Si on regardait un porno Ep01
Vous n'avez pas connu dette époque magique de l'arrivée de la vidéo ? A l'époque de la VHS, on découvrait les joies de la vidéo porno. C'était cool. Vous savez, l'image avait une définition moins bonne que le MP1 mais c'était le début. On pouvait enfin voir et revoir un film ou une émission. C'était aussi l'arrivée des clip vidéo à la télé.
Enfin c'était une grande époque ! Vous n'avez pas connu ? Vous avez de la chance. Aujourd'hui c'est mieux !
J'avais un de ces trucs, on appelait ça un magnétoscope je crois. Rapidement un style de film dominait le marché enfin, sans vraiment dominé … on en trouvait partout … Le Porno.
La ça commence à ressembler à notre époque. Il y a quelques jours il y a même un mec qui a voulu me faire croire qu'il y avait autre chose que du porno sur internet … Je l'ai pas cru, je ne suis pas si crédule que ça. Franchement c'était ridicule, je l'aurais remarqué … Mais bon bref je m'égare de mon sujet !
Par contre pour ce qui est des dispositifs de chasteté, on en trouvait déjà. Pas autant que maintenant, ils n'étaient pas aussi modernes que les modèles actuels mais ça marchait quand même, ça aussi j'en avait un !
Ça m'aidait à rester sage quand je ne portais pas de sous vêtements par exemple. Quand un jour ...
Bon je vais arrêter de bavarder et commencer à vous raconter mon histoire.
Un copain me demandait si on pourrait regarder un film porno chez moi.
– J'emmène la cassette et la bière … Toi tu as la VHS !
Je trouvais l'idée amusante, aussi j'acceptais.
– J'ai pas osé en parler au copains ! Me disait-il en arrivant.
– Ce sera pour la prochaine fois !
– Il y a '' Gronichon Canon '' il parait qu'elle est terrible, Canon c'est son prénom. Elle joue avec Roro Difrédo. Lui il est monté comme un âne. Et on m'a dit que au moment ou il lui défonce le cul, c'en est à te faire tomber les cheveux …
On prenait position sur un fauteuil, chacun le sien, on les installait bien dans l'axe, pour éviter les reflets on fermait les rideaux et je lançais la vidéo.
Une première bière, tout allait bien. Mon pote Fanfan commençait à se dandiner sur son fauteuil. Je faisait semblant de ne rien remarquer mais il continuait.
– Quelque chose te tracasse ? Lui demandais-je.
– Non mais … Ça fait rien à toi ? Tu as vu comment la fille lui avale la queue, c'est pas humain ça.
– Tu aimerais bien qu'on te le fasse aussi ?
– Pas toi ?
Le calme revenait, enfin sur le fauteuil de mon copain, sur l'écran ça ne se calmais pas. Fanfan continuait à se tripoter plus discrètement, il caressait une grosse bosse qui à ce moment ne pouvait plus passer inaperçue.
– Tu m'as l'air en forme, ne me dit pas que c'est le film qui te fait ça ? Lui demandai-je pour le taquiner.
– Tu veux voir, ah tu vas voir !
Il était excédé, il ouvrait sa ceinture, sa braguette, et sortait tout son matos. Là j'ai flashé. Il était super bien monté.
C'est vrai que Fanfan cache bien son jeu, il a l'air d'être de petite taille mais sans être très grand, il est plus grand que moi. Il ne se fait pas remarquer non plus mais il est plus large et plus épais que je ne le suis. Il a aussi quelques très beaux muscles à ses bras. Il est bien foutu en fait !
Et là je pouvais remarquer qu'il était super bien monté ! Ma queue étranglée dans sa cage, protestait comme jamais et ça devenait franchement inconfortable cette affaire. Les cages de cette époque n'étaient pas aussi évoluées que les cages modernes. Je ne montrais rien mais je n'étais pas à mon aise moi non plus.
Il me regardait avec un regard un peu provocateur et satisfait, sa queue se redressait et il la caressait.
– J'en peux plus ! Me déclarait-il en commençant à se masturber.
Je rigolais à le voir. Il avait l'air content.
– Ça va mieux ? Lui demandais-je.
– Ouai là ça va mieux ! Tu devrais faire pareil !
– Oui mais là moi je peux pas !
– Et pourquoi tu peux pas, on est entre nous, et on est des mecs …
On continuait à regarder le film. Il continuait à se tripoter, je jetais un regard régulièrement. Ça l'amusait, il prenait ses aises et baissait son pantalon sur ses chevilles. Au bout d'un long moment de quelques minutes, je décidais de faire comme lui, au risque de provoquer une réaction.
Il faut dire que ma queue commençait presque à me torturer. C'était douloureux, il fallait faire quelque chose, réajuster la cage par exemple ou laisser un peu plus de liberté à ma queue. Elle était confinée dans une petite cage et elle était aussi bien écrasée dans mon pantalon moulant. C'était pas le grand confort, aussi je me décidais.
Je me levais, ouvrais mon pantalon et le baissais.
– Tu n'as pas de sous vêtement ? Me faisait-il remarquer.
– Non, enfin si mais c'est pas ce que tu penses . Lui répondais-je en reprenant ma place.
J'écartais les cuisses et exhibait mon dispositif de chasteté.
– Mais c'est quoi ça ? S'exclamait-il.
Il avait l'air surpris, enfin plus que surpris mais ça ne le calmais pas, j'ai même eu l'impression qu'il bandait encore plus ferme, sa queue s'est contractée.
– C'est pour rester sage ! Répondais-je.
