Gigolo 08
Avec Serena
Serena était déchaînée, elle se lâchait et s'activait sur le pauvre François. S'il avait pu jouir de sa queue ça n'aurait pas été une situation désagréable, bien au contraire, mais voilà, c'était pas le cas.
La frustration était en son sommet, sa queue dilatée autant que possible, c'est à dire pas beaucoup j'en conviens. Et totalement incapable de se donner du plaisir de ce côté.
Serena n'en s'en inquiétait pas vraiment, elle savait comment prendre son plaisir, elle n'avait aucun scrupule à utiliser le corps de François, tout le corps de François pour y parvenir. Elle se frottait contre lui, le caressait avec les mains, l'embrassait. Il ne restait pas là à ne rien faire, lui aussi lui rendait chaque baiser, chaque caresse, chaque geste de tendresse.
Elle se relevait brusquement, faisait un large sourire, déposait un très doux baiser sur les lèvres de François qui avait de plus en plus de peine à reprendre son souffle. Lentement elle se dirigeait vers une commode au fond de la pièce, ouvrait un tiroir et revenais avec dans les mains un objet que François ne pouvait pas voir avec précision.
Elle revenait vers lui et déposait sur son ventre, François ne comprenait toujours pas. Je conviens là aussi, qu'il n'était pas futé. Et tout cela le dépassait. Il n'avait jamais utilisé de gode ceinture. Il était bien monté, bien foutu et n'en avait jamais eu besoin ! Il n'en avait jamais eu l'idée non plus.
Elle se penchait de nouveau sur le pauvre François, glissait la ceinture dans son dos, il participait, instinctivement il soulevait ses fesses, lentement elle fixait ensuite les autres ceintures, celle qui qui passait entre ses fesse, autour de ses cuisses. Il n'y croyait pas, il n'arrivait pas à réaliser ce qui se passait.
Puis toujours lentement elle vérifiait que tout était bien en place et ne bougeait pas avant de prendre position, elle s'enfilait sur le gode. Il était de belle taille, aussi gros que la bite de François.
Mais ça, lui seul pouvait le savoir. Serena ne s'inquiétait que de ce corps magnifique qui était là, totalement à sa disposition. Elle l'utilisait pour son seul plaisir. Le gode glissait en elle, il entrait et ressortait. François relevait la tête et regardait la scène avec des yeux horrifiés, il connaissait bien ce spectacle mais là il ne ressentait rien.
Enfin rien sauf le poids de Serena, sa peau, ses caresses. Mais tout ça ne faisait que l'exciter encore plus, sa queue restait sous pression, c'était une frustration, son cœur battait fort. Serena respirait fort, c'est elle qui avait imprimé le mouvement mais c'est François qui le continuait.
C'était un réflexe, il relevait son bassin avec force et se laissait retomber lourdement, Serena de cambrait, se redressait, gigotait et râlait de plaisir.
François poussait quelques râles de plaisir … Pardon, je voulais dire sans plaisir. C'est vrai que lui ne ressentait rien sinon sa frustration de devenait de plus ne plus intense, il se donnait à fond toutefois et il a bien senti le moment ou sa partenaire jouissait, ce devait être intense pour elle ! Mais pour lui, rien.
Pour lui c'était l'enfer, il ne pouvait plus retrouver son souffle et était proche de l'évanouissement, c'est en tous cas ce qu'il ressentait au moment ou Serena s'effondrait sur lu.
Ses seins s'écrasait sur la poitrine de François, elle refermait ses bras autour de son cou, lui la prenait dans ses bras et lui caressait le dos depuis les épaules jusqu'à ses fesses.
Elle ne bougeait plus, son corps devenait tout mou, elle se détendait . C'est plus tard, un long moment plus tard qu'elle se relevait, elle se retirait du gode. François relevait la tête et pouvait voir sa bite, pas la vraie bien sûr, mais une belle grosse bite qui se tenait toujours au garde à vous, celle là n'avait jamais de faiblesse.
Sa queue , sa vraie queue , il ne pouvait pas la voir, elle était plus bas confinée dans une petite cage en titane indestructible et froid, elle y prenait toute la place et ce n'était pas seulement parce que la cage était minuscule mais aussi et surtout parce qu'il bandait de toutes ses forces. Il ne voulait pas comprendre que bander pour lui était désormais impossible ou interdit et sa queue ne voulait pas le savoir non plus, encore moins.
Il passait sa main sur la ceinture que lui avait mis Serena, puis elle descendait sur sa cage, il sentait ses couilles qui retombaient lourdement juste en dessous. C'était agréable mais frustrant, tout ce qui lui faisait penser à sa bite était une source de frustration. Il ne savait même plus à ce moment depuis combien de temps il était la dedans.
Madame la comtesse lui avait posé cette cage diabolique quelques semaines plus tôt, il ne se souvenait plus combien avec précision.
Ce soir était la première fois qu'il se retrouvait avec une femme à partager son intimité, mais pouvait on encore parler d'intimité.
Serena avait disparu, elle
revenait avec une flute à champagne dans chaque main.
Bravo tu es un chef, lui dit-elle, ton corps est vraiment magnifique et ta peau est douce. Mais j'avais eu des échos.
On t'avait parlé de moi ?
Oui, lui répondait-elle en lui proposant de trinquer.
Il ne savait pas quoi dire , quoi faire. Pour une fois il n'était pas pas fier après avoir fait l'amour. Il retrouvait doucement son souffle. Sa queue continuait à le torturer mais ça c'était normal. Il lui a fallu un long moment pour décompresser, elle continuait à occuper tout le volume disponible mais se transformait peu à peu en grosse molle.
J'ai bien aimé ! Lui dit-elle. Si tu veux, tu pourrais t'installer ici, on pourrait recommencer ça plus souvent.
Il ne fallait pas bien longtemps à François pour comprendre ce qu'il pouxait en espérer. Il était cupide, comme je vous ai dit, et elle était riche, très riche.
Le lendemain, de retour chez lui, enfin chez Timi, il déménageait. Accompagné par Timi ils arrivaient chez la nouvelle copine de François. La maison était grande, une quarantaine de chambres , autant de salles de bain, piscine, plusieurs salle à manger et tout ce qu'il faut pour se sentir à l'aise.
On installait Timi dans une aile de la maison, un peu en retrait pour ne pas déranger les maîtres. Il avait la place pour se mettre à l'aise et y serait très bien. Serena et François ont décidé de faire chambre à part.
Cette idée devait surprendre Timi, surtout de la part de son patron François. Il n'était pas du genre à dormir seul s'il avait à sa disposition une très belle femme, et Serena était vraiment très belle. Mais il savait que son boss était surtout cupide, surtout attiré par l'argent.
Les jours ont passé, Serena était très généreuse, une gourmette en or, une montre de luxe, des boutons de manchette, et le veste qui va avec. Elle était encore plus riche que ne l'était la comtesse.
François s'est retrouvé avec une nouvelle garde robe, non pas qu'il en avait besoin mais ça faisait plaisir à Serena.
La nuit, les nuits qu'ils passaient ensemble était pour son plaisir à elle, elle aimait de plus en plus le corps de François. C'est vrai qu'il était musclé et avait un corps de rêve, il n'avait pas de bite en état de marcher mais ça ne la dérangeait pas vraiment, elle avait toujours le truc avec des bretelles.
Pour François, c'était une torture mais comme je vous le disais il était cupide, et tellement cupide même qu'il acceptait la situation.
Deux ou trois fois par semaine, parfois plus, Serena voulait se faire plaisir avec son nouveau jouet. Il lui coutait cher en cadeaux divers mais elle avait les moyens.
Elle le sortait régulièrement. Ils allaient au restaurant, au cinéma, en boite de nuit, dans des expositions, au casino. Enfin ils avaient une vie mondaine très active. Le nouveau couple se faisait connaître, enfin ils étaient déjà connus de la belle société locale, mais séparément. Là, désormais on les voyait toujours ensemble.
Pour le quotidien, je veux dire par la dans la journée, François ne manquait de rien, il avait une carte de crédit avec un crédit très confortable. Une jolie somme était placée en banque pour prévenir d'une rupture, un compte dont il pourrait disposer le jour éventuel de la séparation.
François dans sa situation ne souhaitait pas de séparation, il savait qu'il aurait du mal à trouver une autre femme, une femme qui l'accepterait comme il était et qui en plus serait riche.
Mieux que tout cela, Serena était en plus généreuse ! C'était pas des cochonneries qu'elle lui offrait, les brillants étaient des diamant et l'argent était du platine …
François ressortait sa voiture tous les jours, il ne s'inquiétait pas de sa consommation. C'était la grande vie !
Mais il y avait toujours cette ombre dans sa vie. Il était impuissant. Il ne pouvait pas bander, sa cage le lui interdisait formellement. Et comme tout était en état de fonctionner, il en souffrait. Et ça s'arrangeait pas avec le temps.
Quand Serena se glissait contre lui en tenant le gode ceinture dans la main, il ne pouvait pas la repousser/ et l'horrible sensation de manque se faisait sentir. Les mois passaient mais sa queue le faisait souffrir tant elle se contractait.
Oh ce n'était pas une véritable douleur, c'était plus une gêne, un manque une frustration, oui enfin c'était tout ça à la fois !
Serena ne s'en inquiétait pas, elle prenait son plaisir et ça lui suffisait. Elle savait faire, elle utilisait François sans aucun scrupule, elle l'utilisait comme un gode.
Il s'activait de son mieux pour lui faire plaisir mais son plaisir à lui ne venait pas. Il en était privé.
À quelques reprise il avait éjaculé pendant cette période, mais à chaque fois c'était sans éprouver le moindre plaisir, à chaque fois ça ne le soulageait même pas. C'était comme une fuite, ça coulait longuement, lentement pendant un long moment dans la nuit. Pas toutes les nuits, mais de temps en temps.
Il ne redoutait pas ces moments, ce n'était pas désagréable mais ça ne lui procurait aucun plaisir. Et c'était des moments de désespoir. Heureusement Serena se montrait tellement généreuse.
Il sortait alors, quand il se sentait trop stressé, il allait picoler un bon coup et ça finissait par passer.
Un soir dans le lit conjugale, enfin conjugale si j'ose dire il ne faudrait pas oublier que ces deux là n'étaient pas mariés ! Eh non, ils vivaient dans le péché!( la honte ) .
Enfin bref, on ne va pas se formaliser pour si peu !
Serena venait de donner du plaisir, plaisir qu'elle avait su prendre à son gigolo. Elle se sentait bien alors que lui se sentait mal. Mais qu'importe. Voyant ou devinant une certaines tristesse dans les yeux de son partenaire, elle eut alors une idée.
Lentement, langoureusement, elle lui retirait sa ceinture, son gode ceinture, puis lui donnait un petit plaisir en lui léchant les couilles.
La le pauvre François bandait fort mais bandait sous contrainte, c'est à dire qu'il n'y avait pas grand chose à voir.
Elle se glissait alors, dans le dispositif, refermait la ceinture sur elle et se montrait alors fière et forte, avec cette grosse bite qui se redressait contre son ventre.
François commençait à comprendre et surtout commençait à s'angoisser grave !
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
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