La maison d'hôtes 08 Humilié

La maison d'hôtes 08

Humilié



J'étais repéré. J'avais fait le tour des différentes communes environnantes en tenue cycliste très moulante, je suis mignon et musclé, jusque là il n'y a rien à redire … C'est un costume très proche du corps qui ne cache rien, pas le moindre muscle. On devine tout, c'est le meilleur costume pour ne rien dissimuler.


Or précisément il y avait quelque chose que je n'avais pas envie de montrer. Je porte une cage de chasteté ! Maintenant tout le monde le sait. 


Je ne sortirai plus de chez moi pour le reste de ma vie. J'ai été humilié ! Bon c'est vrai je me suis humilié tout seul. Je suis bien assez grand pour faire ce genre de chose tout seul mais je ne l'ai pas fait exprès.


Le lendemain matin, comme d'habitude je préparait les paniers de fruits et légumes, je m'occupais de la basse-cour, les œufs, je vous ai déjà raconté. Au passage je menaçait le coq de lui faire goûter de la sauce au vin s'il persistait à me réveiller avant l'aube. Il continuait à me regarder avec défiance, et je n'étais pas sûr que ma menace allait porter … 


les premiers clients arrivaient. Certains me regardaient avec un air moqueur, d'autre avec un regard admiratif, d'autre encore avaient  un regard bienveillant.


– Vous avez une petite copine, jeune homme ? Me demandait un habitué.

– Bein non, vous savez, dans mon cas … 

– Le mois prochain il y a un bal au village. Et je serais très honoré, et rassuré, si vous acceptiez d'y accompagner ma fille.


Je le regardais avec un regard visiblement surpris.


– Voyez-vous jeune homme, c'est très difficile à notre époque de trouver un garçon sérieux. Aussi sérieux que vous !


Le message était clair. Il était au courant, mais de là à mettre sa fille dans mes bras, j'avais du mal à cacher ma surprise. C'était un peu comme à l'école. Il y avait un garçon dans ma classe, visiblement efféminé, et visiblement pas du tout intéressé par les filles. Et bien elles formaient des grappes autour de lui. Je vous jure, je n'exagère pas, elles craquaient toutes pour lui. 


Les autres mecs étaient verts de jalousie, mais une chose est sûre, rien ne s'est jamais passé avec aucune d'entre elles.


Là c'était un peu la même chose, mais c'était son père qui me confiait sa fille. Il savait qu'elle n'aurait rien à craindre de moi … Je n'avais pas envie de rigoler et je préférais différer ma réponse. Et bien j'en ai eu plusieurs propositions de ce genre. C'est pas croyable.


Pendant plusieurs jours je préférais ne pas sortir ... Ma mère qui ne comprenait rien était heureuse de voir le courage dont j'avais fait preuve alors que mon père qui avait compris qu'il s'agissait d'une distraction lamentable me taquinait un peu … '' La prochaine fois tu feras attention à ce que tu fais !'', me disait-il.


Je me repliais sous ma terrasse préférée, si je voulais bouger, il y avait aussi la campagne derrière chez moi, des champs, des bois, et plein d'endroits ou je ne rencontrerais personne ou presque.


Julien ne manquait pas de venir me voir. Tous les jours je le voyais, il se moquait un peu de moi, il me taquinait, puis il venait me rejoindre. C'est sans me demander mon avis qu'il ouvrait son pantalon et sortait sa queue. Je le repoussais de la main, je tournais la tête mais quand la bête apparaissait là, j'ouvrais la bouche. Ça l'amusait, je prenais son gland dans ma bouche sans faire plus de manières.


Bein oui quoi, j'avais du mal à résister. Il a une belle bite et quand je vois ça, moi, bein j'ai envie de me la prendre dans la bouche et ça me fait mal au cul aussi rien que de la voir.


Ça faisait plusieurs jours qu'il était là Julien, et si la première fois que j'ai pris sa bite dans le cul, je l'ai senti passé … Maintenant ça passait mieux. Je ne veux pas dire par là que je ne la sentais pas passer. Je vous jure c'était quelque chose. J'étais le premier surpris de la vitesse à laquelle je m'étais habitué, c'est qu'elle était vraiment grosse sa queue. C'est simple, je ne savais même pas que ça se faisait ce modèle … Bon je rigole mais justement quand je me la prenais dans le cul, ça me faisait un peu mal si je rigolais …


Mais quand on se retrouve avec une bite comme celle là dans la bouche on à pas forcément envie de rigoler. Il faut avaler le gland, au bout de quelques jours j'y arrivais sans trop de difficultés. Là on peut déjà commencer à s'amuser. J'ai dit s'amuser, j'ai pas dit rigoler. 


