Presque frères 07

 Presque frères 07



Pendant tout le repas je suis resté avec une grosse molle mais je ne laissais rien paraître. Tommy lui est resté avec une grosse dure contrariée mais lui non plus ne laissait rien paraître.


Pour lui c'était plus facile. Enfin plus facile de dissimuler qu'il bandait je veux dire, surtout par rapport à moi. Je me souviens m'être dit qu'il me faudrait une cage à bite pour moi aussi mais j'ai rapidement chassé cette idée de ma tête.


J'étais retourné. Après le repas Tommy n'était pas pressé de rentrer, moi je ne pensais plus qu'au moment ou je me retrouverais seul avec lui. Au moment ou je pourrais l'enculer. 


Bein oui quoi, on savait tous les deux que ça se terminerait comme ça.


On a retrouvé nos copines, celles qu'on avait trouvées pour l'été … Pour moi, le cœur n'y était pas. Ma copine s'est bien amusée quand elle a vu que je bandais. Elle s'amusait avec moi, elle s'amusait de moi. Je la laissais faire. Elle me glissait à l'oreille.


– Tu peux t'exciter tant que tu veux, ça n'ira pas plus loin … Puis elle rajoutais … Je peux toucher ?


J'ai fait oui de la tête et elle ne s'est pas privé de bien tâter. Elle était impressionnée de la taille. 


On s'était allongé sur le sable de la plage principale, dans un coin tranquille. À quelques dizaines de mètres il y avait des passants et un peu plus loin des voitures et toute l'agitation d'une ville.


D'un œil je surveillais Tommy, sa copine s'amusait avec lui de la même manière. Moins timide elle avait glissé sa main dans le pantalon de mon copain et s'était lancée dans la découverte.


Elles nous entraînaient à la limite de l'eau, la mer était basse et nous étions alors assez éloignés de la route, il faisait sombre. Sans prévenir elles retiraient tous leurs vêtements et nous défiaient de les suivre au moment ou elles plongeaient.


On est resté perplexe pendant quelques instants puis Tommy qui n'aurait pas de mal à rester présentable se mettait également à poil et les suivait. J'en ai fait de même mais moi, j'étais moins présentable, enfin moins convenable. Mais je suivais tout de même.


Il faisait encore doux, l'eau était fraîche, ça aurait pu me calmer mais … non ! Finalement non, ça ne me calmait pas. Je bandais depuis le milieu de l'après midi et il m'en fallait plus que ça pour me calmer, bien plus. 


J'arrivais dans l'eau en dernier. On s'amusait à s'arroser, les filles me regardais, et  pas du coin de l’œil, non. Elles se rinçaient l’œil et ne cachaient pas qu'elles étaient impressionnées.


– Et toi Tommy, tu es aussi bien monté que ton pote ? Demandait l'une.

– On a la même taille ! Répondais-je fièrement sans me cacher.


Tommy arrivait sur sa copine comme un fou et la prenait dans ses bras avec autant de douceur que de force. Elle se cramponnait à lui et refermait ses jambes dans son dos. 


Ma copine arrivait sur moi mais elle était plus réservée. Me prenait la main et la mettait devant mon sexe.


– Voilà tu mets ta main la, si tu ne veux pas mettre toi aussi une cage, ça évitera tout accident …


J'étais pas à mon aise. Finalement c'était Tommy qui était le plus tranquille. Moi il fallait que je fasse attention à ce que je faisais, au risque de me prendre une gifle alors que mon pote, lui pouvait se laissait aller, rien ne dépasserait. 


On finissait par remonter sur le sable sec et tout le monde s'allongeait sur le sol. Elles nous ont laissé découvrir leurs corps mais uniquement avec les doigt et les lèvres. 


– Attention pas trop intrusif Tomas. Me faisait remarquer ma copine.

– Toi pareil, rajoutait la copine à Tommy, même s'il y a moins de risques avec toi.


On est resté là, chacun recouvrait sa copine de baisers de câlins. On s'est retenu d'être plus intrusifs mais je vous jure qu'il n'aurait pas fallu grand chose de plus pour que moi, je devienne beaucoup, beaucoup plus intrusif.


