PREMIÈRES AMOURS ( ép 1 à 4 / 4 )

PREMIERES AMOURS 01



Il y a peu je me serais damné pour être là ou je suis aujourd'hui. Mais finalement aujourd'hui, je ne suis plus si convaincu.

Elle s'était blottie contre moi, sa tête posée sur mon bras, je sentais son souffle contre mon épaule, ça me chatouillait un peu mais c'était agréable. Je sentais la douceur de sa joue contre ma peau. Je n'osais plus bouger, j'avais peur de la réveiller. Lisa, c'est ma copine, c'est la première fois que nous dormons ensemble. Enfin c'est surtout elle qui dort, moi je ne dors pas vraiment. 

Je me sens un peu tendu. La douceur de sa peau, contre moi, cette douceur infini contre la dureté de ma cage de chasteté. La chaleur de son corps contre la froideur du métal autour de ma bite. La tendresse de son contacte contre la dureté de ce contacte contre la queue. Cette dureté sans pitié, implacable qui ne laisse aucun espoir de libération.

Au dessus de mon lit il y avait la photo d'une de mes idoles, je jeune champion Jérémy Brosso. Vous avez sans doute entendu parler de lui. C'est un champion de sport universitaire, il est en plus très beau gosse et il fait du mannequina. C'est aussi lui qui assure la promotion des ces dispositifs de chasteté dont on parle tant depuis deux ans. 

J'en porte un depuis maintenant plusieurs mois.

Les filles, elles adorent ça. Elles adorent les garçons qui en portent un en permanence. C'est pour faire plaisir à ma copine que j'ai accepté d'en mettre un.  Elle me le rend par sa tendresse, sa gentillesse. Elle est très attentionnée avec moi maintenant mais …

Enfin vous comprenez, j'ai juste dix huit ans … Je porte ce truc depuis trois  mois … Je ne me suis pas branlé depuis trois mois … C'est pas cool ça … Surtout si on sais que je me branlais tous les jours !

… 

Non c'est pas vrai, ça ne rend pas sourd !

Par contre ça soulage, ça détend. Et là j'en aurais bien besoin. La présence de ma copine contre moi ne me laissait pas de marbre. Depuis le premier baiser que nous avions échangé ce soir, je sentait ma cage à bite se refermer, comme si elle devenait de plus en plus petite. Au premier baiser ma queue avait commencé à prendre du volume, doucement au départ puis avec plus de force. Maintenant la pression était maximum, à la limite de la douleur. Mais à la limite seulement, c'était seulement très désagréable, vraiment très désagréable. 

Ma queue poussait de toutes ses forces contre les parois de ma cage, l'anneau appuyait sous mes testicules et c'était certainement ça le plus désagréable. Pour le reste ça pouvait aller. 

Lisa bougeait, j'entendais un léger murmure et son bras me caressait le corps depuis mon épaule jusqu'à mon dispositif de chasteté. Sa main se posait sur mes testicules, elle ne bougeait plus. Je n'osais plus bouger moi non plus. Dans ma cage la pression devenait subitement encore plus forte. 

Je ne parvenais pas m'endormir, en plus comme j'étais allongé sur le dos, j'allais ronfler c'est sûr.

Vous savez les parents des jeunes fille de mon âge, leur pères surtout, sont très rassurés de savoir que le garçon que leur fille fréquente portent un dispositif de la marque PK. Ils sont sécurisés, et les garçons ne peuvent rien faire, de coquin en tout cas. On est obligé de rester sages !

Et moi je restais sage ! 

On avait fait un câlin, un gros câlin même. 

Elle m'avait donné un baisé, je le lui avait rendu. Non pas que je ne voulais pas le garder … Mais je dis n'importe quoi là !

Elle m'avait donné un autre baiser. Je l'avais prise dans mes bras. On avait prévu depuis quelques temps de dormir ensemble et justement on était chez moi, dans ma chambre, mes parents étaient absents et … finalement … elle m'avait ouvert la chemise et m'avait couvert de baiser sur tout le torse. 

C'est là que ma queue a commencé à protester, c'est là que je l'ai sentie devenir vraiment plus grosse vraiment plus dure. Puis elle a poussé contre les parois de ma cage, de toutes ses forces. 

Dans ma tête c'était un peu la panique, Lisa faisait glisser ma chemise sur mes épaules puis sur mes bras, je me retrouvais torse nue. Elle semblait faire une pause. J'en profitais pour lui ouvris son corsage. Elle s'était habillée pour sortir ce soir là. Elle portait un soutient gorge très sexy en dentelles. 

Je passait délicatement un doigt sous un de ses seins, juste à la limite du tissus, sa peau était douce, très douce et je la sentais frémir. Toujours avec délicatesses je recommençais mais en glissant le bout de mon doigt sous l'étoffe. Elle se penchait vers moi et m'embrassait avec passion.

'' Ça s'ouvre par derrière !''

Elle me donnait carte blanche. Je la prenais alors dans mes bras et la serrait contre moi. Je prenais bien le temps de lui caresser le dos en lui donnant des baisers pleins de tendresse dans le cou tout en recherchant le sésame, le petit dispositif d'ouverture. C'était un petit crochet qui ne résistait pas bien longtemps. Elle se révélait alors torse nue elle aussi. Je pouvais enfin voir sa fine poitrine, ses deux seins menus et élégants. Comment ne pas y toucher ? Comment ne pas les caresser ? Je ne cherchais pas à résister et c'est avec douceur que j'y posais les mains. 

Ils étaient fermes autant que doux. Ils se relevaient et devenaient plus fermes sous l'effet de mes caresses. J'y déposais quelques baisers et du bout de ma langue je lui chatouillais les tétons.

Lisa n'était pas si sage que je le croyais. Si pour moi c'était la première fois que je me retrouvais avec une fille, nue dans mon lit, ce n'était pas la première fois qu'elle se retrouvait avec un garçon dans cette situation. Elle avait plus d'expérience que moi !

Me repoussant en arrière elle s'allongeait sur moi. Je refermais mes bras sur elle. Ma queue protestait toujours et c'était la seule chose qui arrivait encore à me distraire des seins et de la peau de Lisa. 

Elle couvrait mon corps de baisers en commençant par mes épaules, je ne pouvais que me laisser faire et la caresser. J'aurais certainement pu faire plus mais j'en avais pas envie. Quand elle arrivait à mon nombril elle ne ralentissait pas le mouvement, ouvrait mon pantalon et continuait plus bas.

Elle me massait les couilles, c'était pas la première fois qu'elle se retrouvait dans ce genre de situation je vous dis. Elle prenait mes mains et le posait sur ses seins en me regardant avec une petit sourire. A cet instant la seule chose que je sentais c'était la pression de ma queue contre ma cage à bite.

A mon tour je lui caressait tout le corps, je relevais le torse et l'embrassais également. Elle m'avait montré l'exemple et quand j'arrivais à son pantalon je faisais comme elle. Elle me laissait faire et quelques minutes plus tard nous nous retrouvions tous les deux entièrement nus sur mon lit.

Mon dispositif se relevait de toutes ses forces devant moi. Lisa s'en amusait. 

Lisa : J'adore voir un mec comme ça moi !

Elle disait ça sans malice, enfin je suppose. Elle me caressait les couilles et s'amusait avec ma cage. 

Moi : Tu sais j'ai fait un moulage avant de porter ce truc.

