Presque frères 06

 Presque frères 06



Là je vous jure, il m'avait bluffé. J'arrivais pas à y croire. Quelques heures plus tôt, quand son père l'avait appelé, c'était pour mettre ce dispositif de chasteté. Il le porterait jusqu'à la prochaine rentrée scolaire, ensuite il entrerait dans l'université PK, et il le porterait pendant … Ça nul ne le savait …


Il n'était pas question que je le suive, ça il le savait. Mais je bandais comme un fou et je finirais bien par l'enculer d'ici peu de temps, ça aussi il le savait. En attendant, le voir avec ce truc sur lui m'excitait au plus  haut niveau, et je bandais. Là moi je bandais, ma queue était libre et en profitait. 


On a bougé, on a joué, on s'est baigné et on s'est aussi allongé au soleil pour se faire bronzer. Je bandais, je bandais comme jamais. J'avais toujours trouvé ce genre de dispositif repoussant mais là il ne me repoussait pas du tout. 


C'était peut être parce que c'était pas moi qui le portait. 


Par moment on se faisait des câlins, j'étais demandeur et c'est lui qui dirigeait. 


Il a fini par me sucer la queue. On était là allongé au soleil, j'étais nu, lui il l'était presque, oui presque, un tout petit truc faisait la différence. Ça m’excitait son truc, ça m'excitait, je lui tripotais les couilles,  je n'arrivais pas à me retenir et je bandais. 


On était devenus bon à ce jeux, je suçais bien et lui aussi, seulement maintenant, c'est pas lui qui se faisait sucer … Je regardais ma queue qui rentrait et ressortait de sa bouche avec régularité. C'était doux, ce n'était que douceur. Je sentais sa langue qui me caressait le gland, puis glissait le long de ma queue qui s'enfonçait et s'écrasait contre ma glotte et continuait encore plus profond, elle glissait dans sa gorge.


J'avais l'impression que le manque l'encourageait et que depuis le temps qu'il portait ce dispositif, il suçait mieux, il ne m'avait jamais sucé aussi bien. Enfin quand je dis le manque, ça ne durait que depuis le début de la matinée. Quelques heures seulement, quelques heures, qui changeaient tout ? Ou alors c'était moi qui me faisait des idées.


Il appuyait son visage entre mes cuisses et ma queue disparaissait. Il relevait son visage et elle ressortait. Il faisait ça avec talent, il faisait ça bien.


Sa peau était douce, je la caressais, elle était chaude, le soleil nous donnait de belles couleurs. Là encore il n'y aurait pas de trace du maillot de bain, pourtant on s'était baigné. 


Je lui caressais les fesses, je lui tripotais les couilles, il me laissait faire, je m'amusais avec son corps il me donnait du plaisir avec ma queue. Puis je me lubrifiais un doigt avec ma salive et doucement je le lui glissais dans le cul. Il a couiné.


Rapidement je glissais un autre doigt, il couinait de nouveau et recommençait a me sucer avec vigueur. De nouveau je sentais mon gland glisser contre sa la langue ou s'écraser contre le fond de sa gorge. Là c'est moi qui couinait de plaisir. 


Nous restions là, presque sans bouger, sa tête se soulevait ou se penchait sur ma queue et deux doigts gigotaient dans son cul. Nos corps se touchaient, ils glissaient l'un contre l'autre et chacun caressait l'autre avec tout son corps. 


Il arrêtait de me sucer, j'arrêtais de lui masser la prostate. Il s'allongeait sur moi et on se couvrait de baisers et caresses. C'est moi qui prenait le contrôle, je le retournais sur le dos et lui donnais des baisers dans le cou, mes lèvres descendaient vers ses tétons et je le faisait gémir.


Je sentais sa cage de chasteté qui tentait de se relever, elle y parvenait mais en partie seulement. Il y avait de la pression, la peau ressortait à chaque ouvertures, vous savez ce n'est pas un tube hermétique, cette époque est loin. Aujourd'hui il s'agit de dispositif très bien dessinées, avec une forme anatomique, invisible sous une étoffe et même sous un pantalon moulant. 


Là ça donnait un beau renflement très avantageux. Ce n'était que du chiqué mais on ne pouvait vraiment rien deviner si on n'était pas averti. Je lui donnais des baisers sur le ventre et en même temps lui tripotais les couilles. Il se laissait faire. 


