L'ordonnance 02 On sympathise

 L'ordonnance 02

On sympathise



– Pas ici ! Réagissait Lionel. D'un instant à l'autre un groupe pourrait arriver pour prendre sa douche, on n'est pas tranquille ici !


Les deux jeunes hommes terminaient rapidement leur douche, Willy ne cherchait plus à se cacher aux yeux de son camarade. Il était vraiment beau son camarade mais il avait un tout petit dispositif de chasteté. Mais il trouvait Willy trais beau, et très sexy et en plus Willy n'avait pas ce genre de dispositif, il avait une grosse queue, vraiment énorme qui se relevait avec force et fierté. 


Et maintenant il avait le sourire.


Les deux hommes avaient juste eu le temps de passer un pantalon qu'un groupe arrivait. Willy jetais un regard vers Lionel et semblait lui dire, '' tu avais raison, on a évité le pire ! ''.


Tous les hommes se déshabillaient et tous portaient un dispositif de chasteté. Willy commençait à se poser des questions. Il avait cru qu'il ne serait pas obliger d'en porter un. Mais comment cela serait-il possible. Il devait être le seul homme à ne pas avoir sa queue emprisonnée dans une cage à bite dans un rayon de trois ou quatre kilomètres. Ils étaient en plein milieu d'une base militaire et il n'y avait que des hommes dans ce rayon.


Il avait vraiment cru qu'il garderait ce choix ? Il devinait qu'il devrait résister à des pressions infernales et qu'il serait dans les faits bien obligé de dire oui. Sa queue était énorme mais il ne devait pas être le seul. Il ne devait pas y en avoir non plus beaucoup d'autre de cette taille, mais on dit qu'ils ont toutes les tailles.


On dit bien des choses dans les chambres le soir. Les camarades de chambre de Willy parlent beaucoup et racontent bien des conneries. On parlait d'un mec qui avait une queue de vingt huit centimètre de long sur plus six qui avait été obligé à loger sa queue dans une cage prévue pour une bite bien plus modeste, on raconte que dans ces cas là, on en coupait un morceau.


Ce n'était que rumeurs et c'était totalement faux bien sûr. Mais ça faisait frémir le pauvre Willy. Auraient-il la taille, sa queue à lui faisait vingt trois centimètres. Et là ce n'était pas exagéré. Pour loger un morceau pareil il fallait un dispositif d'une certaine taille … 


Pour le moment, il bandait mais le dissimulait dans un pantalon un peu ample et des sous-vêtement qui maintiennent bien … Il suivait Lionel qui prenait la direction de sont bâtiment. 


– C'est là qu'ils  vont t'installer quand je vais partir. Lui disait Lionel en lui montrant les lieux.


La chambre faisait pas loin de vingt mètre carrés, ce qui était une bonne surface. Celle qu'il occupait avec ses trois camarades n'en faisait pas trente.


Il regardait attentivement un peu partout avec un regard circulaire. Quand il terminait son mouvement circulaire il revenait à Lionel et le voyait là, devant lui, il était nu, le regardait et avait une large sourire.


– Bon, tu me montres ta queue tant que tu peux encore jouer avec.


Sans répondre Willy retirait ses vêtements et les laissait tomber à ses pieds. Sa queue se relevait rapidement devant lui. Lionel baissait les yeux, il était toujours très impressionné. On pouvait deviner que lui aussi bandait, enfin sa queue tentait elle aussi de se relever, ça ne donnait pas grand chose mais il essayait. Il insistait, même si ce n'était pas volontaire.


Willy s'approchait de Lionel, 


Lionel lui caressait la joue puis le cou, passait quelques doigts sur sa nuque et le tirait vers lui ? Il penchait sa tête ver Willy qui était plus petit de vingt centimètre et lui donnait un baiser sur les lèvres. Willy marquait une hésitation, puis lui rendait son baiser. 


Willy était bien plus petit que Lionel mais en position allongée, ils avaient la même taille, et c'est allongés l'un à coté à de l'autre qu'ils continuaient à se caresser et à s'embrasser. La taille dont je parle correspond à la hauteur du bonhomme, pour ce qui est de la taille … de la queue … Willy en avait une énorme et Lionel … Pour lui ça ne comptait plus il avait gardé pendant tout son engagement une dispositif qui étape par étape était devenu tout petit. Et il n'était même pas sûr qu'il le retire un jours. Certains y prennent goût !


Il couvrait de baisers le corps de Willy. C'était nouveau pour Willy tout ça, la cage de chasteté et le corps d'un autre homme, ses caresses, ses baisers, la douceur de sa peau et son dispositif de chasteté.


Il lui tripotait les couilles, et lui rendait chacun de ses baisers. A force de se caresser, de se pencher sur l'autre, de se retourner ils se sont retrouvés en position du célèbre 69. Lionel tentait de gober comme il pouvait la queue de Willy qui, lui s'amusait avec les couilles de son camarade, il finissait par les lui gober. Il refermait la bouche et tirait doucement dessus, tout doucement, tout en les lui léchant avec la langue. Il ne pourrait pas lui sucer la queue il lui sucerait les couilles. 


Lionel réagissait avec vigueur, se tordait dans tous les sens, avait des geste de panique. Il pouvait difficilement se retrouver plus en position de soumis. Une cage à bite qui le confinait bien et ses couilles dans la bouche de son camarade, un coup de dents et … Mais Willy faisait tous ses effort pour ne pas, surtout pas, lui faire le moindre mal.


Mais ça fait tout drôle quand même. Lionel tremblait et frissonnait des émotions que lui donnait son camarade Willy. Les bras, les jambes se mélangeaient. Les caresses étaient chaudes et douces. Et de nouveau leurs lèvres se retrouvaient. Leurs baisers redevenaient chauds, très chauds.


C'était cette chaleur qui semble si forte mais qui ne brûle pas, ne laisse aucune trace, aucune cloques … Mais un plaisir d'un infinie douceur. 


Lionel s'allongeait sur le dos, écartait ses cuisses et disait juste à Willy : '' Vas y doucement ! ''


Willy hésitait, il était maladroit, il avait presque le vertige il s'allongeait sur le dos de Lionel et le caressait et l'embrassait. Il lui lubrifiait le cul avec générosité, c'était pour lui la première mais il devinait qu'il en faudrait une bonne dose. Il se lubrifiait la queue qui était maintenant au mieux de sa forme, donnait un dernier baiser entre les omoplates de Lionel puis poussait son bassin contre ses fesses.


Le cul de Lionel résistait, Willy poussait doucement. Lionel hurlait de douleur, Willy arrêtait tout et laissait à son amant le temps de récupérer. Ce n'est qu'au moment ou Lionel le lui demandait qu'il poussait de nouveau et de nouveau Lionel criait. Il râlait de douleur mais laissait faire un peu plus loin.


Il a fallu une nouvelle tentative pour que finalement la cul de Lionel ne commence à s'ouvrir. Là, Lionel ne disait plus rien. Il avait la joue posée sur son oreiller, les yeux fermés, la bouche grande ouverte mais aucun son articulé n'en sortait seul un souffle fort et bruyant, Willy le regardait, Willy l'observait . 


Willy poussait, son énorme queue glissait lentement dans l'anus de Lionel qui faisait une grimace de plus en plus monstrueuse. Willy sentait sa queue confinée mais pas comme dans une cage. C'était doux, chaud, humide, lisse mais étroit. Il poussait jusqu'à ce que son ventre s'écrase contre les fesses de Lionel. Ensuite il ne bougeait plus. Il attendait.


En fait il ne savait plus vraiment quoi faire. Il se doutait qu'il devait se retirer et recommencer mais en voyant la tête de son partenaire il se disait qu' le mieux était de ne plus bouger pour le laisser récupérer.  


Il continuait à le caresser et à l'embrasser sur les épaules et le haut du dos.


Quand Lionel réagissait  et semblait se détendre. Willy demandait '' Je peux continuer ?'' . '' Vas y mais vas y doucement ! '' lui répondait son partenaire. Willy se retirait avec douceur, il ressortait totalement, en profitait pour rajouter une bonne dose de gel lubrifiant, Lionel soufflait avec force, puis Willy enfonçait de nouveau sa queue bien à fond.


Cette fois ça passait plus facilement, et quelques râles de douleur se transformaient en râles de plaisir qui se terminaient par des sanglots. Lionel faisait toujours des grimaces mais c'était un peu différent, là on devinait du plaisir, un plaisir douloureux mais un plaisir.  Mais il est vrai que quelquefois l'orgasme intense n'es pas très loin d'une certaine douleur. 


Willy comprenait rapidement ce qu'il fallait faire mais il y allait toutefois en douceur, ça lui semblait plus prudent, vu la taille de sa queue, en plus c'était rudement étroit. 


Il s'enfonçait, ressortait de plus en plus vite. Lionel râlait de plaisir, gémissait, pleurait mais ne demandait pas à Willy d'arrêter, au contraire même. Willy refermait ses bras sur son partenaire et l'embrassait pendant qu'il lui explosait la rondelle. Le plaisir montait.


Willy faisait une pause pour faire durer. Lionel reprenait son souffle. Puis Willy reprenait, par moment il y allait un peu fort, il se ressaisissait rapidement, il avait peur de blesser son partenaire. Il n'était pas seulement sexy le petit Willy il était vraiment mignon, vous ne trouvez pas !


Ses mouvements devenaient plus désordonnés, plus rapides, il sentait qu'il ne retiendrait pas son plaisir bien longtemps. Un violent coup de bassin lui échappait au moment ou il jouissait et arrachait au passage quelques cris de douleur à Lionel. Willy jouissait, il éjaculait dans le cul de son partenaire puis ne bougeait plus, il se laissait tomber sur le dos de son camarade.


Sa queue reprenait une taille normale, une petite taille … Enfin dans le cas de Willy ce n'est jamais une petite taille. 


Sa queue redevenait tout molle, là par contre c'est possible, et ressortait toute seule. Au moment ou elle retombait, grosse molle, entre ses cuisses Lionel jouissait, enfin, il jutait, il avait déjà joui et il jouissait de nouveau ou, il jouissait toujours …


Les deux hommes on continué la soirée en discutant, ils on fini par se rhabiller par aller au réfectoire. C'est que ça creuse cette histoire. Puis ils ont discuté pendant un long moment jusque tard dans la soirée.


Selon Lionel, Willy serait tôt ou tard obligé de porter un dispositif de chasteté. En plus ils n'auraient aucune difficulté pour trouver un dispositif à la bonne taille. Il avait vu passer un dossier sur les différents modèles, du plus grand au plus petit et il y en avait plusieurs très grands.


– Tu sais Willy, ils n'auront aucune difficulté à te mettre sous clé. Le dispositif existe.

– Ça ne me rassure pas ce que tu me dis là. 

– Le problème c'est ton contrat, les autorités militaires sont en train de supprimer cette clause au contrat. Tous les officiers sont déjà sous le contrat mis à jour.

– Mais enfin ils ne peuvent pas, ce qui est écrit.

– Il leur reste tout un tas de moyens de pression. 


C'est le genre de commentaire qui ne rassurait pas Willy. Il y tenait à sa queue le petit Willy, et maintenant plus que jamais. 


Il n'était plus puceau, enfin il était encore  puceau du cul, mais ça, il s'en moquait un peu. Il avait souvent pensé à ce jour, et s'était toujours demandé comment ça allait se passer. Il sentait, il présentait depuis toujours que ce serait avec un mec et pas avec une fille. 


– Et si je dénonce la clause et je demande une annulation de mon contrat ?

– Ils ne résilient pas les contrat !

– Ils vont faire quoi alors ?

– Ils vont faire pression, jusqu'à ce que tu craques et que tu dises oui !

– C'est pas normal ça !

– Le dernier dossier que j'ai vu passer, c'était un commandant qui travaillait dans la compagnie de la liberté.

– C'est là que j'ai signé, c'est la seule compagnie qui proposait un contrat comme le mien, qui ne m'obligerait pas à porter un dispositif de chasteté.

– Et bien c'est fini, c'est officiel, ce contrat n'est plus proposé. Et tout le monde doit se soumettre à la nouvelle règle. 


Willy restait pensif, il n'avait pas prévu ce cas de figure. Il pensait être tranquille, au moins sur ce point de détail. Il pensait n'avoir jamais à porter un tel dispositif. Tous ses camarades de la compagnie étaient dans le même cas, il imaginait la tête qu'ils feraient tous quand ils se rendraient compte qu'on les avait berné.


Ça ne faisait pas partie du programme. 


Il questionnait alors Lionel sur le dispositif. Ils s’inquiétait et voulait tout savoir. Si c'était confortable, si ça faisait mal, si ça gênait les mouvements. Il n'avait pas envie de porter une truc comme ça Willy. Il ne le voulait surtout pas, s'il avait su, il ne se serait pas engagé et il savait qu'il n'était pas le seul.


C'était pas juste cette histoire, c'était pas juste. Mais comment résister, comment s'opposer à cette institution ? C'était une cause perdue !


Un peu plus tard, Willy rentrait dans sa chambre, il était tard mais ses camarades de chambre discutaient. Il s'est couché et je vous jure qu'il à passé une très mauvaise nuit. L'avenir, sa carrière se dessinait clairement maintenant, mais ce n'était pas ce qui était prévu !


A suivre


 N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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