Toc 3 : La ferme

 Toc 3 : La ferme




Joe était un beau gaillard de trente cinq ans. Épaules larges, torse avantageux, bien poilu, un beau nounours … Il était couvert de cette douce et épaisse fourrure jusqu'aux chevilles. Il avait quelques poils sur le dessus du pied ( pas en dessous par contre ) un peu plus de poil sur le dos de la main, mais aucun sur la paume. Sa fourrure épargnait également son front et le contour de ses yeux. Une zone aussi de libérait de tout poil au dessus de sa tête, il portait les cheveux très courts. En un mot … Viril … 


Ce n'était pas la première année qu'il venait travailler dans cette ferme en plein désert. Il y avait ses habitudes. Il retrouvait ses amis, les habitués qui venaient depuis plusieurs années tout comme lui, ils se saluaient, se tapaient sur l'épaule, et se retrouvaient au bar avec  une bière bien fraîche.


Cette gare ne conduisait nulle part, la ligne se terminaient en cul de sac. Elle desservait plusieurs fermes, elle faisait un allé retour, s'arrêtait dans plusieurs quais de chargement, c'est de là que les fermes expédiaient leur marchandises et recevaient la livraison de tout le matériel qu'elle avaient commandé. 


Un groupe s'était formé autour de Joe, au fond de la salle il y avait un petit jeune que personne n'avait remarqué, il avait l'air un peu nouille, un peu perdu, et une allure je ne vous dis pas … 


Mais non je plaisante, je vais vous dire !


Il était jeune, mince mais musclé, il portait un T-shirt et comme pantalon un jean bien moulant du genre moule boule, déchiré au dessus du genoux , c'est la mode il paraît. Il avait aussi un chapeau qui ne lui allait pas du tout d'ailleurs, avec le soleil c'était malgré tout préférable. Il ne faisait pas de bruit et ne se faisait pas remarqué, un verre de soda devant lui, il attendait. Un train était  prévu en départ mais pas tout de suite, il avait une heure devant lui. Pour ce qui est du pantalon moule boule, on voyait clairement une belle boule mais on voyait tout aussi clairement que la boule était sous clé, qu'il portait un dispositif de chasteté. 


Peu à peu le hall de gare se remplissait, c'était pas la foule  mais en plus de la bonne douzaine de gars qui attendaient et qui se connaissaient, d'autres voyageurs arrivaient avec un sac sur l'épaule. Ce jour là, le train n'annonçait qu'un seul arrêt, par conséquent toutes les personnes présentes allaient au même endroit. Un par un de nouveaux voyageurs arrivaient. 


Ils étaient plus d'une dizaine quand Joe apercevait le petit gars dont je vous parlais.


– Mais c'est pas vrai ! C'est Toc ! Ça fait longtemps que tu es là mon p'tit gars ?

– … j'our … Lui répondait Toc avec une toute petite voix.

– On ne t'avais pas remarqué ! Alors c'est toi que le père Durant nous a envoyé pour nous accueillir ?

– Bein oui .

– Allez les gars si on disait bonjour à Toc. 


Tous les gars allaient taper sur l'épaule du petit jeune qui avait l'air nouille, un l'entraînait par le bras jusqu'au milieu du groupe qui s'était formé au bar. Toc ne lâchait pas le sac qu'il avait à côté de lui et attrapait son verre avant de suivre. 


Les gars avaient l'air contents de le revoir, visiblement ceux qui ne venait pas là pour la première fois connaissaient Toc.


– Alors  tu es toujours à la ferme mon bonhomme ?

– Bein oui. Répondait Toc, fidèle à sa réputation de grand bavard.

– Je suis content de te revoir tu sais … Lui disait un des gars.

– Moi aussi, je ne pensais pas te revoir de nouveau cette année … Rajoutait une autre gars.

– Tu vas bien mon p'tit gars … Lui demandait un troisième.

– Et le père Durant il va bien ? … 

– Ah sacré Toc, ça me toujours plaisir de te voir …

– Et tu est toujours aussi bavard mon bonhomme …

– Bein oui … arrivait finalement à articuler Toc.

– ALLEZ A LA SANTE DE TOC ! Proposait Joe .


Tout le monde répondait d'une même voix '' A LA SANTÉ DE TOC ''


Toc levait son verre et rajoutait juste … '' Pareil ! ''. Tout le monde pouffait de rire à une intervention aussi éloquente. Les nouveaux, ceux qui venaient pour la première fois, regardaient ça sans trop comprendre. Il faut dire pour ceux qui ne le connaissent pas, que Toc n'est pas vraiment bavard, et que ses phrases font rarement plus de trois mots. Joe continuait.


– Alors là moi je voudrais bien voir comment tu vas réunir les troupes mon petit père, on t'a préparé un discours ?


