PHILIPPE EP 34 : REPÉRÉ

PHILIPPE
EP 34 : REPÉRÉ

 
Finalement l'hiver commençait bien. Il y avait les soirées coquines dans les dortoirs, vous savez ces fameuses soirées chez Peter. Il y avait ces soirées en boite le week-end. Ça me faisait supporter la frustration de ne pas pouvoir enculer Luidji comme je l'aurais voulu.

Mais un soir que je passais à la maison …

– Ça va mon petit Philippe ? On me dit que tu deviens plus sérieux à ton école ! Me demandait mon père sur un ton très gentil.
– Euh ! Oui ! Ça va !

D’instinct je prenais un air méfiant !

– Tu t'amuses bien le week-end ? Tout se passe bien ? Continuait-il.
– Euh ! Oui ! Ça va !

Pendant tout le repas il était charmant, il s'inquiétait de ma santé et de mes occupations. Vers la fin du repas je me demandais ce que j'avais bien pu faire de travers. Il m'inquiétait là et je me demandais s'il n'avait pas une maladie incurable. Bein oui franchement, mon père était brusquement charmant, on pouvait se poser des questions … !

Il me parlait de mon permis de conduire … Pour ceux qui n'auraient pas tout suivi, j'allais avoir dix huit ans … Il m'autorisait à m'inscrire. Je m'attendais au pire ! Il rajoutait même …

– Pour tes dix huit ans je pense même que je vais t'offrir une voiture. Continuait-il.

Mes couverts m'en tombaient des mains, j'avais plus faim …

– Papa tu vas pas mourir ? Lui demandais-je sur un ton qui exprimait déjà de la panique.

Il m'agace, j'ai du mal à le supporter quelquefois mais c'est mon père et je l'aime. Il relevais la tête, ma mère le regardait. J'avais donc bien deviné, j'allais fondre en larmes.

– Non tout va bien mon fils ! Je ne vais pas mourir, enfin un jour oui comme tout le monde mais pour l'instant c'est pas au programme !
– C'est maman alors … ? ( avec un sanglot dans la voie )
– Non mon chéri, ce n'est pas prévu pour moi non plus, je ne vais pas mourir … Rajoutait ma mère
– Papy ? Tonton Luc ? Tonton Bob ? … Ils sont peut être déjà morts et tu attendais le désert pour me le dire … Le majordome ? le chien ? ...

Là je paniquais. Mais c'est vrai quoi, mon père était adorable avec moi, attentionné et il parlait de me faire un cadeau … A ma place vous auriez paniqué aussi …

– Philippe ! Reprenait mon père. Personne ne va mourir et nous n'avons pas de chien ! 
– C'est vrai ça, j'avais oublié ! Tu me rassures là papa !

Je recommençais à manger. Mon père poussait un long soupir. Je ne disais plus rien mais je me posais des questions dans ma tête.

Après le repas je remontais dans ma chambre mais rongé d'inquiétude je gardais une oreille dans les escaliers et là j'entendais mon père qui parlait avec ma mère.

– Tu sais que ça m'inquiète de plus en plus ma chérie mais il faudra se résinier, ton fils est à moitié idiot ! Disait mon père.
– Comment ça MON fils ! Rectifiait ma mère.

Ma mère prenait ma défense et remplaçait le '' Ton fils '' par '' Notre fils '' …

– Mais il y a pire … Ses sorties, ses fréquentations … Je craint que ton fils, pardon … notre fils …  n'ait les même déviances que ses deux oncles et ça ne peut pas venir de moi !
– Je te rappelle que ses deux oncles, comme tu dis, ce sont avant tout tes deux oncles. En aucun cas il ne sont une branche de Ma famille ! Rectifiait de nouveau ma mère.

Là je devenais tout pâle. Merde j'étais repéré, mon père savait que j'étais attiré par les garçons. Il fallait faire quelque chose !

Dans un premier temps, sans rien dire à personne, je paniquais ! 

C'était un bon début ! Si jamais il avait confirmation de ses doutes, il risquait de … Ou de … Enfin je n'avais pas la moindre idée de ce qui allait faire mais j'étais sûr qu'il le ferait … Et pire encore même … Et en plus il risquait de me faire porter un dispositif de chasteté PK et comme je l'ai déjà dit … Ça JA – MÉ !

Ne faites pas gaffe si il y a une légère incohérence dans le paragraphe précédent mais c'est l'effet panique !

Pendant les semaines qui suivaient je ne sortais plus le week-end. Je ne fréquentait plus les soirées de Peter. Je ne regardais plus le cul de mon colocataire et là je ne  vous cache pas que c'était pas des plus facile. Je peux le voir tous les soirs quand il dort. Peu à peu une idée germait dans ma tête, n'oublions pas que je suis plus futé que j'en ai l'air. Au mieux j'arriverais à me faire dispenser de porter un dispositif PK, au pire j'arriverais à me faire dispenser de porter un dispositif PK … 

Je ne sais pas si je suis clair là ? … Pas sûr !

Tout se passait bien jusqu'aux vacances suivantes, j'avais mes dix huit ans à ce moment là. J'avais réussi mon permis de conduire et on m'offrait une superbe voiture décapotable blanche. 

J'en menais pas large !

Le jour même je demandais si je pouvais passer mes vacances chez mes deux oncles. 

– Mais c'est une très bonne idée, on ne les voit presque jamais, il faudra leur dire de venir plus souvent … Me répondait mon père sur un ton joyeux !

Il les déteste et les méprise. Il me préparait un sale plan ! Il n'y avait plus de doute sur ce point ! Je priais que mon plan fonctionne, je croisais les doigts !

Arrivé chez mes oncles, je me sentais un peu mieux, pas vraiment rassuré mais je me sentais mieux. Je demandais à Alex de passer me voir dans ma chambre le soir même.

Alex me retrouvais dans ma chambre, il avait apporté du chocolat chaud … Il est mignon Alex et il sait me consoler. Me voyant très inquiet il ne me posait pas de questions mais me faisait un câlin. J'étais en manque, ça faisait plusieurs semaines que je n'avais pas touché à un mec. Je n'osais plus … 

Alex me serrait dans ses bras, ici je savais que personne ne nous dérangerais, je me laissais aller. C'était la première fois depuis que j'avais entendu la discussion entre mon père et ma mère.

Les baisers d'Alex étaient chauds, ils me réconfortaient. Il ne m'avait pas encore retiré sa chemise que déjà je me sentais mieux. C'est moi qui lui retirais la chemise en premier. La dernière fois que je l'avais tenu dans mes bras c'était l'été précédent à la villa. Son bronzage avait disparu depuis un moment mais sa peau était toujours aussi douce. 

Je l'embrassais sur les tétons, puis dans le cou, puis sur les tétons, puis … rapidement il me déshabillait, et me couvrait de baisers. C'était pas la première fois avec lui mais c'était toujours très agréable. Ses lèvres étaient douces, ses caresses étaient tendres sur mon visage ou sur mon corps. Mon pantalon tombait sur le sol. Je ne l'avais pas veu venir, je bandais, il se mettait à genoux et me suçait ma queue sans plus de formalité.

Je lui caressais les cheveux et appuyais doucement sur sa tête. Il avalait rapidement ma queue jusqu'à la gorge, c'était doux, c'était chaud, c'était humide et sa langue me caressait le gland avec une extrême douceur. Je sentais le fond de sa gorge qui appuyait sur le bout de ma queue et me donnait un grand plaisir.

Au bout d'un moment je me tortillais, j'avais envie de lui sucer la queue moi aussi. Il se relevait, j'avais encore le pantalon sur les chevilles, il se relevait face à moi, contre moi, tout contre moi... Il se penchait vers moi, me donnait un baiser, j'en profitais pour ouvrir son pantalon qui tombait à son tour sur ses chevilles.

C'était la première fois que je le revoyais nu depuis les dernière grandes vacances. Je me mettais à genoux à mon tour et lui rendais le plaisir qu'il m'avait donné. Sa queue se relevait et je la prenais dans la bouche. Je la suçais avec plaisir. Il me guidait avec deux mains et me caressait les cheveux, il appuyait très doucement sur ma tête.

On échangeait plusieurs fois de suite la position et il finissait pas me faire tomber sur lit en rigolant et par se laisser tomber sur moi. On roulait l'un sur l'autre, il me suçait la queue en position pour que je suce la sienne en même temps. 

C'était agréable et un moment j'oubliais tous mes soucis. J'oubliais mon père qui avait deviné que j'étais gay, lui qui était homophobe et qui méprisait mes deux oncles à cause de ça.

On se retrouvait dans une autre position, il me chatouillait le dos avec ses lèvres, sa langue. Il me mordillait les épaules doucement, je frissonnais, ça chatouille et je sentais ma queue se durcir un peu plus à chaque fois. Ensuite c'est avec son nez qu'il me chatouillait, il descendait vers le creux de mes reins, il me faisait rire et je frissonnais.

Je me retournais, mon corps glissait sur le sien et son corps glissait sur le mien. Nos bras, nos jambes se mélangeaient. C'était  bizarre tout ça, avec Alex ce soir je ne me sentais pas du tout romantique … Je m'exprime mal, il faut dire que j'ai une vision très particulière du romantisme. C'est simple, une bonne dose de lubrifiant, je pousse et … Pan dans l'cul !

C'est ça ma perception particulière du romantisme … Ça doit être ça !

