Presque frères 15

 Presque frères 15

Je ne vous étonnerai pas si je vous dis que le lendemain … J'avais mal au cul.

Mais je rêvais de recommencer. Pas tout de suite non plus, il ne faut pas exagérer, je n'ai rien du genre suicidant. Je l'avais senti passer mais j'avais aimé. Je crois que c'est le lendemain que je me demandais si au final je n'était pas passif. Je me posais pour la première fois des questions sur ma sexualité.

Il faut me comprendre aussi, je m'amusais avec un garçon, mon meilleur ami, parce que c'est tout ce que j'avais sous la main mais dès qu'on trouverait une filles, on mettrait fin à nos gaudrioles … C'est ce qui était prévu, enfin c'était logique mais là … Je ne pensais plus du tout aux filles.

Au contraire, je fantasmais sur le cul de mon pote, je rêvais de sa queue et comme elle n'était pas disponible je me jetais avec avidité sur la première grosse queue qui passait par là. Et elle était grosse, je vous jure.

Je me sentais fier de me l'avoir prise dans le cul, elle était bien passée, je l'avais prise bien à fond.

Tamad s'était bien donné, il était en sueur le pauvre et Tommy y avait échappé de justesse. Il avait un peu la trouille mon Tommy, quand Tamad s'est retiré il ne bandait plus du tout mon Tommy. Pourtant ça aurait du l'exciter cette affaire. Il s'amusait avec de gros plug, avec de beaux godes et là il se dégonflait devant une petite bite de rien du tout. Enfin vingt trois centimètres sur six tout de même.

Mais moi qui pourtant n'était pas aussi porté sur le cul que lui je me l'était prise et bien prise en plus.

C'est donc Tamad qui a eut le dernier mot.

– Pour toi on verra demain ! Avait-il déclaré à Tommy. Là on va préparer à manger …

L'histoire en restait là pendant deux jours. Pour préparer Tommy j'avais l'idée de lui proposer le plug. C'est lui qui l'avait emmené au cas ou. On pouvait le comparer et en effet la queue de Tamad était un peu plus épaisse. Plus longue, ça on le savait déjà.

Sans prévenir Tamad il se l'enfilait un matin puis, ensuite on vaquait à nos activité. Il y avait dans le chalet tout ce qu'il fallait pour faire du ski. Il a pris cher mon pote Tommy, je ne sais combien de fois il est tombé sur le cul.

Bein oui, il est comme moi, nous c'est le bord de la mer. Quand on glisse sur la neige, on tombe ! Remarquez sur la glace c'est encore pire …

Tommy profitait de la pause repas pour retirer discrètement son plug. Il semblait plus libre des ses mouvements quand il revenait. Il continuait à tomber, bien sûr, pendant le reste de la journée mais il tombait avec plus d'élégance. Enfin c'était mon impression.

Le soir en sortant des pistes de chutes … Nous on n'appelle plus ça des pistes de ski, on est plus souvent le cul par terre que les pieds sur les skis …

En sortant donc des pistes on se retrouvait sous une douche bien chaude, c'était un moment de grand confort, de détente. Un moment ou on se laissait aller, ma queue aurait pu, aurait même du pouvoir sortir de sa cage sans la blague que m'avait fait mon pote Tommy, il avait coché la case qui prévoyait le port du dispositif pendant les vacances …

Nous réglerons ce petit détail un peu plus tard, mais je me vengerai.

Nous restions donc tous les deux avec notre dispositif sur nous alors que Tamad lui, l'avait retiré. Le personnel de maison ne passait que pendant notre absence ou alors prévenait. Nous n'étions donc pas déranger et on pouvait se balader à poil dans la maison sans avoir le risque de nous retrouver dans une situation gênant face à un employé.

Tamad aimait se balader à poil.

– C'est parce que je ne peux jamais me mettre à poil à l'école. Nous disait-il. A l'école je suis obligé de garder ce dispositif démoniaque. Ça va je le supporte bien mais pendant trois moi d'affilé. Je ne peux le retirer que pendant les vacances. Aussi j'en profite.

Tamad se baladait toujours à poil dans la maison. On faisait pareil mais avec nous c'était un peu différent. On portait toujours notre dispositif de chasteté infernal.

Oui parfaitement infernal, on était en vacances et … Oui bon d'accord, c'était surtout à cause de mon pote Tommy. Mais je me vengerai ! Tamad lui s'amusait, il choisissait celui qui se ferait défoncer le cul.

On avait bien sûr le droit à la parole, enfin on avait surtout le droit de râler après …

C'est Tommy qui y passait le lendemain.

– Bon allez, c'est ton tour ! Déclarait Tamad. Ce soir c'est toi qui te fais défoncer et c'est moi qui régale.

– Oui mais enfin, c'est que, je ne dis pas mais … Bafouillait Tommy.

– Chacun son tour bonhomme. Ça t'amusait de cocher la case qui m'engageait, ça t'amusait de me voir signer sans te relire … Répondais-je.

Je tenais ma vengeance !

– Tu ne vas tout de même pas déclarer forfais. Tu sais on le sent passer mais ça en vaut la peine.

– Tu peux prendre la place si tu veux ! Me répondait Tommy.

– Dans quelques jours, quand je pourrais m'asseoir … Répondais-je.

Pendant ce temps Tamad arrivait par derrière et passait son bras autour du cou de Tommy, un peu comme s'il voulait le neutraliser mais il faisait juste semblant. Tommy ne faisait même pas semblant de se défendre. Il avait la trouille de se prendre la bite de Tamad dans le cul mais il en avait tout de même un peu envie.

