Le nouveau voisin 06

 Le nouveau voisin 06



Je restais stoïque, même au moment où je le voyais avec trois chocolats différents dans la bouche … Le goinfre ! En plus, c'était du haut de gamme !


Physiquement il était top, ça ne m'étonnait pas, c'est quand même Coraline qui l'avait choisi. Il était grand carré, viril. 


On passait au salon pour boire un verre. On prenait le temps de discuter. Je me rendais rapidement compte que Eddy était sans intérêt. C'était une sorte d'artiste créateur, mais il ne parvenait même pas à nous expliquer ce qu'il faisait. 


Au lit il devait être au top ! Coraline ne se serait pas intéressé à lui s'il n'avait eu aucune qualité. Dylan n'était pas seulement beau et bien foutu, il était aussi intelligent. Eddy était de ceux qu'on prend comme amant contrairement à Dylan qui lui faisait partie de la catégorie de ceux qu'on prend comme amant certes, mais aussi de ceux qu'on épouse.


Je ne sais pas dans quelle catégorie Coraline ma classait.


On passait à table, Eddy était totalement insipide, il bouffait c'est tout. Je sais, là vous vous dites que je ne l'aimais pas. C'est pas ça, je ne le connaissais que depuis quelques dizaines de minutes mais il avait l'air … Je ne sais pas si je peux le dire … un peu con. Un bellâtre quoi, rien de plus.


– Je vous le dis tout de suite les mecs. Maintenant que le mâle dominant est arrivé, vous n'allez pas rigoler tous les jours ! Nous sortait Eddy, comme autre connerie. 


Dylan ne bronchait pas, le précédent qui s'y croyait trop n'était resté que deux semaines, pourtant il était super canon ! Il se montrait très entreprenant avec Coraline qui déjà montrait des signes d'agacement. 


Dylan se penchait vers moi et me glissait à l'oreille , '' Je ne lui donne pas deux semaines ! ''. Je lui répondais alors, '' Peut être mais ça va être long quand même !''. Il rigolait de ma réponse. 


A la fin du repas on se retrouvait dans le salon. Dylan et moi n'avions pas dit grand chose. C'est Eddy qui mettait l'ambiance, il était lourd et c'est seulement là que je comprenais cette phrase qui disait '' La connerie est une maladie qui ne dérange que les autres ''. Eddy n'était pas dérangé, et à la fin du repas Dylan ne lui donnait pas une semaine …


– Alors ma puce, c'est là ton harem de mecs ? Demandait Eddy à Coraline.

– Mon époux et notre voisin … Répondait Coraline.

– Des couilles molles ! Et tu m'as dit que … On peut voir ?

– Bien sûr. Lui répondais Coraline sans conviction. Eddy voudrait voir vos cages de chasteté …

– Allez, à  poil les couilles molles. Montrez moi votre pathétique situation. Rajoutait Eddy.


Dylan et moi retirions nos vêtements, on se mettait à poil sans conviction mais on s'exécutait. Eddy ricanait bêtement, il était lourd je vous dit, il était lourd !


Il se levait et nous examinait longuement, il me tripotait les couilles, jouait avec ma cage puis passait à Dylan. Ensuite il se retournait vers Coraline. C'est avec tendresse qu'il la prenait dans les bras. Bon il était lourd mais il semblait câlin. Il l'embrassait tendrement, elle refermait ses bras autour de lui.


Avec ses gros doigts il lui ouvrait son corsage, il avait de gros doigts mais il agissait avec douceur. Bon en fait il n'avait pas de gros doigts mais j'aurais bien aimé qu'il les mette ailleurs, ses doigts, ses gros doigts …


Avec une certaine douceur il retirait le corsage de Coraline, elle avait les seins fermes, je les connaissais déjà et déjà ma queue protestait dans sa cage. C'était une révolte dans les règles, je regardais Dylan, il était dans le même état que moi. Je voyais son dispositif se relever et se balancer en suivant les battements de son cœur. Il réagissait comme moi.


Eddy caressait Coraline. Je ne comprenait pas comment Dylan pouvait supporter que ce bouffon touche à sa femme mais je me rappelais que j'y avais eu droit aussi. Contrairement à Eddy, moi quand  je caressait Coraline, je pensais à Dylan et souvent c'est lui que je regardais. Là je ne savais pas avec précision qui ou quoi me faisait bander.


Dylan ? Peut être ! C'est vrai qu'il était là juste à côté de moi, presque entièrement nu, sexy comme jamais. Du coin de l’œil je le surveillais, il me faisait toujours le même effet.