Je ne sais pas pourquoi j'ai dit ça. Ça m'a échappé. Elle me regardait alors avec un regard plein se surprise et de curiosité.

Lisa : Tu fais voir !

Comme c'était prévu que je mettes le dispositif, j'avais pris soin de me faire un moulage de ma  bite. On trouve sur internet des kit pour faire ça facilement et le résultat était parfait. Je sortais le dispositif de sa cachette. Elle me l'arrachait des mains et l'examinait sous tous les angles.

Elle avait l'air fascinée. 

Lisa : Tu as de la ficelle ?
Moi : Bein non sur moi là, non pas vraiment !
Lisa : Des lacets ?
Moi : Oui ça j'en ai.

Je me relevais, ma cage se relevait devant moi et Lisa regardait tout ça d'un air vicieux. Avant que j'ai le temps de réagir, elle passait un des lacets dans mon dos, faisait une boucle puis une autre autour de la base de ma bite en plastique, repassait le lacet derrière mes cuisses et … Je me retrouvais avec une copie de ma queue bien en place, bien relevée, elle était appuyée sur ma cage. J'en croyais pas mes yeux, j'avais un instant l'impression de voir ma bite  à sa place …

En fait elle est toujours à sa place, je vous rassure, mais je ne peux plus m'en servir pour le moment c'est tout. Elle me tirait alors contre elle. Se collait contre moi, m'écrasait ses seins contre mon torse et glissait ma bite en plastique entre les cuisses. 

Elle se masturbait contre ma queue en caoutchouc. Là j'avais la cervelle en feu.

Avant que je ne comprenne tout ce qui se passait, elle me repoussait contre mon lit, je retombais sur le dos les bras en croix. C'était génial, un instant encore je voyais ma queue bander, comme quelques mois avant, quand  j'étais encore … Quand je pouvais encore me branler librement.

Elle s'allongeait sur moi, je ne comprenais pas vraiment ou elle voulait en venir mais c'était cool. Je sentais de nouveau la douceur de son corps, de sa peau. Elle se masturbait en frottant son entre-jambe sur mon ventre. J'étais en transe, ma queue hurlait à la mort, mon cœur allait exploser.

Lisa : C'est la première fois que tu te retrouves ainsi avec une fille.

Je faisais oui de la tête.

Lisa : Ce n'était pas une question !

Je souriais mais en fait, je ne savait plus trop quoi faire.

Sans prévenir elle soulevait le bassin et s'empalait sur ma bite en plastique … Je manquais d'air !

Elle se penchait de nouveau sur moi et m'embrassait en laissant ses seins me caresser le torse. Elle relevait également son bassin le rabaissait, je voyais ma bite s'enfoncer en elle et en ressortir.

Lisa : Suis le mouvement, soulève ton bassin comme moi, et suis le rythme.

Sans réfléchir, sans penser à rien, sans rien ressentir je m'exécutais. Sans rien ressentir, c'était ça le pire, je ne ressentait rien, cette bite était morte, froide et morte … C'est vrai qu'elle était en plastique aussi et c'était terriblement frustrant. Je lui caressais la poitrine, je lui caressais tout le corps. Elle se tortillait avec plaisir entre mes doigts, ça c'était génial.

Elle me guidait, me disait ce que je devais faire. Elle me disait quelles caresses elle voulait, quels baisers elle souhaitait. Je m'exécutais ! J'avais la tête en feu, je n'étais plus qu'un automate pour son plaisir. Je voulais lui demander mais je connaissais déjà la réponse, ce n'était pas la première fois qu'elle se retrouvait dans les bras d'un garçon et elle n'était plus vierge.

Dans ma tête c'était la folie, je me disais que j'allais apprendre ce qui plaît aux filles, ce qui lui plaît et que le jour ou je serait libre, le jour ou …

Par dessus tout j'aurais voulu retirer mon dispositif, je ne ressentais rien sinon ma queue qui poussait contre les limites de ma cage. Je regardais le bas de mon ventre et c'était la folie, je voyais ma queue entrer et sortir du sexe de ma copine. 

Elle se laissait tomber sur le côté et m'entraînait avec elle, elle me guidait et je me retrouvais au dessus d'elle dans une position plus conventionnelle. Elle passait ses jambes dans mon dos et m'invitait à continuer le mouvement. Je me lâchais. J'avançais et reculais le bassin en suivant le rythme qu'elle m'imposait. Je ne réfléchissais plus, dans ma tête il n'y avait plus rien, mon cœur battait fort et ma respiration était totalement irrégulière.

Elle se tordait entre mes bras, elle gémissait puis criait de plus en plus fort. Je l'ai senti trembler entre mes bras, je l'ai vu faire des grimaces, son visage se déformait sous l'effet du plaisir. Je l'ai entendu hurler puis retomber sur le dos en me criant de tout arrêter. Elle avait joui, elle avait pris son pied, elle … Moi je n'avais rien senti sauf les barreaux de ma cage. 

J'étais essoufflé, impressionné, étonné, je ne m'attendait pas à ça de sa part. Elle m'avait utilisé comme un sex-toy, je n'avais servi qu'à son plaisir.

J'étais en sueur, je m'effondrais à côté d'elle, je la regardais, elle me souriait. On ne disait plus rien. On ne bougeait plus.

Plus tard, bien plus tard, je la prenais dans mes bras. Elle retirait mon gode, je me dégageais des lacets, elle se glissait contre moi, tout contre, tirais la couette sur nous, me donnait un baiser sur le torse et se laissait aller, elle s'endormait. 

Elle avait l'air d'un ange, c'était un démon qui cachait bien son jeux mais elle avait l'air d'un ange. 

Je me sentais frustré comme jamais, je m'attendais à ce que la première fois, ma première fois ça soit autre chose.  Je m'attendais à en obtenir un vrai plaisir, un autre plaisir, là, je me sentais surtout frustré. Il manquait quelque chose. Depuis trois mois je vivais dans la frustration, mais là, la frustration avait dépassé tout ce que je pouvais imaginer. Une toute petite chose en moi me disait d'être heureux mais une toute petite chose seulement. Pour le reste ce n'était que … Frustration !




PREMIÈRES AMOURS 02



Quelques mois plus tôt j'avais été présenté à ses parents. J'en menais pas large ce jour là, son père m'avait pris à part pour me demander froidement si je portais un de ces dispositif de chasteté.

Son père : Tu sais pourquoi je voulais te parler en tête à tête ?
Moi : Pour mieux me connaître m'sieu.
S p : Non ! Enfin oui bien sûr il y a un peu de cela ! Est ce que tu portes un dispositif PK ?
Moi : Un de ces dispositifs de chasteté ?
S p : Je vois que tu sais de quoi je parles ! Tu ne réponds pas ?

Il était directe et le ton de sa voix l'était tout autant. Je n'osais pas répondre.

Moi : Bein non m'sieu.
S p : Et bien si tu veux revoir ma fille il le faudra !

Au moins c'était clair, il n'y avait pas d'équivoque.

Moi : Mais c'est que c'est pas donné ce genre de truc, vous avez vu le prix ?
S p : Il y a des moyens d'avoir de l'aide sur ce point, mais il faut aussi savoir faire un effort soi-même.

Passé cette première rencontre je savais ce qu'il me restait à faire.

S p : Tu me remettras les clés, et le certificat … Ensuite tu pourras voir ma fille tant que tu voudras.
Moi : Le certificat ?
S p : Tu vas dans un centre agréé, on t'installe le dispositif. Un modèle permanent en titane port permanent. On te remet un certificat et une boîte sécurisée contenant les clés. 
Moi : Port permanent ? … 

La je commençais à m’angoisser.