Toc reposait son verre vide sur le bar et dépliait ce qui ressemblait à un sac, c'était une pancarte sur laquelle était écrit '' FERME DURANT ''. Voyant cela les habitués étaient pliés de rire.


– Béé-é … Arrivait à dire Toc .

– C'est toi le plus malin Toc, y a pas à dire. Tu trouves toujours une solution à tous les problèmes … 


Il brandissait la pancarte en regardant l'heure. C'est vrai que le temps passait et Toc qui était venu accueillir les nouveaux agitait la pancarte en répétant .


– Si-ou plaît … Si-ou plaît !


Là c'est tout le monde qui était plié de rire. 


– Ça va on a compris, il va falloir y aller, le train va arriver … C'est ce que tu voulais dire mon petit Toc … Lui demandait Joe !

– Bein oui !


Peu après l'aérotrain se posait en gare. Seule la première voiture pouvait recevoir des passagers, Toc montrait la route, tout le monde suivait en rigolant. Il restait imperturbable le petit Toc et comptait le nombre de personnes présentes avant de conclure...


– Y manque personne !

– Et tu n'as pas oublié de te compter dans le lot j'espère mon petit Toc ? Lui demandait Joe 


Toc fronçait les sourcils, semblait réfléchir un petit moment avant de hausser les épaules. On sentait de légères vibrations, l'aérotrain se soulevait doucement. A part les passagers le train partait à vide et sa vitesses serait donc réduite, il faudrait presque trois heures pour faire les six cent kilomètres. En pleine charge, comme il transportait des denrées périssables il lui fallait largement moins d'une heure pour le même trajet.


Il fallait ensuite expliquer le règlement. Le boss, le père Durant savait que là il ne fallait pas trop compter sur Toc et avait prévu un enregistrement vidéo. 


Ils logeraient par chambre de deux. Mais pour respecter les règles étranges de la morale très particulière issues de la société PK qui régnait à cette époque, un des deux colocataires porterait un dispositif de chasteté. Toc rigolait en entendant ça … Il y avait douze anciens et dix nouveaux, les anciens auraient donc une sorte de priorité. Seuls leurs nom devaient être mis dans un chapeau et chacun des nouveau iraient tirer au hasard leur colocataire. Les deux derniers noms, seraient donc des habitués et seraient ensembles.


On procédait, Toc était désigné pour garantir le bon déroulement du tirage au sort. Il ne dit jamais rien mais il voit tout.


Ensuite pour chaque chambre, celui qui avait la plus grosse resterait libre et c'est l'autre qui porterait le dispositif de chasteté. Ça semblait équitable, ça laissait une chance à tout le monde, même à celui qui en avait une de taille très moyenne … 


Ne me demandez pas '' La plus grosse quoi ? '' je ne répondrai pas à cette question ! ( Note de l'Auteur )


Toc continuait à rigoler . 


Le premier à passer était un petit jeune, il semblait n'avoir que seize ans même si en fait il en avait dix neuf, il était totalement imberbe (sauf les cheveux), il était tout petit un mètre soixante cinq pas plus, il retirait une étiquette, la lisait … '' Joe ''. 


Joe arrivait.


– Joe c'est moi ! Super, tu connais la suite ? On est entre nous là maintenant. Il faut que je te dise que tu n'as pas eu de chance, je fais une bonne taille et je ne risque pas de porter un de ces truc. Quand tu vas voir la bête tu vas comprendre …

– Moi c'est Jonas ! Alors là tu me fais peur. Puisqu'on est entre nous, si tu nous la montrais ta bête et ce que tu sais faire avec.

En disant cela Jonas retirait sa chemise et ouvrait son pantalon. Joe montrait une légère hésitation mais relevait le défi. En quelques secondes il était torse nue, et quelques seconde plus tard il avait retiré son pantalon. Il était totalement nu. Une belle bite de vingt centimètre de long sur ses cinq bons centimètres de large se redressait.


– Ah oui, je vois ! Disait simplement Jonas. Et maintenant voyons ce que tu sais faire avec.


Jonas retirait son pantalon mais gardait son jock, il confinait une belle bosse mais restait ouvert sur les fesses. Jonas se mettait à genoux et commençait à sucer Joe qui ne cachait pas son plaisir. C'était le silence dans la voiture. Toc avait des yeux tout rond en voyant ça. C'était la première fois qu'un nouveau leur faisait le coup.


On pouvait tout de suite voir qui serait le mâle dominant pendant les dix mois à venir. Joe un ours bien viril et son petit vide couille. Jonas, un petit jeune de dix neuf ans avec une tête de gamin, il n'avait même pas un poil au menton et Joe jubilait. Il lui prenait la tête entre les mains et c'est sans ménagement qui lui balançait de violents coup de bassin dans la gorge. Après tout, il l'avait cherché. C'est vrai quoi se disait Joe, c'est pas des manières de défier comme ça le mâle dominant.


