Ma petite entreprise Ep 07 De retour à l'atelier

 

Ma petite entreprise Ep 07

De retour à l'atelier



En quelques jours nous recevions plusieurs candidats.


Le premier qui se présentait n'avait aucune références, aucune formation, aucun diplôme mais il avait marqué sur son CV … '' Très habile de mes mains … ''.


Là nous cherchions des ouvriers pour effectuer les moulage. On se sentait parfaitement capable de le former, nous avions appris sur le tas, on formerait nos employés. Pour la comptabilité ou l'organisation de la vente par correspondance, il faudrait demander des références mais pour faire les moulages, ce ne serait pas nécessaire.


Je lui présentais les dispositifs. Il regardait ça avec des yeux grands ouverts et quelques secondes plus tard je remarquais une réaction, une bosse qui apparaissait sous sa braguettes.


Ça semble te faire de l'effet ? Lui faisais-je remarquer.

Surtout que je n'ai pas de sous vêtements.

Tu ne portes pas de sous vêtements ?

Non, j'aime vivre dangereusement, j'aime prendre le risque de me faire remarquer.

Si tu veux travailler ici …

Et toi, tu ne portes tout de même pas ce genre de dispositifs ?

Bein si, tu veux voir ?


En disant cela j'ouvrais mon pantalon. Moi non plus je ne portais pas de sous vêtements. Nous étions dans mon bureau et il n'y avait encore que mon associé. Il était occupé, personne ne nous dérangerais, et même s'il entrait à ce moment ce ne serait pas bien grave.


Le gars, c'était Tonny mon chef de production actuel. Il me regardait, et n'en revenait pas. Il ouvrait lui aussi son pantalon. Je voyais en sortir une grosse et belle bite, elle se redressait avec force.


Tu renonces à t'en servir et je t'embauche ! Luis disais-je.


J'avais parlé sans réfléchir, ça m'arrive souvent, mais il l'a pris au premier degré et me répondait au tac au tac.


Une petite dernière fois !


Je faisais oui de la tête. Là je n'avais pas trop suivi ce qui se passait, il ne lui fallait que quelques secondes avant de se retrouver entièrement à poil devant moi. Il avait un corps magnifique et une belle queue qui se manifestait. Voyant cela, et surtout sans réfléchir, je retirais mes vêtements.


Je me retrouvais entièrement à poil face à lui.


Et tu espères faire quoi ? Me lançait-il.


En réponse je lui tournais le dos et me penchais sur mon bureau.


Là ça a fait comme un tilt dans sa tête. Il me cramponnais fermement me tirait vers lui en avançant son bassin contre mes fesses. Il poussait, il tentait avec force de m'enculer. Tout s'était passé tellement vite que je n'avais pas eu le temps de réagir.


Il me faisait très mal, ça ne rentrait pas. J'attrapais un tube de gel et le lui donnait.


Ça marchera mieux, tu as raison !


Il me lubrifiait le cul généreusement et tout aussi généreusement se lubrifiait la queue. Elle était grosse et il en mettait beaucoup. Je n'étais pas vraiment rassuré pour la suite, mais mon excitation était telle que je ne bronchais pas, je voulais voir la suite.


La suite est arrivée rapidement, il ne m'a pas laissé le temps d'avoir encore plus peur. Il revenait à la charge et bien lubrifié comme elle était, sa queue glissait rapidement en un mouvement rapide jusque au fond de mes entrailles.


Son ventre s'écrasait sur mes fesses, il me dilatait l'anus avec force. Là je l'ai senti passer. J'ai crié de douleur, c'est qu'il me faisait mal. C'est qu'il avait une grosse queue, bien longue, bien large. Il se retirait et revenait et tout de suite se laissait aller.


Il faisait claquer son ventre contre mes fesses avec un plaisir non dissimulé. Il me tirait vers lui, et me frappait avec son bassin.


Je gémissais de douleur, de plaisir, je ne sais plus. Je suppose que si je le laissais faire c'est que je devais aussi y trouver mon plaisir ou au moins une certaine satisfaction. Je me cramponnais à mon bureau, il me secouait dans tous les sens.


Il faisait brusquement une pause, appuyait son bassin de toutes ses forces contre mes fesses et me prenait dans ses bras. Je me redressais comme je pouvais. Sa bite était confortablement logée dans mon cul, jusqu'au milieu de mon ventre. Quand je dis confortablement je veux dire pour lui.


Pour moi c'était tout autre chose, pas vraiment le grand confort. Mon cul était dilaté et la position debout totalement inconfortable mais il y avait une force qui me retenait de le repousser et me forçait à en demander encore plus.


Je ne me dégageais pas, je me cramponnais, je me cramponnais même à son bras, je ne voulais pas qu'il me lâche.


Il reprenait ses attaques, se retirait en fléchissant les jambes, puis se relevait en redressant ses jambes. Il continuait ainsi avec force. Quand il se relevait sa queue rentrait en force et comme j'étais légèrement plus petit que lui, il me soulevait et je ne parvenait à résister qu'en me mettant sur la pointe des pieds. Et je gémissais, je râlais, j'en redemandais.


