Gigolo 08 Avec Serena

 

Gigolo 08

Avec Serena



Serena était déchaînée, elle se lâchait et s'activait sur le pauvre François. S'il avait pu jouir de sa queue ça n'aurait pas été une situation désagréable, bien au contraire, mais voilà, c'était pas le cas.


La frustration était en son sommet, sa queue dilatée autant que possible, c'est à dire pas beaucoup j'en conviens. Et totalement incapable de se donner du plaisir de ce côté.


Serena n'en s'en inquiétait pas vraiment, elle savait comment prendre son plaisir, elle n'avait aucun scrupule à utiliser le corps de François, tout le corps de François pour y parvenir. Elle se frottait contre lui, le caressait avec les mains, l'embrassait. Il ne restait pas là à ne rien faire, lui aussi lui rendait chaque baiser, chaque caresse, chaque geste de tendresse.


Elle se relevait brusquement, faisait un large sourire, déposait un très doux baiser sur les lèvres de François qui avait de plus en plus de peine à reprendre son souffle. Lentement elle se dirigeait vers une commode au fond de la pièce, ouvrait un tiroir et revenais avec dans les mains un objet que François ne pouvait pas voir avec précision.


Elle revenait vers lui et déposait sur son ventre, François ne comprenait toujours pas. Je conviens là aussi, qu'il n'était pas futé. Et tout cela le dépassait. Il n'avait jamais utilisé de gode ceinture. Il était bien monté, bien foutu et n'en avait jamais eu besoin ! Il n'en avait jamais eu l'idée non plus.


Elle se penchait de nouveau sur le pauvre François, glissait la ceinture dans son dos, il participait, instinctivement il soulevait ses fesses, lentement elle fixait ensuite les autres ceintures, celle qui qui passait entre ses fesse, autour de ses cuisses. Il n'y croyait pas, il n'arrivait pas à réaliser ce qui se passait.


Puis toujours lentement elle vérifiait que tout était bien en place et ne bougeait pas avant de prendre position, elle s'enfilait sur le gode. Il était de belle taille, aussi gros que la bite de François.


Mais ça, lui seul pouvait le savoir. Serena ne s'inquiétait que de ce corps magnifique qui était là, totalement à sa disposition. Elle l'utilisait pour son seul plaisir. Le gode glissait en elle, il entrait et ressortait. François relevait la tête et regardait la scène avec des yeux horrifiés, il connaissait bien ce spectacle mais là il ne ressentait rien.


Enfin rien sauf le poids de Serena, sa peau, ses caresses. Mais tout ça ne faisait que l'exciter encore plus, sa queue restait sous pression, c'était une frustration, son cœur battait fort. Serena respirait fort, c'est elle qui avait imprimé le mouvement mais c'est François qui le continuait.


C'était un réflexe, il relevait son bassin avec force et se laissait retomber lourdement, Serena de cambrait, se redressait, gigotait et râlait de plaisir.


François poussait quelques râles de plaisir … Pardon, je voulais dire sans plaisir. C'est vrai que lui ne ressentait rien sinon sa frustration de devenait de plus ne plus intense, il se donnait à fond toutefois et il a bien senti le moment ou sa partenaire jouissait, ce devait être intense pour elle ! Mais pour lui, rien.


Pour lui c'était l'enfer, il ne pouvait plus retrouver son souffle et était proche de l'évanouissement, c'est en tous cas ce qu'il ressentait au moment ou Serena s'effondrait sur lu.


Ses seins s'écrasait sur la poitrine de François, elle refermait ses bras autour de son cou, lui la prenait dans ses bras et lui caressait le dos depuis les épaules jusqu'à ses fesses.


Elle ne bougeait plus, son corps devenait tout mou, elle se détendait . C'est plus tard, un long moment plus tard qu'elle se relevait, elle se retirait du gode. François relevait la tête et pouvait voir sa bite, pas la vraie bien sûr, mais une belle grosse bite qui se tenait toujours au garde à vous, celle là n'avait jamais de faiblesse.


Sa queue , sa vraie queue , il ne pouvait pas la voir, elle était plus bas confinée dans une petite cage en titane indestructible et froid, elle y prenait toute la place et ce n'était pas seulement parce que la cage était minuscule mais aussi et surtout parce qu'il bandait de toutes ses forces. Il ne voulait pas comprendre que bander pour lui était désormais impossible ou interdit et sa queue ne voulait pas le savoir non plus, encore moins.


Il passait sa main sur la ceinture que lui avait mis Serena, puis elle descendait sur sa cage, il sentait ses couilles qui retombaient lourdement juste en dessous. C'était agréable mais frustrant, tout ce qui lui faisait penser à sa bite était une source de frustration. Il ne savait même plus à ce moment depuis combien de temps il était la dedans.


Madame la comtesse lui avait posé cette cage diabolique quelques semaines plus tôt, il ne se souvenait plus combien avec précision.


Ce soir était la première fois qu'il se retrouvait avec une femme à partager son intimité, mais pouvait on encore parler d'intimité.


Serena avait disparu, elle

revenait avec une flute à champagne dans chaque main.


  • Bravo tu es un chef, lui dit-elle, ton corps est vraiment magnifique et ta peau est douce. Mais j'avais eu des échos.

  • On t'avait parlé de moi ?

  • Oui, lui répondait-elle en lui proposant de trinquer.


Il ne savait pas quoi dire , quoi faire. Pour une fois il n'était pas pas fier après avoir fait l'amour. Il retrouvait doucement son souffle. Sa queue continuait à le torturer mais ça c'était normal. Il lui a fallu un long moment pour décompresser, elle continuait à occuper tout le volume disponible mais se transformait peu à peu en grosse molle.


  • J'ai bien aimé ! Lui dit-elle. Si tu veux, tu pourrais t'installer ici, on pourrait recommencer ça plus souvent.


Il ne fallait pas bien longtemps à François pour comprendre ce qu'il pouxait en espérer. Il était cupide, comme je vous ai dit, et elle était riche, très riche.


Le lendemain, de retour chez lui, enfin chez Timi, il déménageait. Accompagné par Timi ils arrivaient chez la nouvelle copine de François. La maison était grande, une quarantaine de chambres , autant de salles de bain, piscine, plusieurs salle à manger et tout ce qu'il faut pour se sentir à l'aise.


On installait Timi dans une aile de la maison, un peu en retrait pour ne pas déranger les maîtres. Il avait la place pour se mettre à l'aise et y serait très bien. Serena et François ont décidé de faire chambre à part.


Cette idée devait surprendre Timi, surtout de la part de son patron François. Il n'était pas du genre à dormir seul s'il avait à sa disposition une très belle femme, et Serena était vraiment très belle. Mais il savait que son boss était surtout cupide, surtout attiré par l'argent.


Les jours ont passé, Serena était très généreuse, une gourmette en or, une montre de luxe, des boutons de manchette, et le veste qui va avec. Elle était encore plus riche que ne l'était la comtesse.


François s'est retrouvé avec une nouvelle garde robe, non pas qu'il en avait besoin mais ça faisait plaisir à Serena.


La nuit, les nuits qu'ils passaient ensemble était pour son plaisir à elle, elle aimait de plus en plus le corps de François. C'est vrai qu'il était musclé et avait un corps de rêve, il n'avait pas de bite en état de marcher mais ça ne la dérangeait pas vraiment, elle avait toujours le truc avec des bretelles.


Pour François, c'était une torture mais comme je vous le disais il était cupide, et tellement cupide même qu'il acceptait la situation.


Deux ou trois fois par semaine, parfois plus, Serena voulait se faire plaisir avec son nouveau jouet. Il lui coutait cher en cadeaux divers mais elle avait les moyens.


Elle le sortait régulièrement. Ils allaient au restaurant, au cinéma, en boite de nuit, dans des expositions, au casino. Enfin ils avaient une vie mondaine très active. Le nouveau couple se faisait connaître, enfin ils étaient déjà connus de la belle société locale, mais séparément. Là, désormais on les voyait toujours ensemble.


Pour le quotidien, je veux dire par la dans la journée, François ne manquait de rien, il avait une carte de crédit avec un crédit très confortable. Une jolie somme était placée en banque pour prévenir d'une rupture, un compte dont il pourrait disposer le jour éventuel de la séparation.


François dans sa situation ne souhaitait pas de séparation, il savait qu'il aurait du mal à trouver une autre femme, une femme qui l'accepterait comme il était et qui en plus serait riche.


Mieux que tout cela, Serena était en plus généreuse ! C'était pas des cochonneries qu'elle lui offrait, les brillants étaient des diamant et l'argent était du platine …


François ressortait sa voiture tous les jours, il ne s'inquiétait pas de sa consommation. C'était la grande vie !


Mais il y avait toujours cette ombre dans sa vie. Il était impuissant. Il ne pouvait pas bander, sa cage le lui interdisait formellement. Et comme tout était en état de fonctionner, il en souffrait. Et ça s'arrangeait pas avec le temps.


Quand Serena se glissait contre lui en tenant le gode ceinture dans la main, il ne pouvait pas la repousser/ et l'horrible sensation de manque se faisait sentir. Les mois passaient mais sa queue le faisait souffrir tant elle se contractait.


Oh ce n'était pas une véritable douleur, c'était plus une gêne, un manque une frustration, oui enfin c'était tout ça à la fois !


Serena ne s'en inquiétait pas, elle prenait son plaisir et ça lui suffisait. Elle savait faire, elle utilisait François sans aucun scrupule, elle l'utilisait comme un gode.


Il s'activait de son mieux pour lui faire plaisir mais son plaisir à lui ne venait pas. Il en était privé.


À quelques reprise il avait éjaculé pendant cette période, mais à chaque fois c'était sans éprouver le moindre plaisir, à chaque fois ça ne le soulageait même pas. C'était comme une fuite, ça coulait longuement, lentement pendant un long moment dans la nuit. Pas toutes les nuits, mais de temps en temps.


Il ne redoutait pas ces moments, ce n'était pas désagréable mais ça ne lui procurait aucun plaisir. Et c'était des moments de désespoir. Heureusement Serena se montrait tellement généreuse.


Il sortait alors, quand il se sentait trop stressé, il allait picoler un bon coup et ça finissait par passer.


Un soir dans le lit conjugale, enfin conjugale si j'ose dire il ne faudrait pas oublier que ces deux là n'étaient pas mariés ! Eh non, ils vivaient dans le péché!( la honte ) .


Enfin bref, on ne va pas se formaliser pour si peu !


Serena venait de donner du plaisir, plaisir qu'elle avait su prendre à son gigolo. Elle se sentait bien alors que lui se sentait mal. Mais qu'importe. Voyant ou devinant une certaines tristesse dans les yeux de son partenaire, elle eut alors une idée.


