PREMIÈRES AMOURS 02

PREMIÈRES AMOURS 02



Quelques mois plus tôt j'avais été présenté à ses parents. J'en menais pas large ce jour là, son père m'avait pris à part pour me demander froidement si je portais un de ces dispositif de chasteté.

Son père : Tu sais pourquoi je voulais te parler en tête à tête ?
Moi : Pour mieux me connaître m'sieu.
S p : Non ! Enfin oui bien sûr il y a un peu de cela ! Est ce que tu portes un dispositif PK ?
Moi : Un de ces dispositifs de chasteté ?
S p : Je vois que tu sais de quoi je parles ! Tu ne réponds pas ?

Il était directe et le ton de sa voix l'était tout autant. Je n'osais pas répondre.

Moi : Bein non m'sieu.
S p : Et bien si tu veux revoir ma fille il le faudra !

Au moins c'était clair, il n'y avait pas d'équivoque.

Moi : Mais c'est que c'est pas donné ce genre de truc, vous avez vu le prix ?
S p : Il y a des moyens d'avoir de l'aide sur ce point, mais il faut aussi savoir faire un effort soi-même.

Passé cette première rencontre je savais ce qu'il me restait à faire.

S p : Tu me remettras les clés, et le certificat … Ensuite tu pourras voir ma fille tant que tu voudras.
Moi : Le certificat ?
S p : Tu vas dans un centre agréé, on t'installe le dispositif. Un modèle permanent en titane port permanent. On te remet un certificat et une boîte sécurisée contenant les clés. 
Moi : Port permanent ? … 

La je commençais à m’angoisser.

S p : Port permanent, pas port définitif. 

Je n'étais pas vraiment convaincu, vous devez vous en douter. Mais Lisa était tellement belle, douce, son sourire, ses yeux, son petit nez retroussé qui me faisait rire quand elle le grattait … Enfin j'étais amoureux, j'ai dit oui.

Ça m'a coûté une partie de mes économies. Mais le père de Lisa m'a aidé, je ne sais pas pourquoi j'ai dit oui, j'ai pas tout compris, je me suis engagé jusqu'au mariage ! 

Et si je me mariais pas avec Lisa moi ? Et si on venait à rompre, et s'il ne me rendait jamais la clé, et si … et si … C'était trop tard, j'avais accepté, je portais le dispositif et je n'avais plus la clé. Au moment ou je lui remettais les clés, j'ai senti mon sang se glacer dans mes veines. Mais il y avait Lisa !

De plus le dispositif est parfaitement bien étudié, il est au point et si on vous dit que ce n'est pas douloureux, c'est vrai. Si on vous dit qu'on ne le sent pas, c'est faux … On ne sent que ça ! Et si on vous dit que c'est agréable à porter, moi je n'irais pas jusque là. Si on vous dit que ça ne gêne pas les mouvements, alors c'est vrai et sous des vêtements classique c'est invisible, sous un vêtement moulant pas totalement … Enfin, il ne faut pas croire tout ce qu'on vous raconte. 

Le père de Lisa me faisait enfin confiance. Ne vous inquiétez pas il s'était aussi renseigné sur moi … J'étais dans une situation de confiance conditionnelle. Lisa était aux anges, le fait que je l’accompagnais lui permettait de profiter d'une plus grande liberté.

Tous les week-end nous avions l'autorisation de sortir en boite et de ne rentrer que lors de sa fermeture. Je n'avais bien sûr pas intérêt de boire de l'alcool ou de fumer, surtout un de ces trucs qui rend nigaud. On me l'avait dit clairement je n'aurais pas de deuxième chance.

Lisa était dégourdie et pas du tout timide. A cette époque je croyais encore qu'elle était vierge, c'est aussi ce que croyais son père remarquez ! On se rapprochait, on flirtait, j'avais le droit de la tenir dans mes bras, de la caresser. J'ai beaucoup aimé sentir son corps, ses seins, ses baisers. Elle était très contacte physique, très câline, très tendre.

