La ceinture 11 Prison d'état

 La ceinture 11 Prison d'état



Un groupe de prisonniers arrivait pour décharger, le camion était plein il faudrait plusieurs jours, surtout qu'il n'y avait aucune machinerie lourde pour faire le travail. Dans un entrepôt quelconque il n'aurait pas fallu la journée pour décharger puis recharger. Ils seraient repartis le lendemain.


Kevin avait pour mission de surveiller le camion et les opérations à venir. Il ne faudrait pas qu'un des prisonnier n'en profite pour tenter de s'évader. Romain s'absentait pour aller visiter les mines de minerais. Il était traité sur place, c'est le produit traité qu'il faudrait ramener jusqu'à un entrepôt.


Le nombre de prisonniers qui assurait le déchargement était compté, à chaque instant la surveillance savait qui était là, et il fallait qu'il ne manque personne à la fin de la journée.


Romain était parti visiter la mine et le centre de traitement, Kevin restait sur place pour surveiller le camion. Lui n'était pas prisonnier il avait un passe qui lui permettait de se déplacer librement dans la prison.


Il faisait connaissance avec les gardes, ils étaient tous ou presque au départ des prisonniers qui pour pouvoir profiter de meilleures conditions de vie étaient recrutés assistants. C'était une première étape vers la réhabilitation progressive. Ils devaient porter un dispositif de chasteté, ce n'était pas le cas pour les prisonniers. Mais pour pouvoir aller travailler ailleurs il fallait devenir assistants.


Kevin se déplaçait dans la réserve pour voir comment étaient rangés les affaires, il y avait des prisonniers qui déchargeaient. Un d'entre eux qui avait un air tout timide arrivait.


  • Chef gardien, nous avons un problème, vous pouvez venir voir ?


C'était un grand gaillard, un prisonnier qui avait l'air tout timide qui venait demander quelque chose à Kevin. Kevin se sentait sans doute flatté de se faire appeler chef et suivait le prisonnier.


  • C'est par là que ça se passe, on était en train de ranger tout ce qu'on déchargeait quand …


C'est à ce moment que plusieurs mains s'abattaient sur le pauvre Kevin. Il n'a même pas eu le temps de crier ou de se débattre. On lui saisissait fermement la tête, on le faisait taire en lui posant une main sur la bouche, une autre personne au moins, et il devait être très costaud, lui retenait les mains dans le dos. Une autre personne, ou plus peut être plusieurs, lui retenait les jambes.


Tout était si rapide que Kevin n'avait pas le temps de réagir, il n'arrivait même pas à deviner combien de personne le tenaient et le secouaient. Il se retrouvait bâillonne, les mains attachés dans le dos, les pieds liés, et une sorte de cagoule l'empêchait de voir ou on l'emmenait.


On le jetais sur quelque chose de dur, il se retrouvait allongé sur une sorte de table ou sur une planche, les mains attachés au dessus de sa tête. Ils étaient au moins quatre. Il rigolaient. Kevin ne voyait rien, il sentait des mains qui se promenaient sur tout son corps. Elles étaient froides, il faisait froid. Dans la salle ou on l'avait emmené la température était plus douce mais il ne faisait pas chaud pour autant.


On avait ouvert les vêtements que portait Kevin, je dis on, Kevin ne savait pas qui ils étaient mais rapidement il en était sûr, ils étaient bien quatre. A part ça il ne savait pas qui lui ouvrait son pantalon, le lui retirait. Il a tenté de résister de se débattre et là il a reçu un violent coup de poing dans l'estomac.


On lui relevait les jambes, et c'est avec force et même violence qu'un des gars l'enculait. Il s'était rapidement lubrifié la bite et l'avait enfilé dans le cul de Kevin en un mouvement rapide. Kevin se débattait comme il pouvait, ils le retenaient, Kevin gémissait et tentait d'appeler.


C'est pas qu'il n'aimait pas se faire enculer mais, d'abord on demande. C'est plus poli .


Mais là, précisément, on ne lui avait pas demandé son avis, Romain à le droit d'abuser de lui mais Romain … justement c'est Romain ! C'était son pilote, et il commençait à l'aimer. En tout cas il apprenait à l'apprécier. Là on lui faisait mal, on le bousculait et là, il ne voulait pas.


