ET TOUJOURS EN ÉTÉ 06 LE GROS BALAISE

ET TOUJOURS EN ÉTÉ 06
LE GROS BALAISE



La nuit était déjà tombée quand nous arrivions à la maison. Une hombre s'approchait à cheval. C'était mon oncle Ethan, le frère de mon père qui arrivait à notre rencontre. Il prenait son fusil et tirait deux fois en l'air. 

Ethan : Alors les jeunes vous avez traîné, vos parents commençaient à s'inquiéter. 
Moi : Mais il n'y a pas de quoi, il n'est pas très tard.
Ethan : On est déjà passé à table.
Samuel : Bon on va encore manger froid nous !
Moi : Fais pas attention, il est ronchon, c'est la fatigue.
Samuel : Oui bein il ne faudra pas compter sur moi pour inspecter les cent quatre vingt dix neuf autres forêts.
Ethan : Combien tu as dit ? 
Moi : Avec celle qu'on a visité ça fait deux cent !
Samuel : Voyons tonton on a deux cent forêts pour produire du bois.
Ethan : Mais ou avez-vous vu qu'on avait deux cent forêts ? On en a vingt et c'est déjà bien … Je vois que vous avez bien appris votre leçon !

On échangeait un regard rapide mais on ne traînait pas, nous étions épuisés. Comme on s'y attendait ils avaient fait réchauffer notre repas et nous mangions chaud. On nous avait installé dans un coin sous la pergola, on prenait notre temps, on se détendait. 

Ensuite on montait dans notre chambre. Arrivé dans les escalier Samuel me lançait '' Je prends la baignoire en premier ! ''. Là c'était la course, on fonçait chacun dans notre chambre, elles ouvrent toutes les deux sur notre salle de bain et on y arrivait en même temps. Là on ne bougeait, j'étais un peu surpris.

Moi : Béh ! Il y a deux baignoires maintenant ?
Samuel : Tu avais oublié j'en étais sûr, C'est pour qu'on puisse se détendre dans un bon bain en rentrant, sans être obligé d'attendre notre tour … Ils nous l'avaient dit l'autre jour.
Moi : Ah !

Quelques instants plus tard on trempait, tous les deux détendus, épuisés mais enfin détendus. Ce soir là je ne bandais pas, pourtant il m'avait bien frustré mon cousin dans le bois. Mais j'étais tellement fatigué.

Encore quelques instants plus tard il n'y avait plus un bruit dans la salle de bain sinon celui que faisaient deux jeunes hommes épuisés qui ronflaient. L'eau refroidissait et on finissait par se réveiller avant de terminer notre nuit dans notre lit.

Le matin quelquefois il nous fallait un peu de temps pour nous déplier, les heures passées sur la selle se faisaient sentir. Ce jour là nous avions quelques courses à faire en ville, ce serait un journée plus tranquille. On se permettait de traîner un peu au lit. 

En me levant je m'étirait sur la terrasse quand je l'ai vu, le mec balaise de l'autre nuit, vous savez … ? Il était là, devant la maison, il déchargeait un chariot de marchandise. Torse nue, il était comme dans mon souvenir, tout en muscle. En plein jour, il était encore plus beau, comme un dieux. Un long moment je le regardais, je l'admirais. Ses muscles se contractaient à chacun de ses mouvements. Il soulevait un sac et c'était tous les muscles de son dos, de son torse, de ses bras qui se contractaient les une après les autres dans un mouvement harmonieux et impressionnant.

Un instant je m'imaginais dans ses bras comme l'autre petit jeune l'autre soir, et là, rien que d'y penser, j'avais mal au cul.

Je me précipitais dans la chambre de Samuel et le secouais par le bras.

Moi : Il est là, il est là, je l'ai vu, je te dis pas, viens voir, viens voir, viens voir !

Samuel se détendait lentement, se dépliait, ronchonnait un moment. Je ne comprenais pas tout ce qu'il me disait.

Il finissait par se lever et se dirigeait vers la terrasse …

Moi : Mais tu es à poil, vas pas sur la terrasse comme ça tu vas te faire allumer par tes parents là.

Il réagissait à temps repartait vers son lit, s'asseyait sur son lit, basculait la tête sur l'oreiller et se rendormait. Je le réveillais de nouveau, j'étais tout excité et déjà je bandais. La vue des muscles du mec m'avaient bien réveillé. 

Finalement Samuel arrivait sur la terrasse, il avait mis un pantalon.

Samuel : Alors il est ou le mec balaise ?

Il n'y avait plus personne, plus de chariot à décharger, plus rien …

Samuel : Et c'est pour ça que tu m'as réveillé !

On descendait peu après pour le petit déjeuner. Tous les hommes de la familles étaient partis au champs, nous comme je vous le disais on avait une autre mission. On prenait le temps de prendre notre petit déjeuner, on en profitait pour une fois qu'on pouvait …

Je voyais Samuel s'immobiliser, le visage penché en avant, la tasse de café devant son nez, la bouche ouverte, les yeux relevés. Il avait l'air con, j'avais envie de rigoler.

Samuel : Tu avais raison, il est là.

Je me retournais, c'est le mec balaise de l'autre nuit. Il se présentait à notre table …

Lui : Monsieur Jonathan, Monsieur Samuel. On m'a dit de me présenter à vous, c'est moi qui vais vous accompagner à la ville …

Je me retrouvais dans le même état que mon cousin, la bouche ouverte … Ma queue qui s'était fait oubliée depuis plus d'une demie heure se réveillait et je la sentais s'alourdir, elle ne se relevait pas, je l'avais bien dressée, elle prenait du volume et s'alourdissait. Mes couilles se contractaient comme pour se cacher tout contre mes cuisses et laisser de la place pour la grosse nouille. C'était une sensation de bien être plus qu'une simple sensation de plaisir.

Samuel réagissait en premier et me donnait un tape sur la tête. Je sursautais et refermais la bouche. 

Samuel : C'est très bien, le chariot est prêt ? Tu es prêt ? ( le gars acquiesçait de la tête ) Bien tu vas nous attendre, on ne devrait pas tarder.

Pendant ce temps je contemplait, j'admirais le corps magnifique de ce géant. Il avait des muscles partout mais n'était pas difforme pour autant. Il portait un gilet de corps gris sans manches, un pantalon large et des sandales. Je  m'attardais plus longuement sur le pantalon en me demandant s'il portait un sous vêtement, c'était peu probable et j'espérais voir une bosse, ou un truc massif se balancer sous le tissus. 

Que dalle !

Samuel : Mais tu fais quoi là toi ? … Il est grand temps qu'on te marie toi ! Tu veux pas lui sauter dessus tout de même ?
Moi : Mais j'ai rien fait, je le regarde c'est tout. Non mais tu as vu comment il est foutu ?
Samuel : Essaye de pense à Sarah …
Moi : Mais j'ai rien fait moi. Je crois que je vais bander !
Mamata : Mais ça c'est normal à votre âge Mr Jonathan, mais vous croyez vraiment que c'est le moment et l'endroit ?

Elle était juste derrière moi, on ne l'avait pas entendu arriver. Samuel était plié de rire, je ne savais plus quoi dire, je ne savais plus quoi faire, j'étais tout rouge de confusion !

Et là d'un coup, je vous le garantis, je ne bandais plus du tout !

On partait quelques instants plus tard. Samuel continuait à rigoler, il n'arrivait pas à se calmer, j'étais assis à côté de lui à l'avant. Tout à l'arrière du chariot le gros balaise s'était installé pour la route. Avec le bruit des roues sur le sol il ne pouvait pas nous entendre.

Pendant tout le chemin, on discutait, de temps en temps je me retournais et Samuel me demandait alors … '' Il est toujours là, il n'a pas bougé ? Il est toujours aussi sexy ? '' … Je lui répondait en râlant, à la fin ça devenait fatiguant. C'est qu'il est agaçant mon cousin quand il veut.

Quand il me regardait il pouffait de rire, il parait que je gardait sur le visage un sourire parfaitement idiot qui ne me donnait pas un air futé à en croire mon cousin. 

Le midi, on faisait une pause pour manger. On laissait le gars tout préparer. 

Samuel : Dis moi Sekou, il y a longtemps que tu travailles dans notre plantation. 
Sekou : Monsieur Benjamin m'a acheté il y a trois ans Monsieur Samuel.

Mr Benjamin c'est notre grand père.

Samuel : Et tu te plaît chez nous ?
Sekou : Ici je suis mieux traité que là ou j'étais avant Monsieur Samuel.

Je les écoutais, je ne savais pas quoi dire, je sentais une grosse molle qui s'était installée entre mes cuisses. C'était agréable et je devais rester en éveil en permanence pour éviter qu'elle ne se réveille vraiment. Il parait que c'est mieux de porter des sous vêtements mais je sais pas … Je trouve que ça gratte … Et puis avec la chaleur … Sans, ça laisse circuler l'air … C'est mieux … 

Et puis de toutes façons j'en ai jamais porté alors ! ...

Le soir Sekou faisait un feu et préparait le repas pendant que nous nous promenions un peu plus loin, il y avait la rivière qui coulait en contrebas, c'était cette même rivière qui passait tout prêt de notre maison, mais à une journée de route.

Sans se concerter on s'est précipité vers la rivière en courant et en riant, on se débarrassait de nos vêtements et on plongeait. Ça faisait un bien fou, ma queue avait fini par se transformer en petit dure … Il y a les grosse dure, tout le monde connaît, les petites molle, mais les petites dures c'est spécial. En fait c'est un peu comme si je bandais mais comme je me contrôlait, l'érection restait contenue, c'était rigolo je la caressais doucement et sans attendre ma petite nouilles devenait une grosse dure et voyant Samuel qui bandait tranquillement juste devant moi, ma queue se redressait de toute sa taille. Samuel me souriait et s'approchait de moi. 

Ça faisait un petit moment que nous n'avions pas partagé un peu d'intimité. Il s'accroupissait devant moi et me suçait sans me prévenir ni me demander mon avis. Je luis caressais les joues puis les cheveux au moment ou son visage s'écrasait contre mon ventre. 

Depuis la fois ou je lui avait glissé un doigt dans le cul, nous n'avions pas reparlé de ces pratiques. Samuel avait bien aimé pourtant mais moi ça me faisait peur. Ça me faisait fantasmer mais ça me faisait peur. J'avais envie d'essayer mais j'avais peur d'essayer. 

Même juste un doigt !

Je balançais des coups de bassin et Samuel me répondait par des sons gutturaux. D'une main il me retenait mais juste assez pour ne pas m'arrêter. Juste assez pour me retenir un peu. Un moment je plaçais mes deux mains sur le dos de sa tête et le tirait fermement vers moi tout en lui balançant de violents coups de bassin. Là je le sentais se contracter et me repousser des deux mains.

Samuel : Mais vas y doucement, tu vas m'étouffer.

Agacé il se relevait, me prenait dans ses bras, m'embrassait et appuyait sur mon épaule pour me faire comprendre que c'était mon tour, à moi de m'y coller. Je ne résistais pas. J'avalais sa bite sur toute sa longueur. 

J'imaginais que c'était le gros balaise qui était en face de moi. Je savais que sa queue à lui était bien plus grosse et qu'elle n'aurait pas passé aussi facilement mais j'imaginais que c'était lui. Je me déboîtais la mâchoire pour bien recevoir cette queue énorme, je me concentrais sur ma respiration pour bien la prendre jusqu'au fond de ma gorge …

Samuel : Tu t'améliores de jours en jours toi ! Tu ne m'as jamais sucé aussi bien.

Ça m'encourageait, je continuais de bon cœur, je m'imaginais qu'après il me demanderait de me retourner, de me pencher en avant et qu'ensuite il me défoncerait le cul. Et là j'avais peur, j'en mourais d'envie mais j'avais vraiment la trouille. Surtout que c'était pas à Samuel que je pensais, c'était pas Samuel que je voyais me défoncer le cul … C'était, enfin vous avez deviné ! … 

C'était le gros balaise qui préparait le repas un peu plus haut. Je me concentrais sur la queue de Samuel, je la suçait sur toute sa longueur, je la caressais quand elle ressortait de ma bouche. Je glissait ma langue sur son gland, il gémissait de plaisir. Sans prévenir il me faisait le coup que je lui avait fait, il appuyait brusquement sur ma tête et balançait le bassin en avant. 

Sa queue s'écrasait avec force dans ma gorge, j'étais saisi, je n'arrivait même plus à réagir. J'avais mes mains sur les côtés de ses cuisses et je les crispais mais je ne le repoussais pas. Voyant cela il recommençait, un peu plus vite, un peu plus fort. Je bavais, je respirais comme je pouvais mais je tenais le coup. Il continuais, j'encaissais. J'imaginais que c'était le balaise qui me défonçait la bouche et je prenais ça comme un entraînement.

Il se retirait.

Samuel : Et bien tu étais en manque là ou quoi ? 

Puis sans prévenir il y revenait. Je me masturbais en même temps que lui utilisait ma bouche sans se retenir. Au moment ou je jouissais je passais une main sur ses fesses et je le tirais vers moi, sa queue s'enfonçait alors bien à fond, encore une fois et quand elle en ressortait il jutais dans ma gorge, puis dans ma bouche et pour finir sur ma figure.

Il y a des fois ou je me demande s'il ne le fait pas exprès. J'éjaculais abondamment, depuis le matin, j'avais retenu mes érections, toute la journée je m'étais controlé. Et avec le gros balaise je vous jure il fallait vraiment le vouloir.

C'est pas facile tous les jours je vous jure !

On repartais vers la rivière pour se rincer, moi surtout, je plongeais et quand je revenais à la surface, j'entendais la voix de Sekou qui nous appelait.

Sekou : Monsieur Samuel, Monsieur Jonathan, c'est prêt. Si vous voulez bien.

On se séchait en revenant au feu, on était à poil, mais il faisait chaud. Sekou gardait les yeux au sol. Il avait pourtant vu des mecs à poil plus d'une fois. Il avait prévu deux assiettes seulement, et se plaçait en retrait pour attendre qu'on ait mangé avant de pouvoir manger nos restes.

Samuel prenait une troisième assiette, et les replissait toutes les trois, il en tendait une à Sekou qui semblait surpris mais la prenait en remerciant mon cousin de la tête. 

Après le repas notre compagnon demandait à mon cousin s'il pouvait aller faire la vaisselle à la rivière, en même temps il lui demandait s'il pouvait en profiter pour prendre un bain.

On était surpris, c'est moi le plus âgé et le matin, c'est vers moi qu'il était venu en premier, ça c'était normal. Mais là il s'adressait en premier à mon cousin, c'est vrai que en sa présence je n'avais pas réussi à ouvrir la bouche et à décrocher un mot de toute la journée …

J’attrapais mon cousin par le bras et je lui criait ( tout bas ) dans l'oreille … : '' Il va aller se baigner, il va aller se baigner !''

Samuel écartait la tête et se grattait l'oreille avant de me répondre dans  un grand soupir … : '' Et tu veux le voir à poil je suppose ? ''. Sans prendre le temps de lui réponde je partais tranquillement vers la rivière, l'air de rien, en regardant en l'air, à droite, à gauche … Les mains dans les poches … Enfin, dans les poches, j'étais toujours à poil ...



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