Il y avait aussi Coraline, c'est vrai que j'y avais goûté et j'avais aimé finalement. Je préférais de loin son mari Dylan mais Coraline était, assez mignonne dans son genre. Et je ne dis pas que je ne dévouerais pas juste pour lui faire plaisir …


Finalement il y avait aussi le goinfre insipide … Eddy. Je crois que si je suis méchant avec lui c'est qu'il me plaisait. Il avait une belle carrure, de belles mains. Un visage volontaire, viril et doux à la fois. Il était bel homme ! 


Coraline lui ouvrait la chemise. J'avais compris, il allait lui faire l'amour ici, devant nous. Mais nous, Dylan et moi, on allait faire quoi ? Là j'avais pas encore tout compris. En un rien de temps Coraline se retrouvait torse nue. Eddy lui caressait les seins et les lui embrassait, toujours avec cette allure de goinfre. Pourtant il me plaisait.


Il la prenait dans ses bras, se plaçait derrière elle, contre elle. Il se retournait pour qu'on puisse bien voir Coraline de face. Il l'embrassait sur les épaules, quand elle retournait le visage en arrière il l'embrassait sur les lèvres. Ses mains parcouraient son corps depuis son cou jusqu'à sa ceinture en insistant bien sur ses seins. 


Puis une main glissait dans la jupe, un bouton s'ouvrait, le reste de la jupe suivait puis c'était la jupe qui tombait sur le sol. Coraline ne portait rien en dessous. Du coin de l’œil j'ai remarqué la réaction de Dylan. Son dispositif de chasteté s'est relevé avec force à ce moment. 


Entre les jambes de Coraline on a vu se relever le bout de la queue de Eddy. On n'avait même pas vu qu'il avait ouvert son pantalon. Il n'avait sorti que sa queue et elle était de belle taille. Coraline s'amusait de voir notre réaction. Mon dispositif de chasteté se relevait également avec force.


Puis Eddy retirait sa chemise et faisait tomber son pantalon, c'était très mis en scène. Il restait derrière Coraline. Il devait être dans son art. Quand elle se décalait, on pouvait voir Eddy dans toute sa beauté.


Je vous avais pas dit qu'il m'avait paru con jusque là et il me paraissait toujours con, mais il était sacrément bien gaulé le branleur. Il avait un très beau corps, et une très belle bite. Je me la serais bien prise dans le cul celle là. J'avais envie d'y toucher. Mais ça c'était réservé à Coraline.


Elle se retournait et lui suçait la queue


J'avais du mal à me contrôler à cet instant, ma cage se relevait et faisait comme celle de Dylan. Je l'entendais ricaner, il l'avait remarqué. Je jetais  un regard dans sa direction, il avait la même réaction.


– On se calme les couilles molles ! Nous lançait Eddy sur le ton du dominant qui se fait entendre.


Il se penchait sur Coraline, la prenait dans ses bras, la caressait en glissant ses mains depuis ses épaules jusque sur son sexe puis sans prévenir mais avec une grande douceur il la pénétrait.


J'ai sursauté, un instant j'ai cru qu'il était passé par derrière le bouffon. La position était trompeuse, Coraline était penchée en avant, il était juste derrière elle et forcément … En fait il avait utilisé la voie conventionnelle. Dylan avait mieux vu que moi, lui était resté impassible.


Il serrait et caressait Coraline avec force mais il y mettait aussi de la douceur. Coraline gémissait de plaisir et retenait les bras fort de son amant. Il s'enfonçait en elle puis se retirait. Il y allait avec douceur puis accélérait le mouvement. Toujours avec douceur il y mettait de la force, quand il ralentissait le mouvement ses allez et retour devenait amples. 


C'était alors toute la longueur de sa queue qui s'enfonçait lentement et fermement dans le sexe de Coraline. Elle gémissait de plus en plus fort. Suivait alors des mouvement  plus rapides, plus violents en apparence, mais moins amples. 


Ensuite il la retournait et l'allongeait sur le tapis, il la retenait dans ses bras et la déposait avec douceur puis s'allongeait sur elle en prenant le plus grand soin de ne pas l'écraser. De nouveau il la pénétrait avec force et douceur. Il avait une queue de grosse taille mais elle entrait facilement, Coraline aimait et ça se voyait. C'est vrai qu'avec Dylan elle était habituée à de gros calibres. 


Nous avons assisté à tout la scène, on ne devait pas bouger, pas agir, pas parler. On n'avait qu'à regarder et admire ses performances, on pouvait compter les points mais à condition de le faire en silence.


Coraline se tordait dans tous les sens dans les bras de Eddy. Son corps se cambrait se redressait se relevait et se laissait retomber. Elle terminait en sueur et totalement essoufflée. Son corps retombait, tout mou, juste à côté de celui de Eddy qui retombait allongé juste à côté du tapis, tout contre Coraline. Lui aussi manquait d'air et lui aussi était en sueur.


