Presque frères 14

 Presque frères 14



On ne s'amusait pas avec le gode ou le plug tous les jours, il ne faut pas exagérer non plus. On bossait aussi, on était dans l'une des meilleure école et on étudiait. Le programme était complet et demandait un minimum d'assiduité.


Les vacances approchaient, avec Tommy nous nous demandions ce que nous allions faire. Ces dernières semaines nous nous étions rapproché de Tamad. Je vous ai déjà parlé de lui, il est beau gosse. Il fait près de deux mètres de haut et en plus d'avoir des muscles un peu partout, si, si je vous jure il est musclé, il ne fait pas semblant … Il porte un dispositif de grosse taille !


Oui je sais ça ne va pas changer grand chose puisque de toute façon on ne peut pas jouer avec ce qu'il y a dedans … Sa queue je veux dire ! Savoir qu'elle est grosse ou minuscule, c'est pareil, on n'y a pas accès, même lui il n'y a plus accès alors … Par contre le bonhomme il était bien, vraiment très bien, bien carré, belle gueule, un sourire ravageur.


Et puis de toutes façon moi je savais qu'il en avait une grosse, je l'avais rêver.


C'était en plus un garçon adorable, il était très gentil, très agréable. On sympathisait, on lui racontait notre histoire. Je ne vais pas me répéter, vous la connaissez. Il nous racontait la sienne. Son grand père était un notable important de la PK, la fameuse société qui fabriquait ce dispositif de chasteté et qui finançait cette école.


En général les anciens élèves de l'école font carrière auprès de la société PK. Mais surtout les anciens élèves gardaient le dispositif après être sortis de cette école.


Son père avait fait un autre choix, mais lui avait accepté d'entrer dans cette école. C'était bien sûr pour le diplôme et pour les références, c'étaient les meilleures.


C'était un plaisir de le voir bouger pendant les entraînements sportifs, il était élégant, rapide malgré sa taille, d'une souplesse incroyable, et au basket … Et bien il était nul ! Oui au niveau de la taille, ça allait mais il avait un mal fou à viser. Il restait heureusement d'autres sports, la course, la natation …


Ah la natation, là c'était une merveille, on pouvait admirer tous les muscles au travail, c'était un plaisir pour les yeux. Quand il sortait de l'eau on voyait bien son dispositif, comme je vous le disais il était de grosse taille. Une taille 'six' je crois. Certains disaient 'huit' mais il ne faut pas croire tout ce qui se dit, je ne suis pas sûr que la taille ' huit' existe et une taille 'six' c'est déjà bien.


J'ai une belle queue et pourtant je porte la taille 'quatre' sans problèmes.


Bref, il nous invitait à passer les vacances chez lui. On a dit oui !


On ne verrait pas nos parents mais ils savaient qu'on se verrait moins quand ils nous ont envoyés dans cette école. C'est donc dans la propriété de la famille de Tamad que nous nous retrouvions. Il n'y avait personne à part nous, plusieurs fois par semaine un personnel venait faire un ménage complet, le reste du temps on était seul.


Le jour de notre arrivée il nous a fait visiter, c'était une sorte de chalet entouré d'arbres. Il y avait six chambres, on avait de la place et une petite piscine chauffée.


On fait un petit plongeon ? Proposait Tamad.

Ça c'est une idée ! Répondait Tommy en se déshabillant.


Il ne fallait que quelques instants pour que Tommy et moi ne nous retrouvions a poil dans l'eau. Tamad prenait son temps, il y avait des portes vitrées sur trois murs, des portes en bois avec plein de petites vitres qui donnaient une ambiance très cosy.


Dehors, les dernières neiges n'avaient pas encore fondu. Et je trouvais très agréable de tremper dans cette eau tièdes alors que dehors il faisait encore très froid. Tamad revenait vers la piscine. On se retournait vers lui. Il n'avait plus son dispositif de chasteté.


Je le regardais, je ne faisais même plus attention à mon pote Tommy. Je n'y croyais pas, il était tellement beau, il était entièrement nu. J'avais oublié qu'on pouvait être nu, entièrement nu. Ma queue s'en rappelait et précisément à une période ou elle avait tendance à rester calme, enfin plus calme. Elle se révoltait brusquement avec une grande violence.


Mes yeux parcouraient de haut en bas le corps de Tamad, il avait une queue énorme, je m'en doutais mais là je pouvais le constater. Il avait la peau ambrée partout, sa queue comme le reste de son corps. Il sautait dans l'eau et venait nous rejoindre.


