Presque frères 12

 Presque frères 12

J'ai bien dormi après cette soirée, j'ai bien dormi mais mes rêves étaient mouvementés. Je rêvais de bites, je rêvais que je me prenais des bites dans le cul.

J'étais sous la douche, dans la grande salle des douche de l'étage. Autour de moi il n'y avait personne, l'eau coulait sur mon corps et c'était là le seul bruit qui remplissait la salle. Je me détendais, ma cage me travaillait, je la réajustais et la réajustais encore puis, c'est une caresse qui me faisait sursauter. Une caresse sur le haut du dos, juste en dessous de mon épaule.

Je me retournais, c'était Tommy, il était là, il était entièrement nu. Il n'avait plus sur lui son dispositif de chasteté et il bandait. Je retrouvais la queue, je la connaissais bien, plus d'une fois je l'avais sucée.

Il s'approchait de moi et me prenait dans ses bras. Ma queue réagissait au contact de sa peau. Elle tentait de se relever, je sentais les barreaux en titane résister et la confiner avec une force, une douce violence.

Tommy m'embrassait, je lui rendais chacun de ses baisers. Mes lèvres se promenaient sur son corps, je commençais par sa gorge, puis c'est sur son torse que je continuais avec passion. Je lui suçais les tétons, il ne cachait pas que ça lui plaisait et sa queue se relevait entre nous, elle était ferme, elle était toujours aussi grosse. Je m'accroupissais devant lui et la prenais dans ma bouche.

Les souvenirs heureux de l'été précédent me revenaient. Cette époque douce et proche ou on découvrait chacun le corps de l'autre, ou on découvrait des plaisirs qu'on ne peut se donner à soi même et qui sont plus nombreux et plus intenses quand on les partage.

Sa queue glissait dans ma gorge, je la recevais sans efforts. Il poussait et c'est bien profond qu'elle glissais, dans mon cou on devait la voir quand elle pénétrait. Je parvenais à respirer sans difficulté, j'avais bien synchronisé ma respiration et c'était un plaisir que je découvrais. Le plaisir de le sentir frissonner.

Il me caressait les cheveux.

– Retourne toi je vais t'enculer ! Me disait-il .

Je m'exécutais sans discuter, sans la moindre appréhension, pourtant d'habitude … C'est qu'il en avait une grosse mon pote Tommy. Il me lubrifiait longuement avec du savon ou je ne sais quoi puis il prenait position, je sentais mon cœur qui battait plus fort.

Il poussait .

Je retenais mon souffle et je sentais mon anus se détendre, se dilater, se distendre. C'était sans douleur, c'était une sensation de plaisir incroyable. Il s'était enfoncé dans mon cul facilement et son ventre s'écrasait contre mes fesses. Il poussait, me procurant un éclair de plaisir avant de se retirer.

Le massage que sa queue prodiguait à mon anus devenait un plaisir violent mais tellement intense, j'avais déjà l'impression de jouir, il se retirait entièrement puis faisait une courte pause. Je reprenais mon souffle.

Sans prévenir il revenait bien à fond, en un seul mouvement rapide et décidé il m'avait de nouveau empalé. C'était bon, là il continuait à me limer les entailles. Je le sentais glisser avec rapidité à l'intérieur de mon cul, puis je le sentait se frayer un peu plus de place dans mon ventre. Il entrait et ressortais ainsi pendant de longues, de très longues minutes.

C'est avec une régularité de métronome que son ventre s'écrasait contre mes fesses et claquait fort et sec. Je l'accompagnait avec un gémissement de plaisir à chaque fois.

Il me prenait dans ses bras et me relevais, il ne s'arrêtait pour autant de me pilonner le cul, la position qui en suivait était moins confortable pour moi. Mon cul n'était plus dans l'axe et si sa queue continuait à rentrer et à sortir, c'était grâce au lubrifiant. Ça résistait, je n'en éprouvais que plus de plaisir.

Brusquement sa respiration accélérait et les coups qu'il me portait devenaient délicieusement plus violent. Il gémissait, il jutait dans mon cul. Je l'ai senti, j'ai joui moi aussi.

Il m'embrassait sur l'épaule et me mordillait doucement.

L'eau coulait de nouveau sur mon corps, je le voyais s'éloigner, il sortait en reculant, il me souriait.

C'est une caresse sur ma hanche droite qui me surprenait. Je me retournais et je découvrais Tamad, c'était un étudiant de l'école que j'avais remarqué depuis quelques temps. Il faisait presque deux mètres de haut et avait la peau foncée. Un magnifique marron clair et un grain de peau d'une incroyable douceur.

Sa main glissait sur moi. Elle descendait sur mon bassin et glissait sur mes couilles. Il me les tripotait avec force et douceur, il s'amusait avec ma cage et avec son autre main il se cramponnait à moi et me tirait vers lui.

Il était dans mon dos et je sentais ses bras se refermer sur moi. Il me tirait vers lui. Je n'avais pas pu voir sa queue et je redoutais qu'elle soit énorme. J'avais la réponse à cette interrogation quand je la sentait glisser entre mes cuisses.

Elle dépassait largement, poussait et me soulevait les couilles. En effet elle était énorme. D'une main je la caressait, mon cœur battait tellement fort que j'ai bien cru qu'il allait s'arrêter.

Sa queue glissait d'avant en arrière entre mes cuisses, je penchais la tête en arrière il m'embrassait, ses mains se promenaient sur moi avec force qui ne cachait pas une grande douceur.