Il se penchait en avant pour mieux voir mon truc, tendait la main mais la retenait.
– Tu peux toucher si tu veux.
C'est ce qu'il faisait, il s'assurait qu'il ne rêvait pas. Il touchait du bout du doigt le dessus du dispositif, il appuyait dessus et voyant que c'était bien réel il me tripotais les couilles, jouait avec le dispositif en rigolant.
Puis il se concentrait sur sa bite et continuait à se l'astiquer.
– Ça fait pas mal ? Me demandait-il.
– Non.
– Ça doit être frustrant ! Il rigolait encore.
– C'est le but.
– Mais là tu peux plus rien faire ?
– Comment ça je peux rien faire ?
– Bein je sais pas moi mais qu'est ce que tu peux faire ?
– Ça ! Répondais-je .
En disant cela je me penchais sur lui, il ne bougeait plus, je me penchais lentement sur sa queue et avec le bout de ma langue je lui caressais son gland. Il n'a pas bronché, il m'a laissé faire, j'ai donné un deuxième coup de langue et je l'ai entendu gémir.
Je décidais de continuer, j'ouvrais grand ma bouche et refermais mes lèvres sur son gland. Il me répondait par un long gémissement qui se terminait par un '' Oh oui, c'est bon … ''.
J'appuyais ma tête et j'avalais sa queue sur toute sa longueur. Il était bien monté sans pour autant être un géant et je ne rencontrais aucune difficultés particulières.
Il gémissait de plaisir, et en redemandait, il m'encourageait et je pense qu'il ne l'a même pas fait exprès quand il a appuyé sur ma tête. Il retirait sa main rapidement. Je lui prenais sa main et la reposais comme je pouvais sur ma tête. Il a compris qu'il pouvait se laisser aller.
Il ne s'en privait plus, il commentait. '' Tu fais ça super bien ! ''. Puis il appuyait plus fort. Sa queue s'écrasait au fond de ma gorge, il appuyait trop fort, il se laissait aller à son plaisir. C'était évident, ce n'était pas le mien qui lui importait.
J'étais encore novice dans le port du dispositif de chasteté et je découvrais la frustration, et l'indifférence de la personne à qui je donnais du plaisir. Moi je ne comptais pas. Je me sentais devenu juste un objet de plaisir, un masturbateur. C'était bon. C'était une étrange sensation, a là fois du plaisir et de la frustration. Mais il y avait aussi du plaisir …
Il appuyait sur ma tête de plus en plus fort et par moment je devais presque me débattre pour revenir à la surface, pour respirer. Il s'amusait avec moi. Il se contractait et relevait son bassin. Je prenais alors sa queue dans la gorge avec violence. Je ne pouvais même pas retirer ma tête, je prenais son gland dans la gorge.
Ça devenait un peu désordre cette affaire. Il se relevait et se retrouvait debout devant moi, il me tenait toujours la tête fermement, je le tenais par les cuisses et je faisais tous les efforts pour avaler sa grosse queue.
Il s'énervait et me limait la bouche, là je ne contrôlais plus rien et je subissais. Ce n'était pas vraiment agréable, pas du tout même, mais je ne voulais rien lâcher. Sa queue me plaisait et je la voulais, je voulais prendre du plaisir avec, je m'amusais avec , un peu comme un gros jouet, un jouet rare !
Il s'énervait encore plus, il respirait plus fort, il tremblait. Le plaisir devait monter en lui. Je ne pensais plus qu'à sa queue, j'en avais oublié la mienne. Elle était toujours enfermée, étranglée derrière les barreaux de sa cage mais je ne pensais presque plus à elle, pour le moment …
Je n'ai pas ressenti le moindre signe précurseur. Brusquement il a éjaculé dans ma bouche, sa queue a craché une grosse dose de sa semence, elle était bien épaisse et salée, elle était délicieuse, je n'ai pas essayé de me dégager puis une autre giclée est arrivée puis plusieurs autres.
Il ne me lâchait pas, il gémissait toujours en tirant mon visage contre son ventre, sa queue en avant, sa queue dans ma gorge.
– Avales, maintenant tu avales ... M'ordonnait-il.
Que pouvais-je faire d'autre ? J'ai avalé goulûment et je me suis régalé. Je n'ai rien laissé, je continuais à lui caresser la queue avec ma langue, j'en profitais, et je pense que lui aussi en profitait. Je le sentais frémir, trembler. Puis peu à peu j'avais l'impression que sa queue devenait un peu moins encombrante.
Je suçais encore et quand sa queue est ressortie de ma bouche elle était mouillée mais il n'y avait plus aucune trace de son plaisir.
Elle retombait lourdement et se balançait au moment ou il retombait sur le fauteuil.
Nous arrivions à la dernière scène du film. Gronichon Canon s'écroulait sur le ventre bien au milieu de son lit. Roro difrédo ressortait de son cul. Elle hurlait, il respirait fort.
Sa queue laissait suinter encore un peu de sperme, un fleuve de sperme coulait du cul de la fille, ils abusent toujours dans ce genre de film.
– Finalement tu as raison tu peux faire des trucs très bien avec ta cage ! Me déclarait Fanfan.
Je remettais ma mâchoire en place et ne répondait pas.
– On a loupé la fin du film avec tout ça ! Déclarait Fanfan.
– C'ést ballot !
– On le remet ?
On enfilait une bière pendant que la cassette se rembobinait. Il me regardait avec ce regard coquin et ce sourire qui semblait cacher l'envie de faire une connerie.
On a retiré nos vêtements et on a remis le film.
A suivre
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire