Presque frères 19

 Presque frères 19



Les deux filles étaient sous le charme, sous mon charme naturel. Je ne sais pas si c'était du au fait que maintenant elle savait qu'avec moi elles ne risquaient rien mais elles s'amusaient avec moi.


Il n'y aurait pas de pénétration avec moi mais ça ne les dérangeait pas. Leurs mains glissaient sur mon torses, rapidement elle devenaient moins timides, moins réservées. Elles glissaient sur mes cuisses, entre mes cuisses, elle me caressaient les couilles et ma cage me faisait un peu mal par moment. Normalement on ne doit pas ressentir la moindre douleur, c'est garanti, mais il y a des limites.


J'intervenais aussi je les caressaient, mes doigts glissaient dans le sexe de l'une d'entre elle, je ne sais même plus laquelle c'était. Véro et Clara auraient-elles lu dans mes pensée, je pensais qu'à recevoir des câlins de leur part, et précisément c'est ce qu'elles me donnaient, et avec générosité.


Elles se glissaient, elles glissaient contre moi. Leurs corps étaient chauds, ils étaient doux. Elles non plus n'avairnt pas de poils sur le corps, tout comme mon pote Tommy.


Je n'ai pas vraiment compris ce qui s'est passé là mais, il semblerait que Tommy a doucement tenté de caresser la fesse d'une des filles et en réponse elle lui aurait tapé sur les doigts, oh pas bien fort mais ça l'a vexé !


Tommy n'est pas plus méchant que moi, il l'a bien pris. Il n'a pas gueulé mais il a fait la gueule. Remarquez, là, je le comprends. Les deux filles me caressaient avec leur bras, avec leurs baisers avec tout leurs corps. Je me sentais un peu tendu au bout d'un moment. Mais là je ne parle que de ma cage ou de ce qu'il y avait dedans.


Il y avait dedans une pression de fou, ma queue protestait, elle sait faire ça bien. Ça n'avance pas à grand chose mais c'est pas ça qui la calme, elle proteste tout de même. J'ai alors l'impression que la cage diminue en traille, je sens les barreaux en titane se resserrer contre ma queue qui se retrouve comme étranglée.


Et il y a ces caresses sur mes couilles, ces baisers sur tout mon corps, ces caresses à quatre mains. Je fini par me lâcher et avec seulement deux mains ( désolé j'en ai pas plus ) je répond à une caresse par une caresse. Il y a aussi les baisers, je ne sais plus qui m'embrasse au début. Mais je suis physionomiste et je fini par les reconnaître du bout de la langue.


A un moment une des deux filles me chevauchait le visage, ses genoux contre mes épaules, moi allongé sur le dos, sa chatte juste au dessus de mon visage, que pouvais-je faire. L'autre me tripotait les couilles. Je sortait la langue et doucement commentait à découvrir son intimité.


Je l'ai senti vibrer à cet instant, elle a tremblé de tout son corps, un frisson me également le corps. C'est à ce moment que l'autre fille qui ne se faisait pas oublier pourtant me glissait un doigt dans le cul. C'était bon, j'ai éprouvé un plaisir incroyable. Son doigt avait du mal à glisser il était lubrifié au minimum.


La fille qui me faisait lécher sa chatte s'allongeait sur moi, je la sentais me caresser les couilles, elle me les léchait . C'était sans doute histoire de me remercier, je lui donnait du plaisir avec ma langue, ça ne faisait aucun doute. Elle me tripotait les couilles et le plaisir qu'elle me donnait était un peu moins évident, ce n'était qu'à moitié agréable mais je la laissait faire en me disant que ' Tant qu'elle ne me fait pas mal … ' .


L'autre me frappait la prostate avec un doigt et une grande régularité. Là par contre le plaisir montait. Elle faisait une pause puis reprenait.


Personne ne me demandait mon avis sur ce qu'on me faisait subir. Mais je suis du genre facile à vivre et je ne protestais pas. Je laissait faire, le plaisir sur mes couilles était très discutable mais dans mon cul il devenait intense.