C'est à ce moment que j'ai remarqué que Tommy lui aussi était complètement retourné. Tamad s'en amusait, il nous faisait un geste et nageait vers l'autre extrémité de la piscine, on le suivait. Nous l'avions toujours trouvé incroyablement beau, incroyable sexy mais là c'était encore pire. Il était encore plus beau, il nageait le crawl et nos deux queux protestait douloureusement. Quand il repassait devant nous il nageait sur le dos et sa queue grosse et longue se balançait, lui ne bandait pas.


On a nagé, on a chahuté, on a rigolé et quand on est sorti de l'eau nos dispositifs de chasteté se soulevaient avec force. Il nous regardait et remarquait obligatoirement le détail. Il sortait alors de l'eau avec légèreté. Là il bandait, il bandait ferme et en effet il en avait une énorme.


Elle devait être de la taille du plug. J'avais mal au cul. Rien que de voir sa matraque, j'avais mal au cul. Je me disais que j'en faisais même pas le tour avec les doigts. Je me demandais comment j'allais la prendre dans la bouche. Je me disais que je ne pourrais pas me la prendre dans le cul.


J'avais envie de sa queue. Elle se balançait à l'horizontale, elle était bien ferme déjà mais elle pouvait le devenir encore plus. Elle ne grossirait plus et là c'était heureux, plus gros, c'était trop gros mais là vraiment trop !


Il attrapait des serviettes nous en lançait une chacun et s'essuyait devant nous. Je vous jure là, Tommy et moi on buggait. On le regardait Tommy avait l'air idiot avec la bouche à moitié ouverte mais je ne devais pas être mieux.


Il s'essuyait en prenant bien son temps. On en faisait de même, il rigolait à moitié de nous voir ainsi. Peu à peu, on voyait sa queue se redresser un peu plus à chaque passage de la serviette.


Ça vous choque de me voir sans cage ?


Je faisais non de la tête en bafouillant '' Bon, gon …''.


Tommy bafouillait lui aussi '' Non, non …'' en faisant oui de la tête.


Tamad rigolait franchement il s'allongeait sur un tapis épais juste à côté de la piscine. Il écartait les jambes et se montrait dans sa plus grande beauté.


Nous somme seuls ici, vous avez le droit de vous amuser avec moi !


Au moins c'était clair. On ne se jetait pas vraiment sur lui mais c'était pas loin. Il mettait ses bras en croix, je commençais par les lui caresser. J'appréciais en même temps ses muscles puis j'y déposais quelques baisers. Avec tendresse il en profitait pour me donner un baiser sur la tempe.


Je m'approchais et on échangeait des baisers très tendre puis plus passionné. Je lui caressais le torse. Ma main descendait sur son ventre, là encore il y avait des muscles, son corps était ferme et doux. Je l'avais rêvé et là je pouvais le constater.


Ma main arrivait sur les cheveux de Tommy, lui il avait commencé par sucer la queue de notre camarade. C'est vrai que les bites, ça nous manquait un peu. Ou on vivait on ne pouvait ni nous amuser avec la notre ni avec celle du voisin.


Je devinais aux bruits de sucions que Tommy se concentrait sur son travail, et je ne pouvait constater, aux gémissements de Tamad, que ce dernier y prenait un grand plaisir. Il ne le cachait pas.


Ma queue hurlait de colère dans sa cage. Elle se révoltait, ce n'était pas la première fois mais à chaque fois ça me faisait le même effet. Une sensation de manque, une frustration intense, un manque. J'avais le plaisir là, à porté de main et plus proche encore même mais ce plaisir était inaccessible. Il n'y avait aucun moyen, le dispositif était bien étudié.


C'était infernal, sous l'effet du manque je me lâchais et c'est dans l'espoir de ressentir un peu de plaisir que j'en donnais sans compter. Je m'allongeais sur le torse de Tamad, le couvrais de baisers, de caresses, de câlins. Il me rentait mes câlins en refermant un bras sur mon dos. Il me caressait et sa main descendait jusqu'à mes fesses.


Je continuais à le caresser sur le ventre et finissais par repousser Tommy. On inversait les position et c'est moi qui maintenant suçais la queue de notre ami Tamad. Je caressais aussi le cul de Tommy, j'y retrouvais la main de Tamad.


Je n'arrivais pas à prendre toute sa queue dans la bouche, elle était bien trop grosse. Nous nous caressions l'un l'autre de tout notre corps, Tommy et moi caressions et sussions la queue de Tamad. En réponse il gémissait de plaisir.


On faisait durer ce moment de tendresse et de douceur, puis sans prévenir Tamad se relevait,nous donnait un baiser puis me retournait sur le ventre. Il s'allongeait alors sur moi, me lubrifiait le cul, il avait tout prévu avant, et sans plus de manière il appuyait sa queue contre mon anus.