Il n'avait pas froid aux yeux le gamin, enfin quand je dis le gamin, il en avait juste la tête. Il avalait la queue de Joe avec un incroyable facilité. C'était un spectacle totalement indécent et absolument intolérable qui se passait là. Des deux hommes, aucun ne portait de dispositif de chasteté. En plus il faisaient ça devant tout le monde. 


Toc qui ne perdait pas le nord continuait à faire tirer au sort, et les futurs couples se découvraient. Au point ou ils en étaient, ils se laissaient tous aller. Tous se retrouvaient à poil, certains avec une bite moyenne découvraient une bite plus petite chez leur futur colocataire et étaient rassurés. 


Les mains de Jonas se promenaient sur tout le corps de Joe, lui pinçaient doucement les téton sans pour autant arrêter de le sucer. Joe s'amusait, il ne se retenait plus du tout. Il se penchait vers son compagnon lui glissait quelques mots à l'oreille. Jonas se relevait, se retournait et se penchait en avant. 


Joe voulait lui tâter les couilles mais Jonas l'arrêtait avec force.


– Tu as raison ! Lui disait Joe. Quand tu auras ton dispositif sur toi, ça sera plus drôle et je pourrai te tripoter les couilles à volonté !

– C'est ça, tu peux déjà commencer à rêver mon petit père ! Lui répondais Jonas.


Joe lui lubrifiait généreusement le cul, il y glissait un puis deux doigt sans ménagement, il valait mieux que ça ne résiste pas. Dans ce cas de toutes évidences, il forcerait. Ça devait passer et ça passerait. Il prenait position puis d'un mouvement d'une extrême violence il enfonçait les vingt centimètres bien à fond. Jonas hurlait. 


À l'extérieur le paysage défilait à près de deux cent kilomètres heure, mais les kilomètres restants leur laissait tout le temps nécessaire pour terminer leur petite sauterie. Toc prenait les mesures. Toujours imperturbable le petit Toc et toujours aussi bavard. 


Joe mettait une mains sur la bouche de Jonas pour le faire taire, il s'y prenait mal, et rapidement ses cris étaient accompagnés par d'autres cris.  Les couples s'étaient formés et s'amusaient comme le faisaient Joe et Jonas. La plupart des autres couples donnaient priorité à ceux qui avaient la plus petite, c'était pour eux le dernier plaisir de ce genre qu'ils pourraient se payer pendant dix mois. Sauf le couple bien sûr ou le petit nouveau avait déjà un dispositif. Sa position était déjà définie, son partenaire avait une queue de taille moyenne, et le porteur aurait certainement préféré une bite bien grosse. 


Joe donnait des coups de bassin encore plus forts, toujours plus forts. Il se retirait bien, complètement puis revenait à fond avec une violence inouïe. Son ventre claquait contre les fesses de Jonas.


Jonas en réclamait encore. Il traitait Joe de '' P'tit bite ''. Ça énervait Joe qui voulait lui donner encore plus de violence, il était vexé Joe. C'est vrai quoi ! Vingt centimètres sur cinq c'est pas une petite bite ça ou bien … Il accélérait autant que possible ses mouvements, ses coups de bite dans le cul de Jonas. Il était en sueur, à l'extérieur, c'était la canicule mais à l'intérieur c'était climatisé … Pourtant c'était chaud.


Les vingt deux hommes qui ne portaient pas de dispositif de chasteté s'enculaient joyeusement. 


Oui je sais si seulement onze d'entre eux avaient porté un tel dispositif on aurait rien eu à dire, au niveau moral j'entends, mais il n'y en avait qu'un … Elle est bizarre la morale dispensée par la PK Compagnie tout de même. Mais c'était devenu la vision de tous, c'était la norme. 


Joe commençait à fatiguer, il avait réussi à se retenir mais il sentait le plaisir monter. Pour faire durer plus longtemps il faisait des pauses. La tension commençait à baisser. Pour le moment on voyait surtout l'expression du plaisir sur les visages. Quelques inquiétudes aussi.


Certains prenaient conscience que c'était la dernière fois qu'ils s'étaient donné du plaisir avec leur queue, qu'ils vivaient là les derniers moment de liberté pour leurs bite avant de longs mois. Mais ils avaient été prévenus qu'un des deux occupants de chaque chambre porterait un tel dispositif. Le fabriquant du dispositif avait beaucoup d'expérience et savait qu'on le supportait, que tout le monde le supportait, s'il n'avait pas le choix. Physiquement c'est juste un petit bout de viande contre une cage en titane … A votre avis qui peut gagner ?