D'un geste rapide Tamad faisait tourner Tommy sur lui même rapidement, et l'embrassait. Tommy semblait se détendre, ils refermaient les bras l'un sur l'autre. Tommy respirait fort, je voyais clairement sa cage se relever, sa queue était en alerte. Je sentais la pression autour de ma queue. Ça me le faisait encore, ma cage avait diminué en taille, à moins que …

Enfin c'était un détail mais Tommy me faisait bien la même chose, sa queue prenait maintenant toute la place dans sa cage et celle de Tamad prenait librement tout son volume. C'est vrai qu'elle est bien grosse, d'ou j'étais, elle me paraissait encor plus grosse que la dernière fois. Heureusement que c'était pas pour moi. J'avais encore mal au cul ou alors c'était de la voir.

Elle était vraiment grosse finalement.

Tamad appuyait sur le haut du dos de Tommy et le poussait en avant, il se penchait et s'appuyait sur un meuble. En même temps il lui caressait le dos.

– Ooooooh non ! S'il te plaît ! Gémissait Tommy sans pour autant essayer de se dégager.

La main de Tamad glissait directement jusqu'aux fesses de Tommy puis un doigt glissait dans le cul de mon copain. Il gémissait, il baissait la tête, il se tortillait dans tous les sens. Difficile à dire s'il avait vraiment peur, il tentait pas du tout de se dégager .

Je voyais Tamas prendre position …

– Non pitié ! Gémissait Tommy.

Tamad lubrifiait bien comme il fallait, il y mettait toujours la dose, il savait déjà par expérience que pour enfoncer une queue comme la sienne il fallait bien lubrifier. Tommy continuait à gémir.

– Je t'en supplie ne fait pas ça ! Mais là Tommy n'avait pas l'air convainquant.

Puis Tamad poussait, Tommy hurlait, et là il avait l'air convainquant, ma queue protestait plus que jamais. J'avais envie de cette queue mais je ne parvenais pas à savoir si c'était celle de Tommy qui était sous clé ou celle de Tamad qui m'avait fait très peur et que j'avais encore l'impression de la sentir dans mon cul, pourtant ça commençait à faire un moment. Enfin on comptait déjà en heures !

Tommy était pétrifié, il ouvrait la bouche en grand sans pour autant faire le moindre bruit, puis sa bouche se tordait et finissait par une grimace horrible. Il devenait tout rouge, et manquait d'air.

Tamad, qui est toujours très joueur, s'était glissé bien à fond, sa queue avait disparue et il écrasait son ventre contre les fesses de mon pote.

Il marquait une rapide pose et ressortait. Là Tommy a hurlé de nouveau, je voyais tout son corps se contracter il bandait tous ses muscles, c'était tout ce qu'il pouvait bander, alors. Il retirait sa queue presque en entier ne gardant que son gland dans le cul de Tommy puis, s'enfonçait de nouveau.

Tommy devait le sentir passer, je le voyais il avait toutes les peine du monde pour supporter ça. Il grimaçait, c'est affreux à voir. Il ne faisait pas semblant.

La queue de Tamad glissait, ça résistait bien un peu mais ça glissait plus ou moins, et Tommy encaissait, il tenait le coup, j'avais tenu le coup aussi. Mais il en bavait, il ne faisait aucun bruit mais il hurlait.

Les coups de bite tombait avec régularité, Tommy fermait les point et serrait les dents. Je regardais par moment son cul qui se faisait défoncer, par moment son visage que je n'avais jamais vu comme ça.

Moi je bandais comme un malade. Je sentais cette maudite cage qui était maintenant bien trop petite. Elle me serrait sur toute la longueur de ma queue, elle me serrait à la base de mon sexe, en un mot, elle me serrait.

Pourtant ce n'était pas la cage qui était trop petite, c'était bien la queue qui était trop grosse !

Tamad s'en donnait à cœur joie, il s'enfonçait, se retirai et recommençait, il allait de plus en plus vite. Mon pote Tommy haletait lui aussi de plus en plus fort, par moment c'est un gémissement qui ressemblait à un pleur qui lui échappait.

J'en revenais pas, tous ses muscles étaient crispés et il était toujours tout rouge. Tamad ne se préoccupait pas vraiment des réaction de Tommy. Ça glissait il y allait, ça glissait moins, il rajoutait du gel. Pour lui tout allait bien.

– Je te trouve tendu ou alors tu es seulement très étroit ! Déclarait-il à Tommy.

Là Tommy s'est mis à sangloter, Tamad rajoutait une nouvelle dose de gel lubrifiant puis accélérait le mouvement. Tommy se mettait alors à gémir, il ne s'arrêtait plus, c'était une plainte qui durait et qui durait. Tamad se concentrait sur ce qu'il faisait. Ça résistait et on voyait qu'il forçait.

En effet mon pote Tommy était étroit, il devait bien être aussi étroit que moins et je me l'étais bien prise dans le cul cette énorme queue et j'avais survécu. Bon d'accord, depuis j'avais toujours mal au cul et j'avais encore du mal pour m'asseoir.

Je me disais simplement que pour mon pote Tommy ce serait pareil …

Tommy était toujours aussi rouge, il haletait de plus en plus fort maintenant il poussait un cri à chaque fois qu'il expirait, un cri qui durait. Tamad poussait lui aussi des gémissements et le coups qu'il portaient était plus puissant, plus rapide, plus sec.

Tommy pleurait généreusement maintenant.

– Je fais souvent cet effet ! Déclarait Tamad.

À partir de là tout est allé très vite. Quelques violents coups de bassins plus tard et Tamad jouissait bruyamment dans le cul de Tommy qui continuait à gémir et à pleurer.

J'avais mal à ma queue tant elle tentait de repousser les barreaux de la cage. J'étais retourné, peut être pas autant que Tommy mais j'étais tout de même retourné et mon cul réclamait même s'il avait vraiment la trouille.

A suivre

N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast