Presque frères 17

 Presque frères 17



Surtout que cet enfoiré m'avait bien roulé. Je ne l'ai remarqué que plus tard, au moment des grandes vacances je me suis rendu compte que j'avais signé pour … Je vous le dis Tommy, c'est vraiment un enfoiré … garder le dispositif pendant les vacances.


Il avait réussi à me le cacher ! Enfin c'est quand même un peu ma faute, il me présentait les documents administratif au dernier moment. Il y avait les siens, ils y avait les miens, il avait signé et me demandait d'en faire autant.


Je me souvenais bien quand j'avais signé ce documents. Je me souvenais très bien même, et bien sûr … Je ne l'avais pas lu !


On se retrouvait en vacances, la première année s'était bien passée, un peu longue pour mon goût bien que je l'avais prise en cours de route. Les six mois que j'y avais passé m'avaient paru longs par moments.


Nous avions donc toujours la cage sur nous pour les grandes vacances.


Haut les cœurs ! Me disait Tommy. On va aller à la mer et on fera du naturisme. Tu sais à quelque kilomètres de l'endroit ou nous allons d'habitude.

Naturisme, naturisme, tu parles … Pfff !


Là je pensais à ma cage, si ça l'amusait de se montrer tout nu comme nous étions, moi ça ne me tentais pas vraiment. Non je me voyais plutôt sur une petite île déserte, comme cette petite dune de sable qui était entourée d'eau.


Bref je suivais en gardant un sourire de circonstance …


On arrivait à notre maison, cette année là nos parents, les siens comme les miens ne viendraient pas pendant le premier mois. A peine arrivés, nous nous installions, Tommy se changeait, il se déshabillait devant moi, c'était tout à fait naturel entre nous mais là j'ai tiqué.


MAIS POURQUOI TU NE PORTES PAS DISPOSITIF DE CHASTETÉ TOI ?


Vous imaginez bien que j'ai remarqué le détail tout de suite.


Tu ne t'imagines pas que j'allais signé l'engagement.

Mais moi je l'ai signé !


Je me souvenais bien avoir signé le document mais on ne m'avait rappelé que la case '' Longues vacances incluses '' avait été cochée que juste avant notre départ et je commençais seulement à m'en remettre, et lui … Cet enfoiré.


Toi tu as signé sans regardé ce que tu signais, comme d'habitude.

Mais c'est toi qui me l'a donné.

Mais ça ne te dispensais pas de le relire … Il me faisait alors un large sourire idiot !

MAIS ESPECE DE GROSSE BOURIQUE, JE TE FAISAIS CONFIANCE !

Et bien sur ce point, tu n'aurais pas du. Et puis tu sais je suis sûr que, en fait c'est ce que tu voulais sans te le dire.


Là j'étais sonné, je ne savais plus quoi lui répondre. Il m'avait roulé. J'arrivais pas à y croire.


Là pour le reste de la soirée j'ai perdu mon sourire de circonstance.


Mais ça ne m'a pas coupé l’appétit. On est descendu dans un petit restau qu'on connaissait. On y était toujours très bien reçu. Ensuite on traînait, on ne rencontrait personne qu'on connaissait, c'était trop tôt dans la saison. Finalement on rentrait tôt dans la soirée.


Tommy comme à son habitude quand il prépare un mauvais coup avait l'air tout guilleret, tout joyeux. Il lançait des regards amusés vers moi, je commençais presque à m'inquiéter. On entrait dans notre chambre et là, il ne me laissait pas le temps de réagir, il me sautait dessus.


Je me raidissais et le repoussais avec douceur mais fermeté.


Il aurait pu comprendre, mais comme à son habitude il ne comprenait que quand il voulait … Et là il ne voulait pas ! Il m'a entrainé avec lui sur le lit, nous y tombions mollement. On a presque rebondi. Mais moi je faisais la gueule, je le laissait faire mais en le regardant de travers, histoire de bien marquer le coup.


Il ne fallait que quelques secondes pour qu'on se retrouve tous les deux torses nues. Je continuais à lui faire la gueule, mais c'est vrai que je commençais à apprécier la douceur de sa peau. Il m'embrassait, je tournais la tête pour ne pas le regarder. Ça ne le calmais pas il recommençait l'animal. De nouveau je détournais la tête.


Il me bousculait un peu et je me retrouvais allongé sur le dos, lui me chevauchais, il se penchais sur moi pour m'embrasser mais là j'étais plus rapide que lui. Là il se calmais et allongeait son torse sur le mien. Il prenais soin de ne pas s'appuyer sur moi, c'était une douce caresse, une caresse de tout son corps, sur tout mon corps. Je le retenais contre moi, là je ne faisais plus la gueule.


Il glissait une main sur moi et m'ouvrait mon pantalon, ensuite il se relevait rapidement puis avec force il saisissait mon pantalon au niveau de mes fesses et presque violemment il tirait sur mon pantalon. Je soulevais mon dos pour l'aider et comme je n'avais pas de sous vêtements, il ne lui fallait que quelques secondes pour que je me retrouve presque nu.


Presque oui, il ne restait sur moi que ma cage à bite. Ma bite maintenant qu'on s'intéressait à elle manifestait, elle protestait, dans sa cage, elle prenait toute la place et forçait ma cage à se redresser.


Il s'allongeait de nouveau sur moi et me couvrait de baiser, là je ne cherchais plus à le repousser ou alors c'était pour mieux pouvoir l'embrasser. Il n'avait pas mis de sous vêtement lui non plus mais, maintenant, ça se voyait. Je lui caressais l'entre jambe.