Lentement, langoureusement, elle lui retirait sa ceinture, son gode ceinture, puis lui donnait un petit plaisir en lui léchant les couilles.


La le pauvre François bandait fort mais bandait sous contrainte, c'est à dire qu'il n'y avait pas grand chose à voir.


Elle se glissait alors, dans le dispositif, refermait la ceinture sur elle et se montrait alors fière et forte, avec cette grosse bite qui se redressait contre son ventre.


François commençait à comprendre et surtout commençait à s'angoisser grave !



A suivre


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Gigolo 07 Serena

 

Gigolo 07

Serena



Quelques jours passaient et François ne faisait pas grand chose. Il picolait, il picolait encore et encore.


Quelle triste période de sa vie, rapidement Madame La Comtesse était mise en terre. Toute la petite société de la haute ( comme on dit ) se réunissait dans leur plus belles robes avec toutefois une dominante sur le noir.


C'était un milieu hypocrite, seule sa fille portait une tenue vraiment sobre. Une des ses copines arrivait avec une rivière de diamants et une broche qui elle, était une montagne de brillants. Une autre arrivait en robe de soirée, longue , mince, ouverte sur toute la hauteur mais on ne fera pas de commentaire, elle était noire.


Un grand silence se faisait entendre quand François entrait, il était entièrement en blanc. Sa fille, la nouvelle comtesse virait au rouge en le voyant, c'est vrai qu'on ne voyait que lui.


Elle s'approchait de lui.


Tu sais qu'on n'est pas en boîte ? Espèce de sinistre petit gigolo. Lui glissait-elle à l'oreille !

Je sais je l'ai fait exprès pour te faire chier mon amour.

Ne m'appelle pas mon amour espèce de sac à m … ( Bon là je me censure. C'est préférable ! )


Puis auprès des autres invités il expliquait que c'était en hommage à Mme La Comtesse.


C'est elle qui m'a offert cette tenue, elle me disait qu'elle m'allait très bien . Je reste convaincu qu'elle aurait aimé me voir ainsi !


La messe se passait très bien, on a un peu grincé des dents au moment ou il prenait la parole.


Il marquait à quel point ce départ était imprévu et surtout prématuré.


Ce sont toujours les meilleurs qui s'en vont ! Disait-il !


On entendait une petite voix qui rajoutait.


Prématuré! Tu parles, à une journée près c'était bon !


On n'a jamais vraiment su d’où venait ce commentaire, et un fou rire général y répondait !


François suivait le corbillard, personne ne marchait à côté de lui, un peu comme s'il avait la peste ! On déposait le cercueil dans le mausolée et tout le monde reprenait la route vers la maison de la défunte. Sa fille s'approchait de François et lui glissait à l'oreille !


Je ne te conseille pas de venir sinon je demande à mes gens de te casser les quatre pattes !


Le ton de sa voix était sec et plus qu'agacé, bien plus. François à bien compris qu'il valait mieux prendre cette promesse au sérieux ! Il repartait seul, vers une station de bus, il n'était pas venu avec sa belle voiture rouge. Bein oui, il fallait faire le plein d'essence et il savait que ses réserves n'étaient pas infinies.


Il avançait lentement quand une énorme voiture anglaise s'arrêtait juste à côté de lui. Il s'était littéralement conditionné à la proximité de ces voitures qui représentent le luxe absolu. Il se redressait oubliait tout et spontanément faisait son petit numéro de charme.


La vitre arrière s'ouvrait et c'est une sublime blonde de vingt quatre ans peut être qui apparaissait.


Puis-je vous proposer mon véhicule ? Lui demandait-elle.


Elle était belle à vous décoiffer un chauve. C'était la jeune veuve de feu le regretté président et principal actionnaire de la Banque le Crédit Industrieux des Bosseurs Bûcheurs … Cette très jeune femme avait hérité d'une véritable fortune et pas seulement en capital mais elle avait aussi les revenus des actions de la banque.


François était programmé pour une telle situation. Il bombait le torse, faisait un sourire de toutes ses dents, oubliait sa cage à bite, on ne peut pas penser à tout. L'odeur de l'argent et la cage à bite !


Surtout que la cage n'était pas douloureuse à porter. Il s'arrêtait, la portière s'ouvrait et il montait. La jeune femme était toute en noir, elle revenait du cimetière, François l'avait reconnue, il l'avait déjà croisée et si elle avait été riche un an plus tôt, maintenant elle l'était et lui était libre.


Pour une fois il ne savait pas quoi dire, brusquement il se sentait vide.


C'est un plaisir que de vous avoir près de moi ! Lui déclarait la jeune femme.


elle s'appelait Serena, ce n'était certainement pas son nom mais tout le monde la connaissait sous ce nom.


  • Mais le plaisir est pour moi !


Ainsi commençait une petite discussion qui ne devait durer que jusqu'à la maison de feu la Comtesse. François s'est un peu inquiété en voyant ou on le conduisait.


Tu sais Serana, le fille de la défunte ne me considère pas vraiment comme un ami et j'ai bien peur de ne pas être bien reçu.

Ne t’inquiètes pas mon beau rebelle, reste près de moi, je veillerai sur toi !


François ne savait plus trop quoi penser, la voiture s'arrêtait, le chauffeur lui ouvrait la porte et c'est au bras d'une superbe blonde qu'il se présentait dans cette maison qui aurait pu devenir la sienne.


Il croisait le regard de la fille de la comtesse, elle n'était pas satisfaite de le voir ici et le fusillait du regard. La belle Serena s'amusait de cette situation. Et c'est au bras du plus beau gigolo de la ville qu'elle paradait dans cette réunion qui prenait rapidement des allures de soirée mondaine.


François se laissait aller, il picolait. Il picolait à un point ou il se faisait remarquer, ou il finissait par dire n'importe quoi, par faire n'importe quoi !


La fille de comtesse finissait par s'énerver et ordonnait à ses gens de s'emparer de François et de le vire à coups de pieds au cul. Ils étaient trois à lui tomber dessus mais la belle Serena intervenait au dernier moment mais à temps. Elle s'interposait et tout le monde s'arrêtait.


Elle entraînait le pauvre François qui pleurait, il avait mauvaise allure, beau gosse, toujours très beau gosse mais pas en forme, il faisait pitié et Serena décidait sans rien dire de le prendre sous son aile. C'est vrai qu'il était très beau, très sexi et plus d'une fille parlait de ses talents en amours.


On le jetait à l'arrière de la voiture et le chauffeur ramenait sa patronne et son nouveau jouet à la maison.


L'après midi était bien avancée quand ils arrivaient à la maison, chez Serena. La lumière inondait la chambre quand François s'est réveillé.


Il était entièrement nu allongé au milieu d'un lit géant, les bras en croix. Sa tête tournait il avait quelques vertiges. La veille il avait picolé aux obsèques de la comtesse, il ne se souvenait pas de tout, il avait picolé depuis des jours et ne savait pas ou il était.


Il ouvrait les yeux, râlait en mettant sa main devant ses yeux, la lumière était un peu trop puissante pour son état. Serena apparaissait brusquement devant lui, elle était encore plus belle dans la lumière de cette fin de matinée. Elle était entièrement nue, elle s'approchait en le regardait avec un étrange sourire.


Tu sais , lui dit -elle . Ça c'est une surprise ! Rajoutait-elle en montrant de la main la cage à bite qui était parfaitement visible dans cette position.

C'est cette vieille sorcière ! Bafouillait-il.

Je me doutait que l'idée ne devait pas venir de toi.


Il la regardait aller et venir dans la salle, il ne prenait même pas la peine de se cacher, il s'en foutait.


Et je suppose que, bien sûr, elle ne t'a pas donné la clé.


Elle s'approchait de lui, posait un genou sur le lit et lui caressait le torse, sa main descendait doucement jusqu'à son sexe sur lequel elle s'attardait, elle lui tripotait les couilles longuement.


Tu sais, c'est pas la peine d'insister, ya rien à espérer ! Lui dit elle. J'ai tout essayé.

Les dispositifs PK sont réputés être de grande qualité et totalement inviolables. Mais tu pense peut que feu mon regretté époux faisait des prouesse au lit.


François la regardait et ne semblait pas comprendre ce qui se passait !


Mais tu sais il arrivait toutefois à me donner du plaisir . Et pourtant son corps n'était pas aussi agréable que le tien !


Disant cela elle se penchait sur lui, le chevauchait en écartant bien les jambes, elle s'asseyait sur son sexe, pardon, sur sa cage puis l'embrassait tendrement.


Ses seins lui caressait la poitrine. C'était la première fois qu'il se retrouvait dans ce genre de situation depuis que la comtesse lui avait posé cette cage. La douceur des caresse qu'elle lui prodiguait devenait une véritable torture.


Pourtant elle ne lui faisait pas mal,mais sa queue tentait de gonfler et se retrouvait confinée dans cette minuscule cage, la pression devenait de plus en plus forte, il manquait d'air.


La douceur des ses seins chatouillait le torse de François. Il respirait fort au moment ou les caresses de Serena devenaient plus intimes , plus intenses. Elle frottait sa vulve sur la cage de son partenaire, elle gémissait dans les oreilles de son compagnon.


Il n'en pouvait plus. Son cœur battait avec force, il allait défaillir.


Elle se relevait, souriait et ne cachait pas sa satisfaction. Il ne comprenait pas, il connaissait les femmes et savait qu'il ne pouvait pas la satisfaire de cette manière, il savait que cela ne donnerait rien. Mais que pouvait-il faire, il n'était pas dans ses habitude de repousser une femme, surtout très belle, surtout très riche et riche, elle l'était.


Mais que lui restait-il encore à lui, pour lui ? Il savait que rien ne pourrait aboutir.


Elle se relevait, il lui caressait les cuisses, il lui restait ses doigts.


Elle se laissait retomber sur le côté, il suivait le mouvement. Elle refermait ses jambes autour de François.


Sa queue le torturait mais il pensait au fait qu'elle était riche, très riche. Et il était cupide !


Mais il plongeait, tête la première entre les cuisse de Serena, rapidement il la sentait frémir et trembler. Ça aussi il savait faire, avec les doigts et la langue il savait donner du plaisir et c'était tout ce qu'il lui restait.


Il avait cessé de réfléchir, de penser même. Il ne savait pas ou il allait, elle gémissait dans ses bras et lui souffrait d'un niveau de frustration qu'il n'avait encore jamais connu. Écrasée dans une toute petite cage, sa queue protestait et inspirait la pitié !


A suivre



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Ça commence au restau 02

     Ça commence au restau 02



Je bandais ferme et je ne savais pas si je devais, si je pouvais regarder Eddy ou pas. Mon regard se portait vers Sophie, elle venait s'installer à côté de moi, les jambes allongées et légèrement écartées.


Je glissait une main sur son ventre.


Suce le ! Ordonnait-elle.

Mais enfin ma puce ! Lui répondait alors Eddy . Moi je suis pas …

Suce le ! Répétait-elle.


Il poussait un long soupir puis se penchait sur moi. Il semblait manquer de conviction. Il se penchait quand même sur moi, je sentais son souffle sur mon gland bien relevé.


Suce le ! Insistait-elle.

Là il finissait enfin par se laisser aller, il ouvrait grand sa bouche et je sentais ses lèvres se refermer autour de mon sexe. Sa langue glissait sur mon gland, c'était doux, c'était chaud et je laissais ma tête retomber en arrière ne lâchant qu'un long soupir de plaisir.


Il penchait la tête encore un peu plus et ma queue glissait dans le fond de sa bouche, s'écrasant dans sa gorge. C'était divin. J'en voulais encore, encore plus.Elle appuyait sur la tête de Eddy, moi je n'osais pas. Puis je me lâchais à mon tour, et j'appuyais sur sa tête et je relevais le bassin. Il prenait tout dans la gorge, il prenait tout bien à fon.


C'était un bon, finalement c'était vraiment un bon. Il faisait ça bien, je ne sentais pas ses dents. C'était un plaisir pur, je gémissais, ce n'était que du plaisir. A mon tour je posait la main sur sa tête, a mon tour j'appuyais dessus avec force par intermittence, je me masturbais avec sa tête. Finalement c'était amusant, il résistait par moment, je le laissais alors respirer puis je recommençais.


Sophie me regardait faire, elle appréciait le spectacle.


Je savais qu'il allait adorer ! Me dit-elle.


Eddy se faisait entendre par un ronchonnement. Il n'était peut être pas de son avis, mais on s'en moquait ! Je ne pensais plus du tout à lui demander son avis, je ne pensais plus qu'à mon plaisir .


J'étais là, vautré sur le canapé, entre mes je mes jambes Eddy avait pris position.


C'est la première fois qu'il fait ça ? Demandais-je .

Je ne sais pas ! Depuis que je le connais oui, avant je ne sais pas

Et ça fait longtemps que vous vous connaissez ?

Pas très longtemps non.


On discutait , Sophie et moi, sur le dos de notre ami Eddy ! Puis elle me donnait un coup de coude.


On va passer à autre chose ! Déclarait-elle.


Elle écartait les jambes un peu plus.


Maintenant Eddy, c'est mon tour !


Un peu blasé, Eddy se relevait, il avait un regard désabusé, un sourire essoufflé et se penchait sur Sophie, rapidement son visage trouvait sa place entre ses jambes.


Je voyais sa tête remuer et je devinais sa langue s'agiter. Elle penchait la tête en arrière et respirait fort. Je me disais que s'il était aussi bon avec elle qu'il l'avait été avec moi, elle devait bien s'amuser à ce moment précis. Je l'enviais presque, je regrettais déjà qu'il ne s'occupe plus de moi !


Je regardais le visage de Sophie, elle avait les yeux fermés et un légère grimace de plaisir apparaissait sur ses lèvres. Elle soupirait.


Au bout d'un moment qui me semblait une éternité elle passait ses jambes par dessus les épaules de Eddy, elle le coinçait ainsi dans une position qui était tout confort pour elle. Pour lui, comme je vous le disais on s'en moquait.


Il était à genoux les jambes écartées, je prenais du recul et depuis le fauteuil d'en face je pouvais l'admirer. Il avait un beau cul, c'était la première fois que je regardais le cul d'un homme , enfin peut être. Peut être pas finalement, mais j'avais choisi de l'oublier.


Quelques émois d'adolescent puis j'avais fait mon choix. Et comme j'avais une grosse queue, les filles … enfin je suppose que c'est pour cela, aucune n'avait jamais voulu que je la prenne par derrière.


Je bandais avec force, mes yeux passait de ma queue fièrement redressée entre mes cuisses, et son cul, je venais de jouir et je savais que je pourrais rester dans cet état pendant un bon moment encore.


Il avait un cul. Et je pouvais voir ses couilles qui pendaient lourdement entre ses cuisses. C'était amusant, il n'y avait pas de bite, elle était proprement enfermée, elle n'avait aucune liberté, ni pour prendre du volume et se redresser ni pour retomber et pendre lourdement.


Vas y ! me lançait Sophie.


Eddy tentait de dire quelque chose mais il ne pouvait pas relever la tête et je ne comprenait pas vraiment ce qu'il racontait surtout qu'elle lui appuyait la tête entre ses cuisses.


C'est un peu hésitant que je tendais la main vers son cul. Je lui caressais les fesses, elle étaient douce, ça me surprenait presque mais j'aurais du me dire que moi aussi j'ai les fesses douces alors pourquoi pas lui.


Ma main descendait un peu plus bas et c'est amusé que je découvrais ses couilles, elle étaient fermes et bien attachées à leur base, puis je continuais la découverte, il me laissait faire. La encore pas de queue, enfin il en avait bien une mais, là encore, plus que pour ses couilles elle était attachée, totalement enfermée dans une sorte de cage.


C'était impressionnant, vraiment étonnant et ça m'excitait . Quelques heures plus tôt à peine je ne connaissais même pas l’existence de ces dispositifs et là je tripotais les couilles d'un mec qui en portait un. Je bandais de plus en plus fort.


Et tu attends quoi ? Me lançait de nouveau Sophie !

Mmmm, humm … tentait de dire Eddy.