Elles s'en rendait compte.


Mes caresses intimes, avec ma langue, faisaient leur effet. Le petite qui était maintenant allongé sur moi respirait fort, plus fort et me tripotait les couilles avec plus de force également. Je ne sais pas combien de temps cette situation à duré. Au bout d'un moment qui avait sans doute duré, elle se relevait et sa copine prenait la place. La première disparaissait je ne sais ou. Je me concentrait sur la seconde, je lui donnait son le plaisir buccal qui avait fait frémir sa copine quelques instant plus tôt.


  • TOI TU NE TE BRANLES PAS !


Cette injonction était à l'intention de mon pote Tommy. C'était la première fille que j'avais léché longuement. J'en concluait qu'elle s'en prenait à Tommy et qu'il n'avait pas le droit de jouer de la quéquette avec la fille.


C'est un long moment plus tard encore que la fille se relevait, je pouvais enfin respirer. J'avais mal à la langue, j'avais mal à la queue, elle m'avait écrasé les épaules et j'avais mal aux épaules. C'était pas le pied. Enfin il semblerait que elle, elle avait pris son pied.


Je me retournais vers mon pote Tommy, il était coincé contre la tête du lit, contraint lui aussi à lécher la chatte de la fille. Si ce n'était de Tommy, elle par contre, elle prenait son pied.


Elle se retirait, elle avait joui, c'est moi qui avait commencé c'est Tommy qui avait terminé.


Il était à moitié allongé sur le dos, la bite à l'air, bien en érection. Et en plus il n'avait pas le droit de se toucher. À chaque tentative il se faisait remettre en place. Elles avaient du caractère les deux petites. La fille se retirait et était remplacée pas sa copine, celle qui venait de me laisser.


A son tour elle se faisait lécher longuement, et prenait encore un peut plus de plaisir. Tommy bandait toujours d'une manière désespérée et pathétique. Il n'avait pas le droit de se tripoter ou pire, de sa masturber.


Puis sans prévenir, une sorte de calme arrivait. Les filles avait eu leur plaisir, elles étaient satisfaites. Moi pas vraiment pais je pense qu'elles s'en moquaient. J'avais toujours la queue sous pression dans une cage minuscule, une cage qui ce soir là encore n'était plus du tout à ma taille. Ça faisait quelque temps que je la portais mais c'est vrai que temps en temps elle était trop petite.


Tommy n'avait pas l'air mieux que moi. Sa queue se dressait fièrement entre ses cuisses mais à chaque fois qu'il tentait d'y toucher il se faisait gourmander. Il y avait comme de la détresse dans son regard. Moi aussi je ne devais pas avoir meilleure mine. Mais moi, j'étais déjà résigné avant, Tommy, lui y croyait.


Les filles étaient satisfaites, et s'installaient tout contre nous. Elles posaient leurs têtes sur nos ventre, la mienne continuait à me tripoter les couilles, comme ça, juste pour s'amuser. Je la laissait faire.


Tommy nous regardait et sa queue bandait encore plus.


On dirait que quelque chose te tourmente Tommy ? Demandait une fille.

Oui mais, enfin … Pfff …

Tu sais … Si tu veux vraiment tirer ton coup, il reste ton pote Paco.


Là c'est de moi qu'elle parlait.


Hein ? S'exclamait Tommy.

Bein oui, tu l'encules, il doit être au moins autant en manque que toi le pauvre. Complétait la fille qui avait sa tête sur m on ventre et me tripotait les couilles.

Et en plus nous on pourrait se rincer l’œil ! Rajoutait sa copine.


Un grand silence suivait. Puis Tommy se relevait …


Oh et puis, si c'est comme ça. Moi je suis en manque ! Déclarait Tommy.


Je ne sais pas s'il l'a fait exprès mais il a oublié de me demander mon avis. Les deux filles s'installait bien en position pour ne rien louper. Ça avait l'air de bien les amuser les petites.