Dylan se penchait vers moi.


– Alors tu es toujours prêt à te la prendre dans le cul ?

– Plus que jamais, c'est quand il veut !


Je suppose que tout le monde me comprend. Ça faisait maintenant deux semaines que j'avais la queue enfermée dans une petite cage. Ça devait durer encore je ne sais pas combien de temps et puis, il faut bien se dire que d'habitude je suis plutôt passif. Donc …


Me faire défoncer le cul par un mec très bien monté, non seulement ça ne me faisait pas peur mais je ne demandais que ça. Ma queue protestait comme une folle, c'était la révolte et mon cul criait famine. En fait j'étais mort de trouille à l'idée de me la prendre dans le cul.


Je ne me suis rhabillé qu'au moment de rentrer chez moi. J'habitais pas loin remarquez, j'aurais pu rentrer comme j'étais mais bon, il parait que ça ne se fait pas. Se balader à poil dans la partie communes de l'immeuble je veux dire.


J'avais la cervelle en feu, je revoyais Dylan, il était beau Dylan, il était vraiment beau. Je me demandais comment il faisait pour rester calme. C'est vrai que ce jeu érotique, ils y jouaient depuis un moment avec sa femme, et c'est vrai aussi que Coraline savait  faire plaisir, quand elle se donnait elle se donnait …


Je revoyais aussi le corps d'Eddy, c'était un goinfre, il était insipide, il n'avait aucune discussion mais il était bien gaulé, super bien gaulé. Je tentais en vain de m'endormir quand on sonnait à la porte.


J'allais ouvrir, c'était Eddy.


– Tu me fais rentrer ? Me demandait-il en entrant sans attendre la réponse.


Il refermait la porte derrière lui et sans me laisser le temps de dire quoi que ce soit il baissait son pantalon.


– Suce ! Me disait-il.


Comme je viens de vous l'expliquer, je n'attendais que ça. Je me suis mis à genoux devant lui, il ne bandais pas, il avait une bite bien grosse, bien lourde qui pendait entre ses jambes. 


Je me la prenait dans la bouche et en quelques secondes je la sentais prendre du volume dans ma bouche. Il m'avait fait rêver quand je le regardait tout à l'heure avec Coraline. Là je l'avais pour moi tout seul. J'avais du mal à me prendre sa queue en entier mais  je m'appliquait, je me déboîtais la mâchoire proprement, c'est une façon de parler, je ne suis pas un serpent non plus.


Ensuite je prenais une profonde inspiration, c'est vrai que là j'étais inspiré. Son gland glissait alors contre ma langue, je la passais autour de son gland, je tentais de la glisser dans le petit trou qu'il a au bout de sa queue. Je le sentais frémir, je le sentais trembler, il poussait de petit gémissements.


Puis il a pris le contrôle de la situation. Il a saisi fermement ma tête entre ses deux mains et l'a tirer vers lui avec force. J'ai pas eu le temps de réagir, j'ai rien pu dire, sauf des bruits gutturaux bizarres et rigolos, et sa queue s'est écrasée dans ma gorge.


Je ne me suis pas débattu, j'ai laissé faire. Il aura sans doute pensé que j'étais consentant, ceci dit c'était pas totalement faux, en fait je ne demandais que ça. 


Il repoussait ma tête, mon visage s'écartait de son ventre, il me tirait et mon visage s'écrasait contre son ventre et sa queue s'écrasait dans ma gorge. Je peux vous garantir qu'il forçait l'animal et si j'arrivais à tout avaler j'étais le premier surpris. Mais j'avalais tout. 


J'aurais bien réclamer, je lui aurais bien demandé de me défoncer le cul mais voilà, il ne me lâchait pas, et comme j'avais la bouche pleine, je ne pouvais rien dire.


Il s'en moquait totalement, il me tirait ver lui me balançait un coup de bite dans la gorge, me repoussait et recommençait. Ça devenait violent. Je sentais ma queue qui protestait de plus en plus. Deux semaines s'étaient passées, il m'en resterait encore au moins quatre.


Mais pourquoi je ne dis rien moi ? Mais pourquoi j'ai accepté cette situation ? 


C'est là que j'ai senti le goût de son sperme qui envahissait toute ma bouche. 


C'est aussi là que le réveil matin à sonné. 


Je me suis réveillé, un peu hagard, ma queue me torturait, elle voulait sortir, elle voulait … Enfin elle protestait quoi et je vous jure que ce n'était pas agréable. 


Ce qui n'était pas agréable non plus c'était la disparition de Eddy. C'est vrai quoi, il était là à me défoncer la bouche et en une seconde il n'était plus là, il avait disparu … Et tout ça parce que le réveil avait sonné.


A suivre 



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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