Le roy 17 Le quotidien

 Le roy 17 Le quotidien



La fin de la matinée était réservée aux réceptions. Le Roi descendait de sa chaise à porteur, allais se rafraîchir, son premier cercle le suivait dans la douche. Il y a en permanence quatre membres du premier cercle qui accompagnent le roi. Nous étions quatre aussi mais nous c'était pour apprendre comment se passait les journées du roi et ce que nous devrions faire.


Il faut quand même reconnaître que les quatre accompagnateurs du roi étaient très proches, très intimes, très intrusifs. Ils lui rafraîchissaient le cul, y glissant même un doigt à plusieurs reprise. Le roi se laissait faire, il se faisait masser un moment et semblait bien apprécier.


Le roi rejoignait ensuite la salle du trône, il prenait place et recevait les doléances.


En fait aucune doléances ne lui était formulée. C'était une manière de parler. Il recevait les ambassadeurs, les représentants des différentes régions, les chefs militaires ou simplement des voyageurs ou des commerçants importants.


Un gode était placé sur son trône et c'est le gode bien enfoncé dans le cul que le roi écoutait, il ne répondait que rarement directement à ses interlocuteurs. Son premier cercle était là pour faire la liaison.


Le roi restait digne, le corps bien droit et la tête haute. Il portait sa couronne avec prestance et gardait une allure altière. Il était dans son rôle. Cette cérémonie durait pendant le reste de la matinée, jusqu'à l'heure du dîner.


Le roi passait de nouveau dans la salle de douche ou on lui essuyait le cul proprement et se retrouvait dans la salle à manger. Il ne mangeait dans la salle des banquets que quand il recevait des invités importants, son premier cercle le suivait en fille indienne.


Un homme très beau attendait. Je ne l'avais jamais vu celui-là. Il était entièrement nu, c'était un membre du premier cercle, il ne portait pas de cage à bite. Il saluait le roi, l'homme qui était juste derrière le roi sortait du rang, saluait le roi, saluait le nouvel arrivant qui lui rendait son salut et quittait la salle.


Le nouvel arrivant entrait dans le rang derrière le roi en quatrième position. C'était le cérémonial de la relève du premier cercle. Le nouvel arrivé prenait la quatrième position et chacun des trois autres avançaient d'un cran. Le groupe était ainsi renouvelé tous les quatre jours.


Le roi et son premier cercle prenait place à la table. On nous invitait alors à nous éloigner. Seul les quatre accompagnants et le roi restaient. Les serviteurs qui apportaient le repas ne faisaient que passer. Ils déposaient ou retiraient les plats et repartaient.


Il nous semblait que l'ambiance était détendue, très détendue. Le roi était au centre du groupe et parlait avec son premier cercle, de loin on avait plutôt de voir une bande copains qui dînait et prenait un moment de détente.


On nous servait dans une autre salle, nous étions avec le reste du premier cercle plus de cinquante personnes. nous ne pouvions pas entendre ce qui se disait à la table royale mais on pouvait voir. Il y avait par moment des gestes de tendresses et quelques câlins.


Le roi prenait bien son temps pour se restaurer, c'est une heure plus tard qu'il terminait son repas. On nous servait la même chose qu'à la table du roi et je peux vous dire qu'on mangeait bien à la table du roi.


Suivait la sieste puis le roi aimait faire une longue promenade avec son cheval. Il n'était jamais seul, quelques membres du premier cercle le suivaient, mais tous ne pratiquaient pas l'équitation. On me proposait de m'initier.


Sinon le premier cercle recevait les doléances. En fait le roi faisait de la figuration, le premier cercle recevait beaucoup de monde qui avait des requêtes à formuler, et c'est là que ça pouvait devenir intéressant. Nous étions courtisés. Nous pouvions recevoir tout un tas de cadeaux, c'était prévu, les petites mains veillaient et s'il fallait en vendre un partie était versée dans la cassette privée du roi, mais plus de la moitié restait en possession de la personne concernée.


Au bout de cinq ans, certains étaient riches, et très riches même.