C'est là qu'on a entendu un cri suraigu. On a sursauté, c'était Emmanuelle, la fille qu'on avait rencontré ici, sur cette petite île, quelque temps plus tôt.


– Mais vous en êtes encore là ? S'écriait-elle.


Sa tête apparaissait par dessus la dune, elle était nue comme la dernière fois, la dune était minuscule mais il y en avait une quand même. Je relevais la tête et lui souriait. Tommy levait les yeux dans sa direction, il était allongé sur le dos. C'est à ce moment qu'elle a vu sa cage de chasteté. Elle a poussé un autre cris suraigu. Ça semblait beaucoup l'amuser ce genre de truc.


– Fais voir, fais voir, fais voir ! J'en ai souvent entendu parler mais j'en ai jamais vu.


Elle sautait par dessus la dune, remarquez elle ne faisait pas plus d'un mètre cinquante de haut et déboulait juste à côté de nous. Elle me repoussait presque et se penchait sur Tommy.


– Ouah, c'est super ce truc, c'est super beau, moi j'adore.


Sans demander elle lui caressait les couilles, en faisant des commentaires, il me regardait sans cacher sa surprise mais la laissait faire. 


– Il faudra épiler !

– Je me demande si la cage n'est pas trop petite ?

– Remarque il parait que c'est normal !

– Si c'est trop gros c'est pas la peine.

– Et puis tu as une grosse queue, donc c'est normal si c'est trop petit.

– …


Elle se blottissait contre mon camarade en le caressant.


– Tu dois avoir besoin de réconfort mon pauvre. C'est pas trop dur à supporter après plusieurs semaines ?


Son corps glissait contre celui de mon ami, ils étaient beaux tous les deux, et moi qui bandait déjà, je bandait encore plus ferme. Je regardais la scène, Emmanuelle semblait m'avoir totalement oublié.


Elle le couvrait de baisers, il la caressait, sa cage se relevait, elle débordait. Bon il ne tentait même pas de la repousser, qu'est ce que vous voulez que je fasse, je n'avais pas le choix, je n'avais qu'à laisser faire. 


Les deux corps glissaient l'un sur l'autre et roulaient sur le sable chaud. Les mains Tommy se glissaient dans les parties les plus intimes du corps de notre nouvelle amie. Elle laissait faire. Je tentais de lui caresser une fesse et recevais aussitôt une tape sur la main. C'était Emmanuelle.


– Tu crois peut être que je t'ai pas vu venir toi. Met une cage si tu veux t'amuser avec moi !


Là je ne comprenais plus rien. J'ai décidé d'aller prendre un bain, et quand j'arrivais dans l'eau, je me retournais pour voir ce qui se passait. Ils étaient presque mélangés et je me demandais si c'était vraiment un cadeau qu'elle lui faisait. Sa frustration serait au plus haut niveau. Il ne pourrait pas aller bien loin dans sa situation, enfin il ne pourrait pas aller assez loin pour lui. 


Le plaisir c'était pour la petite !


Je plongeais, l'eau était plus fraîche que quelques semaines plus tôt, les jours aussi étaient plus courts et plus frais. Je bandais toujours. 


J'ai nagé pendant un long moment puis je me préparais à remonter sur le sable. En m'approchant je les voyais. Elle avait posé ses genoux de chaque côté de la tête de Tommy et était presque assise sur son visage, je devinais des mouvements de sa part, je devinais sa langue qui devait lui lécher la vulve. 


La cage de mon camarade était totalement relevée sur son ventre, la pression y était intense et par moment Emmanuelle se penchait sur le corps de mon ami pour le caresser et déposer des baisers, et elle ne se privait pas de lui caresser les couilles et de les luis lécher également.


Je bandais encore et ma queue s'allongeait fièrement à l'horizontal devant moi mais à la vue de ce spectacle, ma queue s'est relever avec force contre mon ventre. Je suis retourner dans l'eau et j'ai nagé, j'ai fait le tour de l'île. En revenant au même endroit, ils étaient toujours au même point, j'ai fait un second tour. 


Ce qui me consolait dans cette histoire c'est qu'il serait frustré comme jamais et de retour à la maison, c'est moi qui allait en profiter. Je n'avais pas le droit de toucher à la fille, et bien je me vengerais sur le cul de mon copain !