Il avait un gland superbe, bien lisse, brillant et terriblement doux. Je glissait ma langue dessus, je me régalais, je le léchais par le dessous, je tentais de glisser de force le bout de ma langue dans le petit trou qu'il avait au bout de sa queue, et lui gémissait de plus en plus fort. 


Il me prenait la tête avec les deux mains et je m'attendais au pire. Je continuait à lui sucer la queue, elle entrait lentement dans ma bouche mais n'était pas encore allé bien loin. Je restais en alerte, je m'attendais à sentir ses deux mains se refermer sur ma tête et me tirer avec force vers lui, je m'attendais à sentir sa queue m'envahir, déjà je suffoquais, déjà je manquais d'air.


Mais … rien !


Il me caressait les cheveux avec douceur, il n'appuyait pas sur ma nuque et si je manquais d'air c'est parce que j'étais tellement occupé à le sucer que sa queue était bien entrée dans ma bouche, et c'est moi, tout seul, qui en était la cause. Je me laissais aller et avec l'expérience, Sa queue entrait facilement sur plus de la moitié de sa longueur. Je n'aurais pas cru ça possible seulement deux semaines plus tôt. 


Il me donnait bien quelques coups de bassin, mais je sentais qu'il se retenait. J'aime bien moi les mecs qui font attention à moi et ne me bousculent pas trop.


Puis il se retirait et en se déshabillant il me lançait sur un ton très doux. '' Maintenant tu te mets à poil et tu te retournes, je vais t'enculer ! ''.


J'ai avalé ma salive, je m'attendais au pire et finalement il arrivait, le pire. Il m'avait déjà défoncé le cul et à chaque fois j'avais une certaine appréhension. Je savais à quoi m'attendre. Mais ce jour là il avait l'air câlin. J'avais déjà mal au cul mais rien que d'y penser j'essayais de me détendre.


Je prenais position. Il se plaçais juste derrière moi puis j'ai été saisi, je sentais une pression contre mon anus, je ne résistais pas et la pression devenait tellement forte que je sentais mon cul se dilater, s'ouvrir, c'était violent, intense.


Il y avait une certaine douleur mais étrangement ce n'était pas si terrible que cela, en fait je ne savais pas, rapidement je ne savais plus. La sensation était intense, tellement intense que je restais là, figé, la bouche grande ouverte mais en apnée. J'avais la respiration coupée. Je ne manquais pas vraiment d'air ou en tout cas je ne m'en rendais pas vraiment compte. 


Sa queue glissait dans mon anus dilaté, entre mes entrailles, à chaque millimètre j'avais l'impression que tout allait se déchirer pourtant étrangement à ce moment je ne sentais aucune douleur, plus aucune douleur. Julien me caressait, comme s'il voulait me rassurer.


– Tu encaisses bien dis donc, tu sais je vais partir dans quelques jours mais là j'aimerais bien rester et pouvoir profiter de toi plus longtemps.


Sa queue continuait à glisser et un dernier coup de bassin concluait le mouvement, son ventre s'écrasait contre mes fesses. J'ai poussé un cri, ça y est je respirais de nouveau. 


Une voix féminine se faisait entendre. C'était la mère de Julien.


– Oh pardon ! Excuse moi Julien je ne voudrais pas te déranger, je vois que tu t'amuses gentiment avec ton nouvel ami. Ton père te cherche, tu pourrais ne pas être trop long s'il te plaît ?

– Mais Maman on commence juste. Lui répondais Julien.

– Bien, je m'occupe de ton père mais tu essayes de ne pas être trop long … Et toi Hugo, tu vas bien ?


Là j'étais dépassé, sa mère me saluait avec légèreté alors que j'étais à poil, penché en avant et que le fils, à poil aussi, m'avait planté sa grosse bite dans le cul … '' Mais c'est quoi cette famille ? Ils sont tous fous ou quoi ? ''.


Si jamais c'était ma mère qui m'avais surpris dans cette position, je vous jure que ça ne se serait pas passé comme ça. D'abord elle m'aurait tué, sur place, sans prévenir, direct. Et ensuite je ne vous dis pas, j'en aurais pris plein la gueule. 


Mais là non. Julien n'avais pas vraiment l'air ému, il se retirait, lubrifiait généreusement puis revenait à la charge, un peu plus vite et plus violent que la première fois. Il ressortait mais pas complètement puis revenait de nouveau, il donnait un dernier coup de bassin quand sa queue arrivait à fond. 