Je devinais sa force, Tamad était une force de la nature. Il avait plein de muscles partout, un corps très proportionné mais comme il était grand il était balaise. Vraiment balaise.

Il plaçait une main sur mon ventre et avec l'autre me basculait en avant. Je m'appuyais sur le mur et je sentais sa queue prendre position. Une fois en place il n'attendait pas, il poussait.

Je me sentais alors inondé de plaisir, un plaisir intense, un orgasme qui durait dans le temps pendant que son énorme membre glissait au fond de mes entrailles. C'était un truc de fou, je sentais mon anus se dilater mais je n'avais pas peur, je me sentais bien, mais surtout je le sentais bien.

Il arrivait rapidement au niveau de mon nombril et continuait à s'enfoncer, il arrivait je ne sais plus vraiment ou, j'ignorais que c'était possible mais j'avais l’impression qu'il arrivait au niveau des cotes, les première. Il devait à ce moment être au dans mon estomac.

Là j'étais retourné et je ne comprenais plus rien.

Il se retirait et revenait avec force, je gémissais, c'était bon, je refermais mes bras sur lui, je ne sais plus trop comme je faisais puisqu'il était dans mon dos mais je le tenais fort.

On s'embrassait, je n'étais plus qu'un jouet entre ses bras, il me limait avec force je manquais d'air, je gémissais …

Je me réveillais !

C'était un rêve, en face de mon lit il y avait celui de Tommy, je ne l'avais même pas réveillé, par contre j'avais joui, ça c'était pas rêvé. J'avais éjaculé.

Un peu de nettoyage, il ne restait plus que ça à faire, puis je m'endormais, enfin j'essayais de m'endormir. Ma queue me torturait tant elle voulait sortir.

C'est pas facile tous les jours, je ne vous dis pas !

…

Heureusement c'était pas comme ça toutes les nuits. Quelques jours plus tard Tommy rapportait deux plugs. Vous savez ces truc bizarres qui pourraient faire penser à un sapin de noël s'il était vert.

– C'est quoi ce truc ? Lui demandais-je.

– UN PLUG ! Me répondait-il avec aplomb !

– Et … ? …

– Un truc génial.

Nous étions dans la chambre et disant cela il baissait son pantalon. Je le regardais faire. Il n'en fallait pas plus que ma queue ne se réveille et ne se mette à protester.

Ensuite il recouvrait le plug d'une bonne dose de gel lubrifiant. Je ne vous décrit pas la forme du truc vous connaissez mais il me semblait un peu gros dans sa partie la plus large, il faisait tout de même cinq centimètres.

Tommy était là juste à côté de moi et sans faire de manière il se le glissait dans le cul. J'ai fait des yeux tout ronds, j'y croyais pas. Lui il a fait une grimace au moment le plus sérieux. Ensuite il avait l'air soulagé, il a sauté sur place plusieurs fois puis il a remonté son pantalon.

Là il avait un grand sourire.

– Ça fait du bien ou ça passe, je te dis pas … A ton tour .

Il me donnait alors le second plus, ils étaient tous les deux de même taille. J'ai longuement examiné le truc. Le principe était simple, sa forme permettait de le maintenir bien en place.

J'étais terrifié. Comme je vous disais au plus large il faisait cinq centimètres, et je ne vous dit pas mais c'est gros. Ça impressionne.

J'ai fait pareil que lui mais moi j'ai eu plus de mal pour me l'enfiler.

Au début ça va, on se dit que c'est de la rigolade. Puis plus ça rentre moins ça veut rentrer. Plus ça rentre plus ça résiste. Et il y a un moment ou ça résiste bien. Ça l'amusait, il me connaissait bien et il connaissait bien son jouet aussi.

Il m'a pris dans ses bras, m'a embrassé tendrement, il me caressait les fesses, je le laissais faire et sans prévenir il à appuyé un coup sec sur le plus.

Là j'ai couiné mais le truc était rentré. Je le sentais bien. Ça me faisait tout drôle, j'avais l'impression de ne plus pouvoir me tenir debout. Il me remontait mon pantalon.

Nous étions en fin d'après midi.

– On le garde jusqu'à l'heure d'aller dormir me disait-il.

– Tu es sûr ! Bafouillais-je.

– Trois bonnes heures, c'est jouable,tu vas voir.

C'est bizarre comme sensation. Au début on ne pense qu'à ça, surtout que le truc il n'était pas tout petit. Ensuite on le sent bien et pour finir … on ne pense qu'à ça. Mais ça ne fait pas vraiment mal.

Je terminais la soirée avec une double sensation, ma bite qui protestait encore plus que d'habitude et mon cul qui me donnait doucement l'impression qu'il allait exploser.

– Tu sais Paco, il y en a qui en portent un presque en permanence.

– Ah vraiment ? Répondais-je sur un ton qui n'était pas vraiment convaincu.

– Tu peux arriver à jouir avec ton cul par moment, tu sais. Mais je te conseille d'éviter pendant le sport. Là tu peux bouger vraiment beaucoup et ça peut faire vraiment tout bizarre . J'en ai vu un, une fois, qui ne pouvait presque plus marcher.

– Il avait trop mal ?

– En fait non, il prenait son pied … Bon OK il a eu une petite fuite à l'avant sur le short, bien visible.

A suivre

N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast