ET TOUJOURS EN ÉTÉ 05 JUSTE UN DOIGT

ET TOUJOURS EN ÉTÉ 05
JUSTE UN DOIGT



Je n'ai pas très bien dormi cette nuit là. Dans mon lit je me suis tourné, retourné encore et encore. Je me suis réveillé plusieurs fois, à chaque fois je bandais comme un fou. Je me suis masturbé plus de quatre fois dans la nuit et le matin quand je me réveillais … Je bandais encore !

Je retrouvais Samuel dans notre salle de bain, il me racontait, il avait lui aussi passé une nuit mouvementée. Et il bandait aussi. 

Rapidement on a essayé de se calmé, on s'est fait un petit duel, celui qui jute le premier … On s'est masturbé, l'un en face de l'autre et je ne sais même plus qui a gagné. Enfin on était à peu près calmé. Et une fois habillé je retrouvais mon sels contrôle, et une moyenne grosse molle qui se balançait dans mon pantalon, mes couilles la suivaient en roulant contre mes cuisses. 

Tout était rentré dans l'ordre !

On retrouvait la famille pour le petit déjeuner, chacun avait sa place, on parlait de l'emploi du temps. Avec Samuel nous partagions le travail des contremaîtres. C'était normal, nous étions la nouvelle génération, les prochains maîtres … Un serviteur apportait à Samuel, son couteau, sa montre et quelques objets personnels qui étaient dans sa veste la veille. Les vêtements que nous avions laissé la veille au soir sur le bord de la rivière.

Trouvés par on ne sait pas qui, les vêtements étaient tout simplement passés à la lessive et les objets personnels retrouvaient leur propriétaire. Personne ne posait de questions.

Pendant le reste de la journée on traversait la propriété dans un sens puis dans l'autre, on s'assurait que le travail avançait comme il fallait et régulièrement on se retrouvaient …

Moi : Moi je te dis que ça doit faire super mal !
Samuel : Il n'avait pas l'air d'avoir mal le petit hier soir !

Encore quelques courses au travers de la propriété …

Samuel : Je te dis qu'il jouissait le mec.
Moi : Lequel le petit ou le grand, le grand je veux bien te croire, mais le petit ?

On retrouvait, le reste de l'équipe, nous étions tous parent, un lien de parenté plus ou moins éloignés. Le maître de la maison était notre grand père, il avait deux filles, ma mère et celle de Samuel. Leurs maris nos pères n'hériteraient pas, ça c'était pour nous … Mais pour le moment nous apprenions le boulot !

Nous prenions tous ensemble notre repas, dans la campagne, une petite cousine venait nous apporter le repas. C'était comme un pique nique, c'était tous les jours comme ça. Le matin chevauchée dans la campagne, le midi pique nique, l'après midi chevauchée dans la campagne et le soir retour à la maison. Foyer doux foyer, douceur d'une maison qui nous attendait, gentillesse de serviteurs qui nous étaient totalement dévoués. La voix tendre des femmes, un bon repas préparé avec talent, un bon bain, on traînerait ensuite un moment sous la pergola puis un lit propre et douillet nous attendait.

Mais en attendant, pendant le pique nique !

Mon oncle : Jonathan dis moi, cet après midi tu pourrais inspecter le champ ou nous avons planté des arbres l'an dernier tout au nord ?
Moi : Bien mon oncle !
Mon oncle : Il faudrait quelqu'un pour t'accompagner et …
Samuel : Moi papa, je suis volontaire !
Mon oncle : Ça m'aurait étonner ça !
On prenait donc la route vers cette partie de la propriété, une prairie dans laquelle nous avions planté les arbres, on ne tardait pas il fallait plus de deux heures pour faire le route, et si on y restait une heure il ne faudrait pas traîner pour revenir avant la nuit. 

Samuel : Tu sais qu'il y a plus de deux cent forêts que nous exploitons …
Moi : Tu sais qu'il faut deux cent ans pour faire pousser un arbre …
Samuel : Tu sais que nous replantons une forêt tous les ans …
Moi : Les arbres qui seront coupés dans deux cent ans …

On pouffait de rire !

Samuel : Je crois qu'on a bien appris notre leçon …
Moi : Il n'empêche que moi je te dis que ça doit faire super mal !
Samuel : Bon c'est vrai que le mec avait une grosse bite, vraiment grosse.

Je revoyais dans ma tête les images de la veille. Et ce souvenir réveillait ma queue qui était restée calme jusqu'à ce moment. A nouveau mon attention se focalisait sur mes couilles qui roulaient entre l'étoffe de mon pantalon et mes cuisse, balancées par les mouvements et les frottements contre la selle. Ma queue se réveillait doucement et rapidement une bosse apparaissait et soulevait le tissus. 

Voyant ça Samuel rigolait. 

Samuel : Tu me sembles en forme toi aujourd'hui.
Moi : Depuis hier soir ça n'arrête pas !
Samuel : Ils nous ont bien chauffé la cervelle les deux gars hier soir.
Moi : Ça ne te fait rien à toi ?

Je jetais un œil, on voyait clairement sa queue se relever de toutes ses forces, c'était encore pire que pour moi.

Samuel : A moi ? Non rien du tout, ça ne m'excite pas du tout cette histoire.

Il relevait fièrement la tête avec ce sourire sur les lèvres, celui des mauvais coups. Je pouffais de rire, il éclatait de rire lui aussi …

Nous avions traîné un peu et nous arrivions en retard sur l'horaire. On se dépêchait d'examiner les pousses, quelque semaines plus tôt la zone était sensée avoir été nettoyée. Rapidement on pouvait constater que le travail avait été fait sérieusement. Il ne nous fallait pas une heure pour bien examiner la parcelle qui pourtant était de belle taille. 

Samuel : Regarde comment ces petits arbres sont beaux et bien droits.
Moi : Tu crois qu'avec une bite moins grosse ça fait moins mal !
Samuel : La bas ils sont bien aussi, il n'y a pas de dégâts tu tout, ils vont être content à la maison. 
Moi : C'est vrai qu'elle était vraiment grosse. 
Samuel : Ils en sont ou en ce moment pour ce qui est des coupes de bois ?
Moi : On pourrait essayer avec un doigt d'abord. 
Samuel : Mais de quoi tu parles ?

Je me plantais juste devant lui.

Moi : Mais tu as vu dans quel état je suis là moi, et c'est comme ça depuis hier soir !

Lui avait retrouvé sa tranquillité. Mais à me voir comme ça, ça ne durait pas. Je voyais la bosse grossir dans son pantalon. 

On se retrouvait sous les arbres, dans une partie qui n'avait pas été coupé.

Samuel me plaquait contre un arbre, s'appuyait contre moi, me prenait dans ses bras et m'embrassait avec passion.

Je vous jure que je ne me suis pas défendu !

J'ai refermé mes bras autour de lui, je glissais mes mains sous sa chemise, en quelques secondes il était torse nue, je ne tardais pas à me retrouver torse nue également. Nos torses se caressaient l'un l'autre, ses mains se faufilaient sur  mes fesses, puis sur mes fesses mais dans mon pantalon. J'ouvrais alors mon pantalon qui tombait sur mes chevilles, il se mettait à genoux et me suçait la queue.  Ça nous le pratiquions depuis quelques temps maintenant !

Je lui caressait les cheveux et les images de la veilles me revenaient. Je sentais la langue de Samuel qui me caressait le gland. Je revoyais ce jeune homme la veille qui prenait dans la gorge une bite énorme. Je me demandais comment il faisait, Samuel a une queue plus modeste. Tout comme moi !

Je frissonnais quand je sentais le nez de Samuel qui s'écrasait contre mon ventre, c'était bon. Il me caressait les cuisses et me tripotait les couilles. Je posais une main derrière sa tête et un coup de bassin m'échappait, il avait alors un réflexe de recul mais il continuait. 

Je lui caressait les joues, je passais mes pouces sur ses yeux fermés, sans appuyer ça fait mal mais avec beaucoup de douceur. Il fallait que le retienne, il accélérait ses mouvements et quand je baissais les yeux je voyais ma queue entrer et sortir avec fluidité dans sa bouche.

Sa langue caressait ma queue sur toute la longueur, et ce que je sentais au bout de ma bite c'était je ne sais pas trop, sa glotte, sa gorge … C'était doux terriblement doux et humide, c'était bon !

Quand il se relevais je sentais son corps glisser contre le mien, j'avais les yeux fermés et à mon tour je lui ouvrais le pantalon. Sa queue se relevait avec force, je me mettais à genoux et la prenais dans la bouche.

Je l'entendais gémir fort, il gémit toujours plus fort que moi l'animal. On a toujours l'impression qu'il jouit plus fort que moi, en pensant à ça j'avais envie de rire mais j'étais trop occupé.

C'est vrai ça, sucer un mec avec application c'est un truc sérieux ! Essayez si vous me croyez pas !

Au début je m'étais vu en position de force, un moment je m'étais imaginé le retourner et lui enfoncer ma queue dans le cul comme je l'avais vu faire la veille. Mais maintenant je me régalait à l'idée d'être en position de vide couille. 

Je m'imaginais penché en avant, me cramponnant à une branche, je l'imaginais s'approcher derrière moi, sa queue appuyait alors contre mon cul qui résistait, il poussait, je résistais, il poussait plus fort et je finissait par lâcher et là je ne sais pas si ça faisait mal ou pas mais j'imaginais un plaisir un orgasme … 

Samuel : C'est la première fois que tu me caresses le cul comme ça !

Ce commentaire me faisait sursauter, sans même m'en rendre compte ma main avait glissé sur ses fesses puis entre ses fesses.

Moi : Je te fais mal ?
Samuel : Non pour le moment ça va !
Moi : Je continue ?
Samuel : Oui mais juste un doigt !
Moi : Comme pour le whisky !

Il rigolait. Je continuais, je prenais à nouveau sa queue dans ma bouche, d'une main je lui massais les couilles et l'autre, juste avec un doigt, je lui massais son petit trou du cul. Avec un mouvement circulaire je le massait. Il gémissait de plus en plus fort. 

Je relevais la tête et le regardais, il avait les épaules appuyées sur un arbre et faisait une véritable grimace, je devinais qu'il devait apprécier ce que je faisais.  J'appuyais avec un peu plus de force et mon doigt semblait s'introduire. Oh à peine, on manquait d'expérience à cette époque et je m'y prenais à sec. Il poussait un cri de plaisir !

Je poussais encore un peu plus et c'est un nouveau râle de plaisir qui lui échappait, je prenait alors une giclée de sperme dans la figure. J'écartais la tête mais une deuxième giclée lui échappais, partait dans une autre direction et je la prenait dans le nez. Par réflexe je fermais les yeux, une troisième suivait dans l’œil …

Samuel : Wouah ! Je ne l'avait pas vu venir ça !
Moi : Moi non plus !

Il respirait fort, ne bougeait pas, retrouvait le sourire.

Moi : Alors ?
Samuel : Même pas mal .
Moi : C'est bien l'impression que j'ai eu. 

Je m'essuyais le visage. Il rigolait.

Samuel : C'était génial, au début ça m'a fait un peu mal, hier il a lubrifié le gars, pas toi. Mais ensuite à un moment je ne sais pas ce qui s'est passé mais … Brusquement sans prévenir j'ai joui. D'un coup, comme ça … C'était super bon …

Je me relevais, je bandais toujours mais je sentais que pour lui la tension sexuelle s’effondrait. 

Samuel : A part ça, pour toi ? C'était cool ?

Je lui lançais un regard, celui de mes mauvais jours. Il riait se penchait vers moi et me donnais un baiser sur le cou. Puis se ressaisissait.

Samuel : Non tu as vu le soleil, qu'elle heure est-il ?

Il était tard, là nous étions clairement en retard. Il remontait son pantalon enfilait sa chemise, sa verste. Je le regardais et me sentais comment dire … Frustré …

Samuel : Il faut se dépêcher si on veut arriver avant la nuit !

Il est marrant mon cousin, c'est pas le première fois qu'il me fait le coup. Il était tout habillé et arrivait à son cheval, il se retournait vers moi, je n'avais pas bougé, j'avais toujours le pantalon sur les chevilles et je bandais toujours bien ferme.

Il pouffait de rire. 

Samuel : Bon allez pas de caprice, on se rhabille et on monte sur son cheval. Il faut se dépêcher et moi j'ai pas envie de manger froid.
Moi : De toutes façons tu sais très bien qu'il feront réchauffer.

Je m'exécutais en grommelant, j'avais pas pris mon plaisir moi et je bandais depuis le matin, en tous cas c'est l'impression que j'avais !



N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast

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