Reconfinement 1

 Reconfinement 1





Il était bien foutu le voisin. Avec ses cheveux en bataille il avait l'air d'un poète, on discutait, nos balcons n'étaient éloignés que de quelques mètres et on discutait donc à distance. 


Distanciation sociale respectée !


Il faisait la gueule ce matin là, on était le troisième jour du nouveau confinement …


– Comment tu fais toi ? Me demandait il.

– Comment que je fais quoi ?

– Bein , comment tu fais … Pour … Moi, ma copine est partie depuis plus de deux semaines et c'est pas maintenant que je vais aller draguer …

– Ah ouai , Tu parles de ça !

– Bein ouai, comment tu fais toi ?

– Moi, je ne fais pas !

Il pouffait de rire. 


Je me servais une bière et voyant cela.


– Oh, tu payes ta bière ?

– Si tu veux, tu remplis une 'Attestation dérogatoire de déplacement'  et tu passes …

– Une Attestation juste pour traverser le palier ?

– On sait jamais !

– Ok j'arrive.


J'entrouvrais la porte et je sortais une autre bière du frigo. Quelques instants plus tard il arrivait. 


– J'ai pas pris de masque, mais bon il n'y avait pas de gendarme sur le trajet .


Là c'est moi qui pouffais de rire.


– Alors comme ça, ta copine t'as largué. C'est vrai que je ne la voyais plus dans l’ascenseur. Qu'est ce qui s'est passé.

– Je sais pas, j'ai pas compris. Elle ne m'a pas donné d'explications. 

– Et tu le vis comment ?

– Beuf. Pfff. En fait je m'en fou mais, c'est seulement que avec le confinement on peut plus sortir et ça va faire trois semaines que …

– Que tu n'as pas tiré ton coup !

– Voilà, j'osais pas le dire … Et toi tu fais comment ?

– Moi je fais pas je te dis. 


Il me regardait incrédule. Je riais à voir sa tête. Il n'insistais pas sur le sujet puis on parlait de choses et d'autres pendant un long moment. Je resservais une seconde bière. On parlait de l'immeuble, de nos appartements, ils étaient identique, ou presque.


– Ce que j'aime bien dans cet appartement, c'est qu'il n'y a pas de vis à vis ! Disais je.

– Comme ça tu peut te balader à poil, c'est cool.

– Et tu te ballades souvent à poil chez toi ? Lui demandais je.

– Quand je suis tout seul oui … T'aime pas toi te retrouver à poil. 

– Remarque si tu veux te mettre à poil, tu fais comme chez toi !


Ce que j'avais pas dit là ! Déjà je voyais une bosse de dessiner sur son pantalon il avait un pantalon de détente, tout comme moi, et là juste en dessous de la ceinture, en haut des cuisses, entre les cuisses, une bosse apparaissait, il avait l'air gêné.


– Tu fais comme tu le sens. Là, je continuais avec une certaine malice.

– Je veux bien mais j'ai un peu peur de …

– Je fais comme toi !


Il me lançait un regard rieur, un peu vicieux et retirait son T-shirt et quelques secondes plus tard suivait son pantalon. Je n'avais pas rêvé, il bandait à moitié et il n'avait pas de sous vêtements. 


Je regardais ça, il était bien foutu, bien monté. Là je ne comprenais pas  pourquoi sa copine l'avait largué, en tout cas c'était pas à cause de son corps ! 


– Et bien, tu me suis ou pas ? Me demandait il.

– Oh pardon ! 


À mon tour je retirais mes vêtements, on était aussi habillé l'un que l'autre, un T-shirt et un pantalon confort. Je lui tournais le dos quand je retirais mon pantalon et je jetais un œil dans sa direction, il me matait avec un sourire amusé. Mais quand je me suis retourné, là il ne rigolait plus.


J'ai cru qu'il allait faire une syncope au moment ou il a vu mon dispositif de chasteté. 


– C'est pas vrai, c'est quoi ça ?

– Une cage à bite !

– Et c'est, et c'est, et c'est …

– Je t'avais bien dit que moi, je ne faisais pas.


Il regardait avec insistance, je me plaçais bien devant lui et prenait la pose, j'écartais les cuisses, faisais quelques mouvements de bassin d'avant en arrière en rigolant.


– Et tu … Et tu …

– En fait je suis surtout passif alors …

– Tu es … ?

– Tu as déjà croisé une fille qui venait chez moi ?

– Bein ? Heu ! Je ne sais pas !

– Si ça te pose problème, on peut se rhabiller.

– Non, ça va ! 


Il me regardait avec insistance. Ça m'amusait, j'étais pas vraiment gêné, surtout qu'il réagissait plutôt bien. Il réagissait même très bien, il bandait et il en avait une belle. Assez longue et bien large, comme je les aime. Moi aussi je bandais remarquez mais moi je n'étais pas aussi expressif que lui. J'étais plus retenu, et ma bite n'arrivait qu'avec peine à relever le dispositif. 


On reprenait la discussion. Il avait l'air distrait, il regardait avec insistance mon dispositif de chasteté et il bandait bien ferme. Sa bite se relevait contre son ventre. Il s'était installé sur le fauteuil juste en face du mien.


– Ça à l'air de te plaire mon truc. Lui demandai je .

– Euh non ! C'est pas ça ! Oui c'est un truc de fou … Et tu le portes tout le temps, ça fait pas mal.

– Non ça ne fait pas mal, sinon  je ne le porterais pas mais par contre on le sent tout le temps. 


Machinalement, sans y penser il se caressait la queue, il décalottait, calottait, décalottait …


Au bout d'un moment j'ai craqué. Je me suis approché de lui, juste en face de lui, il regardait toujours mon dispositif. Là je lui demandait, en montrant du doigt sa bitte qui était très en forme.


– Je peux ?


Il me regardait dans les yeux et visiblement il ne comprenait pas ce que je voulais dire. Il avait l'air un peu bête là. Sans attendre la réponse qui de toutes façons se semblait pas venir je me mettais à genoux, doucement je tendais la mains lui attrapais sa queue, je penchais la tête vers lui et c'est pétrifié qu'il me laissait faire, qu'il voyait sa queue disparaître dans ma bouche. 


J'aime bien ce genre de queue, belle longueur et surtout bien trapue. Je vous jure une queue comme celle là quand elle vous rentre dans le cul on la sent passer et on en redemande. 


Je relevais la tête, le regardais dans les yeux, il avait pas l'air futé. Je me demande même s'il comprenait ce qui se passait. Je reprenais …


Je le sentais frémir entre mes mains, j'adore sentir les mecs trembler de plaisir sous mes caresses. Mes mains glissaient contre ses cuisses, remontaient sur son ventre, sur son torse et je sentais finalement ses mains me caresser le dos. 


Je passais alors mes mains sur ses avant bras. Cette caresse semblait l'encourager, quelques instants plus tard il me caressait les cheveux, doucement il appuyait sur ma tête et surtout il gémissait. 


Il gémissait même fort, il était tendu au début, mais là, je sentais tous ses muscles se détendre. Il s'effondrait lourdement dans le fauteuil.


Il gémissait plus fort encore et me caressait le dos avec à là fois douceur et force, un main descendait jusqu'à mes fesses. Il glissait un doigt entre mes fesses, je le laissais faire. 


Je devenais plus entreprenant, j'appuyais ma tête contre son ventre et sa queue disparaissait totalement dans ma gorge. Là il gémissait fort, son souffle devenait plus rapide. Je relevais ma tête, sa queue ressortait totalement et je le masturbais avec douceur puis avec plus de force. 


Pendant un long moment je continuais, avec une extrême douceur et à chaque mouvement je devenais plus ferme. 


Si je le sentais frémir un peu trop, je relevais la tête, serrais sa queue dans ma main sans bouger. Il me regardait, il avait un large sourire béat et me caressait la joue. 


Je retardais le moment ou le plaisir monterais et le submergerais. 


De nouveau je penchais le visage sur sa queue, sans prévenir il appuyait sur ma tête puis, hésitant il la retirait. Je passais alors une main sur la sienne, la posait sur ma tête et lui faisait bien comprendre qu'il pouvait continuer, qu'il en avait le droit.


Il comprenait le message et rapidement ne se retenait plus. Il appuyait alors sur ma tête mais toujours avec une extrême tendresse.  Il ne se retenait plus de me caresser le haut du dos, les bras et me caressait la joue à plusieurs reprise.


Il était d'une grande douceur, il avait une grosse queue, il était bien foutu et avait un air de poète complètement craquant et c'est ce garçon que sa copine avait largué.


Mais il leur faut quoi aux filles ?


Décidément je ne les comprendrais jamais. Enfin cette fois-ci, c'est moi qui en profitais. Toujours pour faire durer le plaisir, quand je relevais la tête, je l'embrassais sur le ventre et par moment le mordillais avec douceur, juste pour lui faire sentir mes dents …


Pas la bite, je vous rassure, la le mec ne doit jamais sentir les dents. La le mec ne doit même pas deviner que vous avez des dents, sinon c'est pas cool. Mais le haut des cuisse, au niveau du bassin, là on peut. On peut aussi un peu plus haut. Il me laissait faire.


Je continuais à monter, au niveau des tétons, on peut aussi et c'est un cri de plaisir qu'il poussait quand j'en arrivais là. Je recommençais plusieurs fois, à chaque fois il gémissait. Il me regardait faire et quand j'ai relevé la tête j'ai senti que … J'approchais alors mon visage du sien et lui donnait un baiser. 


J'étais agréablement surpris de sentir sa langue, un instant je me demandais si c'était moi qui l'embrassais ou si c'était lui qui m'embrassait … Il posait une mains sur ma joue et il fermait les yeux en m'embrassant.  Il embrassait bien le mec. Il y a des filles je ne vous dis pas mais … Elles ont dans leur bras un garçon adorable, peut être même l'homme idéal et il faut qu'elle le larguent.


Décidément je ne comprendrais jamais les filles moi !


Mon visage descendait vers sa poitrine, de nouveau j'embrassais ses tétons, de nouveau je le mordillais, de nouveau il poussait des cris de plaisir en me caressant les cheveux. 


Je descendais toujours vers son sexe, et je prenais sa queue dans la bouche. Là le mouvement était plus rapide, il respirait fort et maintenant il respirait vite. Je ne tentais plus de faire durer le plaisir. Là je voulais au contraire le provoquer, je voulais qu'il l'exprime avec violence, je voulais le faire jouir, je voulais sentir son corps vibrer, à ce moment.


Il semblait se défendre, là il enfonçait sa queue dans ma bouche en relevant son bassin avec force. Il y avait certain de ces mouvements qui n'étaient pas volontaires de sa part. Je m'accrochais à lui en l'entourant avec mes deux bras. 


Il perdait un peu en douceur sans pour autant devenir violent, il appuyait sur ma tête, je recevais des coups de bite dans la gorge et si je faisais un peu de bruit, lui en faisait beaucoup. Heureusement qu'à cet étage, le seul voisin c'est lui …


Je m'y attendais depuis un moment, je ne savais pas quand ça allait se produire, je continuais à lui sucer la queue quand il a juté dans ma bouche, suivait un violent coup de bassin, sa queue s'enfonçait bien à fond dans ma gorge ou il jutais de nouveau. Je m'y attendais depuis un moment mais il m'a eu par surprise quand même. 


Avec des mouvements rapides il se retirait, je continuais à le masturber avec la main et il me jutait avec force sur la figure, aussitôt je reprenais sa queue dans ma bouche ou il jutait une dernière fois.


Ça n'avait duré que quelques secondes, je n'avais pas tout compris mais je l'avais senti vibrer, trembler, se tordre sous le plaisir que je lui avais donné. 


J'adore ça, et je peux vous garantir qu'il avait aimé lui aussi. 


Tous ses muscles s'étaient tendus pendant quelques secondes, maintenant je le sentais se détendre.


– Ah ouai ! Ouai ! Je ne m'attendais pas à ça ! Mais …

– Moi non plus, je n'avais rien prévu. Lui répondais je.

– T'es un bon coup toi !

– Merci. 

– On ne m'avait jamais fait ça !

– Tu sais ce qu'on dit … Les mecs sucent mieux que les filles …

– Je sais pas, aucune fille ne m'a jamais sucé. Mais pour faire mieux elles auront du boulot !


Il avait l'air essoufflé, il transpirait et son corps tremblait encore légèrement, je le sentais bien, je le tenais encore dans mes bras. Il se penchait vers moi et m'embrassait avec passion. Il avait aimé, ça ne faisait aucun doute.




N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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