S p : Port permanent, pas port définitif. 

Je n'étais pas vraiment convaincu, vous devez vous en douter. Mais Lisa était tellement belle, douce, son sourire, ses yeux, son petit nez retroussé qui me faisait rire quand elle le grattait … Enfin j'étais amoureux, j'ai dit oui.

Ça m'a coûté une partie de mes économies. Mais le père de Lisa m'a aidé, je ne sais pas pourquoi j'ai dit oui, j'ai pas tout compris, je me suis engagé jusqu'au mariage ! 

Et si je me mariais pas avec Lisa moi ? Et si on venait à rompre, et s'il ne me rendait jamais la clé, et si … et si … C'était trop tard, j'avais accepté, je portais le dispositif et je n'avais plus la clé. Au moment ou je lui remettais les clés, j'ai senti mon sang se glacer dans mes veines. Mais il y avait Lisa !

De plus le dispositif est parfaitement bien étudié, il est au point et si on vous dit que ce n'est pas douloureux, c'est vrai. Si on vous dit qu'on ne le sent pas, c'est faux … On ne sent que ça ! Et si on vous dit que c'est agréable à porter, moi je n'irais pas jusque là. Si on vous dit que ça ne gêne pas les mouvements, alors c'est vrai et sous des vêtements classique c'est invisible, sous un vêtement moulant pas totalement … Enfin, il ne faut pas croire tout ce qu'on vous raconte. 

Le père de Lisa me faisait enfin confiance. Ne vous inquiétez pas il s'était aussi renseigné sur moi … J'étais dans une situation de confiance conditionnelle. Lisa était aux anges, le fait que je l’accompagnais lui permettait de profiter d'une plus grande liberté.

Tous les week-end nous avions l'autorisation de sortir en boite et de ne rentrer que lors de sa fermeture. Je n'avais bien sûr pas intérêt de boire de l'alcool ou de fumer, surtout un de ces trucs qui rend nigaud. On me l'avait dit clairement je n'aurais pas de deuxième chance.

Lisa était dégourdie et pas du tout timide. A cette époque je croyais encore qu'elle était vierge, c'est aussi ce que croyais son père remarquez ! On se rapprochait, on flirtait, j'avais le droit de la tenir dans mes bras, de la caresser. J'ai beaucoup aimé sentir son corps, ses seins, ses baisers. Elle était très contacte physique, très câline, très tendre.

J'aimais moins, mais beaucoup moins sentir ma queue emprisonnée en permanence. J'aimais moins sentir la dureté du métal contre la peau de ma bite le matin quand je me réveillais, avec une érection naturelle contrariée … Contrariée, c'est joliment bien dit ça. C'est le terme officiel de la société PK ça, érection contrariée. Ouai bein je peux vous dire que le matin il n'y avait pas que mon érection matinale qui était contrariée !

Rapidement Lisa est devenue très complice, au bout d'à peu près un mois je me suis rendu compte qu'elle m'utilisait comme excuse pour sortir de chez elle en semaine. Un jour ou je rencontrait son père.

S p : Salut Charly, ça va ? … Alors ça s'est bien passé hier avec ma fille, le film était bien ?
Moi : Super, on a passé une super soirée !

J'avais répondu par pure réflexe et je ne réagissais que quelques instants plus tard. Il était rendu loin. Mais la veille je n'avais pas vu Lisa …

Quand je lui en parlait je lui demandais des explications.

Lisa : J'étais avec ma copine Mathilde, on  est sorti ...
Moi : Mais tu te rends compte ! J'ai répondu mécaniquement mais si j'avais dit que je ne t'avais pas vu. Et puis pourquoi tu ne lui dit pas que tu étais avec Mathilde ?
Lisa : Parce que si je suis avec toi il ne pause pas de questions. C'est plus facile de lui dire que j'étais avec toi …

Puis elle m'embrassait tendrement en me prenant dans ses bras, je sentais la chaleur de ses seins contre moi et rapidement je ne me posais plus de questions. Je lui rendais ses baisers, on était en publique mais nous étions fiancés et je portais un dispositif PK. On avait donc le droit de flirter !

De temps en temps elle me téléphonait pour me dire que qu'elle passait la soirée avec sa copine. Elle me suggérait un film qu'elle connaissait, je n'avais plus qu'à le visionner au cas ou on me poserait des question sur ce que nous avions vu. Je n'aimais pas vraiment cette situation, pas du tout même. J'avais l'impression de trahir son père, et j'avais aussi très peur qu'il ne découvre notre petit mensonge. 

Ce n'était pas bien méchant comme petit mensonge, elle était avec sa copine et tout ne pouvait que se passer bien. Je laissais faire et tout continuait à bien se passer. Le week-end nous le passions toujours ensemble. Je passais la chercher en début de soirée, quelquefois je soupais chez elle avec ses parents. Son père ne posais plus de questions. Ensuite nous sortions, en boîte de nuit, au bowling, au cinéma … Enfin dans un endroit convenable. Elle obtenait l'autorisation de dormir chez moi, mes parents étaient là et on a une chambre d'amis … Je n'avais pas le choix je ne pouvais qu'être sage. 

Dans la nuit elle se glissait dans ma chambre, on dormait tendrement enlacé, mes parents fermaient les yeux sans pour autant l'avouer …  

Tout se passait bien. Sauf que ma queue ne voyait pas les choses de cette manière, à chaque fois que je voyais Lisa ma queue se rappelait à mon bon souvenir. Je la sentais se contracter, devenir plus dure, plus grosse. C'était ça ou alors c'était la cage qui devenait plus petite, mais ça c'était impossible. Au début on s'inquiète quand ça arrive, on se dit que vu la sensation que ça procure ça doit se voir, mais en fait c'est totalement invisible. 

Un soir que Lisa passait chez moi, je devrais dire chez sa copine Mathilde , mon téléphone sonnait, c'était son père. Je préférais ne pas répondre, je prendrais la message et prétexterais que je l'avais mis en veille. Il me demandait de ramener Lisa, dès que possible sans trop me donner d'explications.

Là je paniquais un peu !  J'appelais Lisa sur son téléphone, c'est elle qui répondait, elle semblait de mauvaise humeur mais se reprenait rapidement. Je lui expliquais, elle me demandait de venir la chercher et me donnait l'adresse. 

C'était dans la périphérie de la ville, j'y arrivais vite. Elle m'attendait devant la maison. Moins d'une heure après l'appel de son père je la lui ramenais. Tout se terminait bien !

Mais c'était quoi cette adresse, c'était quoi cette maison ?

Je décidais d'y retourner, pour voir …

Il y avait plusieurs voitures devant et de la lumière, je me glissais dans le jardin et discrètement regardais ce qui se passait à l'intérieur. Bein quoi c'est de ma copine qu'il s'agit.

C'était sa copine Mathilde que je voyais, elle était nue, elle a des seins énorme cette fille, j'en revenais pas. De très beau seins, mais énorme. C'est pas une surprise, toute habillée on voit qu'elle a une grosse poitrine mais toute nue c'est autre chose … A côté Lisa n'a presque pas de poitrine, Mathilde a vraiment une grosse poitrine qui se tient très bien.