Tommy se relevait et regardait la scène. Il semblait fasciné ou peut être effrayé. Moi je ne voyais rien, c'était mieux, sinon j'aurais certainement paniqué. Tamad avait une grosse queue, vraiment grosse.


Je sentais seulement un pression contre mon cul. Une pression qui devenait plus forte et encore plus forte. Elle devenait intense. Et j'ai hurlé au moment ou j'ai senti mon anus s'ouvrir et laisser passer sa queue.


Elle faisait de la place pour s'y glisser et elle s'y glissait. Mon anus se dilatait, c'était bien un peu douloureux mais c'était terriblement excitant. J'en redemandait en lui demandant toutefois d'y aller doucement mais d'y aller.


Et il y allait.


Je ne parvenais plus à respirer, je ne parvenait même plus à gémir. J'avais la bouche ouverte mais aucun son n'en sortait. Tommy me regardait, je croyais deviner dans son regard comme une panique. Il me regardait dans les yeux comme pour m'interroger, me demander si tout allait bien.


La queue de Tamad glissait, ça résistait bien un peu mais il forçait. Il forçait doucement, lentement, il voulait que ça passe mais il n'était pas pressé. Sa queue s'enfonçait millimètres après millimètre. Je me sentais envahi, rempli, je ne contrôlais plus rien et je finissait par paniquer, il finissait par écraser son ventre contre mes fesses.


Là, j'étais un peu comme mort. Pas tout à fait mais pas loin.


Tamad s'appuyait alors de tout mon poids sur mon dos puis de tout son poids sur mes fesses. Il ne bougeait plus, je n'arrivais pas à savoir si Tommy était excité ou effrayé. Il savait qu'il y passerait à son tour, je n'arrivais pas à savoir si il bandait dans sa cage ou pas.


Tamad se soulevait sans prévenir et avec un mouvement lent qui ne semblait pas finir il ressortait de mon cul. C'était presque plus violent qu'au moment ou il était entré. Je le sentais glisser avec force dans un tuyau trop étroit et le tuyau, c'était moi !


Tout mon corps tremblait quand il entrait de nouveau, il lubrifiait généreusement, il avait tout ce qu'il fallait c'était prémédité, puis il glissait plus vite. J'étais toujours trop étroit ou alors c'est lui qui était toujours trop large, trop gros et peut être trop long aussi.


Mais là ça glissait, il n'y avait plus de résistance, il n'y avait plus que de la pression. Une pression qui finissait par devenir agréable, toujours un peu douloureuse mais, délicieusement.


C'est un véritable plaisir qui naissait quelque par au milieu de mon ventre, un plaisir qui faisait peur au niveau de mon cul, un plaisir qui rayonnait dans tout mon corps, depuis mon torse jusqu'à tous mes membres et brusquement j'étais pris de convulsion.


Tamad se penchait sur mon oreille.


Ça va bonhomme ?

Oui vas y défonce moi le cul !


J'aurais peut être mieux fait de me taire là. Il s'est énervé, c'est ce que je voulais, mais c'est aussi ce que je ne voulais pas. Il entrait et ressortait plus vite, puis encore plus vite. C'était intense, terrifiant et au final je ne savais plus si c'était agréable ou pas.


Je voulais qu'il s'arrête aussi je lui criais des ' Oui vas-y, non arrête, vas y continue, encore, encore, NON, NON, OUIIIIIII !' .


Oui je sais … Mais bon …


Pendant un long moment, pendant un moment qui ne semblait jamais finir il me limait le cul. Je criais, je hurlais, c'était trop. Je gigotais, je remuais les bras mais lui avec sa force naturelle qui allait parfaitement avec le reste du bonhomme m'immobilisait sans efforts apparents.


Je sentais un plaisir douloureux qui envahissait tout mon corps. Ce n'était pas douloureux sur tout mon corps mais à un endroit précis, ce n'était pas que du plaisir. Pour le reste je tremblais, j'étais pris de convulsions et je sanglotais.


J'avais l'impression de jouir, enfin j'avais l'impression que j'éjaculais. Je jouissais sans éjaculer et en même temps j'en prenais plein le cul et je savais que le lendemain j'aurais du mal à m'asseoir.


Les derniers coups de bite qu'il me donnait étaient particulièrement violent, il jouissait dans mon cul en gueulant, il éjaculais avec force avant de s'écrouler sur moi. Je ne bougeais plus, j'étais KO. Il se retirait je hurlais une dernière fois, une dernière fois j'étais pris de convulsions, je passais ma main entre mes fesses, un filet de sperme bien épais en coulait …



A suivre




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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