Les voyageurs étaient tous effondrés sur leur siège, quelques uns avaient encore une belle érection, certains tentaient même d'enfiler un autre mec que leur partenaire. Il n'était écrit nulle par dans le contrat qu'ils devraient être fidèles à leurs colocataires …


Joe avait des mouvement plus saccadés, il se retenait jusqu'au moment ou il reprenait des mouvements d'une extrême violence sans prévenir, il jouissait, il jouissait enfin dans le cul de Jonas et il le faisait savoir.


Plus personne ne bougeait quand il s'est retiré du cul de Jonas. Seul Toc, toujours imperturbable avait gardé ses vêtements. Il avait compté les points apparemment, mais sans faire pour autant de commentaire. 


Plus personne ne bougeait, Joe était celui qui avait la plus grosse, il le savait l'animal, il était en sueur, il tremblait sous l'efforts qu'il avait fait. Tout le monde le regardait. Il s'est retiré. Jonas avait toujours son jock sur lui, et à aucun moment n'avait laissé Joe lui toucher les couilles ou la bite. 


Jonas se relevait, il était tout rouge, il avait dégusté le pauvre. 


– Alors tu as pris cher bonhomme. Tu t'avoue vaincu ? C'est quoi ta taille pour ta cage ? Lui lançait Joe.

– Ma taille, ma taille …


Jonas s'étirait, il faisait maintenant face à Joe. 


– Et toi tu connais ta taille ? Lui lançait Jonas.

– Pas besoin, c'est moi qui ai la plus grosse ! Tu peux afficher vingt centimètres ?

– Vingt, pas tout à fait …


Jonas parlait lentement, on voyait qu'il avait dégusté. Ça ne semblait pas lui avoir déplu. Il articulait bien chacun de ses mots. Tout le monde se taisait. Ces deux là allaient former un couple qui resterait dans les mémoires. Un qui savait donner et l'autre qui savait encaisser …


Jonas continuait, toujours en parlant lentement et en même temps baissait son jock.


– Vingt centimètre ? … Pas tout à fait, mais vingt cinq ça te suffira ? Je crois mon petit père que tu viens de t'amuser avec ta queue pour la dernière fois pour les dix prochains mois !


Joe devenait tout pâle, il baissait les yeux et il était horrifié de voir une bite monstrueuse de cinq centimètres de plus que la sienne. Elle se relevait, rapidement à l'horizontale puis encore un peu plus. Son diamètre atteignait presque six centimètres, il n'y avait pas photo. Le champion c'était plus Joe. Joe ne pouvait pas protesté, trois ans plus tôt c'est lui qui avait proposé les règles sur le dispositif de chasteté.  C'est vrai qu'à cette époque il se pensait à l'abri de toutes éventualité. Mais là il s’angoissait. A l'époque pour des raison évidentes ( surtout pour le boss qui avait décidé de ne plus cacher ses relations avec Toc ) il avait été décidé de changer le règlement.


Jonas le regardait en levant la tête, il est vrai que Jonas est tout petit, et lui ordonnait.


– Suce !


Joe n'avait plus que le choix de s'exécuter. Toc distribuait les dispositifs à tous ceux qui devraient en porter un. Imperturbable il en donnait un à Joe qui pourtant était occupé, mais qui s'arrêtait un instant pour s'exécuter. La taille était bonne, pour ça Toc était devenu un vrai spécialiste, il reconnaissait la tailles en un coup d'œil.


Jonas l'ordonnait, et Joe se retournait, on pouvait voir à la tête qu'il faisait il paniquait le gars mais c'était une questions d'honneur, comment pouvait-il refuser un règlement que tout le monde acceptait et auquel il avait lui-même participé. Jonas lubrifiait abondamment et même plus que cela. Joe avait choisi une certaine violence et c'est donc en un seul mouvement que Jonas lui défonçait le cul, son ventre claquait contre les fesses de Joe qui hurlait. 


Toc regardait ça, il était juste à côté et faisait des yeux tout ronds.


– Ça peut faire peur ? Lui demandais Jonas.

– Alors là pour moi pas du tout, même pas peur, tu me prends quand tu veux bonhomme, mon cul est à ta disposition … Lui répondait Toc .


Tous les anciens des années précédentes, regardait Toc … Plus de trois mots dans la même phrase … C'était la première fois qu'ils entendaient ça de sa part. Il regardaient ensuite Jonas et se disaient …


– Non seulement maintenant c'est lui le boss mais en plus il fait des miracles !


Pour conclure je peux vous dire que Joe, il a pris cher, la prochaine fois qu'il démontera le cul d'un mec il s'assurera que le mec n'a pas les moyens de lui rendre la politesse. Vous voyez ce que je veux dire, il s'assurera qu'il a une petite bite parce que là … Il a pris cher … 




N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


2 commentaires:

  1. Et Toc répondit du Tac au Tac, il est prêt pour les prochains épisodes. Ne lui occupe pas trop la bouche, il ne faut pas entraver la rééducation.

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