Je la voyais à moitié de dos, je ne voyais pas ou elle était mais elle se balançait en se soulevant avec régularité. Je voyais un de ses seins se balancer, ils se tenaient bien, ils était lourds mais ils se tenaient bien. Une main remontai sur le sein que je voyais. Là je ne comprenais plus ce qui se passait.

Je me déplaçais légèrement pour voir un peu mieux, il y avait un homme allongé sur un lit. Il était nu, il était allongé sur le dos, elle le chevauchait, elle s'était empalé sur lui et se soulevait légèrement puis se laissait retomber. Elle penchait la tête en arrière, gémissait et ne cachait pas son plaisir. Son amant lui caressait les hanches, relevait le bassin et retombait. 

Il remontait ses mains le long du corps de Mathilde, il lui caressait les seins avec douceur, elle se penchait vers lui, lui donnait un baiser sur le torse avant de l'embrasser avec passion sur la bouche. Je voyais maintenant le sexe de l'homme s'enfoncer et ressortir du sexe de Mathilde.

Je ne vous dis pas dans quel état j'étais, ma queue protestait comme jamais, elle refusait de rester confinée plus longtemps. La cage devenait vraiment gênante, ce n'était plus seulement désagréable, rapidement ça devenait insupportable. L'anneau cock-ring me faisait presque mal surtout sous les testicules. À la base de ma queue l'anneau de ma cage comprimait ma bite avec une telle force que j'étais obligé de réajuster le dispositif, je glissais une main dans mon pantalon, tirais sur la peau, c'était toujours désagréable mais ça allait mieux. 

Un autre homme s'approchait, il était nu, il s'approchait du lit, caressait le cou de Mathilde, puis sa main glissait sur son épaule, son dos. Il se retournait face à elle et lui caressait les seins. Je le voyais maintenant de face, il bandait. De nouveau je sentais ma queue manifester, un mouvement violent qu'elle ne pouvait plus faire mais elle tentait toujours, elle n'acceptait pas cette nouvelle situation pour elle.

Mathilde tournait le visage vers le nouvel arrivant, il était bien monté. Moi j'ai une bite plus petite … C'est vrai qu'en ce moment on s'en moque un peu … Il était bien monté mais ça ne semblait pas faire peur à Mathilde, sans aucune hésitation elle passait une mains sous ses testicules et le tirant doucement vers elle elle prenait sa queue dans la bouche avec facilité. 

D’où j'étais je ne voyais pas tout mais je devinais son visage s'écrasant sur le ventre de cet homme. Je devinais cette queue énorme qui entrait bien à font en même temps que la mienne protestait de plus en plus fort. C'en était presque douloureux. 

Il avait posé sa main sur la nuque de Mathilde et appuyait ou suivait le mouvement. Il faisait un mouvement du bassin doux et lent. Mathilde reculait par réflexe sa tête mais là je devinais que l'homme appuyait et l'obligeait à avaler sa queue sur toute la longueur. Il retenait le visage de Mathilde bien appuyé sur son ventre, sa queue bien enfoncée, bien à fond.

Mathilde n'avait pas arrêté de se balancer sur elle même et la queue du premier homme continuait son mouvement, elle entrait entre les cuisses généreuses de cette fille que je regardais maintenant d'un autre œil puis en ressortait. Un peu plus vite, un peu plus lentement, il contrôlait maintenant le mouvement et les coups de bassins devenaient plus violents ou plus doux, plus rapides ou plus lents.

Le visage de Mathilde se retirait en arrière, le second homme lui laissait un peu de temps pour reprendre son souffle puis, de nouveau, lui appuyait sur la nuque et enfonçait sa queue bien à fond. Il y mettait maintenant les deux mains.

Si d'une main Mathilde tentait de le retenir, de se protéger. Ils écartaient sa main et continuaient avec encore plus de force leurs mouvement. Quand elle retirait son visage c'était pour gémir, pour crier, pour hurler … De plaisir, je n'en doutais pas, elle n'essayait pas vraiment de se dégager.

Ses gestes devenaient irréguliers, elle jouissait et ne le cachait pas. Ses cris, ses gémissements se transformaient en plaintes qui ressemblaient à des sanglots. Mais des sanglots qui disaient … Encore, encore, encore.

L'homme, allongé sous elle, gémissait à son tour. Ses mouvements devenaient  irréguliers également. Je l'ai ressenti quand il à joui, un puis deux coups de bassin, secs, rapide, violent puis il se laissait retomber sur le dos. Il se laissait retomber sur le lit et ne bougeait plus. Mathilde également ne bougeait plus.

Seule sa tête continuait a aller d'avant en arrière mais ce mouvement là, elle ne le contrôlait plus. Le second homme qui était apparu avait pris le contrôle de la situation et c'est lui qui avec ses deux mains tenait, retenait fermement la tête de Mathilde et lui enfonçait la queue jusqu'à la gorge.

J'entendais un des deux hommes '' C'est dommage que Lisa n'ait pas pu rester. On s'amusait bien ''. Puis l'autre lui répondait … '' Elle est chaude Lisa !''.

Ma queue était en feu, ça me brûlait au niveau des anneaux, la pression était telle que là je me sentais mal. Je réajustais de nouveau le dispositif. Ma tête était aussi en feu. Il avait parlé de Lisa, j'avais bien entendu, mais déjà j'en doutais.

Un troisième homme approchait, il bandait également, il se plaçait juste à côté du second et lui posait une mains sur l'épaule. C'est lui qui parlait là . '' Tu m'en laisses un peu, tu serais mignon '' . A cette demande le second homme rigolait et lâchait la tête de Mathilde que ce nouvel arrivant s'empressait d'attraper et de tirer vers lui. Je voyais alors de visage de Mathilde de profil, je la voyais ouvrir largement la bouche et je pouvais voir également la queue de ce troisième arrivant s'enfoncer lentement mais bien à fond dans la bouche et la gorge de la fille. '' Mais comment elle fait ? Ça passe ou ? '' . Je ne comprenais plus rien. 

Tout le monde bougeait d'un coup. L'homme qui était allongé se relevait et passait dans une autre pièce, le second prenait sa place, Mathilde se relevait puis s'empalait sur le second. Elle avait les cuisses largement écartées et lui tournait le dos, d’où j'étais je voyais son sexe disparaître dans son vagin. Le troisième homme se mettait face à Mathilde, lui prenait la tête et enfonçait sa queue dans sa bouche. Rapidement il commençait à lui limer la bouche. 

Je tremblais, j'étais en sueur, ma queue me faisait mal, mes couilles aussi. J'étais dans une position désagréable, je bougeais, mon pieds glissait et je faisais du bruit. J'étais repéré ! Ils avaient entendu. Le premier homme revenait dans la salle …

… Il y a quelqu'un dehors !
… Tu es sûr ?
… C'est dans la cour !

Je détalais sans rien demander à personne. Je manquais d'air, cette histoire m'avait retourné. Je me cachais derrière un buisson. Mon cœur battait fort, je tremblais, je tentais de contrôler mas respiration pour ne pas me faire repérer.

J'entendais une porte s'ouvrir, quelqu'un faisait quelques pas sur la terrasse … J'étais en apnée à quelques mètres … '' Ça doit être un chat, il n'y a personne … ''. Je ne bougeais plus, je l'entendais rentrer, j'entendais la porte se refermer, je ne bougeais pas. J'étais tétanisé ...
 
Seul mon cœur résonnait dans le silence de la nuit !