Il accélérait le mouvement et en quelques instants à nouveau je manquais d'air, il me limait le cul avec force et régularité.


– C'est toujours pareil avec ma mère, il faut toujours qu'elle me dérange au mauvais moment. Pfff. On n'est jamais tranquille, pas moyen. C'est pas une vie. Toi au moins tu es tranquille, personne ne vient t'embêter.


Il râlait l'animal, il râlait et moi je dégustais, il me balançait des coups de bite dans le cul comme il ne me l'avais jamais fait. Ça devenait douloureux, je me cramponnais là ou je pouvais et  j'en prenais plein le cul. Son ventre claquait contre mes fesses. 


Et c'est à ce moment que j'ai senti un plaisir puis une sensation de jouissance, un peu comme quand on éjacule, mais qui ne se limitait pas à mon sexe. Ce plaisir intense me prenait là, au milieu de mon ventre et de là, au milieu de mon ventre, il rayonnait dans tout mon corps. J'avais l'impression de jouir avec ma queue, je ne savais pas si j'éjaculais ou pas mais je jouissais. 


Ce plaisir rayonnait dans tout le reste de mon corps, mon torse, mon cœur tremblaient, le plaisir était intense et profond. Mes bras aussi se mettaient à trembler, et je ne contrôlais plus mes gestes et mes jambes m'avaient lâché. Heureusement j'étais à genoux.


Julien voulait en finir, ça a été court, heureusement sinon je n'aurais pas survécu, ça a été court mais intense et violent. Son ventre claquait contre mes fesses, il me cramponnait avec force et me tirait contre lui tout en me balançant des coups de bassin. Sa queue s'écrasait au fond de mon ventre et par moment je vous jure que je la sentais s'écraser contre ma glotte … Mais ça devait être autre chose, enfin je suppose. 


Ses coups devenaient vraiment violents et il a crié au moment ou il a joui en moi, j'ai tremblé également à ce moment. C'est à ce moment que j'ai joui de nouveau encore plus fort, et j'ai vraiment eu l'impression d'éjaculer avec force. Mais je n'ai pas lâché une goutte. Rien … j'ai pas juté. J'ai joui, comme jamais, mais j'ai pas juté, c'était une sensation folle, ça durait dans le temps, ça durait de longues minutes. 


Il me tenait avec force et je sentais ses muscles se détendre, il finissait par me lâcher, je m'écroulais sur le canapé. Je le regardais, il était beau, il avait encore une grosse queue à moitié molle qui pendait lourdement devant lui. Il se douchait rapidement au jet, se séchait et se rhabillait. 


– A plus, je te laisse, ma maman m'attend.


Là je vous jure que je ne comprenait plus rien. Je restais là sans réagir pendant un long moment. Il me fallait un peu de temps pour trouver la force de me relever, je faisais comme lui, je me douchais au jet. Et c'est à ce moment que ma mère arrivait.


– Alors là Hugo tu exagères. Ce n'est pas parce que tu as un dispositif de chasteté que tu as le droit de te balader à poil. Il fait chaud peut être, mais ce n'est pas une raison, tu pourrais, tu devrais garder un maillot de bain au moins. Si je te surprends encore je vais être obligé de prendre des mesures supplémentaires.

– Mais maman ! … Et tu penses à quoi là ?

– École militaire de la PK … Là ils vont t'apprendre à te tenir …


Elle repartait, elle avait l'air vexé. Je restais pensif, une école militaire de la PK. Voilà autre chose … Il faudra que j'en parle à mon père, il est plus cool lui. 


Je rassure ceux qui s'inquiètent pour moi mais une école militaire de la PK, ça coûte une fortune. Elle avait dit ça pour me faire peur mais en fait, il  n'y avait rien à craindre. Mon père me l'a confirmé par la suite, il était formellement contre.


Julien et ses parents sont repartis quelques jours plus tard. Ils m'ont fait parvenir la photo qu'on avait fait devant le bar, vous vous souvenez moi en tenue de cycliste, devant le groupe au milieu. C'est vrai que ma cage de chasteté on la voyait bien, en fait, on ne voyait que ça ! C'était la honte !


Les jours ont passé, quelques semaines aussi et le grand bal du village approchait. Le premier monsieur, le client habitué avait réitéré sa demande et je m'étais senti obligé de répondre oui, j'accompagnerais sa fille au bal. Et ce jour là, il était venu avec elle, pour me la présenter. 



A suivre


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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