Presque frères 13

 Presque frères 13



Comme vous pouvez le devinez, à ce moment de l'année je commençais à découvrir de nouveaux plaisirs. Tommy les découvrait déjà depuis quelques temps. Il avait de l'avance sur moi.


Je ne comprenais plus rien, je vous jure que là je perdais tous mon jugement de valeurs. On nous enseignait des règles de morale très particulières basées sur l'abstinence et dans un même temps on nous distribuait, d'une manière discrète certes mais on nous distribuait, des jouets érotiques des plus étonnants.


Le gode je connaissais mais pas le plug. C'était une découverte, une découverte étrange mais des plus agréable. Je me régalais, pendant toute la soirée. J'ai traversé une avalanche de sensations, de plaisirs, quelques moments de panique mais j'ai pris mon pied comme jamais.


Nous ne sommes pas restés enfermé dans notre chambre. Nous avons discuté, personne ne pouvait rien deviner. Il m'avait dit que nous étions pas les seuls à nous amuser avec un plug. Du regard je cherchais qui pouvaient être les autres.


On ne pouvait rien deviner sur le visage, sauf si un orgasme venait. Je supposais que si un des mecs qui portait ce genre de dispositif venait à jouir, on pourrait le voir, je pourrais le voir. Je ne sais pas pourquoi mais j'avais comme un besoin de savoir.


En fait je scrutais.


Mais quand je marchais, quand je bougeais, il y avait cet objet de grosse taille au milieu de mon ventre, il bougeait, il se balançait dans mon ventre à chacun de mes pas, il me massait l'anus, avec délicatesse son pied me massait et quand mon colon se contractait le poussait vers l'extérieur, je me contractais pour le retenir, tout ça qui ne prenait jamais fin et finissait par provoquer un plaisir incroyable.


À plusieurs moments dans la soirée j'ai bien cru que j'allais jouir, j'ai aussi l'impression que j'allais éjaculer. À ce moment là je m'asseyais et surtout je ne bougeais plus. Je ne sais pas si quelqu'un a remarqué quelque chose, excepté mon pote Tommy.


De retour dans la chambre je m'allongeais sur mon lit et là je ne bougeais plus. Je contractais mon ventre, mes fesses et je sentais cette masse qui bougeait dans mon ventre, un court instant j'avais l'impression d'attendre un heureux événement. L'objet me massait d'une manière que je ne connaissais pas, mais c'était bon, vraiment bon.


Un plaisir montait, lentement, je le laissais monter, je le laissais venir. Et brusquement j'ai senti mon anus se contracter avec force, mes entrailles aussi se sont contracter ou quelque chose comme ça. C'était étrange, c'était bon, c'était … Je jouissais, j'éjaculais aussi et rapidement une tache apparaissait sur mon pantalon.


Alors je crois là, je crois que tu as compris comment ça marche ! S'exclamait Tommy.


Il n'avait rien loupé. Il m'observait depuis un moment.


Maintenant tu vas retirer ton plug. Tu vas voir, c'est encore une aventure.


Sous l'excitation sexuelle, on arrive à se le rentrer sans trop de problème. C'est pas facile mais ça passe, on a envie d'aller plus loin, plus profond, plus a fond, plus large même quand on panique un peu mais une fois l'excitation retombée c'est autre chose. Une fois le plaisir obtenu, l'excitation retombe. C'est toujours comme ça.


Et là il faut le ressortir.


C'est à ce moment que j'ai regretté de me l'être glissé dans le cul. Je me souvenais de chaque étape de l'introduction. Mais là le cœur n'y était plus. J'aurais voulu qu'il ressorte facilement mais ça ne voulait pas passer. Il fallait que je me dilate et là, j'en avais plus envie.


Le gode n'est pas plus gros à la base qu'en son milieu, pour le plug c'est tout le contraire. Mon petit cul s'était refermé et n'avait plus aucune raison pour se dilater de nouveau. Surtout que cinq centimètres c'est quelque chose.


J'ai bien cru qu'il allait resté coincé.


