mou, un peu comme mort mais il était
bien vivant, pas très vigoureux, sonné, assommé mais il se sentait
bien terriblement bien !
Il
leur a fallu un long moment avant de réagir et de récupérer. Ils
se sont retrouvés allongés l'un à coté de l'autre.
Peu
à peu leurs respiration se sont détendues, se sont synchronisées.
Serena
était détendue, François avait l'air ailleurs. Il ne parlait pas
et les premiers mots qui lui venaient étaient.
– J'y
crois pas, ça fait un mal de chien mais c'était bon !
– Avec
un peu d’entraînement ça ne fait plus mal du tout, tu verras !
– Non
je verrais pas, ça fait trop mal !
Serena
pouffait de rire à cette réponse, elle savait, elle que c'était
vrai. Bien avant lui elle en avait fait l'expérience. Elle aussi
était cupide et prête à presque tout pour devenir riche, et elle
avait gagné.
Pour
François à une journée près, il aurait fait un très beau veuf,
un veuf très riche mais il n'avait pas eu cette chance …
les
jours on passé. Serena avait bien aimé et elle avait bien
l'intention de recommencer, mais elle savait qu'il fallait y aller
tout doucement. François, lui ne comprenait toujours pas ce qui
s'était passé.
Il
avait ressenti un plaisir auquel il ne s'attendait pas, un plaisir
intense, un orgasme non prévu. Mais il gardait aussi un souvenir
d'une grande douleur et avait une sacré trouille de recommencé !
Serena
continuait à s'amuser avec son jouet à chaque fois qu'elle en avait
envie. C'était son gigolo, elle le payait grassement, Mais elle ne
lui imposait pas de jouer le rôle du passif avant un long moment.
Il
hésitait, dans un premier temps il avait vraiment la trouille, il en
avait envie, il en avait peur mais il en avait vraiment envie.
– Si
tu veux je vais acheter un gode plus petit. Lui dit elle.
– Tu
es vraiment sûr, ça fait ml quand même !
– Un
peu oui, au début , toujours un peu. Mais tu y a pris du plaisir ?
– Oui,
c'était bon mais ça fait vraiment mal !
– Tu
verra ça ne te fera pas mal cette fois ci , et si tu dis oui je te
ferai un cadeau .
– Un
cadeau ?
– Oui
tu veux quoi ?
– Une
montre, une belle montre.
L’appât
du bien financier prenait le dernier mot, il était avant tout cupide
et ne loupait pas une occasion de mettre dans la poche un objet de
valeur, même si pour cela il fallait payer de sa personne.
C'était
un gigolo, et son boulot l'obligeait à payer de sa personne !
Il
a dit oui !
Je
vous dis pas comment il a couiner au moment fatidique. Mais il en
redemandait.
– On
ne recommencera jamais ! Râlait -il après , mais c'est une
promesse d'alcoolique qui jure de ne plus jamais boire après une
cuite.
En fait il y avait pris goût, peu à peu c'était une seconde
raison pour réajuster les conditions de son boulot. Car soyons
sérieux un gigolo qui ne peut plus jouer avec sa queue n'est plus
vraiment un gigolo. Vous imagineriez, vous, un plombier qui ne
pourrait pas utiliser une clé à molette ? Franchement çe ce
serait pas sérieux !
Il
devait donc réajuster son boulot, en changer les règles, mais
comment , il n'y a pas de mode d'emploi et encore moins de syndicat.
Et puis il raconterait quoi au syndicat s'il y en avait un. Tout ce
qu'il pourrait gagner c'est qu'on se foute de sa gueule, il serait la
risée. Il avait connu une époque ou il était admiré, envié , là
il serait la risée de la profession.
D'ailleurs
personne n'était au courant . Heureusement !
C'est
en tout cas ce qu'il croyait !
A
suivre
N'hésitez
surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur
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