PREMIÈRES AMOURS 03



Quand on s'est revu le lendemain je me posais beaucoup de questions. Lisa arrivait accompagnée de sa complice de la veille sa copine Mathilde.

Lisa : Salut Charly, tu as bien dormi. 

Elle me donnait un baiser d'une tendresse à laquelle je ne m'attendait pas.

Mathilde : Tu as trouvé facilement hier.

Je faisais oui de la tête.

Moi : Mais vous étiez chez qui ?
Mathilde : On était chez une vieille cousine que mes parents n'aiment pas.
Lisa : Ils ne veulent pas que Mathilde la voie.
Mathilde : Des histoires de famille. 

Lisa était dans mes bras et je ne sais pas pourquoi mais brusquement je ne me posais moins de questions. C'est vrai que je ne connais pas le quartier, Lisa m'avait attendu devant une maison mais ça veut pas dire que c'est là qu'elle était …

Et puis Mathilde … La fille que j'avais vu la veille ne lui ressemblait pas tant que ça finalement et de plus je ne l'avais vue que de dos ou presque … '' Moi et ma curiosité, je me fais vraiment du cinéma dans ma tête. J'aurais pu avoir des ennuis si on m'avait trouvé dans le jardin d'un inconnu. '' … '' En tout cas il y a des mecs qui ne s'ennuient pas ! '' . C'est ainsi que je m'expliquais l'histoire de la veille. J'en restais là !

On reprenait nos habitudes …

Quelques temps plus tard, c'est au téléphone avec sa copine Mathilde que j'entendais ma douce colombe discuter …

Lisa : Mince alors on est coincées, et ta voiture tu vas la récupérer quand ?
Lisa : Mais comment on va faire alors ?
Lisa : C'est ennuyeux, vraiment très ennuyeux ?
Lisa : Qui ça ? ... Il sera là aussi ! Il faut trouver une solution !
Moi : Tu as des problème ma puce. 
Lisa : Rien de très grave …

Elle me prenait alors dans ses bras et me donnais un baiser comme elle ne m'en avait jamais donné. Elle redressait tout son corps contre le mien me laissant ainsi bien apprécier ses deux seins qui s'écrasaient contre mon torse. Si je n'avais pas déjà été amoureux … Je le serais devenu ! Dans sa cage ma bite hurlait de colère, presque trois mois s'étaient passés depuis que je m'étais laissé enfermer. 

Puis sur un ton timide … 

Lisa : Mathilde voulait sortir voir sa cousine ce soir. 
Moi : Et quel film devra-t-on regarder ?

C'était la ruse, si jamais son père me parlait du film que Lisa et moi étions sensé avoir vu ensemble, nous aurions elle et moi la même histoire à raconter.

Ce soir là, c'est moi qui les ai conduit en voiture. C'était bien le même quartier mais pas la même rue, je m'étais donc bien trompé de maison l'autre jour quand j'étais revenu. Lisa m'embrassait et me laissait repartir. 

Plus tard dans la nuit elle me téléphonait pour que j'aille les chercher. 

Lisa : Le film était bon ?
Moi : Je l'avais déjà vu mais avec toi à côté de moi c'était un plaisir de le revoir.
Lisa : Tu es un amour. 

Elle m'embrassait avec encore beaucoup de passion, elle sait faire disparaître tout soupçon ! Je ramenais les deux filles chez elles.

Le week-end suivant Lisa avait prévu de passer voir sa cousine avec son amie Mathilde puis de terminer la soirée avec moi. Je devais la déposer dans le quartier que je commençais à connaître et aller la rechercher plus tard dans la nuit. 

Comme prévu je la déposais, toujours dans une autre rue et d'un autre quartier cette fois. Je m'en étonnais.

Mathilde : Ma cousine est chez une de ses amies ce soir …

Je n'insistais pas. Aussitôt je rentrais chez moi et j'attendais. Elle me téléphonait bien plus tôt que prévu, il n'était pas encore minuit. C'était ce fameux soir … On est alors rentré chez moi, mes parents n'étaient pas à la maison pour tout le week-end. C'est ce jour là qu'elle avait voulu dormir avec moi. C'est ce soir là que pour la première fois je l'ai tenue dans mes bras. C'est ce soir là que je lui ai montré mon gode, enfin le moulage de ma bite et qu'on l'a essayé.

C'était la première fois.

Dans la semaine qui suivait elle me demandais encore une fois de la couvrir. Toujours la vieille cousine, puis la semaine suivante encore … Ce n'était jamais la même adresse. 

Encore un peu plus tard, je portais à l'époque mon dispositif depuis plus de quatre mois si je me souviens bien. Je la laissais seule à l'adresse qu'elle me donnais.

C'est ce soir là que j'ai eu le premier doute. Mathilde n'était pas là et c'était sa cousine à elle … Je me posais des questions. Je laissais Lisa en face d'une maison et je repartais en prenant bien mon temps, je repérais ou elle entrait pour qu'il n'y ait pas de doute et je m'éloignais. J'allais garer la voiture un peu plus loin et je revenais discrètement. 

Tout comme la première fois je me glissais dans le jardin, assez facilement je parvenais à voir ce qui se passait par une fenêtre. C'était la bonne maison, il y avait deux hommes jeunes et Lisa dans un salon. Je ne savais pas si c'était les mêmes que j'avais vu avec Mathilde quelques semaines plus tôt.

Je dis avec Mathilde, parce qu'à ce moment ça ne faisait plus aucun doute il s'agissait bien de Mathilde l'autre soir, c'était évident. J'avais été ridicule. J'étais très en colère mais malgré tout j'espérais qu'il y ait une explication. Je me disais que je m'était fait rouler mais quelque part en moi il restait toujours un espoir que tout s'explique jusqu'au moment ou un des jeunes hommes se plaçait devant Lisa ouvrait et baissait son pantalon, il bandait et sans plus de formalités il enfonçais sa queue dans la bouche de ma copine qui le recevait avec facilité.

L'autre jeune home : Alors comme ça Mathilde ne peux pas être avec nous ce soir ? 
Le premier : Heureusement que toi tu es une grosse gourmande !

Ils rigolaient de bon cœur. Lisa suçait avec un plaisir évident la queue du jeune homme. Elle le tirait vers elle et avalait jusqu'à la garde cette queue qui m'avait parue pourtant de belle taille. J'étais dans tous mes états, pour une fois ma queue ne protestait pas, enfin pas tout de suite. J'étais vexé, humilié, j'avais accepté de porter un dispositif de chasteté pour des années peut être … Pour ça ! Elle s'était moqué de moi.

Elle m'allumait et moi je restais chaste. Elle s'envoyait en l'air avec tous les mecs qu'elle voulait et moi je restais sous clé. Frustré, je ne pouvais même plus me branler. La colère montait en moi. J'avais presque envie de chialer.

Je ne bougeais pas, je regardait la scène, je vous garanti qu'il ne fallait pas la pousser pour qu'elle suce la Lisa. Je pouvais voir qu'elle aimait ça. Le second garçon s'approchait, pendant ce temps il avait retiré ses vêtements et il bandait. Sans aucune hésitation Lisa lui caressait l'intérieur de la cuisse de la main, la remontait, s'attardait un moment sur ses couilles puis le masturbait doucement.

Quelques instants plus tard, elle se retournait vers lui, le tirait doucement vers elle en prenant sa queue dans la bouche. Là je la voyais faire de profil, elle était belle pourtant, la queue du mec était de très belle taille. Ah oui juste avant je parlais de Lisa quand je disais qu'elle était belle, la queue du mec aussi était belle, bien longue, bien large, bien grasse. Il était circoncis et il avait un très beau gland. 