Tommy avait plus d'expérience que moi et de nouveau il est intervenu, c'est lui qui avait exercé la dernière poussée pour le faire, c'est lui qui à tiré un peu plus fort, juste un peu plus fort pour que ça ressorte.


Mais là je l'ai senti passer !


Il m'a fait mal le con. J'avais mal au cul après ça. Tommy lui, il rigolait. Ensuite on est allé à la douche, je suis resté un long moment sans bouger, je laissais l'eau couler sur moi. Tommy s'amusait avec son plus, il le ressortait presque entièrement puis l'enfonçait de nouveau. Je regardais ça un peu effrayé. Je voyais son anus se dilater sur les cinq centimètres du plug. Et cinq centimètres c'est quelque chose.


Mon anus s'était dilaté dans les mêmes proportions, rien que d'y penser j'avais mal au cul, en tout cas là je savais pourquoi j'avais mal au cul à ce moment. Lui n'avait pas l'air d'avoir mal, il donnait l'impression d'aimer, d'en tirer du plaisir. Il a fini par le retirer, je l'ai vu juter généreusement. Il ne cachait pas son plaisir.


On terminait notre douche, je récupérais, il gardait le sourire, je récupérais le mien. Puis on est revenu à la chambre, la serviette à la main et Tommy son plug dans sa serviette pour plus de discrétion.


Oui parce que c'était bien beau tout ça mais un minimum de discrétion était de rigueur. Si un surveillant nous surprenait à nous promener avec un gode dans le cul. Un truc qui pendait derrière nous, on se faisait engueuler et plus même.


C'était la morale de la PK Compagnie ( Purity Keeper Compagnie ). Selon cette morale si on porte un dispositif de chasteté on est pur, on peut faire ce qu'on veut mais à condition de rester discret. Se goder ou se faire enculer sur la place publique n'était pas accepter pour autant.


Je me sentais bien après cette douche, je me sentais propre et détendu quand je me glissait dans mon lit. Je me sentais toujours un peu comme … rempli … C'était maintenant une sensation douce. Et c'est avec douceur que je me glissais dans le sommeil. Tommy me parlait mais je ne l'entendais plus au moment ou je fermais les yeux.


Le lendemain je me réveillais bien en forme. J'avais encore un peu mal au cul mais c'était stimulant. C'est vrai que j'étais calmé pour plusieurs jours. Le lendemain je n'avais plus envie de me prendre quelque chose dans le cul. Je bandais très agréablement dans ma cage.


Tommy avait l'air satisfait et on repartait pour une journée de travail.


Quelques jours plus tard après la douche on se retrouvait Tommy et moi dans notre chambre. Il était allongé sur son lit, il était nu et avait posé sur lui une couverture pour cacher sa cage. D'habitude il n'était pas aussi prude, au contraire même.


Je m'approchais de lui et avant que j'ai le temps de prononcer un mot il glissait une main sur mes couilles.


Alors tu t'y fais ? Me demandait-il.

Et toi ? Lui répondais-je en soulevant la serviette.


Je ne m'y attendais pas, il avait un gode sur le ventre, un gros gode fixé par des lanières. Bien fixé juste au dessus de sa cage à bite. Un instant je ne bougeais plus, je regardais ça, il rigolait.


Si tu veux on peut faire dans l'autre sens. Me disait-il alors qu'il commençait à ma caresser les couilles.


Je ne savais plus quoi dire, plus quoi faire et en réponse je lui caressais le torse. Il me caressait la main, se relevait, venait vers moi et me prenait dans ses bras.


Cette étreinte m'avait manqué, on n'avait pas osé depuis le retour des vacances quelques semaines plus tôt. Il m'avait laissé le temps de m’acclimater à ma nouvelle situation. J'avais envie de reprendre nos caresses, de partager de nouveau de la tendresse.


Je lui caressais le dos et mes mains descendaient jusqu'à ses fesses, il avait un plug dans le cul, ça m'a fait rire.


Avec douceur il me déshabillait, je me laissais faire et en même temps je lui donnait un baiser à chaque fois qu'une occasion se présentait. C'est finalement avec toute ma peau ou presque que je lui caressais son corps. Presque tout mon corps, presque tout son corps, il y avait toujours ce petit dispositif en titane. C'est un objet tout petit mais qui prend une place incroyable.


