Le Sauna

 Le Sauna




'' La vache, c'est pas facile tous les jours ! '' C'est ce que je me disais en enroulant ma ceinture autour de moi. Je sortais de la douche, tout propre mais encore tout humide. Je devinais les regards autour de moi. Bon je l'avais un peu cherché c'est vrai. C'était la première fois que je venais dans ce sauna avec sur moi mon dispositif de chasteté. 


J'en menais pas large.


Mais il faut dire aussi que ça faisait un moment que j'y pensais. En plus je m'étais fait tout beau, j'avais mis mon nouveau dispositif, un modèle tout nouveau et de toute beauté, un modèle cobra. C'est le truc qui est le plus à la mode en ce moment dans ce milieu. 


Il faut dire que le dispositif est très réussi, il est vraiment très beau. Bon il était un peu trop petit, il a fallu que je prenne sur moi mais je portais pendant plusieurs mois la plus petite cage que j'avais et elle est à peine plus large que la cobra.  Pour ce qui est de la longueur, ça va. La longueur c'est une mesure moins sensible que la largeur … 


Donc je me sentais un peu à l'étroit. Mais c'était bon, je la portais depuis un peu plus d'une semaine non stop donc je savais désormais, que je pouvais la garder en permanence. Et en plus ce modèle, on peut le garder sous la douche et on peut se laver parfaitement, on peut vraiment le garder, on n'a plus aucune excuse, on n'est pas du tout obligé de la retirer … Jamais … 


Oui, enfin, bon … Jamais ça me paraît un peu définitif c'est un peu comme toujours … Mais bon, on verra plus tard, un autre jour quoi !


Donc je sortais de la douche avec ma serviette autour du ventre. Je faisais mon plus beau sourire idiot, et rendais chacun des regards. C'est ainsi que je me dirigeais vers le labyrinthe. Il ont un truc comme ça dans ce sauna, il y a plein de cabines ou on peut se détendre et ou on peut s'enfermer. On n'est pas obligé de s'y enfermer seul … Enfin je raconte mais tout le monde connaît ça … 


Je choisissais le labyrinthe bien sûr. Vous ne vous imaginez pas que j'allais dans un sauna pour le sauna, enfin, quand même, plus personne n'y va pour ça. Il y fait beaucoup trop chaud. Non, j'y vais pour me détendre dans une de ces cabines et si possible pas tout seul.


Il y avait un passage obscur, ou ils avaient visiblement oublié d'installer la lumière. Je vous jure on peut plus faire confiance aux artisans à notre époque. Le boulot n'est jamais terminé comme il devrait …


Ah ! J'ai dit une connerie là ? Ok j'en prends note.


Je me heurtais mollement à un mur … Mollement ? Je tâtais avec le doigt et c'était pas un mur. C'était le torse d'un monsieur, il devait faire une tête de plus que moi, mon nez arrivait au niveau de son torse. Il n'avais pas l'air de vouloir s'écarter et j'ai eu comme l'impression que ce n'était pas accidentel.


Si moi je ne l'avais pas vu, lui m'avait vu venir. Je cherchait à voir à quoi il ressemblait. C'était un black, ma queue protestait de joie dans sa cage un peu  juste. 


Non c'était pas un black, il devait être métis, ma queue continuait à protester. Et puis finalement je ne sait pas de quelle couleur il était, il faisait grand noir.


Sans prévenir il me prenait les couilles dans la main et me tâtait vigoureusement les couilles et ma cage.


– C'est quoi ce genre de truc ? Demandait-il.

– Heu une cage à bite et … 

– Et ça sert à quoi ?

– C'est pour que je sois sage. Lui répondais-je avec ce qui devait être une toute petite voix.

– Mais avec ce truc tu ne peux rien faire.


Je faisais oui de la tête, oui je sais il ne pouvait me voir mais comme mon nez touchait son torse il sentait le mouvement que je faisais avec la tête. Il passait une main sur mon épaule, à la base de mon cou. Avec son autre main il continuait à me tripoter la cage. Ça avait l'air de l'amuser ce truc. Je sentait quelque chose de dur et de gros qui se relevait contre ma cuisse. C'était sa queue, elle m'avait l'air de bonne taille. 


Je glissait ma main, elle l'était. Elle était de très belle taille, il était circoncis. Ma queue hurlait dans sa cage, elle protestait et poussait de toutes ses forces pour sortir. Aucune chance, la cobra est réputée solide et sécurisée. 


– Tu bandes là ? Me demandait-il.


