Ça commence au restau 02
Je bandais ferme et je ne savais pas si je devais, si je pouvais regarder Eddy ou pas. Mon regard se portait vers Sophie, elle venait s'installer à côté de moi, les jambes allongées et légèrement écartées.
Je glissait une main sur son ventre.
– Suce le ! Ordonnait-elle.
– Mais enfin ma puce ! Lui répondait alors Eddy . Moi je suis pas …
– Suce le ! Répétait-elle.
Il poussait un long soupir puis se penchait sur moi. Il semblait manquer de conviction. Il se penchait quand même sur moi, je sentais son souffle sur mon gland bien relevé.
– Suce le ! Insistait-elle.
Là il finissait enfin par se laisser aller, il ouvrait grand sa bouche et je sentais ses lèvres se refermer autour de mon sexe. Sa langue glissait sur mon gland, c'était doux, c'était chaud et je laissais ma tête retomber en arrière ne lâchant qu'un long soupir de plaisir.
Il penchait la tête encore un peu plus et ma queue glissait dans le fond de sa bouche, s'écrasant dans sa gorge. C'était divin. J'en voulais encore, encore plus.Elle appuyait sur la tête de Eddy, moi je n'osais pas. Puis je me lâchais à mon tour, et j'appuyais sur sa tête et je relevais le bassin. Il prenait tout dans la gorge, il prenait tout bien à fon.
C'était un bon, finalement c'était vraiment un bon. Il faisait ça bien, je ne sentais pas ses dents. C'était un plaisir pur, je gémissais, ce n'était que du plaisir. A mon tour je posait la main sur sa tête, a mon tour j'appuyais dessus avec force par intermittence, je me masturbais avec sa tête. Finalement c'était amusant, il résistait par moment, je le laissais alors respirer puis je recommençais.
Sophie me regardait faire, elle appréciait le spectacle.
– Je savais qu'il allait adorer ! Me dit-elle.
Eddy se faisait entendre par un ronchonnement. Il n'était peut être pas de son avis, mais on s'en moquait ! Je ne pensais plus du tout à lui demander son avis, je ne pensais plus qu'à mon plaisir .
J'étais là, vautré sur le canapé, entre mes je mes jambes Eddy avait pris position.
– C'est la première fois qu'il fait ça ? Demandais-je .
– Je ne sais pas ! Depuis que je le connais oui, avant je ne sais pas
– Et ça fait longtemps que vous vous connaissez ?
– Pas très longtemps non.
On discutait , Sophie et moi, sur le dos de notre ami Eddy ! Puis elle me donnait un coup de coude.
– On va passer à autre chose ! Déclarait-elle.
Elle écartait les jambes un peu plus.
– Maintenant Eddy, c'est mon tour !
Un peu blasé, Eddy se relevait, il avait un regard désabusé, un sourire essoufflé et se penchait sur Sophie, rapidement son visage trouvait sa place entre ses jambes.
Je voyais sa tête remuer et je devinais sa langue s'agiter. Elle penchait la tête en arrière et respirait fort. Je me disais que s'il était aussi bon avec elle qu'il l'avait été avec moi, elle devait bien s'amuser à ce moment précis. Je l'enviais presque, je regrettais déjà qu'il ne s'occupe plus de moi !
Je regardais le visage de Sophie, elle avait les yeux fermés et un légère grimace de plaisir apparaissait sur ses lèvres. Elle soupirait.
Au bout d'un moment qui me semblait une éternité elle passait ses jambes par dessus les épaules de Eddy, elle le coinçait ainsi dans une position qui était tout confort pour elle. Pour lui, comme je vous le disais on s'en moquait.
Il était à genoux les jambes écartées, je prenais du recul et depuis le fauteuil d'en face je pouvais l'admirer. Il avait un beau cul, c'était la première fois que je regardais le cul d'un homme , enfin peut être. Peut être pas finalement, mais j'avais choisi de l'oublier.
Quelques émois d'adolescent puis j'avais fait mon choix. Et comme j'avais une grosse queue, les filles … enfin je suppose que c'est pour cela, aucune n'avait jamais voulu que je la prenne par derrière.
Je bandais avec force, mes yeux passait de ma queue fièrement redressée entre mes cuisses, et son cul, je venais de jouir et je savais que je pourrais rester dans cet état pendant un bon moment encore.
Il avait un cul. Et je pouvais voir ses couilles qui pendaient lourdement entre ses cuisses. C'était amusant, il n'y avait pas de bite, elle était proprement enfermée, elle n'avait aucune liberté, ni pour prendre du volume et se redresser ni pour retomber et pendre lourdement.
– Vas y ! me lançait Sophie.
Eddy tentait de dire quelque chose mais il ne pouvait pas relever la tête et je ne comprenait pas vraiment ce qu'il racontait surtout qu'elle lui appuyait la tête entre ses cuisses.
C'est un peu hésitant que je tendais la main vers son cul. Je lui caressais les fesses, elle étaient douce, ça me surprenait presque mais j'aurais du me dire que moi aussi j'ai les fesses douces alors pourquoi pas lui.
Ma main descendait un peu plus bas et c'est amusé que je découvrais ses couilles, elle étaient fermes et bien attachées à leur base, puis je continuais la découverte, il me laissait faire. La encore pas de queue, enfin il en avait bien une mais, là encore, plus que pour ses couilles elle était attachée, totalement enfermée dans une sorte de cage.
C'était impressionnant, vraiment étonnant et ça m'excitait . Quelques heures plus tôt à peine je ne connaissais même pas l’existence de ces dispositifs et là je tripotais les couilles d'un mec qui en portait un. Je bandais de plus en plus fort.
– Et tu attends quoi ? Me lançait de nouveau Sophie !
– Mmmm, humm … tentait de dire Eddy.
Mais je préférais l'ignorer et tout en continuant à lui caresser les couilles, eh oui, j'y prenais goût, je prenais position juste derrière lui. Sophie me passait un tube de gel lubrifiant, je ne sais pas d’où elle le sortait mais elle doit être organisée.
Je le prenais et aussitôt le lubrifiais rapidement la queue puis un peu son cul. J'y glissais un doigt que j'agitais rapidement, je l'entendais gémir, Sophie aussi gémissait, mais là maintenant en me regardant dans les yeux elle faisait un large sourire .
Je me relevais alors et sans aucune hésitation enfonçait ma bite dans son cul. Il a relevé la tête avec force et à hurlé. Sophie lui attrapait la tête et la ramenait de nouveau entre ses cuisses, elle y parvenait mais il continuait à gémir et j'avais comme l'impression qu'il n'y avait pas que du plaisir. Je vous ai dit que j'en ai une grosse ?
Je lui défonçait le cul proprement , comme il convient, ma queue entrait bien à fond et mon ventre s'écrasait contre ses fesses, je ressortais, je revenais, de plus en plus vite. C'était étroit mais ça glissait bien ! Ce lubrifiant était efficace.
Je le sentais trembler, il glissait une main derrière lui, je l'écartais et le maintenais fermement avec mes deux mains. Je le tirais vers moi et ma queue glissait, je le repoussais et je ressortais. C'est quand je pénétrais qu'il criait plus fort, même si ses cris étaient étouffés par Sophie.
Elle était aux anges, son visage était rayonnant, il était efficace, elle savait choisir les hommes qui sauraient lui donner du plaisir, c'est sûr.
Je ne me retenais plus, plus rien pouvais me retenir. Mon ventre s'écrasait bruyamment contre ses fesses à chaque coup que je donnais, des claquements que les cris de Eddy accompagnaient , le pauvre il devait déguster , je ne sais pas si il aimait, si il y prenait du plaisir mais moi j'aimais bien , et je me moquais de ce qu'il en pensait. Il ne m'avait pas repoussé, alors je m'accrochais !
Quelques coups devenaient particulièrement violent, je sentais comme un plaisir monter puis je jouissais, j'éjaculais en lui avec force. C'était un feu d'artifice qui explosait autour de ma queue. Eddy sanglotait. Sophie se calmait elle avait joui elle aussi et maintenant nous étions tous les trois sur la descente, une descente d'orgasme, essoufflés comblés.
Sauf peut être Eddy, lui il continuait à râler.
– Mais ça fait un mal de chien ton trus ! Me disait-il.
– Moi j'ai bien aimé !
– Je vous jure les gars , avec une peu d’entraînement, ça ne fait plus mal du tout, bien au contraire même ! Nous disait un peu ironiquement Sophie.
– Et pourquoi ? Tu as essayé peut être ? Lui répondait Eddy sur un ton agacé !
– Non, tu es fou, mais tous mes amants me l'ont dit !
– Je te crois pas !
Je les regardais, moi j'étais content.
On s'est détendu, Eddy est passé à la salle de bain pour se rafraîchir le cul, et on a continué à parlé, on a picolé aussi, j'étais ravis.
Mes souvenirs pour la soirée était un peu confus le lendemain matin. J'avais un peu trop picolé.
En rigolant Sophie m'avait proposé un de ces dispositifs, il lui en restait un, justement, et à ma taille. En fait elle devait en avoir tout un tas, pire qu'un représentant de la PK Compgnie ( le fabricant ). J'ai fini par me rappeler, au début j'ai refusé, puis Eddy est intervenu, il le portait pour la deuxième fois et cette fois encore depuis près d'une semaine.
Je me souviens que j'ai fini par ac epter et je me souviens même que j'ai dit !
– Mais moi par contre je me ferai pas enculer !
Ils ont rigolé à ma réplique puis …
J'ai passé mes couilles dans l'anneau, je rigolais, on rigolait tous. Là je ne bandais plus du tout. J'ai pas eu de problème pour glisser ma queue dans la cage et fixer la cage sur l'anneau de fixation.
Sophie avait l’œil, une vraie représentante de la PK je vous dis. Mais c'est vrai, maintenant que j'y repense … C'en était peut être une.
J'ai une grosse bite et elle avait le dispositif à ma taille, dans son sac … Normal quoi !
Enfin on a continuer à rigoler, je me montrais, je dansais devant Sophie et Eddy, on dansait ensemble en montrant à Sophie nos dispositifs, elle a dansé avec chacun d 'entre nous puis …
Je me souviens plus du moment ou on a verrouillé ma cage. Ensuite on s'est endormi.
Je me suis réveillé, la chambre était noyée de lumière, c'était la fin de la matinée. Le valet de chambre est passé il m'a proposé un petit déjeuner, m'a expliqué que la chambre était payée pour toute la matinée et que je devrais être parti avant midi.
J'ai pas compris tout de suite. Sophie et Eddy étaient partis quelques heures plus tôt, ils ne m'avaient laissé aucun message. Leurs noms, ce n'étaient même pas leurs noms, il m'avaient seulement laissé ce dispositif diabolique, parfaitement sûr, fermé, verrouillé, mais ils ne m'avaient pas laissé la clé.
C'était il y a deux ans !
Fin
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
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