Là on nous invitait à laisser le roi à ses distraction et à faire connaissance avec les parasites de la cour. C'est ainsi qu'on appelait ceux qui ne cessaient de se plaindre et de demander, certains étaient généreux.


Je me demandais si le roi savait tout ce qui se passait à sa cour. J'apprenais peu à peu que si le roi régnait, il ne gouvernait pas. Il n'avait absolument aucun pouvoir. C'était les petites mains qui dirigeaient le royaume. Nous étions en contact quasi permanent avec eux.


Nous devions nous comporter correctement, on nous demandait de ne jamais nous masturber en douce. Mais nous avions des privilèges.


Quelques semaines plus tard, j'avais déjà passé plusieurs nuits avec le roi, et je peux dire sans me vanter que je l'avais fait couiner comme il convient.


Donc quelques temps plus tard, une petite main venait me voir, il voulait me parler d'un point précis, il souhaitait que le roi intervienne pour soutenir une décision importante.


Je voudrait que tu dises quelques mots au roi.

Mais il me semblait que le roi n'avait aucun pouvoir !

Il n'a aucun pouvoir, je te le confirme. C'est moi qui prends les décisions, et ce projet c'est moi qui le défends. Il sera accepté, mais on gagnerait du temps si le roi le soutenait.


C'est ce jour là que j'ai compris que les petite mains, n'étaient pas tous de simples employés de second rang. Ils étaient les maîtres du pays et se partageaient le pouvoir.


Mais là j'ai voulu le tester !


J'ai senti le diable monter en moi, je le regardait il était plus vieux que moi mais il était très bel homme. Il portait un dispositif sans serrure comme celui du roi, un dispositif qui ne s'ouvrirait plus. Les règles du pouvoir exigeaient que des vœux soient prononcés pour avoir justement ' le pouvoir '.


Brusquement je bandais. Ma queue se relevait avec force et venait se coller contre mon ventre. Il l'a remarqué, tout homme privé de ce droit à bander le remarque, quand un autre homme bande en sa présence.


Alors c'est lui l'homme le plus puissant du royaume ! Me disais-je.


Je passais ma main derrière sa nuque.


Suce lui disais-je.


Maintenant que je connaissais son rôle politique et je me demandais si …


Et bien oui, il s'est penché vers mon sexe et le prenait dans sa bouche avec beaucoup de science. Je sentais sa langue qui glissait contre mon glands et je devinais sa frustration ou au moins je l'imaginais. Il était un homme de pouvoir, il portait une cage à bite permanente et il me suçait. Il me suçait moi qui n'était au final dans ce palais qu'une gourmandise.


Je le laissais faire. Il appuyait son visage contre mon ventre, ma queue entrait lentement dans sa bouche. Avec sa langue il me caressait le gland puis il penchait son visage un peu plus et ma queue entrait un plus, et encore un peu plus. Je sentais sa langue qui me caressait toute ma queue, c'était un régal.


Il penchait la tête et ma queue entrait, il relevait la tête elle ressortait. Par moment il ressortait ma queue entièrement et je sentais alors ses lèvres se refermer sur mon gland puis sa langue qui tentait de forcer le passage dans le petit trou, c'était trop petit mais c'était génial. Je frissonnait déjà au bout de seulement quelques secondes.


Je tremblais de plaisir et me laissait tomber sur un fauteuil juste derrière moi.


Il suivait mon mouvement et se laissait tomber sur mon sexe. Il ne lâchait rien, j'écartais alors les cuisses et lui écrasait son nez sur mon ventre. J'étais au fond de sa gorge. C'était toujours aussi doux, mais je me demandais comment il faisait pour encaisser ma bite qui était pourtant de très belle taille.


Moi je n'aurais pas pu !


Et il continuait, il relevait la tête, me masturbait avec douceur, il me frictionnait le gland, juste quelques coups, rapide mais intense. Je me contractais. Il reprenais avec ses lèvres et sa langue avant d'avaler de nouveau ma queue sur toute sa longueur.