Je voyais cette queue entrer sans difficulté jusqu'au fond de la gorge de Lisa puis ressortir. Je me demandais comment on pouvait arriver à faire un truc pareil, non mais franchement c'est trop gros, bien trop gros. Ou alors il fallait se rendre à l'évidence … Ma copine Lisa était une grosse pute !

Je me sentais humilié. Mais la scène était stimulante et je sentais comme une pression dans ma cage de chasteté. Je bandais, c'est un truc qu'on ne contrôle pas toujours et là ça échappait totalement à ma volonté. Je m'imaginais à la place du mec. Ça aurait du être ma place. C'est avec moi qu'elle était fiancée, lui il en profitait mais pour moi c'était ceinture !

Le mec lui tenait fermement la tête et la tirait vers lui avec force et vigueur. Il balançait son bassin en avant et je devinais son gland qui s'écrasait contre la gorge de ma copine. Elle aimait ça la garce, elle retirait sa tête et masturbait le mec avec un plaisir visible. Elle relevait la tête et lui souriait. L'autre s'approchait, Lisa tournait la tête vers lui et de nouveau prenait sa queue dans la bouche. Là je la voyais de dos.

Lisa se relevait pendant qu'un des deux hommes se déshabillait totalement, l'autre qui était déjà nu prenais Lisa dans ses bras et lui retirait ses vêtements un à un, il était rejoint par son camarade et c'est ensemble qu'ils retiraient les derniers vêtements qu'elle portait. J'avais tenu ce corps dans les bras quelques semaines plus tôt, mais moi il fallait que je porte un dispositif de chasteté pour avoir le droit ne serait-ce que de l'embrasser. 

Ils se serraient contre elle, leurs mains passaient partout sur le corps de Lisa, elle se laissait faire. Celui qui était devant elle se laissait tomber à genoux et son visage disparaissait entre ses cuisses. Elle relevait la tête en arrière, le second l'embrassait tendrement dans le cou. Elle se penchait contre lui, il la retenait. Le premier se relevait et se glissant entre ses cuisses il la pénétrait. Elle se cambrait et gémissait de plaisir …

La garce !

La ma cage était devenue trop petite, ma queue se sentait à l'étroit la dedans et protestait. Surtout que le spectacle, outre le fait que le personnage féminin était une garce, me stimulait et m'excitait, je respirais fort et je commençais à trembler. Je me serais damné pour pouvoir prendre la place d'un des garçons. Ils étaient plus vieux que moi mais pas tant que ça, il devaient avoir moins de vingt-cinq ans. La première fois je n'avais pas pu voir leur visage mais là je les voyais bien.

Le mec enfonçait bien sa bite en Lisa, il la retenait en passant une mains sur ses reins, elle se penchait en arrière et le second mec la retenait lui caressait les seins tout en l'embrassant. On ne me fera pas croire qu'elle n'aimait pas ça. Ça explique pourquoi elle avait voulu jouer avec ma bite en plastique l'autre jour.

Lisa finissait par s'allonger sur le lit, le gars qui la retenait jusque là s'allongeait sur elle. Elle ne laissait pas les chose se passer comme ça, elle écartait les cuisses, passait ses jambes dans son dos et refermait ses bras sur lui. Il la pénétrait à son tour et commençait sans attendre des mouvement de bassin.

Je les voyais, les deux corps se caressaient l'un l'autre. Il relevait son bassin puis le rabaissait longuement en l'avançant vers Lisa, avec ce mouvement il enfonçait sa queue bien à fond, il prolongeait ensuite le mouvement vers Lisa qui refermait ses jambes en le tirant vers elle. Elle relevais le torse en s'appuyant sur ses coudes, il passait un un bras dans son dos et son visage disparaissait dans sa poitrine. 

Je respirais fort, mon cœur battait à tout rompre, ma queue protestait dans sa cage. J'étais en rage. Je ne savais pas quoi faire, ni à ce moment ni plus tard avec Lisa. Je vais rompre, je pensais à la clé que son père gardait. Et si je la dénonçait à son père … Que comprendrait-il ? Sa fille est tout pour lui, elle le mène par le bout du nez, elle lui donnerait une explication et il l'accepterait. Et moi je passerais pour le méchant, il ne me donnerait pas ma clé. 

Je ne vais tout de même pas rester dans cet état toute ma vie moi !

Je tremblais, mes muscles tremblaient et mon pied glissait, il tapait sur le sol, faisait du bruit. Lisa et le mec ne remarquaient rien, ils étaient en pleins ébats. Il relevait et rabaissait son bassin avec vigueur maintenant, elle gémissait, il râlait. Par moment il accélérait le mouvement, par moment il ralentissait, ses mouvements devenaient plus lents mais plus amples puis plus rapides et plus courts.

Je tremblais de tout mon corps en voyant ça, je chialais à moitié. J'étais perdu, je ne savais plus quoi faire, j'étais trahi. Elle s'était moqué de moi depuis le début. Là je comprenait tout. Un porteur du dispositif donne confiance, j'en portais un. Les parents des jeunes filles sont rassurés de voir leur fille sortir avec un mec comme moi … Il n'y a plus de risque !

Lisa m'avait manipulé depuis le début, grâce à moi elle pouvait facilement sortir et se faire sauté par n'importe qui comme c'était le cas. La méfiance de ses parents était éteinte, grâce à moi ! C'était une garce !

A ce moment une main s'abattait sur mon épaule.

'' Alors mon petit père on joue les voyeurs !''

Je hurlais de surprise, Lisa et son lascar tournaient les yeux vers la fenêtre. De l'intérieur il ne pouvaient pas me voir mais il pouvaient m'entendre. Je tentais de me dégager, je recevais alors une gifle violente, j'étais sonné, je n'entendais plus rien de l'oreille gauche. Il était plus fort que moi.

Il m'agrippait par mon blouson, je ne pouvais pas résister, il me tirait vers lui. A ce moment je pouvais le voir, c'était le deuxième mec que j'avais vu avec ma copine, il était toujours à poil et de prêt il était impressionnant. Plus large que moi, plus musclé que moi, il avait une queue plus grosse que celle que je m'étais moulé, il était plus grand que moi également et il me tirait vers la terrasse de la maison, j'étais obligé de suivre. Il appelait les autres.

Il me tirait dans le salon, à ce moment Lisa et le second mec arrivaient.

Le gars : Regardez ce que j'ai trouvé, il est plutôt mignon en plus il pourrait se trouver une copine ou un copain facilement. Mais apparemment il préfère jouer les voyeurs.

A cet instant je ne sais pas si c'était un sentiment de honte ou de colère qui dominait en moi. Lisa me regardait …

Lisa : Mais qu'est ce que tu fous là toi ?




PREMIÈRES AMOURS 04



Elle était là, nue, devant moi. Son lascar s'approchait d'elle, passait un bras autour de son ventre et lui donnait un baiser dans le cou. Je poussais un coup de sang et voulait intervenir. J'avais à peine le temps de faire un mouvement que je recevais une gifle particulièrement forte. J'étais sonné et je n'entendais plus rien de l'autre oreille ce coup-ci. J'avais la tête baissée, je n'étais pas fier, je chialais de nouveau. J'étais calmé, je posais ma main sur la joue qui me faisait mal.