Je faisais oui de la tête, je ne pouvais plus parler, il me serrait contre lui. Et j'avais son téton entre mes lèvres. Je le lui caressais avec ma langue, je l'embrassais avec douceur.


– Oui vas y. J'aime bien ce que tu me fais là. Oui vas y, continue.


Il ne m'en fallait pas plus pour m'encourager, et là je ne me retenais plus pour lui sucer, lécher et mordiller le téton avec conviction. En fait, j'avais déjà commencé mais là d'un coup j'étais convaincu, avant je l'était un peu moins.


Il me laissait faire un moment puis il penchait son visage contre le mien et m'embrassait avec passion. 


– Tu es obligatoirement passif donc toi ?


La encore je faisait oui de la tête. C'est vrai que depuis le début de cette discussion je ne  pouvais pas prononcer un mot, j'avais toujours quelque chose dans la bouche.


Mais bon il faut me comprendre il avait la peau tellement douce, il était imberbe et ça semblait naturel. J'embrassais cette peau qui était tellement agréable à toucher. Il appuyait sur mon épaule. Je m’accroupissais et sans hésiter je lui suçais la queue. Elle était grosse, rapidement elle devenait plus dure, bien plus dure. Je lui tripotais les couilles, passais mes bras autour de ses cuisses et mes mains sur ses fesses.


Il me caressait les cheveux, il me caressait les joues. Sa queue entrait et ressortait de ma bouche. Elle glissait bien, j'ouvrais la bouche à m'en déboîter la mâchoire, je faisais de mon mieux. Elle était de très belle taille, le bonhomme était grands, il avait une grosse queue. Tout était normal. 


– Tu fais ça vraiment bien, on voit que tu ne peux plus faire autre chose. Mais tu fais ça vraiment bien.


Avec douceur il repoussait mon visage, il retirait sa queue, je me relevait, il m'embrassait et m'attrapait les couilles et se dirigeait vers la sortie. Je suivais, on arrivait dans un zone plus éclairée, c'était bien un black. J'étais content et ma queue aussi, enfin en tout cas elle manifestait.


Je tenais ma serviette dans la main il portait la sienne sur l'épaule. Il me tirait par les couilles, il y allait doucement il ne voulait pas me faire mal, je posais ma main sur sa main par réflexe. Et de force, je suivais.


– Tu bandes là ?


Je faisais oui de la tête, et lui souriais. Il se penchait de nouveau vers moi et m'embrassait. J'aime bien  sa manière de me montrer une certaine, une vraie douceur cachée derrière une force virile, il me tenait fermement par les couilles même s'il ne me faisait pas mal. 


Il entrait dans une cabine, je suivais. Il me repoussait je tombais sur un épais matelas sur le sol, il me lâchais les couilles.  Je me laissais tomber, le matelas était recouvert d'une matière caoutchouteuse lisse et douce. Il refermait la porte et allumait la lumière à fond. 


Je pouvais enfin l'admirer, il était magnifique, il faisait une tête de plus que moi, il était plus large et surtout sa queue … Mais bon dans ce genre de situation la comparaison ne pouvait pas être à mon avantage. 


Il s'agenouillait entre mes cuisses qu'il écartait largement et se penchait sur mon sexe.


– Voyons ça ! C'est la première fois que je tombe sur un mec avec ce genre de dispositif.

– On n'est pas encore très nombreux !

– Et ça ne fait pas mal ton truc ?

– Non ça va !

– J'adore.


Il me regardais droit dans les yeux et continuait à me tripoter les couilles, ça l'amusait de voir ma nouille enfermée dans cette cage, très esthétique par ailleurs, la peau de ma bite faisait des sortes de bourrelets à chaque trou d'aération. Il jouait avec ma bite, il affichait sur le visage un large sourire satisfait. 


Sans prévenir il me relevait les deux jambes, plaçait mes chevilles sur ses épaules, se lubrifiait la bite, me lubrifiait le cul … Ça n'avait pris que quelques secondes. Je le voyais décidé là, vraiment décidé.


Il se penchait vers moi en me soulevant les fesses qui devenaient accessible et il m'enfonçait sa queue dans le cul. En un mouvement, un seul il était en moi et son ventre s'écrasait contre mes fesses.


Je l'ai senti passé je vous le jure. J'ai un peu couiné. Je n'ai surtout pas serré les fesses mais je l'ai senti passé. J'ai vu des étoiles, j'ai bien cru que ça n'allait pas passer à fond. C'était à la limite mais c'était encore dans les limites.