Tommy se penchait sur moi, il me tirait par les jambes et je me retrouvais allongé sur le dos, au milieu du lit. Il me relevait les jambes, on lui passait un tube de gel lubrifiant. Il prenait position, me lubrifiait le cul et sans prévenir, m'enfonçait sa queue bien à fond.


J'ai crié, c'est qu'il m'avait surpris le con. Il ne m'a pas fait mal pour autant, enfin un petit peu mais à peine, on se connaissait bien et on connaissait bien les réactions de l'autre.


Immédiatement un plaisir m'inondait, c'est vrai que la petite m'avait stimulé la prostate en me la massant longuement, Tommy était le bienvenu.


Il donnait des coups de bassin violents contre mes fesses et faisait claquer sec les coups que je recevais. Je gémissait à chaque coup que je recevais, je me contractais, je me tortillais aussi. Rapidement le plaisir me submergeait.


Je refermais les jambes dans son dos et le retenais fermement.


Il est pire qu'une fille ! Déclarait une des deux filles.

Oui mais il est habile avec sa langue ! Rajoutait sa copine.


Elles nous observaient et s'en amusaient. Elles commentaient également. Ce qui est sûr c'est qu'elles appréciaient. Elles n'en revenaient pas, il y avait devant elles leurs petits copains pour la soirée, un d'entre eux en prenait plein le cul et l'autre lui limait le cul avec une belle grosse bite.


Tommy entrait et ressortait de mon cul avec vigueur, il accélérait tant qu'il pouvait, il se donnait à fond. Chaque fois que son ventre s'écrasait contre mes fesses c'était une sensation entre une certaine douleur et un plaisir intense.


Je sentais sa queue me dilater l'anus et me le masser sur toute la longueur de sa queue. C'était violent et doux. C'était un peu douloureux et tellement plaisant. J'en réclamais encore, j'en réclamais plus. Il m'en donnait et il m'en donnait encore.


J'ai vu une grimace se dessiner sur son visage, il jutais, il s'était retenu tant qu'il le pouvait mais les deux filles l'avaient tellement stimulé qu'il ne pouvait pas se retenir bien longtemps.


Il concluait en me donnant des coups de bassin d'une force sans aucun contrôle. Là je criais et ce n'était pas que du plaisir.


Il se retirait, ressortait totalement et enfin je jouissais, enfin je jutais. Je jutais abondamment. On finissait par se calmer, notre respiration redevenait calme et lente.


Je me sentais bien, Tommy se laissait tomber à côté de moi, on ronronnait presque. Les filles ne cachait pas leur admiration.


Au moins avec ces deux là on ne sera pas obligé de payer de notre personne si on n'en a pas envie ! Déclarait une des deux filles.


L'autre rigolait, sans doute à cette idée.


Un peu plus tard elles se blottissaient contre nous, un d'entre nous pour chacune d'elle. Je ne vous dis pas mais sans le plaisir que m'avait donné Tommy je n'aurais certainement réussi à dormir, et je pense que pour lui ça aurait été pareil.


Mais là nous étions calmés, satisfaits. Il y avait de quoi être satisfait, tout le monde avait pris son plaisir. Et le contact des ces deux corps, pardon de ces trois corps, oui, chacun pouvait profiter des corps des trois autres. Et c'est ce qu'on a fait.


Tommy n'avait pas le droit de se servir de sa queue, mais il pouvait caresser, embrasser chaque morceau de peau qui arrivait à sa porté. Les autres aussi et ne s'en privaient pas.


On s'est réveillé tôt, et après un bon petit déjeuner bien copieux que nous avons pris à poil. Tommy bandait ferme et mes couilles pendaient lourdement. Nous nous sommes séparés, les filles devait dîner en familles mais nous les avons revues.


Elles étaient là pour une semaine et cette semaine, nous l'avons passée ensemble, sur la plage et dans notre lit.



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

INDEX

                              Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.                                         PAGE D&...