Mais je préférais l'ignorer et tout en continuant à lui caresser les couilles, eh oui, j'y prenais goût, je prenais position juste derrière lui. Sophie me passait un tube de gel lubrifiant, je ne sais pas d’où elle le sortait mais elle doit être organisée.


Je le prenais et aussitôt le lubrifiais rapidement la queue puis un peu son cul. J'y glissais un doigt que j'agitais rapidement, je l'entendais gémir, Sophie aussi gémissait, mais là maintenant en me regardant dans les yeux elle faisait un large sourire .


Je me relevais alors et sans aucune hésitation enfonçait ma bite dans son cul. Il a relevé la tête avec force et à hurlé. Sophie lui attrapait la tête et la ramenait de nouveau entre ses cuisses, elle y parvenait mais il continuait à gémir et j'avais comme l'impression qu'il n'y avait pas que du plaisir. Je vous ai dit que j'en ai une grosse ?


Je lui défonçait le cul proprement , comme il convient, ma queue entrait bien à fond et mon ventre s'écrasait contre ses fesses, je ressortais, je revenais, de plus en plus vite. C'était étroit mais ça glissait bien ! Ce lubrifiant était efficace.


Je le sentais trembler, il glissait une main derrière lui, je l'écartais et le maintenais fermement avec mes deux mains. Je le tirais vers moi et ma queue glissait, je le repoussais et je ressortais. C'est quand je pénétrais qu'il criait plus fort, même si ses cris étaient étouffés par Sophie.


Elle était aux anges, son visage était rayonnant, il était efficace, elle savait choisir les hommes qui sauraient lui donner du plaisir, c'est sûr.


Je ne me retenais plus, plus rien pouvais me retenir. Mon ventre s'écrasait bruyamment contre ses fesses à chaque coup que je donnais, des claquements que les cris de Eddy accompagnaient , le pauvre il devait déguster , je ne sais pas si il aimait, si il y prenait du plaisir mais moi j'aimais bien , et je me moquais de ce qu'il en pensait. Il ne m'avait pas repoussé, alors je m'accrochais !


Quelques coups devenaient particulièrement violent, je sentais comme un plaisir monter puis je jouissais, j'éjaculais en lui avec force. C'était un feu d'artifice qui explosait autour de ma queue. Eddy sanglotait. Sophie se calmait elle avait joui elle aussi et maintenant nous étions tous les trois sur la descente, une descente d'orgasme, essoufflés comblés.


Sauf peut être Eddy, lui il continuait à râler.


Mais ça fait un mal de chien ton trus ! Me disait-il.

Moi j'ai bien aimé !

Je vous jure les gars , avec une peu d’entraînement, ça ne fait plus mal du tout, bien au contraire même ! Nous disait un peu ironiquement Sophie.

Et pourquoi ? Tu as essayé peut être ? Lui répondait Eddy sur un ton agacé !

Non, tu es fou, mais tous mes amants me l'ont dit !

Je te crois pas !


Je les regardais, moi j'étais content.


On s'est détendu, Eddy est passé à la salle de bain pour se rafraîchir le cul, et on a continué à parlé, on a picolé aussi, j'étais ravis.


Mes souvenirs pour la soirée était un peu confus le lendemain matin. J'avais un peu trop picolé.


En rigolant Sophie m'avait proposé un de ces dispositifs, il lui en restait un, justement, et à ma taille. En fait elle devait en avoir tout un tas, pire qu'un représentant de la PK Compgnie ( le fabricant ). J'ai fini par me rappeler, au début j'ai refusé, puis Eddy est intervenu, il le portait pour la deuxième fois et cette fois encore depuis près d'une semaine.


Je me souviens que j'ai fini par ac epter et je me souviens même que j'ai dit !


Mais moi par contre je me ferai pas enculer !


Ils ont rigolé à ma réplique puis …


J'ai passé mes couilles dans l'anneau, je rigolais, on rigolait tous. Là je ne bandais plus du tout. J'ai pas eu de problème pour glisser ma queue dans la cage et fixer la cage sur l'anneau de fixation.


Sophie avait l’œil, une vraie représentante de la PK je vous dis. Mais c'est vrai, maintenant que j'y repense … C'en était peut être une.


J'ai une grosse bite et elle avait le dispositif à ma taille, dans son sac … Normal quoi !


Enfin on a continuer à rigoler, je me montrais, je dansais devant Sophie et Eddy, on dansait ensemble en montrant à Sophie nos dispositifs, elle a dansé avec chacun d 'entre nous puis …


Je me souviens plus du moment ou on a verrouillé ma cage. Ensuite on s'est endormi.


Je me suis réveillé, la chambre était noyée de lumière, c'était la fin de la matinée. Le valet de chambre est passé il m'a proposé un petit déjeuner, m'a expliqué que la chambre était payée pour toute la matinée et que je devrais être parti avant midi.


J'ai pas compris tout de suite. Sophie et Eddy étaient partis quelques heures plus tôt, ils ne m'avaient laissé aucun message. Leurs noms, ce n'étaient même pas leurs noms, il m'avaient seulement laissé ce dispositif diabolique, parfaitement sûr, fermé, verrouillé, mais ils ne m'avaient pas laissé la clé.


C'était il y a deux ans !



Fin


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


Ça commence au restau 01

 

Ça commence au restau 01



J'y croyais pas, elle me regardait régulièrement, un peu trop peut être même. Elle était belle, très belle mais là encore ce n'était pas naturel, je n'avais pas l'habitude de me faire draguer par d'aussi jolies filles ! Surtout qu'elle n'était pas seule. Il y avait son compagnon.