Il sentait une queue glisser en lui, elle glissait oui mais avec force, il était bien lubrifié mais le gars qui abusait de lui devait être bien membré. Il le sentait bien passer. Et si Kevin gémissait ce n'était pas que de plaisir, certainement pas. D'abord on lui retenait les jambes replié sur lui même mais rapidement il sentait qu'on les lui attachait. Une dernière fois il tentait désespérément de se dégager.


On le lâchait, il ne pouvait plus bouger. Il a alors tenté de crier mais il se était bâillonné et réduit au silence. Son pantalon avait été descendu sur ses chevilles, ses chevilles étaient au dessus de sa tête. Ses bras étaient attaché et ses vêtements remontés montraient son torse glabre.


On le caressait, plusieurs mains glissaient sur son corps. On lui pinçait les tétons lui arrachant des gémissement de douleur. Les gars ne faisaient pas semblant. Une main lui tripotait les couilles et là encore ce n'était pas seulement avec tendresse. Là encore il gémissait de douleur.


Et cette grosse queue qui glissait en lui, le gars le tirait vers lui avec force par les hanches tout en lui balançant un violent coup de bassin et faisait claquer son ventre sur les fesses de Kevin. À chaque coup Kevin se contractait. Ça voulait être violent, ça l'était, et c'était douloureux aussi.


Kevin avait ses vêtements relevés sur son visage et ne pouvait pas voir qui s'amusait avec lui, il ne pouvait pas savoir qui lui pinçait douloureusement les téton, ou qui l'enculait avec force. Il était réduit à l'impuissance et même ses gémissements étaient entravés.


Les coups contre ses fesses devenaient plus rapide mais toujours aussi ample. Le gars faisait une pause, lubrifiait encore un peu et recommençait avec encore plus de force. Au bout d'un moment qui semblait avoir duré des heures pour Kevin, le gars gémissait, poussait un cri, mais là c'était du plaisir et jutais avec force dans le cul de Kevin, il se retirait et Kevin recevait quelques giclées de sperme sur le ventre.


Sans attendre un autre gars lui attrapait les couilles et tirait dessus tout en prenant position, il enculait à son tour Kevin qui avait déjà compris qu'ils lui passeraient tous dessus. Mais combien étaient-ils ?


Totalement immobilisé, Kevin se crispait et ne pouvait plus que subir. Le second lui limait le cul avec la même violence. À chaque coup son ventre claquait fort sur les fesses de Kevin et à chaque claquement ça devenait un peu plus douloureux, c'est en tout cas ce que ressentait Kevin. Là il n'y prenait aucun plaisir.


Il tremblait tant il se crispait, et mordait de toutes ses force sur son bâillon, c'était un morceau de tissus roulé en boule.


Et les coups tombaient, et les caresses continuaient, elle se terminaient en général douloureusement, en général le gars le pinçait plus ou moins fort. Il recevait aussi quelques coups dans les couilles, comme ça, juste pour voir. À chaque coup, à chaque douleur Kevin se contractait et finissait par pleurer, là il ne gémissait pas, il ne gémissait plus, il pleurait. Les autres autour de lui rigolaient.


Il continuait à recevoir des coups de bite dans le cul. Toujours aussi violents, toujours aussi rapides, le mouvement était toujours aussi ample. Mais là Kevin n'a rien senti de particulier quand le gars a éjaculé.


Il était remplacé par un autre qui s'imposait avec force. Kevin maintenant se laissait faire, il ne tentait même plus de résister, il pleurait, on lui faisait mal. Le gars n'avait pas une grosse bite mais il lui faisait mal. Il était vif, rapide, lui aussi s'amusait à faire claquer son ventre contre les fesses de Kevin. Mais là au moins il ne lui tapait pas sur les couilles.


Le quatrième prisonnier passait à son tour sur Kevin. Lui aussi s'amusait bien avec le cul du passager Kevin. Il lubrifiait régulièrement, il fallait que ça glisse, personne n'avait l'intention de s'arrêter en si bonne voie. Chacun voulait prendre son plaisir et aucun ne s'inquiétait de Kevin. Il n'était plus qu'un objet de plaisir, chacun pouvait se servir.


Le quatrième prisonnier à lui passer sur le corps arrivait rapidement à conclure, il poussait quelques cris au moment ou il à joui. Il a saisi les couilles de Kevin et les serrait très fort sous l'effet de son plaisir. Kevin grognait, ses gémissements devenaient plus intenses, même étouffés se faisaient entendre.