Je massais son sexe au travers de son pantalon. Une grosse masse allongée que je connaissais bien se montrait, une sorte de concombre légèrement mou. J'en profitais pour lui masser les couilles, il ne cachait pas son plaisir mais moi aussi j'aimais.


Doucement j'ouvrais son pantalon, il était debout devant moi aussi ce n'était pas bien difficile de le lui faire tomber. Une bite très belle que je connaissais bien se relevait et sans hésiter je la prenais dans la bouche. Il n'hésitait pas plus que moi pour bien appuyer sur ma tête et m'obliger d'avaler sa queue jusqu'au fond de ma gorge.


Enfin quand je dis m'obliger, vous vous douter qu'il n'avait pas besoin de forcer. J'étais volontaire, même s'il n'appuyait pas, j'avalais sa queue avec conviction. Je glissais ma langue sur son gland, sur le dessus, c'est la partie que je préfère, là le gland est incroyablement doux et lisse.


En plus la sensation de plaisir est garantie aussi pour celui à qui on le fait. Il gémissait, il aimait, je le sentais se redresser et vibrer sous mes caresses. Sous les caresses de ma langues. Mais il y avait aussi les caresses de mes mains.


Elle glissaient sur son corps, elle se promenaient à la base de son sexe, massaient doucement ses couilles, je sentais ses mains qui parcouraient mon corps en commençant par les épaules. Il me massait les bras, me caressait doucement les cheveux et sans prévenir, par moment il appuyait fermement sur ma tête. Sa queue venait s'écraser au fond de ma gorge, je râlais comme je pou vais et lui, le relâchait et façon ' J'ai rien fait moi ! ' il me laissait continuer sans intervenir.


On s'allongeait à côté l'un de l'autre, on se caressait et on s'embrassait. Par des caresses aussi douces qu'insistantes il me faisait comprendre qu'il voulait que je me retourne. Je faisais traîner, je prenais mon temps, je me faisais désirer, il se faisait plus insistant.


Finalement je me retournais et m'allongeait sur le ventre.


Sans attendre il s'allongeait sur moi, suivaient quelques caresses, quelques baisers, quelques câlins et il ne traînait pas plus. Je sentais sa queue forcer le passage contre mon cul. Je me souvenais que cet abruti n'avait pas gardé de cage pour les vacances, lui n'avait pas gardé le dispositif. Je ne lui en voulais pas bien longtemps.


Sa queue poussait et je la sentais qui se glissait avec une certaine force. Elle était grosse et ça faisait quelques temps que je n'avais pas pris de coup de bite dans le cul. Je l'ai bien senti, qui forçait.


Mais quel plaisir au moment ou mon cul s'est ouvert. Je le sentais de dilater, c'était terriblement bon. Ma queue se faisait plus discrète dans sa cage. Puis je le sentais s'enfoncer en moi. Doucement, lentement, fermement. Sa queue était bien ferme elle était presque aussi dure que du bois.


Je sentais tout son corps qui s'écroulait sur le mien, il me caressait avec tout son corps, mais là il ne se retenait pas, il m'écrasait de tout son poids. Son corps était doux, sa queue dure, et mon cul bien dilaté.


Il finissait sans douleur par écraser son ventre sur mes fesses.


Il se retirait avant de revenir et c'est lentement qu'il me limait le cul, lentement, fermement …


Ça faisait quelque temps, comme je vous le disais, que je ne m'était pas fait enculer et j'y retrouvais un plaisir qui rapidement me comblait. Il faisait une pose, une longue pose.


Il continuait à me couvrir de baisers, le cou, les épaules, je sentais sa queue immobile mais bien rangée au fond de mon ventre. Puis sans prévenir il reprenait il me limais de nouveau mais un peu plus vite, un peu plus fermement que peu avant. Là encore il faisait durer, il se retenait et le plaisir montait encore plus en moi. Au moment ou je commençais à trembler il ne bougeait plus.


Là encore il m'écrasait de tout son poids. Mais là maintenant, même ses soixante quinze kilos était doux comme une caresse, une caresse chaude, une caresse chaude. Je ne bougeais plus, par moment je contractait mon anus et je sentais sa queue qui prenait beaucoup de place.


Sans prévenir et bien décidé, il se retirait complètement, et sans attendre il me donnait un violent coup de queue bien ferme, bien rapide. Suivaient des mouvements rapides et fermes. Il se lâchait.


Le plaisir qui montait depuis un long moment en moi, explosait. Là j'ai pris mon pied. C'était un orgasme anal, un orgasme qui a durer dans le temps. Aussi violent qu'un orgasme qu'on prend avec sa queue mais plus intense, plus lent à venir et plus … profond.


Les coups que je recevais étaient violents mais j'en redemandais, ils étaient plus secs, je demandais grâce, il devenaient vraiment rapide, j'implorais.


Mais à l'instant ou il m'écoutait, je hurlais '' Encore vas y, défonce moi le cul !''


Les filles c'est toujours pareil, elle ne savent jamais ce qu'elles veulent. S'exclamait alors Tommy.

Il reprenait alors encore plus décidé. Là je jouissais, et ça faisait un moment que ça durait, je jouissais et je le faisais savoir, il s'est mis à crié de plaisir lui aussi. Il jouissait dans mon cul. Il s'écroulait sur moi. Il m'écrasait mais c'était agréable.


On ne bougeait plus, on respirait fort, très fort et à la même vitesse, parfaitement synchronisés. Un peu plus tard, il avait débandé mais je l'ai tout de même ressenti quand il s'est retiré. Il me donnais un baiser entre les omoplates et se dirigeait vers la salle de bains.


Je le suivais peu après.



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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