Zone de recherches Ep02 : Premier jour

 Zone de recherches Ep02

Premier jour



On se réveillait tôt. Il était là il me regardait et me faisait un large sourire.


– Alors bien dormi ? Me demandait-il.

– Super et toi ?


Je pensais au plaisir qu'il m'avait offert dans la nuit puis je sortais de ma couchette. J'étais à poil, il se levait aussi il était presque à poil, je dis presque à cause de son dispositif de chasteté. C'était ça le presque mais pourtant c'était une différence énorme.


Je voulais prendre une douche et j'ouvrais la porte de la cabine. C'était plein, c'était plein de cartons de tout genre.


– On utilise cette cabine de douche pour ranger différentes choses fragiles. Me disait-il. Pour la douche ça se passe dehors.


Il sortait comme il était, c'est vrai qu'il portait un dispositif de chasteté et de fait il était décent mais moi j'étais à poil mais c'est dans cette tenue que je le suivais. 


Les douches était spartiates, ils avaient même oublié le rideau. Ça ne me dérangeait je passais sous la douche. Rapidement les quatre autres arrivaient. Les quatre autres arrivaient et ne cachaient pas leur surprise de me voir sans cage de chasteté. Ils étaient tous à poil et rapidement je voyais leurs cages se mettre sous pression. Elles se relevaient et se balançaient aux rythmes de leurs cœurs.


Je leur faisais envie !


Ils me regardaient et je me douchais. Je sentais ma queue grossir, je me contrôlais mais elle prenait du volume, elle restait toute molle et rapidement j'avais une grosse molle qui se balançait lourdement entre mes cuisses. Je m'en amusais, eux pas vraiment. Je me séchait puis je passais un short ample. C'était sans doute par taquinerie que je ne mettait volontairement pas de sous vêtement et je sentais leurs regards insistants sur moi. 


Ils passaient ensuite sous la douche, comme je vous le disais les douches étaient spartiates mais il y avait de la place. On logeait facilement à trois, et ils passaient à plusieurs. D'un coin de l’œil je les regardais et je m'en amusais, ils avaient l'air un peu empotés avec leur cages qui se redressaient.


Quand ils sortaient de la douche il gardaient une serviette autour de la ceinture. Un peu plus tard il enfilaient un short ample à leur tour mais là on ne voyait qu'une bosse sous le short, moi je laissait apparaître une sorte de matraque qui se balançait.


Il était tôt le matin et déjà ils commençaient à bien me chauffer la cervelle tous les cinq. On prenait notre petit déjeuner, ensemble, on parlait du programme de la journée. Djef devait rester au camp pour faire diverses analyses, les quatre autres, partiraient faire une étude sur le terrain. Je resterais donc avec Djef.


Djef et moi nous connaissions, nous avions fait connaissance dans la nuit.


Donc le groupe se séparait très tôt le matin juste après le petit déjeuner. Ils seraient tous de retour pour le dîner, on devait le prendre ensemble. On discutait quelques minutes Djef et moi puis nous nous mettions au travail. 


Je remarquais son jeux de regard, il me surveillait du coin de l’œil l'animal. Je sentais ma queue se balancer lourdement, je ne débandait pas, même si en fait je ne bandais pas vraiment. C'était peut être une simple impression mais je la sentais bien, je la sentais lourde, grosse, je la sentais se balancer, elle glissait contre l'étoffe de mon short.


Ça devait se voir, son regard se dirigeait régulièrement vers mon entre jambe. Je commençait à bander, doucement mais sûrement. Son regard devenait insistant, il me regardait avec insistance, je veux dire il regardait mon entre jambe avec insistance. C'est vrai qu'à ce moment je bandais ferme. 


Son petit jeux de regard m'avait bien échauffé la cervelle et je me souvenais de la nuit précédente, je savais maintenant qu'il suçait bien le petit gars. Je je regardait droit dans les yeux mais lui, ce n'était pas mes yeux qu'il regardait.