En attendant avec Alex ce soir là, c'était avant tout douceur et câlins. J'étais allongé sur le ventre, il était allongé sur le dos, enfin mon dos, sur son ventre … Ouai c'était dans ce sens. Il me glissait alors dans l'oreille : '' Je vais te prendre ? ''. Puis il ne bougeait plus il me regardais, son menton posé sur mon épaule. 

– Béh alors, tu ne dis rien ? Demandait Alex.
– Qu'est ce que tu veux que je dise ?
– Je te demande si tu veux que je te prenne …
– Ah ! C'était une question ?

Il poussait un grand soupir, se relevait et me massait les fesses avec intensité. Rapidement il insistait sur mon petit trou du cul. Doucement il y glissait un doigt, puis deux. Puis il me massait la prostate et déjà je sentais le plaisir monter en moi.

Il est vrai que je m'était abstenu pendant plusieurs semaines après le commentaire de mon père. Et là j'appréciais vraiment ce moment. Il y allait doucement, il devait sans doute avoir une autre perception du romantisme que moi. 

Je sentais son corps chaud s'allonger sur moi. Je sentais une pression sur mon anus. C'était une pression douce et forte, ses mains caressaient mes bras et se lèvres caressaient mon cou.

Il poussait, il poussait avec douceur mais il poussait. Je ne résistait, je ressentais une légère douleur, mais ça en valait la peine, juste après je ressentais un grand plaisir, puis un très grand plaisir suivi par un plaisir intense. J'ai tremblé et j'ai joui, j'ai juté. 

C'est venu comme ça sans prévenir, brusquement je me suis senti submergé et le plaisir m'a absorbé, m'a envahi. C'était tellement bon, Il s'en ai rendu compte et c'est avec une grande douceur qu'il continuait à enfoncer sa queue dans mon anus. Il y allait lentement, je sentais chaque centimètre s'enfoncer.  J'avais le souffle court. Et si je ne jutais plus et commençais à débander je continuais toujours à jouir, c'était un orgasme qui ne dépendait pas de ma bite, ça ne venait que de mon cul et c'était tellement bon.

Je râlais de plaisir, je gémissais de plaisir, j'en redemandais. Il m'en donnait. Il enfonçait sa queue bien à fond et ressortais. Il revenait toujours bien à fond et ressortais. Le plaisir continuait à monter en moi. Mon visage exprimait une grimace mais c'était avant tout du plaisir. Je jouissais sans interruption. J'avais l'impression de jouir par ma queue mais je ne jutais plus. Pendant un long moment j'ai joui à sec comme ça, uniquement par le cul.

Au moment ou il jouissait en moi les mouvements de son bassin devenaient irréguliers, rapides et violents. J'ai joui une dernière fois à ce moment, nous avons tremblé et nous avons cessé de bouger.

Plus tard nous sommes passé sous la douche et nous nous sommes retrouvé allongé l'un à côté de l'autre. On a parlé une bonne partie de la nuit. Je lui ai raconté la discussion que j'avais entendu, je lui ai parlé de mon inquiétude. 

'' Il va faire quoi mon père si … ? '' … '' Et puis si quoi , d'abord ? ''

Je lui expliquait mon idée, j'avais échafaudé un plan pour convaincre mon père que je n'étais pas gay. Vu qu'il était complètement homophobe ça valait mieux !

Un peut plus tard dans la nuit Alex me laissait dormir, il approuvait mon idée par certains côtés, par d'autres il me disait que c'était ridicule. Dans la famille après tout il n'y a que mon père qui était homophobe … Et que de toutes façons c'était pas lui le chef ! Mais même si c'était pas lui le chef c'était tout de même mon père !

J'ai bien dormi cette nuit là. Je me sentais bien, détendu, pour la première fois depuis que j'avais entendu ce que mon père avait dit, j'avais bien dormi.

Le lendemain matin je sautais dans ma voiture, je ne vous ai pas raconté, tout le monde l'a admiré et tout et tout. Mais j'avais d'autres soucis en tête. Mon père soupçonnait que j'étais gay et ça pouvait poser un vrai  problème pour moi !

J'arrivais donc dans ce centre pour la jeunesse que ma famille avait sponsorisé juste à côté des installations sportives que ma famille avait sponsorisé, pas loin du centre culturel que ma famille avait sponsorisé …Bon je passe les détails ! … J'y retrouvait ma vieille copine Juliette … 

Elle ne m'attendait pas mais semblait ravie de me revoir, en quelques secondes elle redevenait charmeuse, pour ne pas dire racoleuse. 

Je lui donnais un baiser, au dernier moment sa bouche glissait et nos lèvres se rencontraient dans un baiser tendre, surprenant mais tendre que je n'essayais même pas de fuir !


N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 

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