Presque frères 18

 Presque frères 18



On a continué la nuit ensemble, il dormait allongé derrière moi. Je sentais son corps entièrement nu contre ma beau. Il n'y avait rien qui gênait sur sa peau, c'était pas comme sur la mienne, là il y avait toujours ce truc et par moment je me disais,'' c'est cool '', mais souvent j'avais envie de le retirer. Franchement c'était une horreur. Je haïssais Tommy de m'imposer ce truc. Il m'avait fait signer à mon insu l'engagement de porter le truc. C'est pour cela que maintenant je ne pouvais pas le retirer.


Par contre cet enfoiré lui, avait décidé de ne pas le porter, lui n'avait pas signé.


Normalement je devrais le haïr mais il venait de me donner tellement de plaisir. Vous savez, même avec une cage sur la queue, on peut jouir comme un fou et Tommy savait me donner du plaisir par le cul, juste avec sa bite. Mais pourquoi je dis ' juste ' avec sa bite ? Il savait me donner du plaisir avec sa bite bien sûr mais aussi avec ses caresses et avec ses baisers.


Je me blottissais tout contre lui, il refermait son bras sur moi et je m'endormais.


Nous avons bien dormi cette nuit là, Tommy s'était réveillé un peu avant moi. Quand je me réveillais, il était déjà dans la salle de bain, serein comme un canari.


Vous avez vu le jeux de mot ' serin comme un canari ' ? Éh, Éh … Bon Ok je ne recommencerai plus, promis !


Il avait l'air tout content de lui et gazouillait comme un pinçon …


Je sortais du lit et allais le rejoindre, il était en train de se raser, il était à poil et bandait glorieusement sans se prendre la tête. En me voyant arriver il me lançait un large sourire.


Ça va ? On fait quoi aujourd'hui ?


Je ne savais pas trop quoi répondre sur tout que moi, je n'étais pas encore complètement réveillé. Il continuait à se balader à poil jusqu'au moment de sortir. J'en faisais de même mais moi j'avais toujours sur moi le petit dispositif démoniaque qui commençait à m'agacer sérieusement.


Juste avant de sortir Tommy enfilait un short et un T-shirt. Je faisais pareil et hop on sautait sur le vélo.


C'était parti, je le suivais. Je n'avais aucune idée de l'endroit ou il m'emmenait. Mais on y allait de bon cœur. On a roulé plus de vingt kilomètres, ensuite on s'enfonçait dans la forêt, il y a une voie pour les vélos qui conduit jusqu'à la plage.


On laissait les vélos et on fonçait vers la plage, il n'y avait plus que la dune à traverser, ça ne nous prenais que quelques secondes, on courait vers la mer en laissant nos vêtements derrière nous, il n'y en avait pas beaucoup. Et on plongeait.


C'était magnifique de le voir, lui il était totalement nu. Il brillait dans le soleil. Ses muscles roulaient sous sa peau, ses muscles qui m'avaient caressé et serré contre eux toute la nuit. Physiquement j'étais à peu près comme lui, j'avais pleins de muscles moi aussi mais moi je n'avais pas une grosse queue qui se balançait librement entre mes jambes à chacun de mes mouvement.


Moi c'était un peu plus limité, ça faisait une sort de paquet qui pendouillait, c'était ridicule. C'était confortable, certes, mais c'était pas ce que j'avais prévu pour les grandes vacances.


Tommy était très en forme, il courait, il m'attrapait, il me taquinait, il me tirait, m'arrosait et moi je me défendait il en prenait autant que moi. On chahutait quoi.


On terminait allongé sur le sol à côté de nos vêtements, mais lui il bandait. Je me disait que les vacances risquaient de ne pas être vraiment calme, moi là je ne pouvais pas le suivre. Toujours pas. Pourtant vous pouvez me croire, je faisais tout ce que je pouvais.


Ma queue poussait contre les barreaux de la cage, elle forçait, ce jour là la cage était trop petite. Vraiment trop petite. Je venais de remettre mon short, Tommy avait sa grosse queue qui se balançait devant lui quand nous avons vu passer deux filles de rêve, elles restaient descente et couvertes autant le bas que le haut. Alors que nous … il exhibait sa queue, ses fesses et ses cuisses alors que moi je cachais justement ma queue, mes fesses et mes cuisses.


Le spectacle ne semblait pas les repousser, elle ne nous lâchaient plus du regard. C'était moi le plus beau et heureusement que j'avais déjà passé mon short.


Tu as vu comment elles nous regardent ? Me faisait remarquer Tommy. Heureusement que je n'avais que mon T-shirt sur moi. C'est moi le plus beau heureusement que je n'avais pas encore passé mon short …


Il ne bandait plus mais sa queue se balançait et il s'en amusait, il remuait et il était très content de lui. Il se rhabillait et il se calmait. Avec le peu de chose qu'on avait sur le dos il fallait rester calme. Si jamais il venait à s'énerver il banderait et vu comment il était monté ça deviendrait tout sauf discret. Dans mon cas il y avait moins de risques que je me fasse remarquer.


Le soir on sortait, on s'était changé bien sûr. Pour commencer on se faisait un petit restau, j'avais pris soin de ne pas mettre de sous vêtements. Ça m'avait semblé inutile. Tommy avait fait comme moi, il avait choisi un pantalon très ajusté que ne cachait pas vraiment tout. Rien de scabreux, je vous rassure mais un poil provocateur. Juste un poil.


Il était encore tôt dans la soirée, on s'était installé à la terrasse d'un café et ce sont les deux filles que nous avions croisées sur la plage bien plus tôt dans la journée que nous retrouvions.