Il se penchait sur moi, je me retrouvais plié en deux et c'est pour m'embrasser qu'il penchait son visage contre le mien. C'était pour l'embrasser que je relevais le mien. 


Il passait ses deux mains derrière ma tête, moi je ne pouvais pratiquement plus bouger. Je subissais, j'ai dégusté, je l'ai senti passer mais j'ai aimé. 


Il se retirait et revenait avec force. Il se retirait encore, ressortait totalement et en profitait pour se lubrifier d'avantage. Moi j'en profitais pour respirer bien à fond. J'avais laissé ma tête retomber sur le matelas et je fermais les yeux. 


Il ne prévenait pas plus que la première fois au moment ou il est revenu. Il y est allé un peu plus doucement et j'ai senti chaque centimètre, chaque millimètre et il y en avait des millimètres. Elle n'était pas seulement large. 


Au moment ou il arrivait à fond, il donnait un violent coup de bassin, je me contractait, par réflexe je tentais de le repousser en redressant mes jambes mais c'était sans résultat, il était plus costaud que moi et jouait avec mon corps, j'étais un jouet dans ses bras. 


Il me limait le cul aussitôt, il ne se retenait pas, il ne retenait pas ses coups. J'ai râlé, c'était du plaisir, pas que mais surtout du plaisir. Pendant de longues minutes il me labourait le cul. C'était le pied. Une fois bien dilaté, ça passait tout seul, c'était violent mais ça passait tout seul. J'ai vraiment aimé.


Je râlais de plaisir, il s'est relevé, m'a écarté les jambes et me les lâchait. J'en profitais pour les refermer dans son dos et je le retenais de toutes mes forces.


Je l'ai vu sourire à ce moment. Il s'est penché sur moi et m'a embrassé. Ensuite il passait les bras dans mon dos et me serrait contre lui, quand il se relevait, il me relevait avec lui. Je me retrouvais empalé sur sa queue, il s'asseyait en tailleur, il était toujours en moi. Il m'avait retenu autant que je m'étais retenu à lui. 


C'est de tout mon poids que je me retrouvais empalé sur sa queue. Je penchais ma tête vers lui et l'embrassait partout ou je le pouvais. Mes lèvres rencontraient les siennes on s'embrassait avec passion. Il se balançait sur ses chevilles et à chaque fois je prenait sa queue bien à fond dans le cul.


C'était dur, il fallait encaisser, ça faisait mal mais c'était tellement bon. Je me balançais en même temps que lui. J'ai joui à ce moment et il s'en ai rendu compte. J'ai joui mais je n'ai pas juté. J'ai tremblé, je ne contrôlais plus mes gestes, je tremblais, je ne contrôlais plus rien.


Mon corps se redressait tout seul, je me cambrais, j'étais un peu comme fou, fou de plaisir. Pourtant ce plaisir n'était pas gratuit, il était à la limite à la douleur, une douleur qui aurait du être intense mais qui restait dans les limites de la jouissance, de l'orgasme.


Je l'ai senti vibrer,  j'ai senti son corps se saisir, se contracter. J'ai crié quand il m'a donné le dernier coup de bassin, il jutait en moi, et moi, je  jouissais sur lui. On était synchrone.


Mon cœur allait exploser, je sentais le sien qui battait au moins aussi fort que le mien. 


On ne bougeait plus, on se regardait dans les yeux, on échangeait des baisers, des baisers tendres. Et même si la violence restait là, je veux dire, sa queue qui était toujours en moi restait dure pendant un moment, puis la douceur revenait.


Ses caresses devenaient d'une extrême douceur et j'ai apprécié autant ce moment ou sa queue qui redevenait plus petite et molle se retirait toute seule de mon cul. J'ai apprécié de la sentir glisser hors de moi, autant que j'ai apprécié ses caresses et ses baisers. 


J'étais retourné. 


C'est la serviette dans la main que je le suivait sous la douche, il me tenait par la main, l'autre main. On s'est lavé l'un l'autre, c'était pour ça qu'on y était allé à deux. Tout le monde me regardait, puis le regardait. On pouvait presque entendre les pensées, ou alors on les imaginait peut être. Comme on aurait aimé les entendre.


On a continué à discuter jusqu'à la fermeture. On a échangé nos numéros de téléphone et on s'est revu. Quelques temps plus tard il avait acheté un cadenas. C'était un modèle sérieux, il m'a demandé de le mettre sur ma cage et en a gardé la clé … Finalement il avait aimé ce gadget et continuait à jouer avec moi. 



Fin 




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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