Ça ne faisait aucun doute que c'était bien son compagnon, il était face à elle à la table, moi j'étais seul. Ma copine qui était venu avec moi m'avait fait un sale plan, elle m'avait largué au moment ou la choucroute était servie.


Ça faisait des années que nous étions ensemble et elle savait choisir son moment.


Elle s'est alors levée et m'a dit cette dernière phrase …


  • C'est fini !


Je n'ai pas retenu les autres phrases, les explication. Et je vous jure que ce n'était pas à cause de la choucroute.


Je me retrouvais face à deux parts de choucroute maison, une merveille, ne vous imaginez pas que ça me faisait peur, oh non, il m'en faut plus que cela. C'est pas une double part de choucroute qui … Mais qu'est ce que je raconte, je venais de me faire largué au milieu d'un restaurant et je vous parle de la choucroute. Vous imaginez la suite …


j'ai commencé par manger ma part puis j'ai attaqué celle de ma copine. Je fais beaucoup de sport, et je ne soufre pas d’embonpoint. Et il y avait cette fille qui me regardait depuis la table en face de moi.


Son partenaire lui prenait la main, la portait à son visage puis au dernier moment l'embrassait , il y déposait un baiser très doux, enfin je suppose qu'il était très doux. Moi je mangeais, pas comme un goinfre, en prenant bien mon temps je prenais une bouchée de purée une bouché de choucroute et un peu de garniture.


C'était un gratin de choucroute, une choucroute normale recouverte d'une couche de purée et gratinée avec de l'émental et du parmesan ... vous connaissez pas ? C'est une recette de Juan Pédro Cofre à la télé, essayez vous m'en direz des nouvelles . Mais c'est pas le sujet.


En face de moi la fille était vraiment extraordinairement belle et son camarade était bel homme aussi, il était viril. Un visage bien carré mais avec des traits fins et doux. Elle me regardait au moment ou il lui suçait un doigt. J'ai sursauté, il m'a bien semblé qu'elle me faisait un signe avec ses lèvres, sa langue glissait sur ses lèvres. Et je ne vous cacherais pas que là je me sentais tout chose.


Je terminais sans broncher la deuxième assiette de choucroute, et elle semblait incliner la tête vers moi comme pour me féliciter .


Oui je sais, ma copine venait de me larguer et je bouffais comme un goinfre, mais c'était un gratin de choucroute, et je suis un petit peu goinfre. De plus il en faut plus que cela pour me couper l’appétit. Mais là je me sentais tout drôle, c'est pas que j'avais trop mangé, il m'en faut plus que cela ! Non , c'était la dame en face. Son partenaire s'était penché sur elle et lui avait donné un baiser dans le cou. Là ça devenait un peu chaud.


Surtout qu'elle me regardait pendant ce moment en passant sa langue sur ses lèvres.


Elle s'est alors penchée dans ma direction et m'a demandé du feu !


  • Heu, oui, enfin non mais je fume pas !

  • C'est bien me répondit-elle, moi non plus, c'était juste pour commencer une discussion. Enfin je ne vous importune pas j'espère.

  • Oui bien sur , bafouillais-je en regardant son partenaire qui lui suçait un doigt , heu non, je voulais dire non mais heu voilà, non pas du tout, au contraire , enfin … Je sais plus …


Elle me faisait bafouiller. Elle échangeait un regard avec son partenaire, je ne sais pas pourquoi je dis partenaire, même si l'avenir m'a montré que le terme est parfaitement adapté.


Finalement c'est lui qui d'un geste de la main m'invitait à les rejoindre à leur table. Mes deux desserts arrivaient peu après . Je vous rappelle qu'au début je n'étais pas seul !


Là on a discuté, il travaillait comme garçon d'étage dans un hôtel, elle … c'est vrai, qu'elle n'a pas abordé le sujet. Elle voyageait, et se déplaçait beaucoup. Pour son boulot surtout, enfin c'est ce que j'ai supposé. On a parlé de tout et de rien. Elle s'appelait Sophie, lui s'appelait Eddy. On a rapidement avalé la bouteille de champagne puis une autre qui arrivait je ne sais d’où.


On a terminé la soirée chez la dame, elle logeait à l'hôtel, et son petit copain aussi. Pendant que je m'installais, Eddy faisait monter une bouteille de champagne.


On s'est installé on a picolé, on a discuté.


  • Elle est ! N'est -ce pas ? Me demandait Eddy.

  • Très belle !

  • Désirable ?

  • Oui je suppose !

  • Tu la désires ?


Là je ne comprenais plus trop sa réplique. Il lui tenais la main, la caressait et avec son autre main elles ouvrait son corsage, révélant un décolleté tombant, mais tellement tombant que c'en était à tomber à la renverse.


Quelques instant plus tard il lui lâchait la main et elle ouvrait totalement son corsage et se retrouvait torse ne. Elle était plus belle qu'on ne pouvait l'imaginer. Une poitrine de belle taille mais sans plus, mais une poitrine qui se relevait fière et provocante, qui ne tombait pas du tout.


Un ventre plat, un taille fine . Elle se relevait et dansait devant nous, elle faisait glisser ses vêtements sans se presser, elle prenait bien son temps, il n'y avait pas urgence, elle remarquait que je réagissait. Mon pantalon ne cachait plus du tout mon érection. Je bandais comme un malade et là je ne contrôlais plus rien.


Eddy la regardait, il semblait amusé, intéressé mais amusé, il me lançait réguièrement un regard pour voir ou j'en étais. Sophie se penchait sur moi et me donnait un baiser, sans y penser je passais mes doigts sur ses seins.


Sa peau était douce et je sentais ses seins se relever, durcir, il m'embrassait. C'était un régal. Je vous garantie qu'à ce moment je ne pensai plus du tout à ma copine qui m'avait abandonné devant deux gratin de choucroute. J'avait autre chose dans la tête.


Elle glissait mes mains sur mon torse, avec douceur. Ses doigts glissaient sous ma chemise et mes tétons durcissaient à leur tour. Je l'ai laissé faire quand ses doigts ouvraient totalement ma chemise, quand ils couraient sur mon corps, quand ils ouvraient la ceinture de mon pantalon. Là j'ai compris ou elle voulait en venir …


Nan , je déconne , j'avais compris bien avant.


Mais je vous jure que j'ai rien fait pour la repousser. Elle était penchée sur moi, Eddy s'était penché sur elle il passait ses bras autour de son corps et lui caressait la poitrine, elle gémissait de plaisir.


Elle m'ouvrait totalement mon pantalon et voyant ma bite qui se relevait avec conviction, elle ne cachait pas sa satisfaction et sans aucune hésitation me la prenait dans la bouche.


C'était le pied, là je fermais les yeux et me m'abandonnait entièrement à mon plaisir. Je respirais fort, et poussais des gémissements ponctués par des petits cris de plaisir. C'était le pied, je ne vous dis pas. Mon ex ne m'avait jamais fait ça, et puis de toutes façon, mon ex, c'était devenu de l'histoire ancienne.


Je finissais par réouvrir les yeux et je pouvais voir que Eddy avait lui aussi retiré ses vêtements. Il était bien installé dans le dos de Sophie, il devait lui aussi se faire plaisir et la limait vigoureusement. En tout cas c'est l'impression qu'il donnait.


Sophie se redressait, je caressait tout son corps, mes mains suivaient le mouvement. Là j'ai remarqué que Eddy ne la pénétrait pas, je n'ai pas senti sa queue entre les cuisses de Sophie.


Elle s'est entièrement redressé, lui s'est un peu retirer, il me laissait la place. J'étais vautré sur le canapén les jambes allongées, elle me chevauchait et avec conviction me glissait en elle. C'était doux comme jamais, c'était brûlant et terriblement bon.


Eddy était un peu en retrait et c'est à ce moment que j'ai vu. Sa queue ne pendait pas, ne se redressait pas non plus. Ses couilles oui, pendaient et se balançait à chacun de ses mouvement. Mais sa queue semblait comme enfermée dans une sorte de cage. Je ne comprenais plus rien mais Sophie était tellement douce que je m'en moquais. Sur le coup je m'en moquais. Je ne réalisais pas ce que je voyais.


Sophie s'agitait sur moi, ma que entrait et ressortait, je glissais en elle. Le plaisir montait doucement en moi, elle s'agitait et je me tendais , je me retenais le plus possible. J'arrivais au moment ou le plaisir ne peut plus qu'exploser et je perdais le contrôle, mon plaisir s'exprimait et je le laissais exploser en elle.


Elle continuais à s'agiter et son plaisir aussi montait. Je la sentais vibrer dans mes bras, je la sentais trembler, elle vibrait sous l'effet du plaisir que je lui donnais. Elle me saisissait avec force, refermait ses cuisses autour de moi et je la sentais me retenir avec force. Elle jouissait à son tour, et je le ressentais. Nous partagions un plaisir intense, je la retenais avec force et nous ne formions plus qu'un.


Eddy s'était installé sur le fauteuil, il nous regardait avec un étrange sourire, il avait les jambes écartées et ses couilles s'écrasaient lourdement sur le fauteuil. Je ne comprenais pas, il avait un sourire un peu crispé.


Je retrouvais mon souffle.


  • Eh, c'est quoi ce truc là sur ta queue ? Demandais je à Eddy.

  • C'est pour faire monter le plaisir, pour découvrir un autre plaisir. Me répondait Sophie.

  • Je comprends pas !

  • Mais si je te jure, c'est une autre manière de percevoir les choses. Rajoutait-elle.


Eddy hochait la tête de haut en bas.


  • Si c'est vrai, je te jure, elle te dis pas de conneries.

  • Mais enfin là tu peux rien faire ?

  • Justement, le désir monte, et monte encore, jusqu'au moment ou je le libère et là … BA BA BOUM … Je te dis pas, c'est le pied comme jamais. Il faut le garder quelque jours, juste quelque jours. La première fois je l'ai gardé une semaine complète et je te dis pas l'orgasme que j'ai eu quand je l'ai retiré.


Je le regardais incrédule, mon regard passait des son regard à son sexe,je ne comprenait pas mais je sentais ma queue qui prenait de nouveau un peu de volume.


  • Je crois que c'est lui qui te fait cet effet. Déclarait Sophie en me regardant. Tu devrais l'enculer !


Je voyais Eddy sursauter.


  • Mais c'était pas prévu ça ! Rajoutait-il en rigolant.

  • Mais il te faut reconnaître que c'est une idée ! Concluait Sophie.


Eddy, pouffait de rire.


J'étais là vautré dans le canapé et je rigolais doucement dans ma barbe. Je n'étais pas contre cette idée .



A suivre !


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    . Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.                                         PAGE D'ACCUEIL   Mis e  à j...