Il me basculait sur mon bureau, les jambes pendantes. Paradoxalement la position était plus confortable. Pour moi je veux dire, pour lui je pense qu'il s'en sortait très bien.


Il commençait aussitôt à me limer le cul avec conviction. Il s'enfonçait en moi puis donnait un violent coup de bassin, se retirait et recommençait. Il faisait une pause par moment et reprenait plus vite, puis plus vite encore puis … c'était la folie. Il me passait à la machine à laver .


Mon associer entrait sans frapper, marquait une pause en me voyant me faire défoncer le cul avec autant de conviction.


Tout se passe bien ici ? Sans vouloir être indiscret, vous en êtes ou là ?


Tonny me balançait un violent coup de bassin dans le cul et tenait la position. Il ne bougeait plus, il ne disait plus rien. Je parvenais à articuler …


Tu vois pas que je suis en plein recrutement !


Puis Tonny reprenait avec une grande vigueur il se retirait et revenait bien à fond. M'arrachant un cris qui ne ressemblait pas juste à un cri de plaisir. Mon associé ne repartait pas. Il regardait, il en aurait bien voulu lui aussi. Il devait jauger le membre de l'autre gars, estimer sa taille et devait en conclure qu'on avait …


il est de plus en plus professionnel mon associé !


Tonny râlait, moi je crois que je pleurais. Tonny continuait prenait son plaisir et avec quelques coups encore plus violent me faisait savoir qu'il jouissait dans mon cul.


Le calme revenait rapidement. Je me redressais, avec Tonny nous passion dans la salle à côté, il y avait un lavabo, on s'essuyait, on se séchait, je m'en remettais comme je pouvais.


  • Il faudra calmer les ardeurs, si on est comme ça au bureau ça ne va pas bosser dure ! Nous faisait remarquer mon associe.


Je l'avais complètement oublié celui-là, il tenait dans la main un dispositif grande taille.


C'est ce qui était prévu ! Faisais-je remarquer.


La queue de Tonny reprenait une dimension plus raisonnable. Il avait le sourire, il prenait le dispositif dans la main de mon associé. Tranquillement, en prenant bien son temps, il passait ses couilles dans l'anneau. Il l'ajustait en tirant sur la peau puis glissait sa queue dans le cage. C'était juste, avec ça il ne pourrait pas bander du tout. La cage ne lui laissait pratiquement aucune marge mais ça lui allait bien. Je lui tendais alors la clé, il la refermait.


  • Voilà une bonne chose de faite. Déclarais-je.


On se rhabillait. On discutait du contrat. Il aurait une période de trois mois d'essais renouvelables. Période pendant laquelle il garderait son dispositif. Il pourrait décider à tout moment d'interrompre son contrat , on lui donnera alors la clé. Par la suite un préavis sera demandé … etc …


je vous passe les détails.


C'était notre première recrue. Dans la semaine on a embauché un comptable. C'est mon associé qui s'est occupé des formalité.


Tu as de la chance toi ! C'est pas juste ! Venait-il me dire juste après.

Qu'est-ce qui t'arrive ?

Tu as recruté un mec avec une grosse queue, moi j'ai eu le droit à la petite bite.

Quoi, notre nouveau comptable aurait une petite bite !

Taille ' deux ' ! rajoutait-il en ressortant.


On l'a gardé quand même.


À la fin de la semaine nous avions recruté trois ouvrier, le premier comme je vous l'ai raconté avait une grosse queue, le second un peu plus petite mais de belle taille et le troisième, normale.


Nous avions aussi un comptable qui lui avait une petite bite et un communiquant avec une grosse queue lui aussi. Chacun avait pris ses marques, une campagne de publicité était en route. C'est qu'il ne rigolait pas le gars. Le comptable faisait des bilans, c'est son boulot il paraît, ne m'en demandez pas plus …


Et le reste de l'équipe produirait les moules en silicone, et commençait la production.


Dans un premier temps on honorait toutes les commandes passées puis l'entreprise démarrait vraiment.


Il faut savoir que la marge bénéficiaire était considérable, l'argent rentrait rapidement. Nos employés étaient ravis de recevoir des primes, et nous, mon associé et moi nous en mettions plein les poches.


Mais déjà la fin approchait.


Moins d'un an plus tard, nous avions alors six ouvriers et nous étions contactés par une entreprise inconnue … ' Le Château ' ( ça vous dit peut être quelque chose ) … l'entreprise voulait nous racheter !


On a négocié hard, une petite fortune, de quoi prendre sa retraite, et une retraite dorée en plus, on a obtenu des garanties pour notre équipe puis on a signé.


J'ai pris ma retraite au soleil, sur une île déserte ou on trouve un hôtel grand standing et toutes les installations pour passer le temps. Oui bon, quand je dis déserte c'est une façon de parler !


Il y a aussi un aéroport international …


L'entreprise se porte très bien, mes capitaux grandissent ( ils ont été très bien placés ), je vois régulièrement mon associé. Et on porte toujours notre dispositif, vous savez on fini par s'y habituer et par ne plus vouloir le retirer …


Jamais !



Fin



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


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