La nuit était bien avancée quand on a décidé de rentrer. Je bandais comme un malade et j'étais obligé de me retenir, de ne rien montrer. Là je ne pensais pas du tout à mon pote, je ne pensais absolument pas à ce qu'il pouvait éprouver. Il était neutralisé, il ne bandait plus, enfin plus pour le moment, il ne pouvait pas se soulager, se branler. Il ne pouvait que se résigner.


Ça ne devait pas être plus facile pour lui mais je m'en moquais, à ce moment précis, je m'en moquais.


En arrivant à la maison je me précipitais vers la salle de bain ou je retirais mes vêtements. Je plongeais sous la douche. Ma queue se relevait fièrement contre mon ventre, je me retournais, il y avait mon camarade Tommy dans l'ouverture de la porte, il était entièrement nu et le voir comme ça avec sa cage ne me calmait pas .


Il approchait, il se glissait sous la douche avec moi, me prenait dans ses bras et m'embrassait. Il ne lui fallait que quelques secondes avant de tomber à mes pieds et il me suçait la queue.


En fait je n'attendais que ça. Il était trois heures du matin et j'attendais ça depuis les quinze heures sur la plage. C'est à peu près ce qu'on avait commencé à faire quand l'autre fofolle d'Emmanuelle avait débarqué. Ensuite ça s'était barré en cacahuètes.


Mais maintenant on était enfin entre nous, on pouvait se détendre, je me détendais et je passais ma main sur le dos de sa tête. Au début je le laissais faire puis sans prévenir je tirais fermement sa tête vers moi. Ma queue s'enfonçait rapidement bien à fond. Je l'avais pris par surprise et n'avait pas eu le temps de réagir. 


Il encaissait bien. Quelques secondes plus tard je recommençait puis lui prenait fermement la tête avec les mains je lui limait la bouche. Il se concentrait, il ouvrait la bouche le plus large qu'il pouvait et il me laissait faire. Il restait seulement concentré pour que je sente pas les dents.


Ma queue glissait avec une étonnante fluidité, mon gland rencontrait d'abord ses lèvres, la langue suivait, tout d'abord elle me caressait le gland puis glissait contre ma queue au fur et à mesure qu'elle s'enfonçait. Ensuite ma queue s'écrasait contre sa gorge, glissait encore un peu plus profond puis je ressortais. 


Il reprenait son souffle, puis je recommençais. De nouveau je le tirais sans ménagement vers moi, de nouveau ma queue glissait jusque dans sa gorge. Je le sentais se détendre, en fait il était terriblement concentré à paraître détendu.


On continuait ce jeux pendant un long moment, l'eau coulait sur mon corps, sur ses cheveux, je sentais le plaisir monter, j'ai laissé faire. Je ne me suis pas retenu et quand j'ai joui, j'ai éjaculé trois fois dans sa bouche en le retenant. Il n'a pas tenté de se dégager il a tout pris dans la bouche. Trois grosse giclées de sperme bien chaud.


Ensuit, aussitôt après il s'est relevé et m'a embrassé, il avait gardé mon sperme dans la bouche et nous partagions le goût de ma sève dans un baiser chaud et intense.


Ensuite on s'est lavé. Ensuite on s'est lavé l'un l'autre. On s'est lavé de très près, dans les parties les plus intimes de nos deux corps, sauf les dents … 


Je me sentais mieux, je me sentais détendu, je cessais enfin de bander, ma queue se transformait alors en grosse molle qui pendait lourdement entre mes cuisses. C'était agréable et plus encore même. À ce moment encore je ne pensais pas du tout à ce que ressentait mon camarade. Je me sentais mieux, j'avais joui et il était tard, à ce moment j'avais surtout envie de dormir.


On à terminé de se laver puis on est allé se coucher. Je me suis endormi presque aussitôt. Mon camarade Tommy lui à mal dormi. Il m'avait donné du plaisir mais était resté sur sa faim, je ne lui avais rien donné en échange. 


C'est lui qui m'a réveillé le lendemain, il n'était pas neuf heures du matin, il me suçait la queue avec ardeur, je me réveillais, je bandais, j'avais le sourire. Je lui caressais les cheveux et l'encourageais. C'est à ce moment que j'ai eu envie de lui défoncer le cul.


Pour commencer je le laissais faire. Nous avions fais des progrès depuis le début de cet été particulier qui avait été une période de découverte du plaisir et de nos corps. Je le laissais faire et j'en profitais. 


