Cage a bite

 Cage a bite


Il semblerait que ce qui lui avait plu chez moi c'était ma cage. Une jolie petite cage blanche, enfin je dis là des évidences, une cage à bite doit toujours être petite … Une grosse cage, ça ne le fait pas du tout. Celle que je portais réduisait ma queue à pas plus de cinq centimètres de long.


Ce qui m'a fait craqué chez lui c'était sa queue, elle faisait plus de vingt centimètres de long et était plus large que ma cage n'était longue.


Étonnamment il n'avait pas posé de questions. Il m'avait juste dit …


Au moins, là on connaît les rôles de chacun.


Après il a mis en application cette information. On s'était rencontré sur une plage et rapidement on s'est retrouvé chez lui. On remontait de la plage et de fait on n'était que très légèrement vêtu. Il ne nous a pas fallut bien longtemps pour nous retrouver à poil, comme à la plage. Il me regardait de haut en bas, il faisait un sourire étrange.


Il était nu lui aussi, moi aussi je le regardais longuement des pieds à la tête.


Il avait des jambes fortes et une grosse queue qui pendait lourdement.


Il avait des bras musclé et harmonieux et une grosse queue à l'horizontal .


Il avait un beau visage et un sourire éclatant et une grosse queue qui se redressait contre son ventre.


Moi je n'en faisais pas autant. Ma queue restait confinée, bien confinée. La pression augmentait dans la cage et maintenant ça devenait presque douloureux.


Suce ! Me disait-il.


Je ne réfléchissais même pas, je me mettais à genoux et commençais à lui caresser la queue. Doucement, avec la main dans un premier temps. Ensuite avec le bout de la langue, je passais ma langue sous son gland, au niveau de son frein. Il poussait un petit gémissement et je le sentais se retenir de me caresser les cheveux.


Je prenais son gland dans ma bouche et le caressais avec la langue. Je la passais et la repassais au dessus, au dessous, j'insistais un peu au niveau de son frein et insistais au niveau de son petit trou qu'il a tout au bout, un peu comme si j'essayais d'y entrer la langue. Là il finissait par craquer …


Il me caressait les cheveux, doucement au départ puis il appuyait sur l'arrière de ma tête, il appuyait sur ma tête et sa queue s'enfonçait. Je ne résistais pas en fait j'avais un peu la trouille, il était bien monté mais je voulais continuer.


J'aime sentir une belle grosse queue s'écraser au fond de ma gorge, il ne me retenais pas, il savait qu'avec sa grosse queue je risquais de vomir. Si j'essayais de me dégager il me relâchait. Vous savez avec une grosse queue, c'est pas facile tous les jours. Je voudrais vous y voir moi !


Je m'habituais, il testait ma résistance et se laissait aller, peu à peu il me balançait des coups de bassin et je prenais des coups de bite dans ma gorge. C'était un peu affolant c'était terriblement excitant, je ne voulais pas lâcher et plus on avançait plus j'avais de me prendre sa queue dans le cul.


J'écrasais mon visage contre son ventre et je forçais, je gardait mon nez bien enfoncer contre son ventre, je gardais la position le plus longtemps que je pouvais.


Au bout d'un moment c'est lui qui me repoussait, je résistais, sa queue, je la voulais. J'étais bien chaud et au bout d'un moment, je la prenais dans ma bouche et j'arrivais à la garder et à m'en régaler.


Nous allons passer à une autre étape … Redresse toi.


Là j'ai senti comme une boule au niveau de mon estomac. Je me suis relevé, retourné puis penché en avant. Je m'appuyait contre le fauteuil et j'écartais les jambes. Il prenait son temps, il me caressait le corps depuis les épaules, il me caressait tout le dos lentement.


Quand il arrivait à mes fesses, c'est avec les deux mains qu'il me caressait. Avec une main il me tripotait les couilles et s'amusait quelques instants avec ma cage puis il posait une main à plat sur une fesse et glissait un pouce dans mon cul. Je couinais un peu.


Il posait son autre main sur mon autre fesses et glissait son autre pouce dans mon cul. Là aussi je couinais de nouveau. Puis il s'amusait, il glissait ses deux pouces plus fort, plus profond il les agitait, il m'ouvrait le cul, me le dilatait tranquillement, toujours en prenant son temps.


Il en profitait pour bien me lubrifier, je le sentais, plus ça allait plus ça glissait. Puis sans prévenir il positionnait sa queue, me saisissait fermement par les hanches et me tirait vers lui.


Sa queue entrait avec violence dans mon cul, son ventre s'écrasait contre mes fesses, je gueulais. Il ressortait presque aussitôt et revenait avec force. Là j'ai un peu paniqué, il me faisait mal l'animal, je râlais. Lui ne s'en inquiétait pas, il continuait avec toujours autant de conviction.


Il me tirait vers lui et avançait son bassin vigoureusement. Pour lui la situation n'avait rien de bien compliqué. Pour moi, il fallait que j'encaisse et comme je vous le disais plus tôt, il était bien membré. J'en avais vu d'autres, mais là il était entré sans préliminaires, sans vraiment me préparer, enfin un peu avec les pouces mais pour le reste c'était une entrée fracassante.


Et il fracassait tout, il me défonçait méthodiquement le cul, méthodiquement mais sans se préoccuper de moi. Pour lui je n'étais rien qu'un objet de plaisir.


Ça ne me dérangeait pas vraiment remarquez.


Mais il me faisait mal l'animal et je tentais de le retenir, je glissais un bras dans mon dos, il me le saisissait, me le tordait et je me retrouvais encore plus bloqué contre le fauteuil. J'étais plié en deux et ce n'était pas de rire.


Il me limait le cul avec régularité et force. Je ne pouvais qu'encaisser, je râlais aussi, la douleur que j'avais ressenti en premier faisait place à un plaisir qui m'envahissait, qui rayonnait depuis mon cul à tout le reste de mon corps. Je tremblais, il a sans doute pensé que je voulais me dégager et il me retenait avec encore plus de force.


Là il m'a fait peur, il frappait son ventre contre mes fesses et chaque fois un bruit sec raisonnait. Il râlait aussi, moi je gémissait de plus en plus fort. J'avais renoncé à résister, en fait je n'avais pas le choix, j'acceptais donc le chois qui s'imposait à moi … Subir !


Je subissais ses assauts et j'en prenais de plus en plus de plaisir. Avec mon bras libre je me cramponnait et quand il me lâchait mon autre bras, je me cramponnais avec à ce que je trouvais. Je continuais à gémir, il continuait à râler à chaque coup que je prenais.


Je finissais par respirer plus fort et plus vite. Je tremblais de plaisir, et je le finissais par le ressentir dans tout mon corps, mes bras tremblaient sous le plaisir, mes jambes me lâchaient. Lui ne me lâchait pas, il me retenait avec beaucoup de force. Il me soulevait par moment et en profitait pour me donner des coups de bite dans le cul encore plus violent.


Avec ce traitement, je finissais par jouir, j'avais l'impression que je jutais, en fait je restais parfaitement sec mais j'avais vraiment l'impression de juter ! C'était le pied, le plaisir ne diminuait pas et cet orgasme durait. Ce n'était pas un orgasme rapide qui ne dure que quelques secondes, il durait dans le temps il durait et devenait de plus en plus intense.


Il le remarquait, comment autait-il pu ne pas le remarquer, je gémissais, je me tortillais dans tous les sens, je ne tenais plus debout et mes bras étaient pris de gesticulations incontrôlables.


Il jouissait à son tour, dans mon cul. Les coups qu'il me donnait à ce moment étaient particulièrement violents, il râlait de plaisir, il râlait fort et moi je poussais un cri également avant de m'écrouler sur le sol. Il m'avait lâché, j'étais tombé, je jutais généreusement.


Au moment ou sa queue était sortie de mon cul j'avais ressenti un dernier plaisir, un dernier éclair de plaisir. Je jutais et j'avais l'impression que ça ne cesserait jamais, je recevais aussi quelques giclées de sperme dans le cou.


Je me suis alors allongé sur le tapis, il avait un tapis très épais, et on a alors commencé à discuter.


Mieux vaut tard que jamais me direz vous. C'est vrai que je ne connaissais même pas son prénom, c'était Julien.


On a pris le temps de faire connaissance, on s'était allongé l'un à côté de l'autre, il s'amusait avec ma cage et me tripotait les couilles. Ça l'amusait ce genre de truc, il ne lui en fallait pas beaucoup.


J'avais déjà entendu parler de ces truc et je me demandais qui pouvait en porter … Me disait-il.

C'est la mode . Lui répondais-je.

Mais tu ne le portes pas tout le temps.

Heu ! Si …

Tu le retire jamais ?

Oui de temps en temps mais ce n'est pas une obligation.


Il s'allongeait sur le dos avec un large sourire.


Tu sais que tu m'intéresse toi .

Moi ! Et qu'est ce qui t'intéresse en moi ?

On connaît les rôles.

J'aime bien être passif.

Moi je ne suis QUE actif ! Me répondait-il.


On se regardait dans les yeux pendant un moment sans rien dire.


On pourra se revoir ? Me demandait-il.

Avec plaisir !

Même conditions ?

Conditions ?

Tu porteras toujours ta cage à bite ?

Si tu veux !

Je veux que tu la porte tout le temps. Tu m'as bien dit que c'était possible.

Oui c'est possible.

Alors ?

D'accord mais à condition que tu m'encourages.

Et je fais comment ?

Comme tu as fait aujourd'hui, tu t'en es bien sorti.

Je crois que je comprends.

Les rôles sont définis, et on ne revient plus dessus.

Tu n'as pas peur ? Me demandait-il.

Si mais …

Tu me donnes la clé ?


Là je ne répondais plus rien, je réfléchissais à quoi je m'engageais.


OK, je vais y réfléchir ! Répondais-je finalement.

Prends ton temps, je te préviens, je ne libérerai jamais.

C'est sévère !

C'est toi qui propose.

La prochaine fois qu'on se voit.

Rapidement j'espère … Me répondait-il.

Là c'est toi qui dispose.


On s'est revu deux jours plus tard, dans un premier temps on s'est accordé un petit plaisir. Il m'a enculé quoi, pour ceux qui n'auraient pas suivi. De nouveau il s'est amusé avec mes couilles, avec mon dispositif de chasteté puis …


Je lui ai remis les trois clés.


En fait le cadenas en avait deux mais j'avais par hasard deux cadenas qui s'ouvraient avec les mêmes clés, c'est assez rare avec ce matériel. J'en gardais une verrouillée elle aussi mais avec un cadenas en plastique numéroté, un truc à usage unique pour l'ouvrir on le coupe. Comme je lui expliquais, si le besoin s'en fait sentir je pourrai me libérer mais il ne me sera pas possible de le lui dissimuler.


Rapidement il faisait disparaître les clés dans sa poche, je ne savais pas si je les reverrais un jour, je ne savais pas s'il les utiliserais un jour. J'avais comme une grosse boule au niveau de mon estomac.


A cet instant tout change, on ne voir rien de changé mais tout change radicalement … C'est difficile à expliquer .



Fin



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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