Le mec qui tenait Lisa, la caressait doucement, il se collait dans son dos, lui caressait le corps en s'attardant particulièrement sur ses seins et sur son sexe. Il bandait de nouveau le mec et je voyais son gland qui se relevait entre les cuisses de Lisa, elle s'en amusait, tournait la tête en arrière et l'embrassait sur la bouche.

Elle se foutait de moi, je serrais les poings.

Le mec qui me tenait par le blouson me jetais sur le fauteuil, je m'y écroulais, je faisais la gueule. '' Alors tu le connais cet animal ? ''.

Lisa : Oui Yan, c'est lui mon officiel, mon fiancé officiel.
Yan : Celui dont tu nous as parlé ?
Moi : Tu leur a parlé de moi.
Yan : Toi, si tu fais chier je te claque ! Dan, tu en penses quoi, qu'est-ce qu'on va faire de lui ?

Dan continuait à embrasser et à caresser Lisa. Puis relevais la tête.

Dan : Je ne sais pas moi,  on peut lui demander de faire le service.

Il éclataient tous de rire.

Yan : Tu sais faire des cocktails ? 

Je les regardais sans comprendre.

Dan : Tu sais sucer ?

De nouveau ils éclataient de rire.

Dan agitait sa queue juste devant mon visage … '' Allez montre moi ce que tu sais faire ! ''.

Lisa pouffait de rire.

Lisa : Vas y montre nous ce que tu sais faire.

Là je faisais vraiment la gueule. J'étais dans une drôle de situation. Ma copine à poil avec deux mecs à poil eux aussi, moi tout habillé avec un des deux mecs qui bandait juste devant mon nez et qui voulait que je le suce. 

Lisa s'approchait de moi, me prenait par le col de mon blouson, je me relevais, elle me prenait dans ses bras, je sentais ma queue qui se révoltait dans sa cage. Elle m'embrassait et glissait ses mains sous mon blouson qui tombait dans mon dos. Dans ce genre de situation elle me fait tout oublier. J'étais tétanisé, je ne bougeais plus, elle glissait ensuite ses mains sous mon pull-over et sous ma chemise. Je ne comprenais plus rien de ce qui se passait et quand je commençais enfin à réagir j'étais torse nue. 

Dan et Yan s'approchaient de moi et commençaient à me tâter un peu partout. Ils avaient un grand sourire, pendant quelques instants je les avais presque oubliés ces deux là au moment ou j'étais dans les bras de Lisa. Je râlais.

Lisa continuait en m'ouvrant le pantalon. Là je me sentais vraiment gêné et je voulais l'en empêcher mais ils me retenaient les mains.

Yan : Laisse la faire, c'est ta copine ou bien ?

Lisa baissait mon pantalon et mes sous vêtements, je me retrouvais nu avec le pantalon sur les chevilles. Yan n'attendait pas pour me tâter les couilles, mon dispositif l'amusait beaucoup. Je voulais me dégager mais son copain Dan me retenait en me tenant les bras dans mon dos, il était plus fort que moi. Ils étaient tous les deux plus forts que moi. 

Lisa s'accrochait à moi et m'embrassait en écrasant ses seins contre moi. J'étais neutralisé, je ne savais plus si je devais me dégager. L'autre con me tripotait les couilles … Pardon je voulais dire les autres cons me tripotaient les couilles et moi je prenais Lisa dans mes bras.

Il ne leur fallait que quelques instants pour m'entraîner dans la chambre, mes vêtements restaient sur place. Je me retrouvais allongé sur le lit, Lisa me chevauchait, et m'embrassait avec passion. Je ne comprenais plus rien, je caressais les hanches de Lisa. J'avais la tête en feu, dans ma cage de chasteté c'était un peu la panique. La cage ne m'avait jamais paru si petite, elle m'écrasait la queue, me la compressait et cette pression sous mes couilles devenait vraiment insupportable. Personne ne s'en inquiétait.

Les deux mecs me tripotaient un peu partout. La main que je sentais d'abord sur mon épaule, j'avais cru que c'était Lisa mais finalement c'était … je ne sais même pas qui c'était en fait …
Il y en a même un qui s'amusait à me tripoter les couilles fermement, il me faisait mal le con, je voulais me dégager  mais je recevais une claque, Lisa m'embrassait avec passion et le mec m'écrasait les couilles encore plus fort. Je gueulais mais Lisa savait me faire taire. Elle m'embrassait.

Mon cœur battait fort, ma respiration était totalement incontrôlable, ma cervelle était en feu, je ne comprenais plus rien ça durait depuis un moment, je ne savais pas combien de temps cette histoire a duré quand à un moment, comme en état second je me suis relevé.

Je relevais mon torse à la verticale, je prenais Lisa dans mes bras, l'embrassais partout ou je pouvais, sur les lèvres bien sur, sur les épaules, les seins. J'écartais en même temps les cuisses et rapprochais les pieds en soulevant les genoux. On me caressait les cuisses, on me tripotait les couilles, un doigt tentait même de se glisser entre mes fesses, je pouvais me voir dans les yeux de Lisa et je sentais des baisers et des caresses dans mon dos. 

Moi si réservé d'habitude, je n'étais plus moi-même !

Un des deux garçon se plaçait juste à côté de nous, il bandait et il tendait sa queue à Lisa, devant moi, juste en face moi je la voyais passer doucement sa langue autour de son gland, ma queue protestait de jalousie et poussait de toutes ses forces contres sa cage, en vain. Ensuite c'était les lèvres de Lisa qui enroulaient doucement la bite du gars et je la voyais s'enfoncer lentement dans la bouche puis dans la gorge de Lisa. Je l'embrassais dans le cou, juste en dessous de l'oreille pendant qu'elle suçait son ami. 

Il ressortait sa queue, à mon tour pris d'une forme de folie je la prenais dans ma bouche. C'était la première fois que je faisais ça moi. Je ne sais pas ce qui m'a pris, il ne m'a même forcé, il ne s'y attendait pas. J'entendais les deux garçons rigoler. Le second en profitait pour s'installer de l'autre côté de nous et c'est Lisa qui le suçait lui.

Quand je retirait mon visage je le retournais vers Lisa, l'embrassais sous l'oreille. Elle retournait alors son visage vers le mien, m'embrassait avec passion, ma queue protestait encore, mon corps frémissait contre sa peau, contre ses seins. Nous échangions alors de partenaire et je suçais le second garçon.

Ils n'en revenaient pas et Lisa non plus. Elle m'avait étonné peu de temps avant maintenant c'était à moi de l'étonner. Je m'étonnais moi-même aussi il faut dire.

Un des garçons s'absentait quelques instants et revenait avec un gode ceinture. C'est le genre truc qu'on avait tenté de bricolé Lisa et moi quelques semaines plus tôt avec ma queue en plastique. Lisa comprenait tout de suite ou il voulait en venir, se dégageait.

Yan : Viens par là toi, tu vas comprendre ce que je veux !

Je me relevais et avec expertise, il m'installait rapidement le dispositif, je me retrouvais face à un miroir à poil avec une belle bite qui bandait là ou la mienne n'avais plus droit de citer. Juste en dessous de la bite en plastique il y avait mon dispositif PK, la pression était telle qu'il se soulevait par intermittence. Ça me faisait bander encore plus mais ma queue, ma vraie queue restait confinée.