Ensuite je le prenais dans mes bras et lui faisais un gros câlin. Il se laissais faire l'animal, je lui tripotais les couilles et je sentais la pression qu'il y avait dans sa cage. La peau de sa queue ratatinée poussait contre les ouvertures et ressortait en faisant de sortes de bulle, c'était joli mais je ne pense pas ça devait être confortable. Mais c'est vrai que ce n'est pas ce qui me préoccupait.


Je m'amusais un moment avec ses couilles, elles formaient une grosse boule bien ferme alors que les miennes se balançaient comme deux bourses bien pleine, les siennes semblaient gonflées jusqu'à devenir bien dures.


Nos deux corps roulaient l'un sur l'autre et je profitais que j'étais en position dominante pour le faire rouler en dessous de moi. Je me laissais alors retombé sur son dos. J'attrapais le gel, me préparait et d'un mouvement violent je lui glissais ma queue dans le cul. Il a râlé, je lui ai peut être fait un peu mal mais il m'a laissé faire.


Quelques secondes plus tard j'écrasais mon ventre contre ses fesses et je poussais de toutes mes forces. Lui il gémissais mais toujours sans essayer de se dégager. C'est ça, qu'il avait attendu la veille au soir, il voulait juste se faire enculer, se faire défoncer le cul et je ne lui avais laissé que le droit de me sucer.


Je me retirais et revenais à la charge avec un mouvement lent mais décidé, je me retirais une nouvelle fois et là lubrifiais rapidement puis je revenais avec force. Il a couiné de nouveau, je recommençais.


Rapidement je lui limais le cul avec régularité et force, il râlait quand je m'enfonçais, il gémissait quand je me retirait et quelquefois faisait le contraire. Enfin c'est lui qui faisait le plus de bruit.


Au bout d'un moment je me retirais complètement, je le retournais alors sur le dos et lui relevais les jambes. Son cul m'était offert, à ma portée, à ma disposition. Une goutte de gel lubrifiant et j'enfonçais ma queue bien à font dans un mouvement lent mais décidé.


Il accompagnait mon mouvement avec un long gémissement, une longue plainte de plaisir. Ensuite je m'agitais et le limais avec force. Je plaçais ses cheville au niveau de mes épaules et le tirais ver moi en plaçant mes mains sur ses cuisses. Ma queue entrait entièrement et à chaque fois que je m'enfonçais mon ventre s'écrasait contre ses fesses, je rajoutais un coup de bassin bien violent.


Il n'était plus que gémissement de plaisir, il se détendait et devenait tout mou. Plus aucune résistance, il se laissait faire. J'avais ses couilles sous les yeux, elle restaient toujours aussi fermes et je m'amusais à les écraser dans ma main avec plus ou moins de force. Je ne voulais pas lui faire mal mais je voulais qu'il le sente bien. 


Avec un tel traitement il me fallait plus très longtemps pour obtenir la réaction prévue. Je l'ai vu éjaculer, son urètre était juste bien placé dans l'axe de l'ouverture de la cage, il a éjaculé avec force et un jet bien épais s'élançait et venait s'écraser sur son visage. Plusieurs autres jets atterrissaient sur son torse, et le dernier arrivait sur ses lèvres. 


En même temps je sentais ses entrailles se contracter et me masser la queue. Quelques secondes plus tard je jutais également mais là, c'était moins spectaculaire, c'est en lui que j'éjaculais et c'était le pied. 


Je me laissais alors retomber sur lui et goûtais à sa sève en lui donnant un baiser sur ses lèvres. Il refermais ses jambes dans mon dos et on terminait par un gros câlin, on ne bougeait presque plus.


La fin des vacances approchait, on profitait des derniers jours de l'été tranquillement puis on se préparait à rentrer à la maison. On terminait par un grand nettoyage, nos copines étaient déjà reparties, les amours d'été ne durent généralement qu'un seul été. 


Nos familles étaient amies comme je vous le disais et voisines également à la ville comme à la mer aussi on rentrait tous ensemble. Quelques jours plus tard avec Tommy, nous faisions route ensemble dans la même voiture, à l'arrière. Son père et sa mère se relayaient au volant …


Nous serions internes et nous allions nous voir moins souvent. J'avais envie de le toucher, de le caresser mais ses parents étaient là.



A suivre




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


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