Quand il se retirait, de nouveau un autre suivait. Là Kevin craquait, il gigotait, il tentait de se débattre, de se dégager mais le nouveau venu lui enfonçait sa queue bien à fond sans autre protocole. Il s'enfonçait avec violence et à son tour faisait claquer son ventre contre les fesses de Kevin.


  • MAIS QU'EST CE SE PASSE ICI ?


C'était le directeur de la prison qui arrivait. Il était accompagné de Romain. Là plus personne ne bougeait, ça ne rigolait plus. Le dernier qui était en train de limer Kevin se retirait.


  • Non de dieu ! Mais je rêve ! S'exclamait Romain en se précipitant pour libérer Kevin.


Il avait l'air furieux Romain, Kevin était en larme et avait une salle tête. Romain s'assurait que son passager allait bien et l'envoyait se reposer dans le camion. Ensuite c'était l'heure de demander des comptes.


Il y avait cinq prisonniers qui avaient participé. Pour Romain et pour le directeur de la prison, il y avait cinq coupables. Dans un premier temps les cinq prisonniers étaient mis à l'isolement puis Romain allait s'inquiéter de l'état de son passager.


Kevin était sous la douche, il avait une salle tête, on voyait qu'il avait pleuré. Il se séchait quand Romain est arrivé. Romain n'osait pas le prendre dans ses bras, il n'osait pas le toucher mais c'est Kevin qui le prenait dans ses bras.


  • Tu sais, tu es le seul à avoir le droit de me toucher toi. Pas eux ! Qu'est ce qu'on va leur faire ?

  • Je ne sais pas mais ce que je sais c'est le directeur n'est pas content mais pas content du tout.


Un peu plus tard Romain retrouvait le directeur de la prison. Kevin ne voulait plus sortir du camion et personne ne l'y obligeait.


  • Tu as décidé quelque chose ? Demandait Romain.

  • Cage à bite, à perpétuité ! Répondait le directeur.

  • Perpétuité ?

  • On va prolonger leur séjour ici !


La sanction était simple, on prolongeait leur séjour en prison d'un délai égal à la condamnation, on doublait leur séjour et on rajoutait la cage à bite. Ils seraient sur ce point comme les gardiens mais sans en avoir pour autant les avantages.


Le directeur préparait les dispositifs.


  • Les prisonniers ne portent pas de cage à bite. Expliquait le directeur. Là on peut être sûr que toute la prison va leur passer sur le cul. Ça leur servira de leçon.

  • Sévère mais juste … Se contentait de répondre Romain. Je vais demander à Kevin s'il veut assister.


Dans un premier temps Kevin à refusé puis il a finalement suivi Romain. Il se retrouvait face à ces cinq hommes qui l'avaient violé quelques instants plus tôt. Il les regardait droit dans les yeux les uns après les autre. Il reconnaissait celui qui avait appâté.


  • Tu sais que comme tu es la victime, Kevin, tu peut annuler la sanction.

  • C'est toujours comme ça que ça se passe un viol ici ? Demandait Kevin.

  • Non mais ton pilote à porté plainte pour te défendre. Je crois qu'il t'aime bien, tu sais, tu as de la chance … Lui expliquait le directeur.

  • Allez y ! Répondait seulement Kevin.


Il y avait plusieurs gardes munis de matraque électriques, ça fait vraiment très mal et les prisonniers le savaient. Ils savaient qu'ils n'avaient plus le choix. Là aucun d'entre eux ne faisait plus le fier.


Ils n'avaient plus le choix, ils ont bien tenté de faire traîner mais ils savaient que les gardes n'étaient pas très patients … ils se sont résigné.


Chacun leur tour ils ont glissé leurs couilles dans l'anneau, puis c'était la bite puis venait la cage. À ce niveau chacun a eu une hésitation, puis voyant les matraque électriques chacun à obtempéré.


Le directeur verrouillait tout le monde. Ils faisaient la gueule tous les cinq. Ils savaient qu'ils allaient devenir les putes de la prison, que tout le monde leur passerait sur le corps régulièrement.


Kevin retournait dans le camion, il n'en est pas ressorti avant qu'il soit reparti de la prison.



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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