Il n'était pas question de lui sucer la queue, on ne suce pas une bite en plastique, c'est nul. Mais il y a autre chose à caresser, à embrasser. Je glissait ma langue sur ses tétons et je les mordillais. Je sentais aussitôt sa cage réagir et se relever entre ses jambes, contre ma cuisse.


Il passait sa mains sur mes couilles et je réagissais moi aussi de la même manière. On basculait sur son lit. On roulait l'un sur l'autre. Nos caresses devenait plus intrusives, plus fermes, moins réservées.


Je parcourais son torse puis son ventre avec mon visage et je le couvrais de baisers. On inversait les positions, on se retrouvait sur le tapis, le lit était finalement trop petit. Il me retournait, je me retrouvais sur le ventre, lui sur mon dos.


Je le retournais et c'est lui qui se retrouvait sur le ventre et moi sur son dos, je continuais à le caresser et à l'embrasser. Il se retournait et nos caresses continuaient. Il me repoussait sur le dos, il se retrouvait entre mes jambes, bien écartées.


On ne bougeait plus, on se regardait et il me demandait.


On continue ?


En disant cela il s'amusait avec sa queue en plastique ? Je faisais oui de la tête. Sans hésiter il lubrifiait alors son gode ceinture, me relevait les jambes et le glissait dans mon cul.


Là je me suis tendu, il l'a glissé en un seul mouvement, en un seul mouvement mais un mouvement fluide. J'avais envie de hurler mais j'ai serré les dents. Son gode entrait doucement mais inexorablement, je sentais mon anus se dilater, suivait mes entrailles. C'était un peu douloureux, mais seulement un peu, je devais déjà commencer à m'habituer. C'était surtout un immense plaisir.


Son ventre s'écrasait sur mes fesses, il continuait alors à appuyer, il se penchait sur moi et me prenait dans ses bras. Je refermais mes jambes dans son dos. Il se retirait alors avec force, quelques centimètres seulement, puis revenait avec force en moi et de nouveau appuyait son gode contre mon cul.


C'est là que j'ai commencé à jouir.


Je ne sentais plus la moindre pression de la part de ma bite. Je la sentais elle devait être bien dure mais ne protestait plus, elle avait sans doute trouvé de la place. Je la sentais bien mais là c'était agréable. J'avais l'impression que j'allais éjaculer, je jouissais déjà, un plaisir intense naissait dans mon ventre et rayonnais dans tout mon corps.


Tommy s'en rendait compte. Il me plaçais alors les pieds sur ses épaules et commençait à me limer le cul, doucement au début, bien concentré, méthodiquement. Il accélérait, il ralentissait, il frappait fort quand son ventre s'écrasait contre mes fesses ou il y allait tout doucement. Il alternait une certaine virilité bien ferme et une douceur extrême.


J'avais perdu pied, je gémissais sous ses assauts. Il m'avait replié sur moi même et mon cul offert recevait sa queue qui venait avec force. Je sentais un plaisir incontrôlable. Je tremblais, il me maintenait avec force sinon je l'aurais repoussé avec mes pieds. Je me défendais, d'une manière passive mais je me défendais. J'étais pris de convulsions, je manquais d'air, il ne bougeait plus et se retirait.


J'ai joui, enfin je veux dire j'ai continué à jouir, ça faisait un moment que ça durait mais là, j'ai éjaculé et à ce moment j'ai aussi joui avec ma queue.


Il était en sueur, il respirait fort lui aussi. Je ne sais pas s'il avait pris du plaisir mais moi j'en avait pris, je continuais à éprouver du plaisir à l'intérieur de mon cul. Plusieurs minutes plus tard je jouissais toujours.


Il était allongé à côté de moi, on se regardait, on se souriait puis on prenait discrètement la direction des douches.


Les semaines qui suivaient me faisait entrer dans un nouveau monde. Un monde ou on travaillait beaucoup mais aussi un monde ou on savait se faire plaisir.



A suivre




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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