J'aimais moins, mais beaucoup moins sentir ma queue emprisonnée en permanence. J'aimais moins sentir la dureté du métal contre la peau de ma bite le matin quand je me réveillais, avec une érection naturelle contrariée … Contrariée, c'est joliment bien dit ça. C'est le terme officiel de la société PK ça, érection contrariée. Ouai bein je peux vous dire que le matin il n'y avait pas que mon érection matinale qui était contrariée !

Rapidement Lisa est devenue très complice, au bout d'à peu près un mois je me suis rendu compte qu'elle m'utilisait comme excuse pour sortir de chez elle en semaine. Un jour ou je rencontrait son père.

S p : Salut Charly, ça va ? … Alors ça s'est bien passé hier avec ma fille, le film était bien ?
Moi : Super, on a passé une super soirée !

J'avais répondu par pure réflexe et je ne réagissais que quelques instants plus tard. Il était rendu loin. Mais la veille je n'avais pas vu Lisa …

Quand je lui en parlait je lui demandais des explications.

Lisa : J'étais avec ma copine Mathilde, on  est sorti ...
Moi : Mais tu te rends compte ! J'ai répondu mécaniquement mais si j'avais dit que je ne t'avais pas vu. Et puis pourquoi tu ne lui dit pas que tu étais avec Mathilde ?
Lisa : Parce que si je suis avec toi il ne pause pas de questions. C'est plus facile de lui dire que j'étais avec toi …

Puis elle m'embrassait tendrement en me prenant dans ses bras, je sentais la chaleur de ses seins contre moi et rapidement je ne me posais plus de questions. Je lui rendais ses baisers, on était en publique mais nous étions fiancés et je portais un dispositif PK. On avait donc le droit de flirter !

De temps en temps elle me téléphonait pour me dire que qu'elle passait la soirée avec sa copine. Elle me suggérait un film qu'elle connaissait, je n'avais plus qu'à le visionner au cas ou on me poserait des question sur ce que nous avions vu. Je n'aimais pas vraiment cette situation, pas du tout même. J'avais l'impression de trahir son père, et j'avais aussi très peur qu'il ne découvre notre petit mensonge. 

Ce n'était pas bien méchant comme petit mensonge, elle était avec sa copine et tout ne pouvait que se passer bien. Je laissais faire et tout continuait à bien se passer. Le week-end nous le passions toujours ensemble. Je passais la chercher en début de soirée, quelquefois je soupais chez elle avec ses parents. Son père ne posais plus de questions. Ensuite nous sortions, en boîte de nuit, au bowling, au cinéma … Enfin dans un endroit convenable. Elle obtenait l'autorisation de dormir chez moi, mes parents étaient là et on a une chambre d'amis … Je n'avais pas le choix je ne pouvais qu'être sage. 

Dans la nuit elle se glissait dans ma chambre, on dormait tendrement enlacé, mes parents fermaient les yeux sans pour autant l'avouer …  

Tout se passait bien. Sauf que ma queue ne voyait pas les choses de cette manière, à chaque fois que je voyais Lisa ma queue se rappelait à mon bon souvenir. Je la sentais se contracter, devenir plus dure, plus grosse. C'était ça ou alors c'était la cage qui devenait plus petite, mais ça c'était impossible. Au début on s'inquiète quand ça arrive, on se dit que vu la sensation que ça procure ça doit se voir, mais en fait c'est totalement invisible. 

Un soir que Lisa passait chez moi, je devrais dire chez sa copine Mathilde , mon téléphone sonnait, c'était son père. Je préférais ne pas répondre, je prendrais la message et prétexterais que je l'avais mis en veille. Il me demandait de ramener Lisa, dès que possible sans trop me donner d'explications.

Là je paniquais un peu !  J'appelais Lisa sur son téléphone, c'est elle qui répondait, elle semblait de mauvaise humeur mais se reprenait rapidement. Je lui expliquais, elle me demandait de venir la chercher et me donnait l'adresse. 

C'était dans la périphérie de la ville, j'y arrivais vite. Elle m'attendait devant la maison. Moins d'une heure après l'appel de son père je la lui ramenais. Tout se terminait bien !

Mais c'était quoi cette adresse, c'était quoi cette maison ?

Je décidais d'y retourner, pour voir …

Il y avait plusieurs voitures devant et de la lumière, je me glissais dans le jardin et discrètement regardais ce qui se passait à l'intérieur. Bein quoi c'est de ma copine qu'il s'agit.

C'était sa copine Mathilde que je voyais, elle était nue, elle a des seins énorme cette fille, j'en revenais pas. De très beau seins, mais énorme. C'est pas une surprise, toute habillée on voit qu'elle a une grosse poitrine mais toute nue c'est autre chose … A côté Lisa n'a presque pas de poitrine, Mathilde a vraiment une grosse poitrine qui se tient très bien.

Je la voyais à moitié de dos, je ne voyais pas ou elle était mais elle se balançait en se soulevant avec régularité. Je voyais un de ses seins se balancer, ils se tenaient bien, ils était lourds mais ils se tenaient bien. Une main remontai sur le sein que je voyais. Là je ne comprenais plus ce qui se passait.

Je me déplaçais légèrement pour voir un peu mieux, il y avait un homme allongé sur un lit. Il était nu, il était allongé sur le dos, elle le chevauchait, elle s'était empalé sur lui et se soulevait légèrement puis se laissait retomber. Elle penchait la tête en arrière, gémissait et ne cachait pas son plaisir. Son amant lui caressait les hanches, relevait le bassin et retombait. 

Il remontait ses mains le long du corps de Mathilde, il lui caressait les seins avec douceur, elle se penchait vers lui, lui donnait un baiser sur le torse avant de l'embrasser avec passion sur la bouche. Je voyais maintenant le sexe de l'homme s'enfoncer et ressortir du sexe de Mathilde.

Je ne vous dis pas dans quel état j'étais, ma queue protestait comme jamais, elle refusait de rester confinée plus longtemps. La cage devenait vraiment gênante, ce n'était plus seulement désagréable, rapidement ça devenait insupportable. L'anneau cock-ring me faisait presque mal surtout sous les testicules. À la base de ma queue l'anneau de ma cage comprimait ma bite avec une telle force que j'étais obligé de réajuster le dispositif, je glissais une main dans mon pantalon, tirais sur la peau, c'était toujours désagréable mais ça allait mieux. 

Un autre homme s'approchait, il était nu, il s'approchait du lit, caressait le cou de Mathilde, puis sa main glissait sur son épaule, son dos. Il se retournait face à elle et lui caressait les seins. Je le voyais maintenant de face, il bandait. De nouveau je sentais ma queue manifester, un mouvement violent qu'elle ne pouvait plus faire mais elle tentait toujours, elle n'acceptait pas cette nouvelle situation pour elle.

Mathilde tournait le visage vers le nouvel arrivant, il était bien monté. Moi j'ai une bite plus petite … C'est vrai qu'en ce moment on s'en moque un peu … Il était bien monté mais ça ne semblait pas faire peur à Mathilde, sans aucune hésitation elle passait une mains sous ses testicules et le tirant doucement vers elle elle prenait sa queue dans la bouche avec facilité. 

D’où j'étais je ne voyais pas tout mais je devinais son visage s'écrasant sur le ventre de cet homme. Je devinais cette queue énorme qui entrait bien à font en même temps que la mienne protestait de plus en plus fort. C'en était presque douloureux. 

Il avait posé sa main sur la nuque de Mathilde et appuyait ou suivait le mouvement. Il faisait un mouvement du bassin doux et lent. Mathilde reculait par réflexe sa tête mais là je devinais que l'homme appuyait et l'obligeait à avaler sa queue sur toute la longueur. Il retenait le visage de Mathilde bien appuyé sur son ventre, sa queue bien enfoncée, bien à fond.

Mathilde n'avait pas arrêté de se balancer sur elle même et la queue du premier homme continuait son mouvement, elle entrait entre les cuisses généreuses de cette fille que je regardais maintenant d'un autre œil puis en ressortait. Un peu plus vite, un peu plus lentement, il contrôlait maintenant le mouvement et les coups de bassins devenaient plus violents ou plus doux, plus rapides ou plus lents.

Le visage de Mathilde se retirait en arrière, le second homme lui laissait un peu de temps pour reprendre son souffle puis, de nouveau, lui appuyait sur la nuque et enfonçait sa queue bien à fond. Il y mettait maintenant les deux mains.

Si d'une main Mathilde tentait de le retenir, de se protéger. Ils écartaient sa main et continuaient avec encore plus de force leurs mouvement. Quand elle retirait son visage c'était pour gémir, pour crier, pour hurler … De plaisir, je n'en doutais pas, elle n'essayait pas vraiment de se dégager.

Ses gestes devenaient irréguliers, elle jouissait et ne le cachait pas. Ses cris, ses gémissements se transformaient en plaintes qui ressemblaient à des sanglots. Mais des sanglots qui disaient … Encore, encore, encore.

L'homme, allongé sous elle, gémissait à son tour. Ses mouvements devenaient  irréguliers également. Je l'ai ressenti quand il à joui, un puis deux coups de bassin, secs, rapide, violent puis il se laissait retomber sur le dos. Il se laissait retomber sur le lit et ne bougeait plus. Mathilde également ne bougeait plus.

Seule sa tête continuait a aller d'avant en arrière mais ce mouvement là, elle ne le contrôlait plus. Le second homme qui était apparu avait pris le contrôle de la situation et c'est lui qui avec ses deux mains tenait, retenait fermement la tête de Mathilde et lui enfonçait la queue jusqu'à la gorge.

J'entendais un des deux hommes '' C'est dommage que Lisa n'ait pas pu rester. On s'amusait bien ''. Puis l'autre lui répondait … '' Elle est chaude Lisa !''.

Ma queue était en feu, ça me brûlait au niveau des anneaux, la pression était telle que là je me sentais mal. Je réajustais de nouveau le dispositif. Ma tête était aussi en feu. Il avait parlé de Lisa, j'avais bien entendu, mais déjà j'en doutais.

Un troisième homme approchait, il bandait également, il se plaçait juste à côté du second et lui posait une mains sur l'épaule. C'est lui qui parlait là . '' Tu m'en laisses un peu, tu serais mignon '' . A cette demande le second homme rigolait et lâchait la tête de Mathilde que ce nouvel arrivant s'empressait d'attraper et de tirer vers lui. Je voyais alors de visage de Mathilde de profil, je la voyais ouvrir largement la bouche et je pouvais voir également la queue de ce troisième arrivant s'enfoncer lentement mais bien à fond dans la bouche et la gorge de la fille. '' Mais comment elle fait ? Ça passe ou ? '' . Je ne comprenais plus rien. 

Tout le monde bougeait d'un coup. L'homme qui était allongé se relevait et passait dans une autre pièce, le second prenait sa place, Mathilde se relevait puis s'empalait sur le second. Elle avait les cuisses largement écartées et lui tournait le dos, d’où j'étais je voyais son sexe disparaître dans son vagin. Le troisième homme se mettait face à Mathilde, lui prenait la tête et enfonçait sa queue dans sa bouche. Rapidement il commençait à lui limer la bouche. 

Je tremblais, j'étais en sueur, ma queue me faisait mal, mes couilles aussi. J'étais dans une position désagréable, je bougeais, mon pieds glissait et je faisais du bruit. J'étais repéré ! Ils avaient entendu. Le premier homme revenait dans la salle …

… Il y a quelqu'un dehors !
… Tu es sûr ?
… C'est dans la cour !

Je détalais sans rien demander à personne. Je manquais d'air, cette histoire m'avait retourné. Je me cachais derrière un buisson. Mon cœur battait fort, je tremblais, je tentais de contrôler mas respiration pour ne pas me faire repérer.

J'entendais une porte s'ouvrir, quelqu'un faisait quelques pas sur la terrasse … J'étais en apnée à quelques mètres … '' Ça doit être un chat, il n'y a personne … ''. Je ne bougeais plus, je l'entendais rentrer, j'entendais la porte se refermer, je ne bougeais pas. J'étais tétanisé ...
 
Seul mon cœur résonnait dans le silence de la nuit !



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