Je me cramponnais au fauteuil, c'était tellement intense, j'avais l'impression que personne ne m'avait sucé aussi bien. Mais ils étaient tous tellement bons dans cet art que chaque fois je me disais la même chose.


Je voulais intervenir et lui soulever le visage, juste pour l'embrasser, rien de plus, juste pour un petit peu de tendresse et aussi pour le calmer, j'en étais à un point ou je sentais que j'allais jouir.


Il résistait, il ne voulait pas me lâcher la queue et ce qu'il me faisait était tellement bon. Il finissait par relever la tête et me donnait alors un baiser très tendre. Il continuait à me caresser la queue et tout particulièrement le gland. Mais doucement laissait retomber la tension. Je commençais à respirer très fort et lui non plus de toutes évidences ne voulait pas conclure aussi vite.


Ses lèvres étaient douces contre les miennes. Je le prenais dans mes bras et l'embrassait sur les épaules et dans le cou. Il me rendait ma tendresse et me couvrait de baisers.


Puis il pivotait, il tournait tout seul dans mes bras. Le retenait bien fermement et le caressais. Mes mains glissaient sur tout son corps, j'appréciais la douceur de sa peau, la fermeté de ses muscles. J'appréciais aussi les baisers et là j'avais oublié que je tenais dans mes bras un des hommes les plus puissants du pays.


Le roi était était un personnage important mais pas puissant, il ne pouvait prendre aucune décision, mais l'homme, le petit main, qui passait toujours inaperçu lui le pouvait.


Ma queue était bien dure, je la penchais vers le bas et la glissais entre les cuisses, elle résistait et voulait se redresser, je la glissait en la poussant d'avant en arrière. Quand je la poussais en avant, elle lui soulevait les couilles, je m'en amusait en m'amusant avec, en lui tripotant les couilles avec les mains.


Il se penchait en avant, je le suivait, mon corps glissait toujours contre le sien ou alors c'était le contraire. Cette caresse que nous partagions avec nos deux corps était d'une grande tendresse.


De nouveau je pensais à sa frustration. Qu'attendait-il de ce genre de relation, de ce genre de contacte ? Moi je savais ce que j'en tirerais, je connaissait ce plaisir que je savais me donner ou que je savais prendre.


Il se penchait encore un peu et là je le pénétrait avec force. Il a gémi, c'était presque un cri il en lâchait le document qu'il tenait dans la main et je l'ai senti trembler et se contracter.


C'était peut être un chef dans les hautes sphères du pouvoir, mais là quotidien de la cour, c'était juste un vide couille qui me donnait du plaisir.


J'enfonçais ma queue bien à fond d'un mouvement violent. Il gémissait mais glissait une main dans mon dos pour me retenir. Il me montrait surtout qu'il aimait. Je lui en donnais.


Je me retirais et revenait avec vigueur. Puis j'accélérais le mouvement et les coups pleuvaient. Il poussait un râle à chaque fois que je m'enfonçais bien à fond dans son cul, il poussait un cri à chaque fois que mon ventre claquait contre ses fesses. Mais il se cramponnait et répondait à chaque fois par un coup, il me donnait un coup de bassin à chaque fois, comme pour bien enfoncer ma queue dans son cul.


Je sentais la situation m’échapper, je respirais de plus en plus fort, lui aussi remarquez. J'avais l'impression qu'il contractait son anus au moment ou je me retirait et qu'il le détendait quand je revenais. Mes coups de bite était maintenant très rapides.


Et c'est là que j'ai senti le plaisir m'envahir, j'ai éjaculé, j'ai joui dans son cul.


Je le serrais alors contre moi, l'embrasais sur l'épaule et lui caressais tout le corps avec une grande douceur. Je sentais quelques convulsions, je glissait ma main sur sa cage à bite. Il jouissait.


Nous nous sommes calmé, je me suis retiré, il a ramassé le papier qu'il avait laissé tomber. Il s'est retourné et m'a donné un baiser.


Tu penseras à parler au roi !


Là je me sentais même obligé d'être convainquant avec le roi. Un soutient de sa part simplifierait les chose alors autant les rendre le plus simple possible.


On a eu son soutient.



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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