Quand il finissait par relever le regard et à me regarder  plus franchement, je veux dire par là, dans les yeux, je lui souriais.


Il devenait tout rouge de confusion, et me rendait mon sourire. Il tentait de dire quelque chose mais il était confus et ne parvenait pas à articuler un son. Mais j'avais compris ce qu'il voulait me dire .


Je lui posait ma main sur l'épaule, nous étions torse nue. Je passais ma main sur la nuque et le tirait vers moi. J'y allais avec douceur mais il ne résistait pas et je n'avais pas besoin de forcer. 


Il tombait presque sur mes lèvres et nous échangions un baiser très intense. Quand nos lèvres se séparaient enfin je bandais, nous nous tenions tendrement enlacés. 


Il me regardait dans les yeux et se laissait tomber à genoux devant moi. Sans rien demander il baissait mon short et me suçait la queue. Il n'avait pas prévenu, rien ne laissait présumer ce qu'il allait faire. Enfin, quand je dis rien, j'exagère un peu, son regard en disait long. On y voyait autant de désir que de désarroi. Mais en tous cas il suçait bien, il suçait toujours aussi bien.


Je le laissais faire pendant un petit moment, puis sans prévenir je le soulevais en le prenant sous les bras. Il se laissait faire et se relevait, je le retournais, il  ne résistait pas …


Sans rien dire je le poussais doucement en avant, il se penchait, je lui baissais le short et en quelques gestes je me lubrifiais la queue, il me laissait faire. Je prenais position et c'est à ce moment qu'il a hurlé. C'est aussi à ce moment que j'ai poussé ma queue dans son cul. J'allais dire ' glisser ' mais on ne peut pas vraiment dire que ça glissait. C'était lubrifié à mort mais il n'était pas vraiment large il a fallu élargir le passage, j'ai du forcé, il a continué à hurler.


Il hurlait encore au moment ou mon ventre s'est écrasé sur ses fesses mais il ne tentait pas vraiment de se dégager. Il gémissait, il criait, par moment il hurlait. Avec sa main il me retenait. Je commençais à lui limer le cul, j'enfonçais ma queue bien à fond et la ressortais. C'était bon, largement autant que quand il me suçait quelques secondes plus tôt. 


Mais là il fallait garder la forme, il était étroit le petit gars, ça passait mais ça passait en force. Je sais plus si  je vous ai dit mais je suis pas trop mal monté, j'ai une belle bite quoi, bien large, surtout bien large. Là je vous jure, ça fait pas semblant, j'en ai fait couiner plus d'un avant ce petit gars. Je savais qu'il ne serait pas le dernier mais là j'en profitais.


Je sentais la douce friction de mon gland contre les parois de son anus. Je sentais tous ses muscles se contracter autour de ma queue. Je le sentais se cambrer, il finissait par se défendre, par gigoter. Là il ne hurlais plus, il gémissait. J'avais l'impression qu'il pleurait mais il se cramponnait à je ne sais quoi et surtout il me laissait continuer.


Je ressortais complètement ma queue. De nouveau je le sentais gémir et respirer fort. Je faisais comme une courte pause, en profitais pour bien lui lubrifier le cul et sans prévenir revenais à la charge. 


Je lui glissais ma queue dans le cul. Ça glissait un peu maintenant, ça résistait mais je forçais, lui il hurlait par moment … le reste du temps, quand il ne hurlait pas, il gémissait fort et gueulait.


Mais comme il ne me demandait pas d'arrêter, bein , j'ai continué. Je me donnais à font, mes coups de bassin devenaient violents. Mon ventre frappait contre ses fesses et claquait fort à chaque fois qu'il frappait. Et chaque fois il poussait un cri. Il criait moins fort qu'au début, j'en concluais qu'il devait apprécier et je continuais à m'acharner.


C'est dans ma nature, j'aime bien faire plaisir.