Au passage suivant ils étaient dans l'eau. Emmanuelle semblait radieuse, Tommy souriait mais j'avais l'impression que c'était un sourire de convenance. Pour Emmanuelle, il n'y avait aucun doute, elle avait pris son pied.


Elle était coquine c'est à peine croyable, quand je me suis rapproché elle m'a sauté au cou et elle m'a embrassé sur la bouche. Son corps glissait contre le mien, ses seins étaient fermes ses bras étaient fort et ses lèvres étaient douces.


Je me calmais à peine mais son corps chaud réveillait ma queue qui était encore dure. Elle se relevait avec force contre mon ventre. Emmanuelle rigolait de ma réaction.


– Ton copain Tommy sait se tenir lui au moins.


Puis elle s'éloignait en me caressant la queue. Elle avait un corps magnifique qu'elle balançait avec légèreté en se retournant de temps en temps pour voir notre réaction.


On est retourné s'allonger sur le sable, je bandais, je ne parvenais pas à me calmer. Tommy bandait, enfin il essayait, sa queue protestait dans sa cage et elle a protesté tout le reste de la journée. Pour moi aussi, ma queue a protesté jusqu'au soir. Simplement pour moi, ça se voyait. 


Elle était chaude la petite, en tout cas elle nous a bien chauffé la cervelle ce jour là. Elle nous laissait la caresser, enfin elle laissait Tommy la caresser. J'ai bien essayé moi aussi mais à chaque fois elle me disait.


– Tu mets une cage à bite toi si tu veux me toucher !


Par contre, elle ne s'interdisait pas de me toucher, elle m'a un peu tripoté les couilles, elle m'a un peu masturbé mais seulement quelques secondes, juste pour voir. En fait ça l'amusait de voir deux très beaux garçons tirer la langue devant elle. 


Ah les filles !


– Il a l'air chaud Tommy avec son truc sur la queue ! Ça fait combien de temps ?

– Depuis ce matin ! Répondais-je.


Elle se retournait vers lui. Il faisait oui de la tête.


– Ça ne fait pas longtemps alors ? Ça devrait aller ?

– Oui avant que tu n'arrives, ça allait encore. Lui répondait-il en se redressant et en la prenant dans ses bras.


Ils était juste là, à côté de moi et il la caressait, il glissait sa main entre ses cuisses, elle l'encourageait. Avec son autre main il lui caressait la poitrine … Elle l'encourageait. Et moi je bandais, ma queue était aussi dure qu'un morceau de bois et fortement relevé contre mon ventre.


Le soleil commençait à descendre vers l'horizon quand la petite Emmanuelle se levait, ramassait sa serviette, le penchait vers Tommy et lui donnait un tendre et chaud baiser en lui tripotant les couilles. Elle se retournait vers moi se penchait et me donnait un baiser sur le bout de la queue, je bandais encore bien, et brusquement je bandais de nouveau comme un fou. Surtout qu'elle y a mis la langue. 


Tommy rigolait en la voyant faire mais c'était uniquement pour cacher qu'il n'était pas vraiment à son aise. 


On s'est rhabillé, enfin un minimum, avec mon maillot de bain on pouvait facilement voir dans quel état j'étais. C'est vrai que mon copain Tommy était plus présentable. C'était même une forme avantageuse qui paraissait, moi c'était plus explicite.


On a mis en plus un short large et nous étions présentable.  On a ramené la petite comme la première fois, on avait accroché sa planche à notre petit bateau, elle est restée les seins nus jusque dans le port de plaisance. Elle est insupportable quand elle s'y met ! 


A la maison on s'est changé, nos parents avaient prévu une soirée restaurant et ils ne nous laissaient pas le temps de prendre une douche. On était arrivé en retard. Le soir on était dans un état, je ne vous raconte pas, on n'en pouvait plus. Je bandais toujours, je gardait une grosse molle, c'était agréable. La moindre stimulation me faisait bander ferme, quand j'ai vu la cage à bite de Tommy, je me suis mis à bander de nouveau. 


J'ai pris un pantalon large et des sous vêtements serrés.



A suivre




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

INDEX

                              Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.                                         PAGE D&...