On les remarquait, on les reconnaissait, on les saluait et elles nous répondaient avec un sourire généreux et peut être une petite étincelle dans le regard. Elles m'avait vu torse nus et je suis très bien bâti, elles avaient vu mon pote Tommy et il est très bien monté. Elles en avaient vu assez pour conclure que nous étions tous deux très bien … Si, si, très bien sous tous les angles.


Rapidement on se retrouvait à la même table et on faisait connaissance.


Vous êtes du coin ?

Nous sommes en vacances mais nous venons tous les ans. Répondait Tommy.



On a traîné, on a discuté, on a flirté, moi juste un petit peu, ma queue me rappelait qu'il n'y avait pas grand chose à espérer, Tommy beaucoup plus, il avait cette limite à ne pas franchir, ne pas bander ça se verrait, il n'avait pas ma limite. Une cage à bite en titane qui éviterait toute réaction inconvenante …


Je n'ai pas vraiment compris à quel moment on les a ramenée chez nous. Clara avait compris que j'étais plus timide que mon camarade et gardait une distance avec moi. Distance très relative, elle évitait seulement de me tripoter l'entre jambe alors que sa copine Véro, plus déluré ou voyant mon camarade moins timide elle ne se retenait pas et écrasait à plusieurs reprises sa cuisse contre le sexe de Tommy.


Je vous rappelle qu'il ne portait pas de sous vêtements et il ne fallait pas bien longtemps avant que ça se voie, on ne voyait plus que cela même.


À peine la porte de la maison passée, Véro sautait littéralement sur Tommy et lui ouvrait sa chemise. Ce qu'elle trouvait lui plaisait. Je la comprends, vous savez, il est vraiment canon mon pote. Presque aussi beau que moi d'ailleurs …


Je suivais en dernier, et j'avais pas encore fermé porte d'entrée que Tommy était allongé sur le lit, torse nue avec sa copine allongée sur lui. Elle le couvrait de baisers. Je n'ai même pas eu le temps de me dire que cette affaire était en train de dégénérer que Clara m'attrapait par le col et je jetais sur le lit, de l'autre côté.


Toi tu es plus timide mais je connais le remède … Mais qu'est-ce que …


Elle venait de remarque mon petit secret … Mais elle voulait en savoir plus et je me retrouvait torse nue moi aussi en quelques secondes, là elle était bien obligée de constater que le plus mignon, c'était moi ! Oui bon, je reviens à mon histoire.


Véro était déjà torse nues, ses seins chatouillaient et caressaient la poitrine de mon pote. Je me lâchais et moi aussi je caressais ma camarade et lui retirais ses vêtements. Elle ne résistait pas, me prenait dans ses bras et moi aussi je sentais ses seins me caresser. C'était un peu différent du contact avec Tommy mais c'était bien aussi …


Mais c'est quoi ça ? Finissait-elle par demander.


Dans un même temps sa mains glissais vers ma braguette. Je sursautais mais je laissais faire. Elle se plaçait juste au dessus de ma braguette, je voyais son visage se transformer ? C'était surtout de la surprise, elle se relevait et s'exclamait.


Mais c'est quoi ce truc ?

Et en plus il n'a pas la clé, il y en a qui ont de ces idées je te jure ! Rajoutait Tommy.


Véro était allongée sur le corps de mon camarade et se caressait et glissait contre lui. Tommy ne la décourageait pas, bien au contraire. Il bandait ferme et pendant qu'elle lui tripotait la queue et les couilles, il la caressait, sa main caressait tout son dos et terminait sur ses fesses.


Véro relevait la tête.


Tu as un problème Clara, ici tout se passe très bien. Mais c'est quoi ce truc ? Mais qu'est ce qu'il a sur la bite.


Véro oubliait quelques instant Mon pote Tommy et se retournait vers moi.


Mais c'est quoi ce truc ?

C'est justement ce que je demandais. Lui répondait Clara.

Mais c'est que c'est rigolo.

C'est trop petit, regarde sa queue est toute saucissonnée.

C'est bon les fille, vous pouvez laisser tomber, vous n'obtiendrez rien de plus de lui. Il n'a pas la clé. Intervenait Tommy.

Mais il n'y a pas que le sexe dans la vie . Répondait Véro.


Elle me tirait vers elle. Clara ne me lâchait pas pour autant. C'est finalement les deux filles qui s'accrochaient à moi. Elles me caressaient et semblaient bien apprécier ma plastique.


Je vous avais bien dit que j'étais le plus beau, même en cage, j'étais le plus attirant. Elles étaient nues, et c'est avec leurs deux corps qu'elle me caressaient le corps, avec leurs mains. Je sentais leurs bras qui glissaient sur mes bras, sur mon torse, sur mes jambes. Et leurs mains insistaient lourdement sur mes couilles.


Tommy se relevait et s'appuyait sur ses coudes.


  • Mais c'est quoi ce bordel ? Et moi alors !


Il était là, plus beau que jamais, il bandait fièrement. Il fronçait les sourcils, mon dieu qu'il était beau. Ma queue protestait comme une folle en le voyant. Au début j'avais cru que c'était à cause des filles mais là j'avais comme un doute.


Oh elle y étaient bien pour quelque chose, mais il y avait aussi ce corps magnifique, celui de Tommy. J'avais brusquement envie des caresses et des câlin de Véro et de Clara mais j'avais aussi une violente envie de la queue de Tommy dans le cul.


J'avais presque mal à la bite tant elle forçait contre sa cage. Mon corps battait très fort. J'ai décidé de ne rien montrer de mes sentiments. Au pire ce genre d'état d'âme a un effet sur l'érection, dans mon cas au pire, personne ne pourrait rien remarquer.


Je me suis laissé retombé sur le dos et je me suis offert à leurs caresses.


A suivre ( et c'est chaud )




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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