Il criait fort même s'il ne hurlait plus. Il pleurait, en tout cas c'est l'impression qu'il me donnait, il gémissait. Je l'avais retourné. J'adore mettre un mec dans cet état et tant qu'il ne me demande pas de tout arrêter c'est qu'il en veut encore plus et moi comme je le disais à l'instant, j'aime bien faire plaisir.


Là je me mettais à le limer avec régularité, je le retenais par les hanches et le tirais vers moi avec force à chaque coup de bassin. Ma queue s'enfonçait, disparaissait totalement entre ses fesses puis ressortait, régulièrement elle ressortait complètement et qui lui valait un cri plus fort à chaque fois.


Je ralentissait il gémissait plus fort, j’accélérais le mouvement il restait sans voix … Ou alors c'était le contraire, je ne sais plus …


Enfin tout se passait bien. 


Je lui caressais le corps, glissait ma main sur son torse, il était mince et musclé, je lui tripotait les couilles et là, je remarquais qu'il jutais, ou alors il mouillait, mais c'était abondant.


Ça m'encourageait et je continuais à lui limer le cul avec force. Il ne se défendait plus du tout, il était devenu passif, il encaissait mes coups, il gémissait mais je sentais qu'ils aimait ce que je lui faisais subir.


Moi aussi j'aimais.


J'aimais tellement que je laissais le plaisir monter, je respirais plus fort et plus vite et finissais par me lâcher, j'ai joui en lui et j'ai pris un pied incroyable. Il n'a pas bronché. 


Quand je me suis retiré, je lui tripotais la cage et les couilles et je l'ai senti, c'est à ce moment qu'il à éjaculé. C'était un flot de sperme qu'il lâchait. En fait il n'éjaculait pas, il n'y avais pas de projection, son sperme coulait abondamment c'est tout.


Il a gémit encore à cet instant puis je l'ai senti se détendre, tous ses muscles se sont brusquement détendus. Un cour instant j'ai bien cru qu'il allait tomber mais je le retenais dans mes bras. Il tournait son visage vers moi et on s'embrassait avec passion. 


Je l'ai relâché et il est allé se laver le cul, je le suivais pour me laver la bite. On revenait quelques instant plus tard à notre place. Débug arrivait, il avait l'air un peu affolé ou je ne sais quoi. Lui c'est l'ingénieur de l'équipe, il assure la maintenance du matériel. Mais si je le trouvais bizarre c'est peut être parce que nous étions nus, Djef et moi étions nus et moi je ne portais pas de cage de chasteté …


Tout le monde le savais mais c'était inutile de le montrer en me promenant 

à poil comme je le faisais là.


Je me souviens qu'à ce moment là je me suis dit. '' Heureusement qu'il n'arrive que maintenant, un quart d'heure plus tôt ça aurait peut être été embarrassant.'' . Mais ne me demandez pas pour lequel ça l'aurait été le plus.


Il n'avait rien vu et c'était ça le principal.


Je vois que vous vous êtes mis à l'aise les gars ! Nous lançait Débug.


Il n'en faisait pas plus cas que cela. Djef et moi restions comme nous étions.


Les autres sont arrivés plus tard, quand ils nous ont vu, il se sont mis à poil également. Un instant j'ai eu comme l'impression que c'était pour que je reste à poil. J'étais le seul à avoir une queue qui pouvait se balancer librement, et elle ne s'en privait pas mais à ce moment je me sentais détendu, parfaitement détendue et si ma queue se balançait toujours lourdement je ne bandait plus du tout même un tout petit peu. 


Ils me regardaient tous avec un regard plein d'envie et de curiosité, et comme je vous disais, j'en ai une belle. Je ne manifestais rien mais j'aimais bien. Après le repas on faisait la sieste, il faut dire qu'on travaillait souvent la nuit. Il y a aussi des insectes nocturnes et on n'était pas là pour penser à la gaudriole mais pour les étudier justement.



A suivre




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


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