Lisa s'allongeait sur le lit, elle me regardait avec un grand sourire, elle écartait les jambes et m'ouvrait les bras. Je m'allongeais sur elle, doucement je la pénétrait avec mon gode fixé à ma ceinture. Elle m'embrassait pour m'encourager et bien me faire savoir que c'était ça qu'elle voulait. Les deux garçons me caressaient le dos. 

Une main se glissait entre mes fesses, un doigt finissait par se glisser dans mon cul. Je me contractais, Lisa me glissait à l'oreille … '' Laisse le faire ! ''. je n'étais plus dans on état normal, je peux vous le garantir sinon je n'aurais pas laissé faire. Mais là je laissais faire.

J'avançais et reculais mon bassin avec douceur dans un mouvement ample et lent. Je sentais le corps de Lisa trembler entre mes bras. Ça c'était génial mais mois je n'éprouvais aucune sensation. C'était spectaculaire de voir cette bitte s'enfoncer puis ressortir, c'était spectaculaire mais c'était frustrant.  

Je sentais à ce moment un des deux hommes qui appuyait sur mon dos, c'était lourd … En fait il n'appuyait pas sur mon dos, il s'appuyait. Puis je sentais son corps contre le mien, il s'allongeait sur moi. Je me relevais pour ne pas écraser Lisa, je la protégeais par réflexe de ce poids, elle s'en rendait compte et m'en remerciait en m'embrassant. Mon gode s'enfonçait en elle et dans sa cage ma queue protestait. 

La je sentais une forte pression contre mon cul ? Je protestait mais encore une fois Lisa me disait '' Laisse … ''. j'étais moins convaincu là et je gardais la tête relevée par méfiance. Il savait ce qu'il faisait là le zouave. Il s'était bien lubrifié et il poussait, sa queue entrait dans mon cul, je hurlais, Lisa me serrait dans ses bras, je voulais me dégager mais j'étais coincé. Lisa me retenait et le lascar aussi, son copain aussi me retenait. 

Il m'enfonçait sa queue bien à fond. Je hurlais de douleur, c'était la première fois pour moi et si , comme moi à cette époque, vous êtes encore puceau du cul, sachez que la première fois ça peut faire très mal. Je gigotais, je voulais me dégager et ma bite en plastique bougeait elle aussi, Lisa tremblait de plaisir. Ma douleur lui donnait du plaisir.

Un instant je ne bougeais plus, je ne respirais même plus. Tout mon corps était contracté. Il continuait à enfoncer sa queue dans mon cul et son ventre s'écrasait contre mes fesses. Je poussais une sorte de gémissement long, presque silencieux, je ne sentais plus mon cœur battre, c'était l'horreur, je ne pouvais pas bouger, je chialais.

Lisa n'en tenait pas compte, elle jouissait. Elle jouissait bruyamment, elle hurlait également mais ce n'était pas de douleur dans son cas. Elle aimait ce que je lui faisais. Dans mon dos, le gars se lâchait, lentement mais se lâchait. Il se retirait, un instant j'ai cru que ce serait plus agréable, puis il revenait bien à fond de nouveau, et il recommençait …

Chacune de mes respirations devenait un gémissement, une plainte. C'était l'horreur mais je ne tentais plus de me dégager. Dans mon dos un mec prenait du plaisir dans mes bras ma copine jouissait. Moi je me demandais ce que je faisais là et j'aurais fait n'importe quoi pour que ça cesse.

Quand le gars à joui dans mon cul, je ne l'ai pas senti.  Il a juste eu quelques mouvements un peu plus violent et il a gémi juste avant de se retirer. Je me sentais mieux, j'avais toujours un mal de chien mais ça allait mieux. Le second avançait ver moi. 

Je me retournais je m'écartais et je criais … '' Ah non, pas ça, là j'en peux plus … ''. il y avait de la panique dans ma voix. Il rigolait mais comprenait il n'insistait pas. Lisa était allongée sur le lit, elle avait l'air heureuse avec un large sourire. Mon cœur battait fort.

Lisa se relevait et se dirigeait vers le salon. Un des garçon la suivait et m'entraînait avec lui par le bras, je ne résistais pas. Le second garçon arrivait avec quelques bouteilles de bière. J'avais mal au cul !

Yan : Dis donc Lisa, il a du potentiel ton fiancé. On ne s'en serait pas douté à le voir …
Lisa : C'est un amour, et je dois reconnaître que je suis vraiment surprise.
Yan : On recommence quand tu veux bonhomme !

Il me donnait une claque amicale sur l'épaule.

Dan : Et moi alors ? Moi aussi je veux défoncer un cul. 

Lisa se rapprochait de lui, ils se prenaient dans les bras, se caressaient, s'embrassaient. Lisa se retournait dans les bras de Dan qui la caressait avant de la guider vers le fauteuil. Elle se penchait en avant s'appuyant sur les bras du fauteuil. Dan prenait position juste derrière Lisa, se lubrifiait bien la queue puis avalait une gorgée de bière et enfin il enfonçait sa queue dans le cul de Lisa. 

J'en revenais pas. Ça rentrait tout seul, Lisa gémissait de plaisir pas de douleur comme ça avait été mon cas. Son ventre s'écrasait contre les fesses de Lisa. Avec Yan on regardait. 

Yan : La première fois ça peut faire un peu mal … 
Moi : Un peu !
Yan : Oui mais avec le temps ça ne fait plus mal du tout, tu verras !
Moi : … 

Dan accélérait le mouvement, il enfonçait et ressortait sa queue de plus en plus vite. Lisa l'encourageait, ça ne lui faisait pas mal, ça c'était évident. Par moment il appuyait fort contre les fesses de Lisa, elle se relevait, il la prenait dans ses bras, lui caressait les seins et continuait à pousser. J'avais l'impression qu'il voulait soulever Lisa par le cul. Je m'imaginais à sa place, rien que d'y penser ça me faisait mal. 

Ceci dit même sans y penser ça me faisait mal aussi alors !

Au bout d'un long moment Dan gémissait de plaisir lui aussi, il se retirait et éjaculait sur le dos de Lisa. On applaudissait, enfin l'autre mec applaudissait ! Ensuite on passait sous la douche, l'ambiance était détendu. Ça faisait un moment que je ne comprenais plus du tout ce qui se passait et maintenant  je ne me posais plus de questions. Je restais tout de même sur la réserve, un peu en retrait. Sous la douche chacun lavait l'autre et on rigolait bien, enfin ils rigolaient bien et ils rigolaient fort en plus.

Ensuite on revenait au salon.

Lisa : Tu as vu l'heure qu'il est Charly ? Il va falloir que tu me ramènes.

Je faisais oui de la tête, avec Lisa je me rhabillait. J'avais mal au cul !

Les deux lascars rigolards se bidonnaient.

… Tu as du potentiel tu sais Charly …
… On te reverras ?

Je ne disais rien, je gardait la tête penchée en avant, je n'avais pas vraiment le sourire, je ne faisais pas vraiment la gueule … J'avais mal au cul !

Lisa me prenait la main et c'est ainsi qu'on sortait, les deux gars nous regardaient partir. Arrivé au portail on se retournait, j'avais toujours la tête penchée en avant mais je relevais les yeux et je les voyais, ils étaient toujours à poil, ils rigolaient toujours et nous faisaient signe de la main. 

Lisa : Maintenant tu lèves la main et tu salues nos deux amis. 

Sans relever la tête, avec l'air penaud je levais la main et l'agitait de droite à gauche. J'avais mal au cul !


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